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Tous à la féte de la Liberté le 16/09 !


jmserigny

Messages recommandés

Je suis tombé sur cet article en cherchant sur Google : http://www.les4verites.com/Fete-de-la-liberte-2007-1630.html

Un commentaire validé par la modération :

Il semblerait que LEPEN ne fasse plus de fêtes à la rentrée, je veux parler de la fête de BBR (bleu blanc rouges) ce qui expliquerait cette fête de la libertee.

:icon_up::doigt:

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Bon, j'arriverai un peu en retard (vers 11h) le matin et je resterai un peu plus tard pour un dernier verre (+ou- 20 h)

Je ne compte pas trop m'attarder aux conférences et ferai honneur au bar. compagnie bienvenue.

Ah ben, si je suis assuré de n'être pas seul au bar, je viens.

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En tous cas, j'y étais le matin. Je n'ai donc pu assister qu'à la conférence sur la sécu. J'ai beacoup apprécié M. Lane. Bon, je n'ai pas non plus osé aller vers les gens. C'est certainement là un défaut que j'ai. Le seul que j'ai vu, c'est notre cher toutou. Mais je ne lui ai pas parlé. Moi, j'avais un polo lacoste bleu. Peut être que certains d'entre vous m'ont vu.

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C'était 'achement bien. Je suis arrivé trop tard pour les conférences (mince alors) mais à temps pour le pot (ouf !). C'était très agréable de voir irl tout ce beau monde.

Pour ceux qui n'étaient pas là, on a joué aux cartes, et là pas de bol : assis sur un chouimgomme et que des jeux mauvais :doigt: ce qui ne m'a pas empêché de gagner à peu près toutes les parties. Spéciale dédicace pour Citronne :icon_up: A bientôt j'espère.

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Très utile pour un braquage de banque, ceci dit.

Tu veux donner des idées à certains ici? :icon_up:

Je suis arrivé trop tard pour les conférences (mince alors) mais à temps pour le pot (ouf !).

Et bé… mais tu t'es levé à quelle heure? Il y a eu des conférences toute la journée si je ne m'abuse…

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Bon bin j'y étais à la fête de a Liberté, je suis arrivé dés le commencement.

J'ai juste assisté à la première conférence de Salin, en fait j'étais surotut venu pour rencontrer des libéraux, ce qui a été fait, et c'était bien sympa d'ailleurs.

En tout cas, une chose est sure c'et que les libéraux sont des fous, mais ca j m'en doutait déjà un peu :icon_up: .

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Compte rendu de ma journée à la fête de la Liberté :

J’ai tout d’abord été accueilli par Sekonda, La Fougère, Simon Ovronaz et G7H+

J’ai ensuite rencontré Marchange et une demoiselle qui n’a pas de pseudo sur ce forum et dont je tairais le prénom.

A midi j’ai rencontré EtiN, Citronne, Pankake, Rincevent et un buveur de 1664 qui travail dans une banque, dont j’ai honteusement oublié le pseudo.

J’ai finalement brièvement rencontré Chitah, Jesrad & Partner (dont j’ai également honteusement oublié le pseudo) et Coldstar que je connaissais déjà. Sans oublié Schnappy et Nick de Cusa que je connais évidemment encore mieux.

J’ai quitté le groupe vers 16h (et non, ce n’était pas pour aller dans le marais).

Au passage, j’ai pu constater que Marchange n’est pas le seul beau gosse parmis les libertariens Parisiens.

Au niveau conférence, Salin m’a déçu : il a mis en avant la plus grande efficacité du libéralisme face à l’interventionnisme au lieu de mettre en avant son caractère juste et moral. Du coup, il a sorti des arguments que nous connaissions déjà tous. La seconde demi-heure était plus intéressante. On retiendra une phrase « c’est la loi qui opprime et la liberté qui affranchi » qui ne manquera pas de faire débat, puisque l’un d’entre nous m’a déjà confié que selon lui, les libéraux souhaitent des lois, mais des lois libérales et donc des lois qui affranchissent. Je ne suis pas d’accord avec cette affirmation, mais bon voilà, on peut lancer un débat comme ça.

Les autres conférences étaient parait-il intéressantes, mais je me suis plus attelé à sympathiser avec les libéraux.orgiens qu’avec les conférenciers.

Parmi les stands j’ai pu découvrir SOS famille, une association qui défend des positions libérales sur pas mal de points sauf sur tous ce qui concerne la famille. Ils souhaitent donc interdire les films porno, réglementer "efficacement" les vecteurs d’immondices que sont la télévision, les téléphone multimédia et les sites « Youtube like » et surtout faire appliquer à la lettre le principe du droit au logement. J’ai beau réfléchir, je me demande encore ce qu’ils foutaient là.

Anecdote intéressante : au stand de LC, une photographie encadrée en orange (c'est surment un signe) d’Edouard.F en pleine action, porte voix à la main, nous était proposée pour la modique somme de 8 euros, Marchange à pris une photo de la photo, je suppose qu’il ne se fera pas prier pour la publier.

Enfin, Edouard a failli avoir très peur, un disciple du Gloupier rodait parait-il dans les parages du Charenton, mais il n’est pas passé à l’action.

Je n’ose même pas imaginer la puissance de son réseau, même Bill Gates n’a pas réussi à être protégé de la sorte !

Pour tous ceux qui m'ont trouvé beaucoup plus calme et moins joyeux que sur le Forum, je m'en excuse, je suis un peu malade et j'avais, de surcroit, dormi très peu la veille.

Sur ces bonnes paroles, je vais me coucher, j’espère vous revoir tous très bientôt, que ce soit à Paris, à Bruxelles ou ailleurs.

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Invité jabial
Parmi les stands j’ai pu découvrir SOS famille, une association qui défend des positions libérales sur pas mal de points sauf sur tous ce qui concerne la famille. Ils souhaitent donc interdire les films porno, réglementer "efficacement" les vecteurs d’immondices que sont la télévision, les téléphone multimédia et les sites « Youtube like » et surtout faire appliquer à la lettre le principe du droit au logement. J’ai beau réfléchir, je me demande encore ce qu’ils foutaient là.

Ca, c'est parce que le libéraux sont classés à droite. Rien à faire, il n'y a pas que les gauchistes qui s'y trompent : quand j'allais encore à ces manifestations, je trouvais régulièrement le club des réacs dans un coin quelque part. Aux USA, m'a indiqué un ami qui s'y trouve, il se passe exactement le contraire : les libéraux étant classés à gauche, c'est le club des hippies.

Je pense que ça en dit plus sur les dérives du régime local que les libéraux combattent que sur le libéralisme.

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Pour ceux qui n'étaient pas là, on a joué aux cartes, et là pas de bol : assis sur un chouimgomme et que des jeux mauvais :ninja: ce qui ne m'a pas empêché de gagner à peu près toutes les parties. Spéciale dédicace pour Citronne :warez: A bientôt j'espère.

:warez::icon_up: !

C'était vraiment une sympathique journée et je suis bien heureuse d'avoir pu rencontrer tout ce beau monde!

Un regret cependant, ne pas voir plus longtemps certaines personnes! (Et ne pas pouvoir rester assez pour en latter d'autres au tarot… :doigt: )

Je reviendrai pour une petite revanche!

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Une fête très bien organisée par Liberté Chérie, avec beaucoup d'auteurs très disponibles.

J'ai été particulièrement soufflé par le très petit nombre de personnes assistant à cette journée. Et dire qu'en France on s'effraie du libéralisme ! Un libéralisme qui peine à réunir, à Paris, pour une fête de portée nationale (en théorie), tout juste quelques dizaines de péquins, dont une bonne partie de vieux et d'étudiants (et même des Belges, c'est dire!). Je suis vraiment sidéré. Ayant vécu longtemps hors de France, je n'avais pas pris la mesure de l'extraordinaire faiblesse de nos «troupes», je m'attendais à plusieurs milliers de personnes pour cette fête!

Enfin bref, c'était quand même bien de discuter avec des auteurs. J'ai assisté à la conférence de Salin, qui s'est trouvé assez facilement dans l'embarras pour répondre à un membre du public qui défendait le principe de défense nationale et de santé publique. Étonnant. J'ai assisté aussi à la conférence de Lemennicier, un peu décousu dans l'exposé mais très drôle. Enfin, Schweitzer, professeur à Aix-Marseille, a été brillant. Quel orateur!

J'ai acheté un roman de Michel de Poncins ("La luxure règnait sur la ville"), un livre de Lemennicier, un autre de Fred Aftalion et enfin les Harmonies économiques de Bastiat. De ces quatre auteurs, seul ce péteux de Bastiat ne s'est même pas présenté pour dédicacer l'ouvrage.

Sinon, j'ai eu à peine le temps de serrer la pince à Chitah entre deux conférences.

Voilà. Merci à Liberté Chérie, je vous envoie un petit chèque de soutien.

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Une fête très bien organisée par Liberté Chérie, avec beaucoup d'auteurs très disponibles.

J'ai été particulièrement soufflé par le très petit nombre de personnes assistant à cette journée. Et dire qu'en France on s'effraie du libéralisme ! Un libéralisme qui peine à réunir, à Paris, pour une fête de portée nationale (en théorie), tout juste quelques dizaines de péquins, dont une bonne partie de vieux et d'étudiants (et même des Belges, c'est dire!). Je suis vraiment sidéré. Ayant vécu longtemps hors de France, je n'avais pas pris la mesure de l'extraordinaire faiblesse de nos «troupes», je m'attendais à plusieurs milliers de personnes pour cette fête!

Enfin bref, c'était quand même bien de discuter avec des auteurs. J'ai assisté à la conférence de Salin, qui s'est trouvé assez facilement dans l'embarras pour répondre à un membre du public qui défendait le principe de défense nationale et de santé publique. Étonnant. J'ai assisté aussi à la conférence de Lemennicier, un peu décousu dans l'exposé mais très drôle. Enfin, Schweitzer, professeur à Aix-Marseille, a été brillant. Quel orateur!

J'ai acheté un roman de Michel de Poncins ("La luxure règnait sur la ville"), un livre de Lemennicier, un autre de Fred Aftalion et enfin les Harmonies économiques de Bastiat. De ces quatre auteurs, seul ce péteux de Bastiat ne s'est même pas présenté pour dédicacer l'ouvrage.

Sinon, j'ai eu à peine le temps de serrer la pince à Chitah entre deux conférences.

Voilà. Merci à Liberté Chérie, je vous envoie un petit chèque de soutien.

Comment ce fait il que ne t'ayons pas vu ? :icon_up: on fait peur ou tu ne nous a pas reconnu ?

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Autre évenément important de cette fête, la diffusion du livre d'Emile Jappi "Voyage au bout de l'état"

Le titre complet est : Les lunettes à Frédéric ou le voyage au bout de l'Etat.

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Les "Lunettes à Frédéric", ce sont les lunettes qui permettent de "voir ce qu'on ne voit pas", comme disait Frédéric Bastiat, c'est-à-dire de dissiper l'illusion fiscale, qui conduit à ne voir que la "main douce" de l'Etat, celle qui donne, et à ne pas voir la "main rude", celle qui prend, impitoyablement.

Normalement, les "Lunettes à Frédéric" c'est ce qui pousse par définition sur le nez de celui qui devient économiste. Même si un nombre surprenant d'économistes ou soi-disant tels prennent part au débat public sans tenir aucun compte ni de l'incidence des impôts et des subventions, ni de la protection effective des monopoles, c'est quand même son travail que de savoir qui se fait réellement dépouiller par l'impôt et le monopole, et qui est le vrai receleur du privilège et de la subvention. Ils sont en effet presque toujours différents de ceux que désignent la réglementation, et le discours des politiques.

Là, les Lunettes, c'est le procédé inventé par Vincent Galley qui permet à ceux qui ont eu le cerveau lavé par le monopole communiste de l'enseignement de porter le jugement de la morale commune sur les actes des hommes de l'Etat : "morale commune" parce que nul, dans son existence ordinaire, ne songe à attaquer les gens dans la rue pour leur prendre leur portefeuille, ni n'enseigne à ses enfants à se glisser dans l'appartement des voisins pour y dérober leur objets de valeur.

Emile Jappi étant énarque (promotion Stendhal), il en avait besoin, des Lunettes, pour seulement voir les vols qu'il commettait, avec ses complices de l'Etat, avant que sa carrière ne soit brusquement interrompue par une révélation du Canard Enchaîné.

Qu'avait publié le Canard ? Un documento segretissimo de la Direzione Investigativa Antimafia révélant que son grand-père, Emilio Jappi, était un capo mafioso de la pire espèce. Contraint de démissionner, parti à la recherche de cet aïeul dont il ne savait rien, les circonstances l'amènent à redécouvrir les préceptes qu'on lui avait enseignés dans son enfance, et à s'en servir pour juger son passé d'homme de l'Etat.

jdeguenin.jpg

C'est Jacques de Guenin, auteur de Logique du libéralisme, coordinateur de la Fête de la liberté et responsable du Cercle Frédéric Bastiat, qui a présenté Les Lunettes à la Fête, pour le compte de l'auteur. Et puisque maintenant la Fête est passée, on peut le trouver ici. :icon_up:

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Le titre complet est : Les lunettes à Frédéric ou le voyage au bout de l'Etat.

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Les "Lunettes à Frédéric", ce sont les lunettes qui permettent de "voir ce qu'on ne voit pas", comme disait Frédéric Bastiat, c'est-à-dire de dissiper l'illusion fiscale, qui conduit à ne voir que la "main douce" de l'Etat, celle qui donne, et à ne pas voir la "main rude", celle qui prend, impitoyablement.

Normalement, les "Lunettes à Frédéric" c'est ce qui pousse par définition sur le nez de celui qui devient économiste. Même si un nombre surprenant d'économistes ou soi-disant tels prennent part au débat public sans tenir aucun compte ni de l'incidence des impôts et des subventions, ni de la protection effective des monopoles, c'est quand même son travail que de savoir qui se fait réellement dépouiller par l'impôt et le monopole, et qui est le vrai receleur du privilège et de la subvention. Ils sont en effet presque toujours différents de ceux que désignent la réglementation, et le discours des politiques.

Là, les Lunettes, c'est le procédé inventé par Vincent Galley qui permet à ceux qui ont eu le cerveau lavé par le monopole communiste de l'enseignement de porter le jugement de la morale commune sur les actes des hommes de l'Etat : "morale commune" parce que nul, dans son existence ordinaire, ne songe à attaquer les gens dans la rue pour leur prendre leur portefeuille, ni n'enseigne à ses enfants à se glisser dans l'appartement des voisins pour y dérober leur objets de valeur.

Emile Jappi étant énarque (promotion Stendhal), il en avait besoin, des Lunettes, pour seulement voir les vols qu'il commettait, avec ses complices de l'Etat, avant que sa carrière ne soit brusquement interrompue par une révélation du Canard Enchaîné.

Qu'avait publié le Canard ? Un documento segretissimo de la Direzione Investigativa Antimafia révélant que son grand-père, Emilio Jappi, était un capo mafioso de la pire espèce. Contraint de démissioner, parti à la recherche de cet aïeul dont il ne savait rien, les circonstances l'amènent à redécouvrir les préceptes qu'on lui avait enseignés dans son enfance, et à s'en servir pour juger son passé d'homme de l'Etat.

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C'est Jacques de Guenin, coordinateur de la Fête de la liberté et responsable du Cercle Frédéric Bastiat, qui a présenté Les Lunettes à la Fête, pour le compte de l'auteur. Et puisque maintenant la Fête est passée, on peut le trouver ici. :icon_up:

c'est évident, nous sommes toujours responssables des actes de nos ailleux !

Je ne parviens pas a comprendre ça, c'est comme ces pauvres chocolatier bruxellois qui ont fait faillites parce qu'ils avaient le malheur de s'appeler Nhioul ! (cfr affaire Dutroux) Même si cette vermine avait été membre de leur famille, qu'est ce qu'ils pouvaient y faire ?

A part ça, enchanté, bienvenue sur libéraux.org

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je n'en sais rien mais pour moi y avait a peu près 200 personnes (au pifomètre), mais c'est difficile à évaluer parce qu'ils étaient répartis entre les salles, et puis y en a qui ne sont venu que le matin, d'autre que l'après midi, … …

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