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Les pakis à Rome avec leurs perches à selfies, même Philibert ça le rendrait raciste... :mrgreen:

L'enfer !

zètes jamais allés à Athènes avant la crise les gars.

J'ai jamais vu autant d'immigrés. Y'en avait absolument partout. assis par terre en te vendant toutes les merdes du monde, passaient dans les restaurants.

Partout. Partout partout

 

Tututu, les entrepreneurs et les petits commerçants ça m'excite ! Les vendeurs de Tour Eiffel, les vendeurs de bouteilles d'eau, les conducteurs de taxi-vélo... Je supporte vachement moins de les voir se faire courser par la police par contre.

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Catholiques pas vraiment, mais françaises de souche, oui. Enfin, surtout le FN, et une partie de l'UMP. Ils exploitent la peur de l'invasion migratoire et du remplacement de population chez les blancs, tout comme le PS exploite le sentiment de racisme et d'exclusion chez les minorités ethniques et religieuses.

Ok donc on est en gros d'accord sauf sur l'islam. La gauche se contente de ne pas être aussi agressive que la droite tout en l'épaulant pour interdire le voile dans les écoles et la burqa dans les rues.

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Si cela traduit quelque chose, je n'aurais aucun problème à évoquer ces faits. De la même manière, pourquoi dire qu'il y a plus de noirs et d'arabes en prison ? Y-a-t-il un intérêt ? Généralement, lorsqu'on en arrive à spécifier ce genre de critères pour décrire une situation, c'est que cette distinction sera pertinente à un moment donné dans notre analyse. Chez les racistes, cela sert leur besoin de stigmatisation par exemple.

 

Je dis seulement que la plupart du temps, ces faits sont spécifiés dans un seul sens, afin de valider la logique souvent manichéenne des progressistes dans l'analyse des "rapports de domination".

 

Même chose que précédemment, sachant que je ne vais pas refaire le débat autour des violences conjugales. Est-ce que cette observation ou ces chiffres permettent de conclure à quelque chose ? Y-a-t-il un phénomène logique qui explique cette situation ? Si c'est le cas, être un homme / être noir / être arabe constitue un paramètre important ?

 

Je reprendrais ta phrase précédente : "ça sert leur besoin de stigmatisation des hommes". Et cette stigmatisation des hommes concernant les violences conjugales leur permet de dire que si ces dernières existent, c'est à cause du patriarcat qui pousse les hommes à frapper leurs femmes (ce qui est absurde). Avec cette logique, on ne voit plus les choses que dans un sens, et on va même jusqu'à considérer que toute femme qui frappe un homme en couple le fait en "réaction" à sa situation de domination, en légitime défense. Encore une fois je ne peux pas développer à outrance car j'ai du travail, mais la méthode Duluth aux USA se base précisément sur ce raisonnement.

Au final, on nie complètement l'individu, encore une fois. Les violences conjugales concernent les deux sexes et résultent de problèmes particuliers, privés, qu'on ne peut pas englober de manière homogène dans une "domination de l'homme sur la femme".

Du coup, non, le sexe de l'agresseur ne change pas grand chose dans l'analyse ces situations (à part pour la force physique). Et pourtant les féministes parlent de "violence de genre". Tout comme les racistes, elles récupèrent et exploitent un problème à leurs fins idéologiques.

 

 

Parce que la question qui se pose derrière cette état de fait, c'est pourquoi ? Qu'est ce qui a amené à cette situation ? Une fois que tu as répondu à cela, tu constates que les deux phénomènes ne sont pas les mêmes et qu'on ne peut pas les comparer de la même manière. Les juifs ont longtemps été exclus de certains domaines et ils se sont logiquement retrouvés concentrés dans d'autres (on me corrigera si je fais fausse route). Ce n'est pas la même chose que d'occuper une place en s'assurant que les autres n'y auront pas droit.

 

Donc aujourd'hui les hommes blancs s'assurent que les autres n'ont pas "droit" à leur place, et c'est uniquement au sexisme / racisme qu'ils sont là ?

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Philiber Té en flagrant délit de polylogisme. Dire qu'il y a trop de blancs ou trop de juifs à un endroit c'est également con. Philiber Té répète ici le discours communautariste qu'on connaît tous, le colorblind c'est mal car ça prend pas les réalités en compte et ça sert objectivement la classe dominante blanche, ça sert à nier le racisme de la société et à asseoir leur domination. L'individu est complètement nié. Les féministes qui passent leur temps à se plaindre de l'essentialisme paradoxalement ne font que le promouvoir avec leur marxisme où l'individu ne peut pas être pour une mesure politique parce qu'il la juge juste ou utile.

 

Exemple : si vous dîtes que vous êtes contre la discrimination positive et que ça vous fout la gerbe, l'antiraciste/féministe vous fait un gros procès d'intention, vous dit que vous êtes hypocrites et que c'est uniquement pour protéger vos " privilèges " et garder en place le statut-quo.

 

Et dernière chose, Philiber a un avis sur tout mais sur la femme qui a une rancoeur complètement illégitime envers des individus en aucun cas responsable de son ancien statut ( même pas le sien en fait, celui de ses parents)  là il n'a pas d'avis " ça la regarde je juge pas ".  Moi je juge, c'est complètement con et puéril.

 

 

 

 

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Je dis seulement que la plupart du temps, ces faits sont spécifiés dans un seul sens, afin de valider la logique souvent manichéenne des progressistes dans l'analyse des "rapports de domination".

 

Peut être parce que de manière logique lorsque ces faits sont spécifiés, on aborde le problème du racisme à un moment donné ? Si c'est un élément notable on le relève, autrement il n'y a pas de raison. A partir de là, il y a un effet de représentation.

 

Au final, on nie complètement l'individu, encore une fois. Les violences conjugales concernent les deux sexes et résultent de problèmes particuliers, privés, qu'on ne peut pas englober de manière homogène dans une "domination de l'homme sur la femme".

Du coup, non, le sexe de l'agresseur ne change pas grand chose dans l'analyse ces situations (à part pour la force physique). Et pourtant les féministes parlent de "violence de genre". Tout comme les racistes, elles récupèrent et exploitent un problème à leurs fins idéologiques.

 

Pour rappel, les féministes se sont emparées de ces questions à une époque où un lourd tabou pesait sur ces violences, où les victimes étaient ignorées et délaissées et où les excuses étaient nombreuses pour justifier cette brutalité. Elles n'ont donc pas du tout évacué l'aspect personnel ou individuel de ces drames, ainsi que la spécificité de chacun des parcours qui y ont mené. Cela est d'ailleurs toujours d'actualité dans le soutient qu'apportent certaines associations féministes aux victimes de violences conjugales.

 

Après ça, l'analyse féministe n'occulte pas toutes ces histoires personnelles mais cherche parmi elles des éléments récurrents et quelle peut être leur origine. C'est de là que viennent les observations générales sur la volonté de domination, de contrôle ou encore l'isolement des victimes, par exemple. Mais ce n'est pas pour autant incompatible avec la dimension individuelle des violences conjugales*. Sans refaire le débat autour de ce sujet, cette analyse s'attache ensuite à comparer ces faits avec la manière dont le couple s'est construit historiquement, les rôles genrés traditionnels, etc...

 

*comme par exemple les cas où ces observations ne se vérifient pas, etc.

 

Donc aujourd'hui les hommes blancs s'assurent que les autres n'ont pas "droit" à leur place, et c'est uniquement au sexisme / racisme qu'ils sont là ?

 

Ce n'est évidemment pas ce que j'ai dit. Par contre, il faut bien saisir que dans une situation où certains sont écartés à cause de leur couleur de peau ou de leur religion, même si on ne participe pas activement à ce racisme, on en bénéficie indirectement. Mais ça n'enlève rien à ses qualités personnelles ou à sa valeur propre. Encore une fois, à partir du moment où un système de discrimination était en place, même une fois qu'il a disparu physiquement, il existe une forme d'inertie qui entretient les logiques et les mécanismes derrières ce système (c'est quelque chose de "naturel" d'une certaine façon). Je m'avance peut être mais c'est particulièrement parlant en ce qui concerne l’antisémitisme par exemple.

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Car en BD comme en exploits physiques, il semble que les femmes soient handicapées.

Les féministes sont d'une condescendance consternante envers la gent féminine.

Ceux qui militent pour la parité dans le grand prix sont essentiellement des auteurs de BD femmes.
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Pour rappel, les féministes se sont emparées de ces questions à une époque où un lourd tabou pesait sur ces violences, où les victimes étaient ignorées et délaissées et où les excuses étaient nombreuses pour justifier cette brutalité. Elles n'ont donc pas du tout évacué l'aspect personnel ou individuel de ces drames, ainsi que la spécificité de chacun des parcours qui y ont mené. Cela est d'ailleurs toujours d'actualité dans le soutient qu'apportent certaines associations féministes aux victimes de violences conjugales.

 

Après ça, l'analyse féministe n'occulte pas toutes ces histoires personnelles mais cherche parmi elles des éléments récurrents et quelle peut être leur origine. C'est de là que viennent les observations générales sur la volonté de domination, de contrôle ou encore l'isolement des victimes, par exemple. Mais ce n'est pas pour autant incompatible avec la dimension individuelle des violences conjugales*. Sans refaire le débat autour de ce sujet, cette analyse s'attache ensuite à comparer ces faits avec la manière dont le couple s'est construit historiquement, les rôles genrés traditionnels, etc...

 

*comme par exemple les cas où ces observations ne se vérifient pas, etc.

Philibert, j'aime beaucoup ta manière posée et modérée de débattre, mais sauf ton respect, je trouves que tu fuis le fond du problème, pour le coup. Mon propos était très clair : il est absurde d'expliquer le phénomène des violences conjugales par une domination sociale de l'homme sur la femme. A cause de cette façon de voir les choses, les hommes sont aujourd'hui discriminés dans ce domaine. Ils n'ont quasiment pas d'aide, sont exclus de la plupart des campagnes, ne sont pas acceptés dans nombre de centres, car les féministes font des violences conjugales un problème de "genre", alors que les statistiques montrent que ce n'est pas le cas, et que malgré leur infériorité physique les femmes ne se montrent pas beaucoup moins violentes que les hommes au sein du couple (certaines études disent même qu'elles sont plus souvent instigatrices). Environ 30% des victimes déclarées sont des hommes, sachant que c'est un chiffre sous-estimé par le fait qu'ils ont beaucoup plus de mal à se considérer eux-mêmes comme victimes et à le déclarer.

Avant de me faire lyncher par JIM, je précise que je ne plains pas les hommes battus et que je comprends que les femmes, plus faibles physiquement, soient mieux aidées contre les violences. Mais je dis ça d'un point de vue non-féministe. Quand on est féministe et donc égalitariste, c'est à dire contre toute différence de traitement entre les sexes, on n'a pas le droit d'être autant hypocrite et malhonnête à ce sujet. Ce que je vous reproche, c'est de vouloir l'égalité seulement quand ça vous arrange, et de ne pas reconnaître que les hommes puissent être discriminés (pas par leur "propre machisme" mais par la société, et avec l'aval des féministes).

Phil, je ne sais pas si tu connais cette excellente interview d'Erin Pizzey, mais j'encourage tout le monde à la lire : http://whiteribbon.org/domestic-violence-law/refuting-40-years-of-lies-about-domestic-violence/

C'est une ex-féministe qui a été parmi les premières à agir en faveur des femmes battues quand il n'existait encore aucune aide pour elles. Elle parle donc mieux que quiconque de la réalité des faits, de l'évolution misandre du féminisme, de l'absurdité de la vision binaire des violences conjugales, et de la discrimination envers les hommes concernant les centres d'accueil, leur financement, etc. Son analyse est très intéressante.

Bref, je ne fais aucunement de la concurrence victimaire, mais je dis seulement qu'il me paraît dur de nier avec tout ça que le féminisme est devenu non plus un mouvement égalitariste mais un mouvement communautariste et chauvin qui ne s'occupe que des problèmes des femmes, et qui réclame l'égalité uniquement quand ça va dans l'intérêt féminin. En soi, j'ai aucun problème avec ça, mais qu'on arrête alors de nous dire que le féminisme défend l'égalité et qu'il doit de fait être une cause nationale. C'est profondément mensonger et malhonnête.

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Philibert, j'aime beaucoup ta manière posée et modérée de débattre, mais sauf ton respect, je trouves que tu fuis le fond du problème, pour le coup. Mon propos était très clair : il est absurde d'expliquer le phénomène des violences conjugales par une domination sociale de l'homme sur la femme. A cause de cette façon de voir les choses, les hommes sont aujourd'hui discriminés dans ce domaine. Ils n'ont quasiment pas d'aide, sont exclus de la plupart des campagnes, ne sont pas acceptés dans nombre de centres, car les féministes font des violences conjugales un problème de "genre", alors que les statistiques montrent que ce n'est pas le cas, et que malgré leur infériorité physique les femmes ne se montrent pas beaucoup moins violentes que les hommes au sein du couple (certaines études disent même qu'elles sont plus souvent instigatrices). Environ 30% des victimes déclarées sont des hommes, sachant que c'est un chiffre sous-estimé par le fait qu'ils ont beaucoup plus de mal à se considérer eux-mêmes comme victimes et à le déclarer.

Je plussoie, ma copine avait fait un mémoire sur les hommes battus il y a quelques années, et ce qu'elle avait appris corrobore avec ce que tu dis.
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J'en ai rencontré dans mon job, en moindre quantité mais certainement à cause d'une certaine honte. Et les dispositifs femmes battues, bah ça permettait à certaines de bien profiter du système, c'est clair. Les violences conjugales sont souvent... conjugales

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Ce que je n'arrive pas à comprendre, c'est pourquoi tout le monde (les médias et la plupart des gens) pense que chaque inégalité aurait forcément pour cause une discrimination. S'il n'y a pas de femme nominée, ce serait forcément à cause d'un complot masculin ? Mais pourquoi ? Quel élément rationnel permet de l'affirmer ?

C'est comme l'histoire des femmes en politique. Quand je regarde autour de moi, je constate que les femmes s'intéressent globalement moins à la politique que les hommes. Regardez les milieux militants. Même sur internet, n'importe quel forum politique (à part deux/trois sites féministes) concentrent 80 ou 90% de mecs. Au même titre que les forums de cuisine ou d'affaires de couple (sur doctissimo par exemple) sont majoritairement animés par des femmes.

Alors POURQUOI le nombre minoritaire de femmes en politique serait forcément un scandale patriarcal à corriger, et non une réalité naturelle à accepter ?

Ces gens ne sont pas rationnels.

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ce serait forcément à cause d'un complot masculin ?

C'est leur inconscient qui parle. Heureusement on va être rééduqué. Elles veulent pas violenter les gens les féministes, elles veulent simplement faire de l'éducation.
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Suffit de voir la haine de certaines militantes envers les MRA (men's rights activists)

Après, les MRA sont parfois assez cons aussi.

Mais pour aller dans ton sens, j'avais lu une histoire sur le site d'une organisation nommée "groupe contre les sexismes". En résumé, ils avaient fait une conférence lors de la "quinzaine de l'égalité" à Lyon, sur les hommes battus. Ils étaient les SEULS à évoquer le sujet, alors que des dizaines d'assoces étaient là pour parler spécifiquement des femmes battues.

Que s'est-il passé ? Des nervis d'extrême-gauche (alternative libertaire ou les antifas, je sais plus) et des féministes sont allés foutre le bordel dans leur conférence. Leur crime ? Avoir osé contester l'idée que toutes les femmes sont victimes et tous les hommes coupables, parce que le "patriarcat", tout ça. Et donc, faire de l'ombre au féminisme, à la libération des femmes, etc. Tout ça pour avoir fait une pauvre conférences sur les hommes battus devant 3 tondus, alors qu'on parle des femmes battues du matin au soir toute l'année.

Résultat, cette association (GES) est interdite depuis 3 ans dans le cadre de cet événement annuel, officiellement par crainte de "troubles".

Voilà ce qu'est le féminisme radical d'extrême-gauche. Une belle brochette de sales enflures.

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Ce que je n'arrive pas à comprendre, c'est pourquoi tout le monde (les médias et la plupart des gens) pense que chaque inégalité aurait forcément pour cause une discrimination. S'il n'y a pas de femme nominée, ce serait forcément à cause d'un complot masculin ? Mais pourquoi ? Quel élément rationnel permet de l'affirmer ?

C'est comme l'histoire des femmes en politique. Quand je regarde autour de moi, je constate que les femmes s'intéressent globalement moins à la politique que les hommes. Regardez les milieux militants. Même sur internet, n'importe quel forum politique (à part deux/trois sites féministes) concentrent 80 ou 90% de mecs. Au même titre que les forums de cuisine ou d'affaires de couple (sur doctissimo par exemple) sont majoritairement animés par des femmes.

Alors POURQUOI le nombre minoritaire de femmes en politique serait forcément un scandale patriarcal à corriger, et non une réalité naturelle à accepter ?

Ces gens ne sont pas rationnels.

 

C'est simple Homme=Femme est l'axiome de base. A partir de là toute différence sociale entre homme et femme est une (mauvaise) construction (à détruire), et la construction s'appelle patriarcat.

 

Remarquons cela dit que d'autres féministes considère même femme> homme (à cause de leur violence etc...).

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. A cause de cette façon de voir les choses, les hommes sont aujourd'hui discriminés dans ce domaine. Ils n'ont quasiment pas d'aide, sont exclus de la plupart des campagnes, ne sont pas acceptés dans nombre de centres, 

Est-ce le problème des féministes qui défendent les femmes et donc crééent des associations pour défendre les femmes?

 

Ou du fait que si il y a les féministes pour défendre les femmes battues, il n'y a pas d'équivalent crédible pour défendre les hommes?

 

 

A mon avis, si tu veux taper sur les féministes, l'angle d'attaque n'est pas la défense des hommes, mais la défense des femmes lesbiennes battues, qui pour le coup sont vraiment dans leur champ de compétence et qui sont ignorée.

http://www.slate.fr/story/65941/violence-conjugale-couples-homosexuels

 

Mais reprocher aux féministes de ne pas faire le boulot des hommes, bof.

Je ne vais pas reprocher à Malcolm X de ne pas avoir défendu les blancs

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C'est leur inconscient qui parle. Heureusement on va être rééduqué. Elles veulent pas violenter les gens les féministes, elles veulent simplement faire de l'éducation.

C'est pas toi qui défendait sur le fil BD qu'il y avait de très bonnes auteures?

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C'est leur inconscient qui parle. Heureusement on va être rééduqué. Elles veulent pas violenter les gens les féministes, elles veulent simplement faire de l'éducation.

Et encore, ça dépend lesquelles... :icon_wink:

 

HS, mais il me semble que tu as édité ton message. Est-ce un privilège des membres éminents de ce forum que les nouveaux n'ont pas, ou suis-je trop bête pour trouver comment faire ? :mrgreen:

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C'est pas toi qui défendait sur le fil BD qu'il y avait de très bonnes auteures?

Je crois pas, et je me souviens pas que sur le fil BD quelqu'un ait défendu cela.

En revanche sur le topic sur lequel nous sommes présentement j'ai défendu que telle et telle autrice de BD étaient très connue. Et Corned Beef m'a demandé par ailleurs lesquelles j'aimais, j'ai donné quelques noms, car en effet il y a d'après moi de bonnes auteures.

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Est-ce le problème des féministes qui défendent les femmes et donc crééent des associations pour défendre les femmes?

 

Ou du fait que si il y a les féministes pour défendre les femmes battues, il n'y a pas d'équivalent crédible pour défendre les hommes?

 

 

A mon avis, si tu veux taper sur les féministes, l'angle d'attaque n'est pas la défense des hommes, mais la défense des femmes lesbiennes battues, qui pour le coup sont vraiment dans leur champ de compétence et qui sont ignorée.

http://www.slate.fr/story/65941/violence-conjugale-couples-homosexuels

 

Mais reprocher aux féministes de ne pas faire le boulot des hommes, bof.

Je ne vais pas reprocher à Malcolm X de ne pas avoir défendu les blancs

 

Je mets deux bémols à ton discours :

 

1) Ce sont les féministes qui sortent souvent l'argument de la lutte globale pour l'égalité, et qui disent défendre les hommes aussi

2) Quand des gens essayent d'aider les hommes, des féministes viennent les attaquer, comme mon exemple précédent le prouve (idem pour les mouvements de pères lésés, etc)

 

Cela dit, tu n'as pas tort du tout. Que ce soit pour le manque d'initiative des hommes (que veux-tu, on a moins cette culture victimaire et cette solidarité de groupe) ou pour les victimes lesbiennes lésées par l'obsession misandre des féministes.

 

Mais comme je le disais, tu pars du principe que le féminisme est un mouvement communautaire, pas égalitaire. Si c'est assumé, alors d'accord, je ne m'en plains plus. Sauf que dans ce cas, il faut arrêter de confondre égalitarisme et féminisme, et les grands institutions doivent arrêter d'imposer le féminisme pour défendre l' "égalité H/F".

 

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Je mets deux bémols à ton discours :

 

1) Ce sont les féministes qui sortent souvent l'argument de la lutte globale pour l'égalité, et qui disent défendre les hommes aussi

2) Quand des gens essayent d'aider les hommes, des féministes viennent les attaquer, comme mon exemple précédent le prouve (idem pour les mouvements de pères lésés, etc)

 

Cela dit, tu n'as pas tort du tout. Que ce soit pour le manque d'initiative des hommes (que veux-tu, on a moins cette culture victimaire et cette solidarité de groupe) ou pour les victimes lesbiennes lésées par l'obsession misandre des féministes.

 

Mais comme je le disais, tu pars du principe que le féminisme est un mouvement communautaire, pas égalitaire. Si c'est assumé, alors d'accord, je ne m'en plains plus. Sauf que dans ce cas, il faut arrêter de confondre égalitarisme et féminisme, et les grands institutions doivent arrêter d'imposer le féminisme pour défendre l' "égalité H/F".

 

Le problème c'est que le féminisme, c'est comme le libéralisme, il y a de tout dedans.

 

 

 

Et donc le féminisme d'une Dworkin, n'a absolument rien à voir avec celui d'une Badinter par exemple.

 

 

Et il faut donc savoir à quel féminisme on s'attaque quand on parle de communautarisme ou d'égalitarisme. Car les deux mouvements existent.

Une badinter, pour reprendre cet exemple a d'ailleurs gueuler dans son livre sur le fait que l'on oubliait les hommes dans les statistique de la violence conjugale.

 

 

Et effectivement, j'ai pointé les féministes communautaristes, car ce sont celles que l'on entend crier.

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Pour le coup d'Angouleme, elles ont tout de meme levé un lièvre, le milieu des auteurs de BD est quand même relativement bien con, et franchement protectionniste. (Les mangas étaient interdits de sélection jusqu'à il y à peu).

Quand au machisme qu'elle dénoncent, c'est plus tendancieux... Y'a certainement une pression sur pas mal de jeunes nanas qui veulent se lancer en tant qu'auteures à part entières. Celles qu'on voit sont très bonnes parce que quelque part seules les meilleures s'en tirent sur la durée... Alors qu'il y a pas mal d'auteurs médiocres.

Ceci dit le collectif féministe d'auteures de bd en question m'inquiete, ça sent la discrimination positive dans toute sa subtilité de char d'assaut écrasant une fourmilière... J'y ai repèré de la logorrhée de SJW (privilèges d'homme, collectif ouvert qu'aux femmes, ce genre de délires).

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