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Lui, rentrant du boulot : Coucou chérie, je suis là

 

Elle : Bien, on peut juste passer à table

 

Lui : Qu'est-ce qu'on mange aujourd'hui ?

 

Elle : De la salade de carottes, mon chéri

 

Lui : ENCORE ??! ça fait deux semaines qu'on en mange !!

 

Elle : Tant que tu baiseras comme un lapin, tu mangeras comme un lapin...

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Allez j'en rajoute une couche pour la route et je sors.

 

C'est quand même marrant aussi que nos camarades libéraux progressistes, favorables à l'avortement de masse et à la propriété des femmes sur leur corps, s'insurgent contre les conseils de Malthus, qui recommande aux pauvres de moins se reproduire volontairement (conseil de bon sens). Malthus devrait être l'idôle des adeptes de la contraception, pas Darwin.

 

 

Je suis favorable à "ne faite pas plus d'enfants que vous ne pouvez en nourir" mais défavoable à l'idée "il faut controler les naissances parce que si ça continue, y aura pas assez de bouffe pour tout le monde" c'est quand même très différent non ?

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Pour en revenir au sujet original du fil – si tant est que certains s'en souviennent – ceci est mon avis : se poser la question "le libéralisme est-il compatible avec le christianisme ?" revient à se demander en fait "le libéralisme est-il moniste ?". Or cette question n'a aucun sens : le libéralisme est étranger à la controverse entre monistes et dualistes, donc la philosophie du libéralisme et la philosophie du christianisme peuvent tout à fait cohabiter dans le même cerveau sans dommages collatéraux particuliers pour celui-ci. Ceci pour le coté spirituel.

 

En dehors de cela la question posée à la base était chargée de sous-entendu : par exemple le clergé chrétien a par le passé détenu un pouvoir certain sur la population européenne – tout comme la classe politique l'a actuellement, encore que le clergé de l'époque avait probablement moins de pouvoir que notre clergé politique actuel – et comme normalement chacun sait ici : le pouvoir corrompt. Les actions de ce clergé sur la population, elles, ont pu être contraires à la liberté. Sans rentrer dans le débat des bienfaits et méfaits du clergé chrétien, de telles situations ont bel et bien existé. Cependant, généraliser cet antagonisme à l'ensemble du christianisme est – et c'est mon avis – impossible.

 

Quelqu'un reprend de la confiture ? :mrgreen:

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C'est quand même marrant aussi que nos camarades libéraux progressistes, favorables à l'avortement de masse et à la propriété des femmes sur leur corps

 

Ne pas oublier les libéraux conservateurs, favorables à la peine de mort de masse et à la déportation des homos

 

:icon_volatilize:

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Puisqu'il y a des fans de Gould dans les parages :

 

« La plus lourde tare imposée par la culture occidentale à l'évolutionnisme est la doctrine du progrès. »

 

(Stephen Jay Gould)

Gould est sans conteste évolutionniste, donc cette citation est contre productive : elle prouve simplement que ce "progressisme" n'est pas inhérent à l'héritage de Darwin (en supposant qu'il ait été présent à la base).

 

On abandonne une théorie lorsque l'on en découvre une autre plus "efficace".

Et uniquement dans une certaine mesure suivant un arbitrage précision/facilité de manipulation.

 

Sans vouloir mettre de l'huile sur le feu, dans la famille Darwin, je demande le cousin, Francis Galton.

Si je devais être tenu responsable de toutes les conneries que disent mes cousins...
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Dans un autre style :

 

"Il est curieux de voir comment Darwin retrouve chez les bêtes et les végétaux sa société anglaise avec la division du travail, la concurrence, l’ouverture de nouveaux marchés, les « inventions » et la « lutte pour la vie » de Thomas Malthus. C’est le bellum omnium contre omnes [la guerre de tous contre tous] de Hobbes, et cela fait penser à la phénoménologie de Hegel, où la société bourgeoise figure sous le nom de « règne animal intellectuel », tandis que chez Darwin, c’est le règne animal qui fait figure de société bourgeoise." — Lettre de Marx à Engels du 18 juin 1862

 

Je ne connaissais pas ce passage très judicieux de Marx, mais il correspond assez précisément au rapprochement que je faisais entre Darwin & Malthus.

 

Nos amis darwiniens ont l'indignation facile, mais ils ne nous ont pas dit s'ils adhérent à la théorie darwinienne de la hiérarchie des races humaines dans l'échelle de l'évolution, qui est exposée dans la Descendance de l'homme. La différenciation des races fait partie du mécanisme de sélection des plus aptes (spécialisation).

 

A priori il semble que oui, puisque personne n'a contesté l'affirmation selon laquelle le schéma darwinien s'applique à la compétition pour les femelles dans les sociétés humaines.

 

 

 

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Nos amis darwiniens ont l'indignation facile, mais ils ne nous ont pas dit s'ils adhérent à la théorie darwinienne de la hiérarchie des races humaines dans l'échelle de l'évolution, qui est exposée dans la Descendance de l'homme. La différenciation des races fait partie du mécanisme de sélection des plus aptes (spécialisation).

 

A priori il semble que oui, puisque personne n'a contesté l'affirmation selon laquelle le schéma darwinien s'applique à la compétition pour les femelles dans les sociétés humaines.

Je ne comprends pas le rapport entre la différenciation des races par spécialisation à des environnements différents et l'idée d'une hiérarchie entre les races.

Et je réponds évidemment non à ta question réthorique.

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2) la théorie de Darwin n'est encore qu'une hypothèse car on n'a aucune explication scientifique crédible de comment se passe le processus de sélection et d'évolution 

Salut PABerryer
C'est une blague !!!
Tiens lis le "Hasard et la nécessité"
Bon l'argument c'est une hypothèse donc pas de certitude, bien sûr on est dans la science pas dans la religion.
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À table !

Mais ma parole qu'est-ce que vous faites IRL

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J'ai eu le temps de manger, de me baigner, de lire "les miserables" sur kobo et là je prends l'apéro en lisant lib.org

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Je ne comprends pas le rapport entre la différenciation des races par spécialisation à des environnements différents et l'idée d'une hiérarchie entre les races.

Et je réponds évidemment non à ta question réthorique.

 

En quoi est-elle rhétorique? Tu disais toi-même que la compétition darwinienne s'observe dans les parades que font les hommes dans les bars pour séduire les femelles. Ta réponse témoigne surtout d'une grande incohérence.

 

Si ce sont les mêmes instincts qui guident les mammifères supérieurs, les primates et les hommes, on observera le même mécanisme de variation, de sélection des races les plus aptes, ou les plus spécialisées, et d'élimination des races aux caractères nuisibles, dans la compétition qu'elles se livrent pour les ressources.

 

Darwin y répond très sérieusement dans la Descendance de l'homme :

 

"D'ailleurs, à ne considérer que l'homme, la distance n'est-elle pas immense au point de vue moral entre un sauvage, tel que celui dont parle l'ancien navigateur Byron, qui écrasa son enfant contre un rocher parce qu'il avait laissé tomber un panier plein d'oursins, et un Homard ou un Clarkson ; au point de vue intellectuel, entre un sauvage qui n'emploie aucun terme abstrait, et un Newton ou un Shakespeare. Les gradations les plus délicates relient les différences de ce genre, qui existent entre les hommes les plus éminents des races les plus élevées et les sauvages les plus grossiers. Il est donc possible que ces facultés intellectuelles ou morales se développent et se confondent les unes avec les autres. J'ai l'intention de démontrer dans ce chapitre qu'il n'existe aucune différence fondamentale entre l'homme et les mammifères les plus élevés, au point de vue des facultés intellectuelles."

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Nos amis darwiniens

Au passage, je ne suis pas "darwinien" et j'ai déjà indiqué dans un fil récent que cette focalisation sur les écrits de Darwin en ignorant dans la critique les développements ultérieurs relève du strawman.

Il était question au départ des créationnistes. Ce qu'ils combattent ce n'est pas Darwin (qui est mort, enterré et dépassé depuis bien longtemps), c'est la notion d'évolution des espèces.

Que certains considèrent Darwin comme une idole, c'est bien possible, mais ça ne change rien au débat scientifique.

La différenciation des races fait partie du mécanisme de sélection des plus aptes (spécialisation).

Des plus aptes à survivre et se reproduire dans un environnement physique et culturel donné (par opposition aux plus aptes dans l'absolu), sans aucun doute. Tout en gardant à l'esprit le rôle prépondérant de la contingence et que l'environnement, ça varie énormément.
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En quoi est-elle rhétorique? Tu disais toi-même que la compétition darwinienne s'observe dans les parades que font les hommes dans les bars pour séduire les femelles. Ta réponse témoigne surtout d'une grande incohérence.

 

Si ce sont les mêmes instincts qui guident les mammifères supérieurs, les primates et les hommes, on observera le même mécanisme de variation, de sélection des races les plus aptes, ou les plus spécialisées, et d'élimination des races aux caractères nuisibles, dans la compétition qu'elles se livrent pour les ressources.

Mais les différentes races sont déjà un résultat de l'évolution.

Et la diversité est peut-être une stratégie efficace pour la survie de l'espèce.

Je ne sais pas pourquoi la compétition inter-individuelle devrait se transformer en lutte des races (tu es d'un holisme, c'est fou).

Ton idée de hierarchie de la race la plus adaptée est hors de propos puisque tout dépend de l'environnement dans lequel on se place.

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Simple question (pas du tout rhétorique): comment peut-on parler de guerre de tous contre tous avec la sélection des espèces de Darwin sachant que la nature regorge d'exemples de symbiose ou de collaboration entre espèces différentes, comme le Komodo avec ses bactéries ou les bernardlhermitte avec les anémones de mer ?

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Simple question (pas du tout rhétorique): comment peut-on parler de guerre de tous contre tous avec la sélection des espèces de Darwin sachant que la nature regorge d'exemples de symbiose ou de collaboration entre espèces différentes, comme le Komodo avec ses bactéries ou les bernardlhermitte avec les anémones de mer ?

Bonne question, c'est pour ça que j'avais donné comme référence Dawkins entre Darwin et Gould.
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Mais les différentes races sont déjà un résultat de l'évolution.

Et pourquoi devrait-elle s'arrêter?

 

Et la diversité est peut-être une stratégie efficace pour la survie de l'espèce.

C'est justement le fondement de la théorie darwiniennne : l'évolution va du bas vers le haut, par la sélection, vers une plus grande spécialisation des espèces et des sous-espèces, par l'élimination des variations nuisibles, et la sélection des facultés utiles.

 

Je ne sais pas pourquoi la compétition inter-individuelle devrait se transformer en lutte des races (tu es d'un holisme, c'est fou).

Ton idée de hierarchie de la race la plus adaptée est hors de propos puisque tout dépend de l'environnement dans lequel on se place.

Ce n'est pas mon idée, je ne fais qu'exposer le raisonnement darwinien, auquel je n'adhère pas (mais c'est une autre question). Tout dépend de l'environnement: non, dans le darwinisme il y a une pression de l'environnement, mais le mécanisme d'évolution n'est pas relatif. Par exemple, si les hommes sont plus forts physiquement que les femmes, c'est parce que dans un passé très lontain leurs ancêtres ont travaillé et chassé davantage que les femmes. Si les races civilisées sont plus intelligentes, c'est parce qu'elles ont sélectionné de meilleures règles de mariage et une meilleure division du travail, etc.

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Je vais essayé de trouver l'ouvrage sinon perso je viens de passer 6h en bibliothèque à taper mon mémoire de fin de M2. Overdose de Cujas...

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C'est justement le fondement de la théorie darwiniennne : l'évolution va du bas vers le haut, par la sélection, vers une plus grande spécialisation des espèces et des sous-espèces, par l'élimination des variations nuisibles, et la sélection des facultés utiles.

 

Certes, mais il n'y avait pas une théorie qui expliquait que le mélange des gènes et donc des races était une stratégie qui permettait de brouiller les prédateurs en les empêchant de se spécialiser tout à fait, et aussi parce que le mélange avait tendance à faire ressortir les meilleurs gènes par sélection ?

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Je vais essayer de trouver l'ouvrage sinon perso je viens de passer 6h en bibliothèque à taper mon mémoire de fin de M2. Overdose de Cujas...

Fais gaffe quand même, J Monod il est communiste, ça pique les yeux :devil:  

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Bon, je relis la Descendance de l'Homme...c'est fascinant. Darwin traite de la sélection des races humaines sous l'angle de l'adaptation, de la beauté physique, du degré de barbarie et de civilisation, du progrès de l'intelligence, des règles du mariage, des coutumes, des moeurs et il aborde le problème de l'abaissement qualitatif de la pression sélective à cause des lois sociales. Aussi, de l'apport de Matlhus & Galton à l'avancement de la science, entre autres.

 

Ce qui établit la distinction principale dans la puissance intellectuelle des deux sexes, c’est que l’homme atteint, dans tout ce qu’il entreprend, un point auquel la femme ne peut arriver, quelle que soit, d’ailleurs, la nature de l’entreprise, qu’elle exige ou une pensée profonde, la raison, l’imagination, ou simplement l’emploi des sens et des mains. Que l’on dresse deux listes des hommes et des femmes qui se sont le plus distingués dans la poésie, la peinture, la sculpture, la musique, y compris la composition et l’exécution – l’histoire, la science, et la philosophie : les deux listes d’une demi-douzaine de noms pour chaque art ou science, ne supporteront pas la comparaison. Nous pouvons ainsi déduire de la loi de la déviation des moyennes, si bien expliquée par M. Galton dans son livre sur le Génie héréditaire, que si les hommes ont une supériorité décidée sur les femmes en beaucoup de points, la moyenne de la puissance mentale chez l’homme doit excéder celle de la femme.
 

 

 L'homme étudie avec la plus scrupuleuse attention le caractère et la généalogie de ses chevaux, de son bétail et de ses chiens avant de les accoupler ; précaution qu'il ne prend que rarement ou jamais peut-être, quand il s'agit de son propre mariage. Il est poussé au mariage à peu près par les mêmes motifs que ceux qui agissent chez les animaux inférieurs lorsqu'ils ont le choix libre, et pourtant il leur est très supérieur par sa haute appréciation des charmes de l'esprit et de la vertu. D'autre part, il est fortement sollicité par la fortune ou par le rang, la sélection lui permettrait cependant de faire quelque chose de favorable non seulement pour la constitution physique de ses enfants, mais pour leurs qualités intellectuelles et morales. Les deux sexes devraient s'interdire le mariage lorsqu'ils se trouvent dans un état trop marqué d'infériorité de corps ou d'esprit ; mais, exprimer de pareilles espérances, c'est exprimer une utopie, car ces espérances ne se réaliseront même pas en partie, tant que les lois de l'hérédité ne seront pas complètement connues. Tous ceux qui peuvent contribuer à amener cet état de choses rendent service à l'humanité.

 

Lorsqu'on aura mieux compris les principes de la reproduction et de l'hérédité, nous n'entendrons plus des législateurs ignorants repousser avec dédain un plan destiné à vérifier, par une méthode facile, si les mariages consanguins sont oui ou non nuisibles à l'homme.

 

 L'amélioration du bien-être de l'humanité est un problème des plus complexes. Tous ceux qui ne peuvent éviter une abjecte pauvreté pour leurs enfants devraient éviter de se marier, car la pauvreté est non seulement un grand mal, mais elle tend à s'accroître en entraînant à l'insouciance dans le mariage.

 

D'autre part, comme l'a fait remarquer M. Galton, si les gens prudents évitent le mariage, pendant que les insouciants se marient, les individus inférieurs de la société tendent à supplanter les individus supérieurs.Comme tous les autres animaux, l'homme est certainement arrivé à son haut degré de développement actuel par la lutte pour l'existence qui est la conséquence de sa multiplication rapide ; et, pour arriver plus haut encore, il faut qu'il continue à être soumis à une lutte rigoureuse. Autrement il tomberait dans un état d'indolence, où les mieux doués ne réussiraient pas mieux dans le combat de la vie que les moins bien doués. Il ne faut donc employer aucun moyen pour diminuer de beaucoup la proportion naturelle dans laquelle s'augmente l'espèce humaine, bien que cette augmentation entraîne de nombreuses souffrances. Il devrait y avoir concurrence ouverte pour tous les hommes, et on devrait faire disparaître toutes les lois et toutes les coutumes qui empêchent les plus capables de réussir et d'élever le plus grand nombre d'enfants.

 

 

Le livre en PDF:

 

http://classiques.uqac.ca/classiques/darwin_charles_robert/descendance_homme/descendance_homme.html

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Bon, je relis la Descendance de l'Homme...c'est fascinant

 

L'ouvrage de Brillat-Savarin sur la meilleure manière d’accommoder le sanglier par temps de guerre civile est fascinant aussi, le problème c'est qu'il  est périmé depuis longtemps – et tous ceux de Darwin sauf en partie celui dont je t'ai parlé dans un autre fil le sont aussi.

 

Oui à peu près tout ce qu'il a écrit sur le "pourquoi" s'est révélé être faux, mais une bonne partie de ce qu'il a écrit sur le "comment" est restée juste.

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Ça devient très intéressant et très compliqué. L'evopsy c'est très intéressant aussi.

 

Bon alors c'est quoi le point de vue sur l'évolution de l'ami free jazz ? :mrgreen:

 

Au point où j'en suis de sa théorie de l'évolution appliquée au mariage, et à la lumière des événements récents, je pense qu'il est urgent d'enseigner Darwin à l'école. Sa théorie contient une apologie du mariage blanc hétérosexuel, une analyse de la polygamie comme coutume barbare en tant que stratégie évolutive, un exposé de l'affaiblissement de la race par le métissage, une mise en garde contre les lois sociales permettant aux pauvres de se reproduire de façon déraisonnable, une description de l'infériorité physiologique et intellectuelle de la femme...nos amis progressistes devraient adorer.

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Au point où j'en suis de sa théorie de l'évolution appliquée au mariage, et à la lumière des événements récents, je pense qu'il est urgent d'enseigner Darwin à l'école. Sa théorie contient une apologie du mariage blanc hétérosexuel, une analyse de la polygamie comme coutume barbare en tant que stratégie évolutive, un exposé de l'affaiblissement de la race par le métissage, une mise en garde contre les lois sociales permettant aux pauvres de se reproduire de façon déraisonnable, une description de l'infériorité physiologique et intellectuelle de la femme...nos amis progressistes devraient adorer.

 

:lol:

 

Dès qu'il est question de races etc. les débats ont vite fait de s’envenimer. Pour ces types de débats plus que pour d'autres, il est très utile de rappeler que parler dans le sens de "réfléchir à voix haute en public" ne fait pas de vous un partisan ou un fanatique de la thèse exposée.

Dans les processus naturels de sélection il me semble que la pulsion de vie joue un rôle primordial. Les hommes agressifs et pas beaux plairont de fait plus aux femmes que les hommes mignons mais un peu trop gentil patauds. My two cent lol

 

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Donc à ce stade il est utile de préciser qu'au moins devant la postérité l'apport en sciences humaines de Darwin est très marginal par rapport à la biologie. Enfin à part son bouquin sur les émotions. Toujours est-il que quand on parle de darwinisme dans le cadre de la théorie de l'évolution ce n'est bien entendu pas ça qu'on veut évoquer sauf à faire un grand écart dans la conversation.

Les questions culturelles, entre autres, font que l'humain a un rapport particulier à la sélection naturelle. Il y est soumis dans l'absolu, mais ça rajoute des couches de complexité.

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