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Il faut sortir de la Cour Européenne des Droits de l’Homme mais avec un nom pareil, c’est pas prêt d’arriver. Petit extrait de la page Wikipedia :2 points
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Une vidéo intéressante sur le commerce des cheats. Sinon Clair Obscur a fait un braquage aux Games Award avec 9 victoires ( dommage pour Kingdom come 2 qui méritait de gagner dans une ou deux catégories). Et les gauchistes n'ont pas loupés l'occasion de se monter détestable en renommant le jeu Gwer Obscur, Expedition 88, KKKlair obscur, Expedition à Tel Aviv, Goy Obscur et j'en passe.1 point
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Il va falloir faire accepter aux gens (en agrégé) qu'ils vivent 20% au-dessus de leur niveau de vie. Et les quantiles en dessous du 60% doivent aller dans les 40% - 50%. Sachant que pour rembourser la dette accumulée par la Génération Mitterrand, il faudrait encore réduire de 10% - 15% le niveau de vie. Va falloir être fort pour que les gens le comprennent et l'acceptent.1 point
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Je pense que le problème de la France est moins l'immigration que l'émigration. L'émigration des cerveaux ( ce n'est pas les plus mauvais qui émigrent) fait énormément de mal au pays et dit beaucoup de nos politiques. Et j'ai l'impression que c'est un problème qui n'est absolument pas pris en compte à part pour dire des trucs à base de "la France tu l'aimes ou tu la quittes et si tu la quittes on fera en sorte que le fisc français par contre restera à tes basques".1 point
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Maintenant que la criminalité est résolue, il commente sur Twitter (si vous cliquez sur le lien ça parle de Macron)0 point
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Le ratage, selon moi, ce n'est pas tant l'immigration que la faiblesse (en tout point de vue) de l'État et des institutions qui les accueillent. Sans immigration, le destin de la France serait d'une certaine manière le même, quand bien même la forme serait différente.0 point
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C'est la guerre ouverte au sein de la droite américaine! Après la lettre ouverte publiée sur les réseaux sociaux signée de deux ex dirigeants de l'Intercollegiate Studies Institute, l'une des plus anciennes institutions conservatrices du pays. Chris Long et Tom Lynch accusent la nébuleuse 'post-libérale' d'avoir pris le contrôle de l'organisme et de sa revue, occasionnant une dérive droitière dommageable à sa réputation et à celle du mouvement conservateur tout entier. En jeu, le statut central du libéralisme dans les principes politiques de la droite américaine, sa loyauté envers le constitutionnalisme des pères fondateurs et -accessoirement-la politique étrangère US (en particulier à l'endroit de son meilleur allié au Proche Orient, Israel). L'ISI est tombé, après le Claremont Institute, Heritage Foundation et The American Conservative ! Et depuis, shitstorm de rancœurs, de noms d'oiseaux et d'accusations plus ou moins fondées entre les têtes pensantes plus ou moins bien faites de la droite américaine. Les libéraux-conservateurs « classiques » accusent les post-libéraux d'avoir importé le racisme et l'antisémitisme, les idées de Carl Schmitt, Renaud Camus et de l'intégrisme catholique dans la paisible demeure de Reagan et Buckley. Deneen, Vermeule et Dreher se défendent en rappelant que les premiers à blâmer pour leur perte d'influence, c'est leur nullité et le fait de tourner en rond sur le même logiciel depuis plus de 20 ans sans s'apercevoir qu'il n'intéresse plus personne à part quelques vieux. L'accusation faite aux « postlibéraux » (ensemble assez hétérogène qui rassemble à la fois des réactionnaires, des nationalistes, des libéraux modérés et des conservateurs à l'européenne) d'avoir préparé le terrain à l'émergence de la figure méphitique de Nick Fuentes revient assez régulièrement (même si l'on est en peine de voir un rapport entre le public de Fuentes et celui de Deneen ou Vermeule) pour s'indigner et rappeler à l'ordre les conservateurs tentés par l'aventure en dehors de la grande tente libérale reagano-fusioniste. Personnellement, je vois ce nouvel épisode de la décomposition/recomposition de la droite américaine comme le mouvement inverse de ce qui s'est passé au cours des années 1980 après l'élection de Reagan : à l'époque, le mouvement visant à réaffirmer le caractère central du libéralisme politique dans la définition fusioniste du conservatisme, qui en particulier en politique étrangère, a fini par triompher en s'alignant sur le néoconservatisme. Cela s'est traduit par la marginalisation de la vieille droite « America First » (devenue « paléoconservatisme » au début des années 90) puis son exclusion du mouvement au moment de la seconde guerre du Golfe en 2003. La bataille pour les postes, les statuts et le contrôle des think tanks de Washington entre factions de la droite d'hier avait consacré le sacre du conservatisme mainstream qui s'est effondré avec l'élection de Trump en 2016, et aujourd'hui, c'est le grand retour de bâton que l'on est peut-être en train d'observer en temps réel.0 point
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Je pense justement que la nouveauté du débat, c’est qu’il se tient au sein de la droite américaine, laquelle déterminait jusqu’ici globalement son périmètre idéologique en fonction des Pères fondateurs, de la Constitution élevée au-dessus de tout et du free market. Sur la banalité des critiques, je suis moins catégorique : j’observe par exemple l’introduction de Carl Schmitt dans le débat, ce qui constitue une vraie nouveauté. Cet auteur n’existait pratiquement pas, il y a encore une décennie, dans les débats internes à la droite américaine (en dehors des cercles straussiens de Chicago, à la rigueur). Reviennent aussi en force d’autres auteurs paléo et même des auteurs européens de la contre-révolution, ce qui est quand même assez étonnant (de Maistre ou Cortés, wtf). Je continue la lecture de Deneen et, franchement, c’est décevant. Son livre est davantage un manifeste, voire un tract politique, qui vire au simpliste dès qu’il s’essaie à l’histoire des idées (libéralisme, néolibéralisme, marxisme et conservatisme américain). Il y a une a-historicité flagrante qui l’empêche de saisir les différences et les singularités entre toutes les traditions intellectuelles qu’il critique, comme s’il les ramenait toutes au même modèle, face à « la grande tradition occidentale » dont il se réclame. Il ne voit pas que le libéralisme est un courant, un ensemble de théories parfois contradictoires entre elles, et que leur évolution globale – tout comme l’usage qu’en font « les élites » (concept assez indéfinissable) – varie d’une époque à l’autre en fonction des transformations de l’ordre social-historique. Pour l’instant, pas une ligne sur le gouvernement représentatif, sur les débats autour du fédéralisme américain, sur la place de l’exécutif moderne, sur le changement de paradigme avant/après la Seconde Guerre mondiale et la Guerre froide, sur les effets de la révolution industrielle dans la montée du new liberalism, ni sur les sensibilités hétérodoxes (anti-rationalistes) venues des Lumières écossaises. Le conservatisme US, chez lui, c’est John Locke et Jonah Goldberg (ha ?) ; le marxisme, c’est Bernie Sanders (hein ?). C’est quand même symptomatique de l’effondrement du débat intellectuel. Je n'ai pas encore abordé son éloge du gouvernement mixte (mais le gouvernement représentatif est déjà un gouvernement mixte, Patoche! Attention ! C'est encore du libéralisme !) et de l'alliance de classe entre le peuple et l'aristocratie (ce qui me fait penser aux fantaisies littéraires de Patrick Buisson, qui, par pensée magique, entrevoit des alliances dont la réalité ne dépasse pas ses livres désormais pratiquement oubliés). On sent le livre de circonstances, dont la visée principale est surtout de donner une légitimité intellectuelle à un micro-courant qui cherche à se placer dans les bonnes grâces de Vance. À noter que, pour l’instant, l’auteur français le plus cité est Christophe Guilluy. Cela ne signifie pas que la critique adressée au libéralisme majoritaire (qu’il soit progressiste ou classique) soit illégitime ; simplement, ses représentants les plus pertinents ne sont pas forcément les plus lus ni les plus commentés ces derniers jours. Je pense à Sam T. Francis, Paul Gottfried ou, sur un plan plus philosophique, Alasdair MacIntyre (qui bénéficie lui aussi d’un regain d’attention, y compris en France, mais de façon sélective et à travers le prisme du néo-aristotélisme catho-conservateur – ce qui doit le faire bien rigoler dans sa tombe) ou John Gray (qui écrit un bon livre sur deux, quand on le pousse un peu dans ses retranchements). Des niouz, Robert P George démissionne de Héritage au milieu de tout ce tintouin https://reason.com/volokh/2025/11/17/the-heritage-foundation-scandal-and-the-growth-of-anti-semitism-on-the-right/?fbclid=IwdGRjcAOJfdxjbGNrA4l9dWV4dG4DYWVtAjExAHNydGMGYXBwX2lkDDM1MDY4NTUzMTcyOAABHiARKaBa9I8xsFKmcDUUkECf0AgAZYESlN9nAq9uamz0v4oj1kZRnGvnK-nd_aem_ClWOjXmBWEQrTisNXyEKsw0 point
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Je connais bien. Mes parents y faisaient la plupart des courses familiales (d'où mon attachement un peu irrationnel à Auchan). Always has been...0 point
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Le service public : https://www.france24.com/fr/amériques/20251117-jara-jeannette-kast-jose-antonio-qualifies-second-tour-présidentielle-chili-resultats-partiels-vote-election0 point
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Moui. Si elles sont de "gauche" et féministes elles savent normalement ce que c'est que la domination financière. Comment cela joue dans les relations. La différence c'est que ce sont les premières à aller taper sur les mecs qui vont à Pattaya, mais elles c'est "différent", c'est une belle histoire d'amour qui les a permis de se libérer. Elles ne dupent qu'elles-mêmes. Au moins la connaissance que j'avais qui assumait avoir ce type de relation à Pattaya (payé par France Travail...) savait que si il avait du succès là bas c'est car il payait. D'ailleurs il appelait ses partenaires ses "puputes". Là, pour éviter une dissonance cognitive, elles préfèrent croire qu'elles sont "arnaqués" mais que c'est une belle histoire.0 point
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Le fait de ne pas avoir révélé les dossiers et de s'attaquer à ceux qui souhaitent qu'ils soient publiés (cf. Massie).0 point
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Peut-être pour le côté hypocrite et déresponsabilisant qui présente ces jeunes femmes comme des victimes ?0 point
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J'ai demandé à Gemini d'inverser les rôles : Madagascar : L'enquête de terrain de Jean-Pierre X. sur les "hôtesses-sourire" Au cours d’un voyage éco-solidaire à Madagascar, Jean-Pierre X., jeune retraité fraîchement divorcé, a noué une « connexion humaine très forte » avec une jeune Malgache au sourire désarmant. Il a ensuite découvert, avec un intérêt purement sociologique, qu’il s’agissait d’une « hôtesse-sourire » (une séductrice professionnelle) et que ce type d’histoires n’avait rien d’exceptionnel. Au contraire, que c’était un vrai système, qui obéissait à des codes, des stratégies… en vue de susciter un soutien financier de la part des retraités occidentaux aisés. Grand militant écologiste (il trie même ses biodéchets en voyage) et soucieux de déconstruire le patriarcat, Jean-Pierre a ainsi « enquêté » sur ces séductrices professionnelles de voyageurs conscients. Il prépare actuellement un mémoire militant sur le sujet, dont sera issu son livre Le Zébu et le Compassionnel (à paraître aux éditions L'Harmattan, 312 pages, 29 euros). Écrit à partir d’une observation participante très poussée, d’une vingtaine d’entretiens avec des hommes européens de 55 à 75 ans, et de plusieurs dizaines d’« hôtesses-sourire » affriolantes, l'ouvrage analyse ce qui se joue dans ces relations interculturelles. À travers deux ans d’immersion à Nosy Be, Tamatave ou Antananarivo, Jean-Pierre analyse ces jeux de pouvoir. Quand les amants ne jouent pas à armes égales, et que les dynamiques Nord-Sud (qu'il combat, bien sûr) sont bouleversées. Pour séduire ceux qu’elles appellent les « Vazahas-mécènes », les « hôtesses-sourire » ont des techniques d'approche très codifiées, qui se basent sur la mise en valeur de la féminité authentique et non-occidentale. Elles vont surjouer la douceur exotique, la sagesse du Mora Mora (doucement, doucement), car cela correspond aux attentes des touristes (qui votent vert) venant à Mada. Elles vont raconter les difficultés de la vie, l'impact du changement climatique sur leur village, parler de la famille à soutenir, car elles savent que ces hommes mûrs, farouchement anti-patriarcaux, sont souvent attirés par ce côté vulnérable et non-globalisé. Elles vont enrober cela d’un discours romantique, sur la rencontre, deux âmes faites l’une pour l’autre dans un monde inégal. Tout cela se déroule dans un contexte où les hommes blancs, à Madagascar, surtout s'ils sont déconstruits, sont extrêmement valorisés. Aussi, ceux qui voyagent là-bas ont l’impression d’être, dans les yeux de ces jeunes femmes, des « patriarches bienveillants » ou des « sauveurs » (un rôle qu'ils acceptent avec humilité). Dans les bras d’une « hôtesse-sourire », beaucoup (dont Jean-Pierre, pour les besoins de l'enquête) ont dit qu’ils ne se sont jamais sentis aussi utiles, écoutés, et encore désirables. Ils se sentent donc puissants… Et cela est aussi accentué par leur confortable retraite (qu'ils vivent en sobriété choisie en France, mais qui est décuplée par rapport au niveau de vie local). Cette situation de domination reconnue (mais critiquée), combinée à celle du voyage, produit un effet libérateur. Loin du regard jugeur de leur ex-femme ou de leur AMAP locale, ces hommes mûrs peuvent se lâcher. Ils ont tous raconté à Jean-Pierre (leur confident) qu’ils avaient eu des « expériences humaines épanouissantes » avec leur « hôtesse » – plusieurs ont dit avoir redécouvert le plaisir pour la première fois depuis leur divorce. Mais ces hommes, plutôt marqués à gauche, abonnés à Télérama et convaincus d'être déconstruits, n’ont pas envie de se trouver classifiés comme de vieux Vazahas venant consommer de jeunes corps d'une manière néocoloniale. Alors, pour compenser cet inconfort structurel (un peu comme on compense son bilan carbone), sur lequel les « hôtesses » savent très bien appuyer, ils vont « aider ». Ils vont « soutenir un projet » (d'agro-écologie locale ou d'énergies renouvelables, bien sûr), financer des études, acheter un scooter : c’est une manière pour eux de « rééquilibrer » cette position de domination, qu'ils détestent. C’est donc une forme de tourisme éco-responsable et solidaire, mais jamais dit comme tel… En effet, l’échange (l'aide au développement) n’est jamais explicité. Aussi, contrairement à d’autres destinations stigmatisées par le tourisme de masse, ces hommes ne partent jamais dans cet objectif à Madagascar, et n’associent pas cette destination à un imaginaire érotique. Ils viennent pour protéger la biodiversité. Pour les lémuriens. Mais le dénominateur commun de tous ces hommes, c’est que, même s’ils se sont fait un peu « aider à aider », ils en parlent comme de « belles rencontres humaines », qui deviennent un élément de réussite de leur voyage. Jean-Pierre X., sociologue amateur et homme parfaitement déconstruit (et, il insiste, non-patriarcal), souligne : son enquête immersive n'a, à aucun moment, constitué une forme de tourisme sexuel. Il s'agissait de science. Et d'humanité.0 point
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Je pense exactement pareil. À la nuance près que Trump est loin d'être tout blanc et que sur de nombreux sujets il représente l'ensemble des personne du haut. Du coup, j'ai du mal à pleurer : qu'ils s'entre-detruisent tous. Afuera.0 point
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On voit le connaisseur qui sait où regarder 😉. Maintenant je pense le même assez représentatif de ce que quelqu'un qui devient le sujet d'un MSM devrait ressentir. Pas pour rien que je suis de ceux qui quand un journaliste arrive suis de ceux qui pensent que l'on doit fermer la porte 😜0 point
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Continues à poster ce genre de memes, je suis sur que tu n'aideras pas les algo d'IA venus s'entraîner sur le forum à affiner leur compréhension de la télévision publique de sa majesté. P.S : le quatrième mec en partant de la gauche devrait plutôt avoir un T-short MBC.0 point
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Les séducteurs professionnels de jeunes touristes, ou comment amour et jeux de pouvoir se mêlent sous les tropiques0 point
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Trump qui explique que se remarier 16 mois après avoir été veuf c'est beaucoup trop rapide. Il y a pas à dire, il ose tout0 point
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Au sens du mouvement des idées, je ne sais pas. J’ai pas l’impression qu’on raconte quelque chose de nouveau versus Arendt, Bell ou Lasch qui ont plus de 50 ans, du point de vue de la sociologie / philosophie politique. Le seul concept nouveau des dernières années, mais qui est avant tout lié au sens de la formule et trouve un écho car il décrit une réalité qui n’était pas décrite , ça vient de Renaud Camus, et n’a rien à voir avec Trump. Tu remarqueras que c’est blindé de protestants convertis au catholicisme (voire à l’orthodoxie), d’ailleurs . Au fond, l’avenir de la droite américaine, c’est des tech-bros marines convertis au catholicisme ; on appelle ça l’Imperium dans 40K.0 point
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What they did What they were going for What it actually looks like0 point
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Aujourd'hui en France on a des maires qui s'opposent au soutien au terrorisme islamique. Les immondes parents terroristes nient en expliquant qu'ils ne font que demander que plus de personnels. Mais heureusement le maire n'est pas dupe. Les banderoles de la discorde: Le maire: https://www.ladepeche.fr/2025/11/15/lecole-a-besoin-daesh-les-agents-croient-lire-daesch-et-demandent-le-retrait-des-banderoles-devant-lecole-13053632.php0 point
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Ce qui me surprend c'est que j'ai toujours lu que France Info c'était le repaire des gros gauchistes, que c'était de le propagande pour Mélenchon et consorts. Et finalement ce serait plutôt des partisans du centre mou (2 ex ministre de droite tendance anti-RN et 1 président de gauche qui a fait de la pub pour une crème caramel tellement il était mou).0 point
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Ou pas. Même pas si loin. https://www.patrick-breyer.de/en/chat-control-2-0-through-the-back-door-breyer-warns-the-eu-is-playing-us-for-fools-now-theyre-scanning-our-texts-and-banning-teens/0 point
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Il faut dire que les aliens sont très très beaux dans Alien 4...0 point
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C'est carrément ça. Y a des grosse bébêtes inspirées de Giger donc je suis content (Alien 4 doit être le premier vrai film d'horreur que j'ai vu gamin, ça laisse des traces). Et si y avait moins de blabla, je serais encore plus content0 point
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Vous avez vu passer le mail du frère de Jeffrey Epstein demandant si Poutine a la photo de Trump suçant Clinton ? J'avoue avoir de plus en plus de mal à distinguer la réalité de la parodie, je ne sais pas si c'est authentique.0 point
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J'ai vu quelques 40-50 min d'Emmanuelle (2024) et c'est boooooooooooooooooooooooooooooooorinnnnnng et non érotique. Il y a même une discussion sur le réchauffement climatique (!?). Incroyable.0 point
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https://climatedrift.substack.com/p/why-solarpunk-is-already-happening "Why Solarpunk is already happening in Africa" Incomplet:0 point
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Nous en saurons plus au cours du procès donc pas avant 10 ans, quand il n’y aura plus aucun responsable.0 point
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Alors qu'en France ils resteraient en place pendant que l'ARCOM ferait une enquête qui enterrai l'histoire...0 point
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Tiens, en allant voir sa filmographie sur wikipedia, j'apprends qu'elle va jouer dans un remake de L'homme de Rio. Elle y interprètera le rôle que tenait Bebel...0 point
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L'entrain avec lequel on crame de l'argent sur des trucs que le privé fait très bien, c'est fou. Je me demande combien de millions ça a coûté. Tout ça pour un classement qui fait gagner une IA française, ce qui jette le doute sur la crédibilité du truc.0 point
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Les quasi-étoiles dit aussi étoiles trou-noir https://fr.wikipedia.org/wiki/Quasi-étoile Pour échelle: (Et ma réaction devant l'estimation de l'échelle).0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
