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Qui a dit ?


A.B.

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Dites voir, je cherche une citation que je ne trouve plus...je crois que c'était de Heinlein, qui disait que les catégories socialistes, communistes, fascistes, royalistes, nationalistes etc. n'ont aucun sens et que cela se divise entre ceux qui veulent contrôler la vie d'autrui et ceux qui ne le veulent pas.

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Elle est bien de Heinlein et tu peux la retrouver sur wikiberal :

 

« Les étiquettes politiques - royaliste, communiste, populiste, fasciste, socialiste - ne sont pas pertinentes. Le genre humain se divise politiquement entre ceux qui veulent contrôler la vie des autres, et ceux qui n'éprouvent pas ce besoin. »

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  • 2 weeks later...

Qui a dit :

Je détestais déjà le Parlement, mais non pas tout à fait en tant qu'institution. Au contraire, mes tendances libérales ne me permettaient pas d'envisager un autre mode de gouvernement. La pensée d'une quelconque dictature m'aurait apparu, rapprochée de mon attitude vis-à-vis de la maison des Habsbourg, comme un crime contre la liberté et contre toute raison,

?
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Oh, c'est connu, et c'est rigolo, je laisse les autres trouver.

 

edit : un indice quand même. C'est une phrase qu'on nous ressort souvent à la gueule pour montrer à quel point les libéraux sont des salauds

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Non, il eut été trop embarrassant pour Michéa qu'on lui sorte en retour des citations du même qui ressemblent trop à ce qu'il dit :

« Il est nécessaire que l’individu réalise que son propre ego n’a pas d’importance par rapport à l’existence de sa nation ; que son ego doit être encadré par les besoins de sa nation dans son ensemble. D’autant plus que l’esprit de la nation vaut beaucoup plus que les simples libertés et volontés d’un seul individu. Cet esprit national, qui subordonne les intérêts de l’ego individuel aux besoins de la communauté, est le premier principe de toute culture humaine. Nous devons accepter que l’individu doive faire des sacrifices pour sa communauté et pour son prochain. »

Ou, parlant du libéralisme :

« Des idées de "liberté", mais la plupart du temps mal comprises, se glissent dans la conception de cette école. (...) En résumé, cette école attend avant tout de l'Etat qu'il donne à la vie économique une forme favorable à l'individu ; elle le juge du point de vue pratique et d'après des conceptions générales d'économie politique, sur sa rentabilité. »

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Ca m'aurait quand même paru trop gros que Michéa ajoute le caporal autrichien dans sa liste de "libéraux". Mais peut-être que je le surestime, je ne connais pas assez le bonhomme et sa pensée.

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C'est plutôt que "libéral" dans ce pays a historiquement un autre sens qu'en France ou en Angleterre. Les libéraux étaient en gros les héritiers des révolutions nationales de 1848 (les "quarante-huitards"), et y ont le plus souvent été associés de ce fait aux nationalistes (du moins, jusqu'à la Seconde Guerre Mondiale).

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Qui a dit (toutes les citations sont de la même personne) :
 

Je suis un libéral enragé. C'est pourquoi le socialisme me semble une horreur pédantesque qui sera la mort de tout art et de toute moralité.

Quant à votre ami, il continue ses lectures socialistes, du Fourier, du Saint-Simon, etc. Comme tous ces gens-là me pèsent ! Quels despotes, et quels rustres ! Le socialisme moderne pue le pion.

Le socialisme est une face du passé, comme le jésuitisme une autre. (...) On a senti instinctivement ce qui fait le fond de toutes les utopies sociales : la tyrannie, l'antinature, la mort de l'âme.

Je viens de lire le livre de Proudhon sur l'art ! On a désormais le maximum de la pignouferie socialiste. C'est curieux, parole d'honneur ! ça m'a fait l'effet d'une de ces fortes latrines, où l'on marche à chaque pas sur un étron. Chaque phrase est une ordure.


?

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Il manque la meilleure:

 

"Le rêve du socialisme, n'est-ce pas de pouvoir faire asseoir l'humanité, monstrueuse d'obésité, dans une niche toute peinte en jaune, comme dans les gares de chemin de fer, et qu'elle soit là à se dandiner sur ses couilles, ivre, béate, les yeux clos, digérant son déjeuner, attendant le dîner et faisant sous elle ? 

Ah ! je ne crèverai pas sans lui avoir craché à la figure de toute la force de mon gosier."

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  • 3 months later...

Mien, tien. – « Ce chien est à moi, disaient ces pauvres enfants ; c’est là ma place au soleil. » Voilà le commencement et l’image de l’usurpation de toute la terre.

 

Un indice, il ne croyait pas au DN.

 

 

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  • 1 month later...
  • 4 months later...

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