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Nouvelles du monde sans intérêt


Rincevent

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Et je suis contraint de me le taper au boulot parce que je communique enormement en français.

Ça doit être joli :)

 

Sinon tu peux utiliser un Qwerty international: tu devras te taper 2 touches pour les accents, mais c'est finalement tellement plus logique qu'il n'y a pas besoin de mémoriser le layout. C'est du coup plus facile quand tu changes de langue assez souvent. L'Azerty Canadien est pas mal aussi puisqu'il a un double layout français/anglais et c'est aussi plus logique au final.

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Sinon, attention à l'emploi du terme « tiers-monde » qui fait très néo-impérialiste quand-même... il vaut mieux dire pays en voie de développement.

 

Pas vraiment, c'est surtout que le mot n'a plus de sens depuis la chute de l'URSS

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Une piste pour expliquer les survols de lieux sensibles par des drones?

Au cours de ces derniers mois, l’actualité a été rythmée par les survols de centrales nucléaires par de mystérieux drones. Encore récemment, l’Élysée, la base des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) de l’Île-Longue ainsi que des lieux importants situés à Paris (ambassade des États-Unis, Invalides) ont été survolés par ces engins non-identifiés.

Les hypothèses sur l’origine de ces vols ne manquent pas. Serait-ce une organisation terroriste qui, dans le cas des centrales nucléaires, aurait cherché à localiser les transformateurs pour les détruire ultérieurement afin de faire « tomber » le réseau de distribution d’électricité? Serait-ce le fait d’espions? Certains ont même avancé l’idée que la technologie de ces « objets volants non identifiés » serait « exogène », comprendre « extra-terrestre »…

L’explication est sans doute plus « terre-à-terre » et il n’est pas la peine de convoquer les habitants de Vulcain ou ceux de la planète Cérès. Dans un papier étrangement passé inaperçu, le Journal du Dimanche a en effet donné la parole à une certain Antoine, un « élève d’une prestigieuse école d’ingénieurs » qui occupe ses loisirs à « bidouiller » des drones. Et il a même affirmé être à l’origine de deux survols d’une centrale nucléaire en novembre dernier.

« Tous les passionnés de drone font du vol en PVPP (pas vu, pas pris) sans autorisation depuis qu’une législation est en place. C’est un défi, un challenge. Il n’y a rien d’officiel, aucune gloire à en tirer si ce n’est une satisfaction personnelle. Ce qui compte c’est de braver l’interdit, de montrer aux autres qu’on a conçu une machine performante qui se joue des défenses. Mon survol n’a duré que quelques minutes, assez pour être repéré par la sécurité », a-t-il expliqué dans les colonnes de l’hebdomadaire.

Et quand ce dernier lui demande si les survols des lieux sensibles constatés en France au cours de ces derniers mois font partie d’une « sorte de concours », l’élève ingénieur acquiesce. « La prochaine fois ce sera encore plus symbolique : l’Arc de Triomphe, le Stade de France pendant un match ou au-dessus d’un site hypersensible et protégé. Tout ce qui compte, c’est de faire le buzz en trouvant plus difficile, plus spectaculaire », a-t-il affirmé.

Ainsi, une « petite communauté de passionnés, de développeur et de chercheurs » conçoit ses propres drones ou apporte des améliorations aux appareils vendus dans le commerce. Selon l’élève ingénieur, c’est relativement simple grâce notamment à certaines applications ou à des logiciels libres comme OpenPilot.

Dans le cas du survol de la centrale nucléaire qu’il a revendiqué, cet Antoine dit avoir utilisé un quadracoptère « durci » pour éviter le brouillage, totalement autonome et doté d’un système de pilotage automatique. « En fait, il suffit de programmer un plan de vol puis de transférer ses ‘waypoints’ avec altitude et coordonnées GPS à survoler. Le plus gros problème était l’autonomie de vol : je n’avais que 10 minutes pour effectuer le parcours », a-t-il prétendu.

En attendant, ce type d’action a mis en lumière les problèmes que peuvent causer les drones en matière de sécurité. Le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale a même été saisi pour y apporter une réponse. Un programme doté d’un million d’euros été confié à l’Agence nationale de la recherche (ANR) pour trouver une parade à l’intrusion de ces engins.

 

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Valls qualifie Bachar el-Assad de "boucher"... et fâche les bouchers

 

Non, ce n'est pas un journal satirique.  :icon_bave:

 

Tout le monde est à cran:

La guerre des frites est déclarée!

 

Les frituristes n'apprécient pas du tout la dernière campagne de pub de la chaîne de restauration rapide Quick. Tout est parti du dernier slogan du groupe: "Il va casser la baraque à frites". Pour l'Union Nationale des Frituristes, il s'agit "d'une attaque frontale de l'artisanat par l'industrie".

 

"Il va casser la baraque à frites", est le dernier slogan du Quick. Cette petite phrase est loin de faire l'unanimité auprès des frituristes. Ces derniers n'apprécient pas du tout la dernière campagne de pub. Dans un communiqué, l'Union Nationale des Frituristes dit "comprendre la formule humoristique du slogan mais déplore une attaque frontale de l'artisanat par l'industrie". 

 

[...]

 

 

http://www.rtl.be/info/belgique/societe/la-guerre-des-frites-est-declaree-705540.aspx

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Presque:

 

Paul Ilegems, professeur d'histoire de l'art... de la frite

PUBLIÉ LE 16/01/2011 À 00H00

Avec humour et tendresse mais aussi avec le plus grand sérieux du professeur d'histoire de l'art, l'Anversois Paul Ilegems photographie les friteries, analyse ce que ce phénomène révèle de la Belgique et partage cette passion avec de grands artistes belges.

 

A quel moment avez-vous commencé à vous intéresser à l'histoire des friteries ?

 

>> J'ai commencé à enseigner à l'Académie des Beaux-Arts à Anvers en 1981 et cela jusqu'en 2005. En parallèle à mes cours sur l'histoire de l'art contemporain, je m'intéressais déjà depuis quelques temps aux frietkots (ou friteries). Le long des routes secondaires, leur architecture si diverse m'avait frappé. Il n'y en a pas deux pareilles. Et cette diversité était d'autant plus frappante que c'était, à l'époque, l'émergence des fast-foods dont la caractéristique en terme de design est, au contraire, l'uniformité. Le fast-food, c'est un peu le communisme à l'américaine !

 

Qu'est-ce que la diversité de ces friteries révèle selon vous ?

>> Chaque friterie est personnalisée.

Elle est le reflet de son propriétaire. Et c'est aussi souvent une histoire de famille. La friterie incarne également le goût belge de l'individualisme, d'un goût prononcé pour la liberté. Mais elle est aussi révélatrice d'une certaine forme d'improvisation. Toutes ces caractéristiques sont regroupées dans l'expression « belgitude ». Le frietkot, c'est vraiment la belgitude ! Et à travers cette construction souvent temporaire, je vois même comme un symbole de la Belgique, fruit de compromis et d'approximations. Dans un pays qui manque de symboles et de repères, particulièrement en ce moment, je trouve que le frietkot, cela pourrait vraiment faire un beau symbole national !

 

Comment ce symbole s'incarne-t-il dans l'art contemporain belge ?

>> Il y a maintenant quelques décennies que je me suis mis à photographier ces friteries. J'ai une collection de plusieurs centaines de photos. Et puis j'ai commencé à parler à des amis artistes de ce que la frite et les friteries représentent. Cela les a intéressés. Et ils se sont mis au travail. Artistes anversois, bruxellois, liégeois..., parmi les artistes belges contemporains les plus intéressants, ont fait des créations autour de la frite. On en a d'abord fait une exposition itinérante qui a circulé dans toute la Belgique mais aussi aux Pays-Bas. Avant de devenir une collection permanente du musée de la frite à Bruges où plus de 250 oeuvres sont exposées.

 

[...]

 

 

http://www.nordeclair.fr/Loisirs/Magazine/2011/01/16/paul-ilegems-professeur-d-histoire-de-l.shtml

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la friterie c'est la belgitude !

 

fallait vraiment etre prof aux beaux arts pour la trouver celle là ? 

 

parce que des blagues sur les belges qui impliquent des frites, j'en faisais déjà quand je jouais aux billes

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Encore cette vieille thèse moisie ? On n'en finira donc jamais ?

Je me suis donné la peine de lire l'article : c'est vraiment du n'importe quoi, il y a plus de rationalisations absurdes que dans un traité entier du Talmud. Les jeux de mots et les étymologies fantaisistes, ça va deux minutes, mais à un moment il va falloir que les hurluberlus laissent la place aux gens sérieux.

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Encore cette vieille thèse moisie ? On n'en finira donc jamais ?

Je me suis donné la peine de lire l'article : c'est vraiment du n'importe quoi, il y a plus de rationalisations absurdes que dans un traité entier du Talmud. Les jeux de mots et les étymologies fantaisistes, ça va deux minutes, mais à un moment il va falloir que les hurluberlus laissent la place aux gens sérieux.

Tu sais que pour un gars qui n'y connait rien ça ne paraît pas plus idiot qu'autre chose ?

 

(mais comme c'est rapporté par des "journalistes" on se dit que fatalement ça ne peut être que n'importe quoi.)

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Tu sais que pour un gars qui n'y connait rien ça ne paraît pas plus idiot qu'autre chose ?

 

(mais comme c'est rapporté par des "journalistes" on se dit que fatalement ça ne peut être que n'importe quoi.)

 

Surtout que c'est dans cette célèbre publication peer-reviewed et spécialisée dans le talmudisme qu'est "La Dépêche du Midi" que cette somme de connaissances à été publiée.

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(mais comme c'est rapporté par des "journalistes" on se dit que fatalement ça ne peut être que n'importe quoi.)

There we are. ;)

Je pourrais faire une critique ligne à ligne de l'article (oui, on est en train de parler de ce niveau de densité de conneries et d'interprétations erronées), mais j'ai des choses plus importantes à faire. Me gratter les fesses, par exemple.

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Ben je vous avoue que les articles contenant le mot "frituriste" aujourd'hui ont accaparé 99% de mon temps de cerveau disponibles.

 

Mais quel mot merveilleux sans blagues   :sorcerer:  comment ai-je pu vivre toutes ces années sans le connaître ?  :jesaispo:

 

 

 

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Surtout que c'est dans cette célèbre publication peer-reviewed et spécialisée dans le talmudisme qu'est "La Dépêche du Midi" que cette somme de connaissances à été publiée.

Dans le cadre de la presse française (oui bon ça va) j'ai globalement un a priori favorable envers la presse quotidienne régionale.

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