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Nouvelles du monde sans intérêt


Rincevent

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Non, tout le monde ne sait pas que. Tout le monde ne sait jamais rien. Toujours.

D'ailleurs, tout le monde sait que tout le monde ne sait jamais rien.

Fun fact : la plupart des logiciels de reporting sont incapables d'afficher la dette de la France exprimée en euros.

(y-z-on pas prévu assez de digits pour les variables numériques.)

Bande de lols. Dire que n'importe quel programme conçu un peu correctement en Cobol peut afficher 18 décimales, et jusqu'à 31 décimales si on le demande gentiment au compilateur. On a encore de la marge (malheureusement). Si Windows 95 = Apple 85, on pourrait aussi dire que Langages-à-accolades 2013 = Cobol 1963.
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Bande de lols. Dire que n'importe quel programme conçu un peu correctement en Cobol peut afficher 18 décimales, et jusqu'à 31 décimales si on le demande gentiment au compilateur. On a encore de la marge (malheureusement). Si Windows 95 = Apple 85, on pourrait aussi dire que Langages-à-accolades 2013 = Cobol 1963.

Ça deviendra drôle quand il faudra utiliser matlab pour calculer la dette :mrgreen:

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Les compilateurs modernes ont une option pour porter la précision jusqu'à 31 décimales. Enfin, "moderne", c'est depuis 1985 me semble-t-il.

Et le dollar zimbabwéen n'est pas une monnaie, c'est une farce.

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Jamel contraint de prouver qu'il n'est pas juif pour éviter un lynchage médiatique dans la presse arabe et le boycott de son spectacle. 

 

 

Jamel Debbouze « je ne suis pas juif »
 
Publié le : 3 05 2013 Dans ACTUALITÉS
 
Jamel Debbouze a tenu à mettre les pendules à l’heure quant aux rumeurs qui circulent quant à sa religion.
 
Un bruit de couloir affirmait que le mari de Melissa Theuriau se serait converti au judaïsme, après que des photos de lui ait circulé sur la toile, dans lesquelles ses fans le découvrent portant une kippa lors d’une visite en Israël.
Cette rumeur avait été alimentée lors de son récent passage en Algérie, dans le cadre de sa tournée africaine.
Une quotidien arabophone avait effet appelé au boycott, assurant l’humoriste converti au judaïsme.
Invité à réagir à ces ragots, Jamel Debbouze a tenu à mettre les pendules à l’heure, assurant être toujours musulman.
« Mettre la kippa devant le mur des lamentations à Jérusalem, en Israël, ne veut pas dire que je suis juif », a-t-il lancé, dans les pages du quotidien algérien Echourouk, l’un des quotidiens ayant alimenté cette conversion.  »Je suis Musulman et issu d’une famille musulmane, et personne ne peut contester cela, dit-il. J’ai visité le mur des lamentations comme j’ai visité d’autres sites historiques ».
Jamel Debbouze s’est par ailleurs dit surpris par ces rumeurs.
 
Dieudonné et Jamel Debbouze « même » combat
 
Le temps d’un spectacle, Jamel Debbouze a pu mesurer ce que son ami, Dieudonné, vit depuis son sketch controversé présenté dans le cadre de l’émission de Marc-Olivier Fogiel.
 
Les spectacles de l’ancien acolyte de Elie Semoun sont en effet souvent marqués par les manifestations de ses opposants. Son supposé antisémitisme est remis à chaque fois sur la table.
Et durant son voyage en Algérie, Jamel Debbouze a dû affronter les mêmes critiques.
Au mari de Melissa Theuriau, il est en effet reproché de s’être rendu en Israël il y a quelques années, et surtout d’être apparu en kippa lors d’une visite au mur des lamentations.
Le quotidien algérien arabophone Echorouk avait même affirmé en vue de brouiller les pistes que le spectacle de Jamel Debbouze avait été annulé après le refus des autorités de lui accorder un visa.
« le comédien va se rendre en Algérie avec un visa de tourisme, et non un visa de travail »., rapporte ce quotidien, qui publie à cette occasion une photo de l’humoriste en pleine prière devant le mur des lamentations.
Cette photo a provoqué une véritable polémique sur les réseaux sociaux et certains n’ont pas manqué de demander l’annulation des spectacles de Jamel Debbouze, qui auront finalement bien lieu à la grande joie de ses fans.

 

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Un employé d'Amazon s'exprime au sujet de l'article :

 

 

Ma contribution est un peu particulière car je suis salarié de l'entrepôt au sein duquel Monsieur Mallet s'est infiltré. Je suis embauché depuis sa création en 2010. J'espère que la parole pourra peser autant que quelqu'un y ayant travaillé que 12 jours...

Je peux vous dire qu'il a fait beaucoup de mal ce Monsieur. Non pas à l'enseigne pour laquelle je travaille, elle en a et en verra d'autres... Mais a nous, ces salariés qui essayons de faire de notre lieu de travail un lieu où on essaye de ne pas se sentir trop mal, un lieu que l'on préfère au chômage, un lieu que l'on préfère pour beaucoup à de nombreux autres employeurs, mais aussi, et aussi surprenant que cela puisse paraitre, un lieu où on travaille! 

Je suis vraiment ravi de tous ces commentaires des personnes qui ne voient en ce livre non seulement qu'un constat plus que banal de la vie de toutes les entreprises, mais aussi que ce qui est décrit est partial, subjectif et au final et surtout pas si grave que cela. De toute façon, même l'auteur lui-même ne s'en cache pas, sa démarche était totalement a charge, pour prouver tous les procès d'intentions qu'il avait avant de nous connaître. Son combat aurait pu être intéressant, je suis le premier a reconnaître et a combattre les patrons voyous, mais il s'est totalement trompé de cible en voulant s'attaquer à Amazon. Dans son imaginaire, il pensait que l'entreprise qui a bousculé l'univers jusque la confortable des libraires devait forcément être mauvaise et terrible. Je peux vous dire que l'intention de mon employeur n'est pas de concurrencer mais d'apporter un autre type de service, notamment en proposant une sélection bien plus large. Et puis, tout le monde n'a pas la chance (même avant Amazon et internet) d'avoir son "libraire du coin"! Encore une vision très parisianiste... 

Je pourrais écrire moi même un roman s'il fallait reprendre point par point tout ce qui est écrit. J'aurai été le premier a en rire s'il s'agissait d'écrire un roman humoristique s'inspirant d'anecdotes et d'une vision particulière personnelle, mais je suis révolté de ce mal gratuit déversé dans l'unique but de se faire connaître et ou de gagner du fric sur le dos de ce que ce Monsieur dénonce.

Quelques points.

- 20km par jour correspond sur une journée de 7h à 50 mètres par minute, ce qui est tout de suite moins impressionnant, et doit correspondre a ce que réalisent des centaines de milliers de personnes en France.

- Quand on voit le nombre de personnes extérieures qui visitent nos entrepôts, quand on voit le nombre d'articles ou de reportages, on voit qu'Amazon n'est pas fermé sur elle même

De toute façon, Monsieur Mallet semble être quelqu'un de très arrogant. Les syndicats refusent d'appuyer sa démarche ? et bien, forcement, Monsieur Mallet va affirmer de façon totalement péremptoire que les syndicats sont verrouillés !

 

 

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Le Trésor Public a adressé une lettre à un contribuable mort, au cimetière d’Autheuil (Orne), d'après le journal Ouest France. Le courrier a même été envoyé directement au cimetière et précisé le numéro de la tombe dans le libellé de l'adresse.

 

Ouais, en France vous ne leur échappez jamais. JAMAIS.

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Lire la parodie d'H16 avant l'interview sérieuse, le ridicule de ce journaliste ressort encore mieux.
2 choses: les journalistes sont déconnectés et tous les arguments pro-code du travail et pro-syndicats tombent à l'eau.

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Why I can no longer face tutoring the progeny of the rich and aspirational

 

Demanded by the uber-rich and panicking, salaried parents, private tutoring only widens the gap in our education system

 

'Salaried parents are queuing up to fuel a market valued in excess of £6bn a year, hyperventilating that their kids are being left behind.'

 

Working as a private tutor nowadays is a bit like being a confiseur for Marie Antoinette: no matter how much you spin the sugar into a confection about feeding society, you're really just making life sweeter for the rich. And I should know, having taught a predominantly wealthy elite for over a decade.

 

Five years into the most thorough economic malaise since the Great Depression, and amid more cuts than you'd find on a straight-to-DVD movie, it should come as scant wonder that one of the few boom industries is private education. In the strata of the recession-proof uber-rich, the private tutor can often appear as simply the next human accessory, summoned before the court to perform.

 

Yet in a society plagued by the disease of aspiration, it's no longer just about the very rich. Salaried and striving parents are queuing up to fuel the boom in a market valued in excess of £6bn a year, hyperventilating that their kids are being left behind as an already unequal form of education plunges into something that would make the feudal system look like the dictatorship of the proletariat.

 

Amid terror tales of two-year-olds receiving elocution tutorials, and salacious reports of super tutors creaming £1,000 per hour, the method for ensuring your child makes it with the likes of Old Etonians David Cameron, the archbishop of Canterbury and Bear Grylls appears simple: start 'em young and pawn your granny to do so.

 

I began tutoring with no formal teaching qualification, just a respectable degree from one of the world's top universities and a knack for working with a child without leaving either one of us in shreds. Soon I was called to the sort of west London streets I thought had been dismantled once Mary Poppins had finished filming. The class of degree was less important than the whispered name of the university. I repeatedly watched parents hypnotised by the dubious dream of some sort of intellectual osmosis, passing accomplishment like a cold, from tutor to pupil.

 

Among the braying stables of the landed gentry, a social class not dissimilar to TB, being at once both anachronistic to the modern world yet ever more resistant to removal, what made the process endurable was being called on every so often by a normal family, for whom tutoring was an expensive and rare gift that succeeded in helping an already able child fulfil their potential. Sometimes I worked for the council, or on a donation-only basis, or for free. Helping those who were living proof that money does not happiness make, the ones struggling to cope with their parents' divorce, excluded and facing depression, or those who couldn't speak without spluttering into a vast, gutteral chasm, made tutoring feel, if not as moral as curing cancer, then at least something marginally less dirty than selling arms to Bahrain.

 

Of course, one-to-one tuition is an amazing process. The problem is that under the current system, already polarised between the wafer-thin few and the frantic, competing many, where the standard of exams in the private sector is at least two years more advanced than the equivalent level in the state, children already excessively advantaged are being further preferred. In many cases, the next step for such kids is to have the tutor turn up and sit the paper for them.

 

Invariably it's the parents who could do with an education. I'm thinking of the CEO of a major bank who had all his family's possessions "dusted" with DNA, such was his fear of Gypsies running off with a pot. Or the media mogul who, in addition to his five-storey Mayfair house and Oxfordshire mansion, kept a château in the Loire valley, closed up throughout the year, save for the two weeks in the summer when it was needed. Recently I was offered any financial incentive I cared to mention to continue working for the sons of a convicted billionaire murderer. It was at this point I realised the time had come to take up something marginally less compromising. Such as fracking.

 

The malaise with private tutoring is not the absence of regulation. The agencies I've worked for have been tightly run with all tutors CRB checked, and for every passing private-school graduate who fancies earning some cash between gap years, there are scores of tutors from local comps; intelligent, kind, and, though shockingly inferior in terms of monied social connections, at least warm-blooded enough to understand how to be interested in someone's emotional wellbeing for longer than the duration of a gin and tonic.

No, the real problem is that we continue to panic buy into a system so fatally unequal and personally exhausting and then wonder why there remains an issue with the lessons our kids are learning.

http://www.guardian.co.uk/commentisfree/2013/may/03/no-longer-tutor-progeny-rich-aspirational

 

Vous voulez dire que des gens ACHÈTENT DES SERVICES avec leur propre argent ? Pour leurs ENFANTS ? Mais que fait la police ?

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Un record du monde est en passe d'être battu :

 

(précision : mon activité non-agoriste du moment est de gérer l'aspect technique (si l'on veut) d'un cinéma 'de campagne' numérique (un projecteur, une salle))

 

Cette semaine, un des DCPs (Digital Cinema Package) attendus se fait attendre, jusque là rien d'extraordinaire. Mais, renseignement pris, le colis est parti il y a exactement une semaine par chronopost, depuis une commune située à la distance Hallucinante (avec un grand H comme dans Halibi) de... 27 kilomètres.

 

Reprenons : 27 km / 7 jours ~= 0,16 km/h de moyenne (et encore, le colis n'est pas encore arrivé)

 

Quand je pense que j'ai déjà reçu des colis expédiés depuis le canada en moins de temps que ça...

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Normal, c'est parce que amazon ou toutes ces entreprises américaines ne pensent qu'au profit.

Tout ça sur le dos des pickeurs qu'ils exploitent comme on a pu le voir récemment dans un super reportage inouï.

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