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Ron Paul gagne un vote informel aux USA


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ce que feraient de mieux les libéraux, ce serait, du jour au lendemain, de se retirer et laisser cette part amoindrie de l'humanité bête mourir à petit feux.

Mais pour aller où ? En plus s'ils ont des nukes même le pays de refuge ne fera pas le malin bien longtemps.

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Par contre ils passent une vidéo où il à l'air de dire qu'il ne croit pas à l'évolution.

Ne jamais oublier qu'un homme politique, quel qu'il soit, ne dit jamais ce qu'il pense (parce que souvent il ne pense rien de spécial, ou d'original), mais dit ce qu'il estime pouvoir lui rapporter des voix.

Oui et non. Oui, ils veulent que quelqu'un (eux) les aident, mais non : pour eux, tout le monde se vaut, et il n'y a pas de gens stupides, il y a justes des opinions différentes qu'il faut respecter. Bon.

De mon côté, je dis : les gens qui sont socialistes sont stupides, et il n'y a aucune raison de respecter des raisonnements bancals, assis sur des prémisses fausses, des constatations biaisées, une analyse de merde et une conclusion débile mâtinée de biais romancés par des années de préjugés ridicules.

Il faut se moquer de ces gens, leur expliquer clairement qu'ils se trompent (ça ne sert à rien de leur expliquer pourquoi, ils sont trop bêtes) et les laisser s'enferrer dans leur merde. Lorsqu'ils se sont bien plantés, comme ils ne sont pas équipés pour comprendre, il faut se moquer encore en ajoutant "C'est bien fait, je vous l'avais bien dit". Il n'y a ni pitié, ni commisération, ni humanité à distribuer pour ces gens qui, parce qu'ils imposent leurs lubies insupportablement crétines à tout le monde, mettent l'humanité dans la souffrance et la misère.

L'idée noble selon laquelle il faut pardonner est très bien pour fédérer les bisounours, mais le reste du temps, je pense qu'une bonne grosse distribution de baffes s'impose.

Je suis parfaitement d'accord avec cela.

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Non.

Je vais le dire brutalement, et ça va déclencher des mines renfrognées, mais l'écrasante majorité des gens (à commencer par les socialistes) sont des imbéciles. Ce n'est pas dit méchamment, mais simplement, ce sont des personnes qui ont une intelligence limitée. Il y a d'ailleurs un lien assez fort entre QI et capacité d'abstraction sociale & politique (et, du reste, cela explique pourquoi les libéraux et les libertariens ont tant de mal à se faire comprendre des masses, généralement pas outillées intellectuellement).

Je suis à 100% d'accord avec toi, mais je me pose une question nous concernant : n'avons-nous pas atteint le stade suprême du fanatisme illuminé, où l'on croit être touché par la grâce, au-dessus de la mêlée, et où l'on est persuadé d'avoir raison contre tout le monde, les raisons qui font que les gens ne sont pas de notre avis étant, estime-t-on, la bêtise ou la malveillance (c'est une expression que j'emploie souvent d'ailleurs).

Comme dirait Churchill, on ne veut pas changer d'avis, mais surtout on ne veut pas changer de sujet ("en quoi, aujourd'hui, l'Etat et les politiciens ont-ils été nuisibles?").

A cause de cela, les intellectuels libéraux apparaissent comme des personnages suffisants et orgueilleux.

C'est probablement le cas parce que c'est vrai.

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Je suis à 100% d'accord avec toi, mais je me pose une question nous concernant : n'avons-nous pas atteint le stade suprême du fanatisme illuminé, où l'on croit être touché par la grâce, au-dessus de la mêlée, et où l'on est persuadé d'avoir raison contre tout le monde, les raisons qui font que les gens ne sont pas de notre avis étant, estime-t-on, la bêtise ou la malveillance (c'est une expression que j'emploie souvent d'ailleurs).

Comme dirait Churchill, on ne veut pas changer d'avis, mais surtout on ne veut pas changer de sujet ("en quoi, aujourd'hui, l'Etat et les politiciens ont-ils été nuisibles?").

C'est probablement le cas parce que c'est vrai.

Oui, le risque de se sentir au dessus de la mêlée existe. Et évidemment, c'est faux. Le fait de savoir ce qu'il faut faire en éco et en politique ne fait pas des libéraux des surhommes, et effectivement, dès qu'on commence à ne plus vouloir changer de sujet (le foot est-il libéral ? le pot-au-feu est il liberhallal ? etc…) là, on est dans le n'importe quoi.

Mais … quand je vois les réactions de certains à "Le nivellement par le haut", je suis désolé, on a raison de rentrer dans le lard.

Pour en revenir au sujet de ce fil, regardez Paul. Certes, il est plus consensuel en ne disant pas que ses colistiers et ses adversaires politiques sont des abrutis finis, mais

a/ il est constant

b/ son message est absolument limpide, sans être simple ni simpliste

c/ il renvoie régulièrement les abrutis à la niche en ne se laissant pas faire

Eh bien je pense que nous devons en faire autant. Des types comme Le Pen, Méluche et d'autres n'ont pas été écoutés parce qu'ils faisaient des bisous (comme Bayrou). Paul, c'est pareil.

Et le coup du "le libéralisme doit être expliqué", ça fait … ben ça fait des années que je l'entends, que je le pratique et que vois-je ? Que les trolls sont toujours aussi cons et aussi nombreux. Bref : ça ne marche pas (ou plus, ou pas maintenant). Alors qu'en rentrant dans le lard de ces trolls, en écrabouillant les foetus de poux qu'ils sont, on récupère des points, et on fait marrer les observateurs si c'est bien fait.

Et regardez en politique : ceux qui décrochent la timbale, ce ne sont pas ceux qui sont gentils. Jamais (c'est pour cela que Jospin, trop mou, s'est pris une claque, que Royal, pas assez méchante face à Sarko, s'est prise une mandale, et pour cela que Hollande, face à Sarko ou Le Pen, va se prendre un manchon dans l'arrière train qu'il aura mérité).

Quand un mou ou un gentil récupère le pouvoir, c'est que la situation est pépère et qu'on ne lui demande rien d'autre que rester pépère dans un coin et ne pas faire chier son monde. Quand la situation est celle d'une crise, la dernière des choses dont on a besoin, c'est d'un petit coussin douillet pour poser sa tête.

Bref : si, actuellement, le libéralisme doit gagner des voix (ce que je ne crois pas), la seule façon qu'il aura de se faire entendre, c'est de dire haut et fort que Méluche et Le Pen sont des gros imbéciles qui ne captent rien à l'économie et nous emmènent au mur, que Sarko est une sangsue idiote sous amphétamines, que Hollande est un pachyderme mou et débile, et que Bayrou vaut à peine le slip dans lequel il pète en mode ultrason.

(et s'il faut en passer par "Einstein était une tanche en socio-politique", soit).

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C'est beau ces gesticulations, mais si vous ne voulez pas ressembler aux politiques que vous raillez, faut aussi agir, et j'ai pas l'impression que les militants forcenés, les colleurs d'affiches, bref, les hommes d'action, soient très nombreux par ici.

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Je suis à 100% d'accord avec toi, mais je me pose une question nous concernant : n'avons-nous pas atteint le stade suprême du fanatisme illuminé, où l'on croit être touché par la grâce, au-dessus de la mêlée, et où l'on est persuadé d'avoir raison contre tout le monde, les raisons qui font que les gens ne sont pas de notre avis étant, estime-t-on, la bêtise ou la malveillance (c'est une expression que j'emploie souvent d'ailleurs).

Comme dirait Churchill, on ne veut pas changer d'avis, mais surtout on ne veut pas changer de sujet ("en quoi, aujourd'hui, l'Etat et les politiciens ont-ils été nuisibles?").

C'est probablement le cas parce que c'est vrai.

Difficile de ne pas paraître arrogant face aux manques de substance du débat politique en France .

Et si le discours des Libéraux paraît arrogant c'est peut-être du au contenu, nous avons des certitudes, celle des réalités économique, des démonstrations en pagaille et du pragmatisme. Nous n'avons pas notre place ni dans les médias, ni en politique, nous sommes donc peu audible et crédible au vu de l'opinion.

Ca me dérange pas de passer pour un abruti en exposant mes idées politiques face aux étatistes car il suffit de peu de débat pour les faire douter. Ce qui me gêne face à la compréhension du commun des mortels, c'est de passer pour un illuminé, un danger pour la société voulant importer des thèses capitalistes néfastes. Le problème est qu'ils n'ont pas les facultés intellectuelles pour se rendre compte que leurs théories économique sont fausses, ni la compréhension pour assimiler que les théories politique socialiste sont fascistes .

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C'est beau ces gesticulations, mais si vous ne voulez pas ressembler aux politiques que vous raillez, faut aussi agir, et j'ai pas l'impression que les militants forcenés, les colleurs d'affiches, bref, les hommes d'action, soient très nombreux par ici.

Eh bien je trouve que diffuser la pensée libérale via des médias sur le net, c'est déjà pas mal à notre échelle..

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C'est beau ces gesticulations, mais si vous ne voulez pas ressembler aux politiques que vous raillez, faut aussi agir, et j'ai pas l'impression que les militants forcenés, les colleurs d'affiches, bref, les hommes d'action, soient très nombreux par ici.

Une question que je me pose depuis un bon moment : ça sert vraiment à quelque chose (c'est-à-dire, est-ce que ça a une utilité chiffrable autre qu'occuper les militants qui ont la bougeotte) de poser des affiches et de distribuer des tracts, ou ce sont des vestiges d'un autre âge qui ont depuis longtemps perdu leur impact potentiel ?

Personnellement, je parcours parfois les tracts communistes bien baveux pour me marrer et ça s'arrête là. C'est plus que la totalité des gens que je connais qui les balancent aussitôt.

Je demande ça sincèrement, ce n'est pas une attaque. Par honnêteté, voici mon avis : le champ de bataille n'est plus là. Maintenant, c'est sur Internet qu'il faut être. Et ça tombe bien, nous y sommes.

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Une question que je me pose depuis un bon moment : ça sert vraiment à quelque chose (c'est-à-dire, est-ce que ça a une utilité chiffrable autre qu'occuper les militants qui ont la bougeotte) de poser des affiches et de distribuer des tracts, ou ce sont des vestiges d'un autre âge qui ont depuis longtemps perdu leur impact potentiel ?

Personnellement, je parcours parfois les tracts communistes bien baveux pour me marrer et ça s'arrête là. C'est plus que la totalité des gens que je connais qui les balancent aussitôt.

Je demande ça sincèrement, ce n'est pas une attaque. Par honnêteté, voici mon avis : le champ de bataille n'est plus là. Maintenant, c'est sur Internet qu'il faut être. Et ça tombe bien, nous y sommes.

Toujours se poser de l'intérêt direct, c'est-à-dire l'intérêt financier souvent : imprimer affiches et tracts permettent à beaucoup de faire fortune dans l'imprimerie sur fonds publics.

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Une question que je me pose depuis un bon moment : ça sert vraiment à quelque chose (c'est-à-dire, est-ce que ça a une utilité chiffrable autre qu'occuper les militants qui ont la bougeotte) de poser des affiches et de distribuer des tracts, ou ce sont des vestiges d'un autre âge qui ont depuis longtemps perdu leur impact potentiel ?

Personnellement, je parcours parfois les tracts communistes bien baveux pour me marrer et ça s'arrête là. C'est plus que la totalité des gens que je connais qui les balancent aussitôt.

Je demande ça sincèrement, ce n'est pas une attaque. Par honnêteté, voici mon avis : le champ de bataille n'est plus là. Maintenant, c'est sur Internet qu'il faut être. Et ça tombe bien, nous y sommes.

Le champ de bataille, ce sont les gens qui votent, et parmi ceux là, il y en a encore qui fréquentent surtout le 20h à la Tv, le marché, la boulangerie, le boucher…il faut occuper le terrain et pas seulement le terrain virtuel. A mon avis, cela a forcément un impact au moment du vote, entre des types qu'on a croisé, qui ont une existence réelle, et un bout de papier abstrait, il y a une différence.

Mais bon, je cause comme s'il existait un parti libéral avec des militants, des élus, des sections…mais on sait bien que ce n'est pas le cas.

Dans ce contexte, c'est sûr qu'une présence sur le net seule est bien plus productive et efficace, manque plus qu'un scoop comme la publication du rapport interdit sur les syndicats (la liberté de la presse, c'est pas pour les chiens), et paf, les libéraux sont célèbres. :mrgreen:

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Je serais d'accord à une condition, la plupart des gens s'intéresse à la politique à des degrés différents.

Celui va chez son boulanger avec un cabas dans une main et la laisse de son clebs dans l'autre, si tu lui tends une feuille tu l'emmerdes.

Sur le net les gens qui s'intéressent à la politique sont demandeurs de l'information et sont prêts à l'écouter.

Se faisant tu passes beaucoup moins pour un tout fou qui n'a pas de vie que son combat politique.

Perso j'ai jamais fait confiance au gens qui démarchent dans la rue.

C'est un peu comme avec les grèves, si je sus pas concerné par le problème des pov'chou de cheminots, j'ai pas envie qu'ils viennent "me sensibiliser" les couilles avec leur problème de retraite.

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Le champ de bataille, ce sont les gens qui votent, et parmi ceux là, il y en a encore qui fréquentent surtout le 20h à la Tv, le marché, la boulangerie, le boucher…

Bon, ok, donc il faudrait passer dans les médias mainstream et développer des réseaux d'influence. Je note que les deux se font déjà (avec plus ou moins de succès mais plutôt plus que moins quand même. Il faut demander à TODA, c'est elle la spécialiste), et je réitère ma question : quelle est l'influence des tracts et des affiches là dedans ?

[mylife]Du tractage j'en ai fait une fois ou deux, et c'était pas pour les libéraux. C'était en première l'année du CPE et je connaissais le chef local d'un syndicat lycéen qui m'a montré un peu l'envers du décor.

Tout commence par la réception (venant des responsables nationaux) de la maquette du tract. On la lit vaguement (de toute manière on peut difficilement la changer), puis on passe dans un bureau de la CGT pour mendier afin qu'ils l'impriment en un maximum d'exemplaires (au nom de la solidarité syndicale). Ensuite on recrute quelques gogos, on les embarque dans un lieu stratégique, on leur file une grosse brassée de papier et on les poste à la sortie du métro (ou du lycée, ou du magasin…) pour qu'ils en distribuent le plus possible.

Un truc à savoir, c'est que quand on distribue des tracts, les gens ne sont pas intéressés. On les emmerde et ils s'en foutent. Ça n'enclenche pas de dialogue : on a à peine le temps de leur glisser trois mots (toujours les mêmes, soufflés par le responsable) qu'ils n'écoutent pas avant qu'ils ne se barrent. Et de toute manière il y en a d'autres qui arrivent, toujours, alors ceux qui voudraient s'arrêter pour discuter on leur fait vite comprendre qu'ils cassent le rythme, et circule, camarade.

Après un tractage, on retrouve 80% de ce qu'on vient de distribuer par terre ou dans la poubelle la plus proche. Le reste, ça finira oublié dans un sac ou au fond d'une poche, puis jeté à la maison. Personne, pour ainsi dire, ne lit les tracts à part peut être ceux qui les écrivent.[/mylife]

J'espère que ces quelques éclaircissement permettent de comprendre pourquoi je doute sérieusement de l'utilité (autre que folklorique ou comme bizutage de militant) de cette activité. Les affiches je connais moins, j'imagine que c'est pareil.

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Mais la première étape fut la destruction des structures éducatives naturelles, remplacées par l'éducation étatisée, premier outil de l'Etat pour attaquer la famille en son sein même.

Je t'arrête tout de suite. Il n'existe pas de structure éducative naturelle. Il en existe des spontanées, des libres, des émergentes, ou si tu préfères des traditionnelles, des qui ont fait leurs preuves ; mais de naturelles, il n'y en a pas.

De mon côté, je dis : les gens qui sont socialistes sont stupides, et il n'y a aucune raison de respecter des raisonnements bancals, assis sur des prémisses fausses, des constatations biaisées, une analyse de merde et une conclusion débile mâtinée de biais romancés par des années de préjugés ridicules.

Pas besoin d'être stupide pour ça. Au contraire, comme disait Revel au sujet des intellectuels, "plus ils sont intelligents, plus ils élaborent subtilement leurs erreurs".

Il faut se moquer de ces gens, leur expliquer clairement qu'ils se trompent (ça ne sert à rien de leur expliquer pourquoi, ils sont trop bêtes) et les laisser s'enferrer dans leur merde. Lorsqu'ils se sont bien plantés, comme ils ne sont pas équipés pour comprendre, il faut se moquer encore en ajoutant "C'est bien fait, je vous l'avais bien dit". Il n'y a ni pitié, ni commisération, ni humanité à distribuer pour ces gens qui, parce qu'ils imposent leurs lubies insupportablement crétines à tout le monde, mettent l'humanité dans la souffrance et la misère.

En revanche, ça, je plussoie. Une bonne claque de temps à autres dans l'ego supérieur des socialistes de tous les partis, ça ne peut pas faire de mal.

Je ne vois pas le rapport. Einstein, sur le plan politique, était à la ramasse, comme tant d'autres. Et il s'est planté, comme tant d'autres. Et je dis "bien fait".

Dans la catégorie bisounours, lui, c'était un digne représentant.

Pacifiste, même (!)

Intervention venimeuse et bien sentie de F.Mas sur Bertrand Russell dans 5, 4, 3… ;)

De ce point de vue, je pense que ce que feraient de mieux les libéraux, se seraient, du jour au lendemain, de se retirer et laisser cette part amoindrie de l'humanité bête mourir à petit feux. Oui à l'élitisme, laissons périr les imbéciles.

Et c'est par où, le chemin vers Galt's Gulch ? Edit : doublé par jubal.

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Je t'arrête tout de suite. Il n'existe pas de structure éducative naturelle. Il en existe des spontanées, des libres, des émergentes, ou si tu préfères des traditionnelles, des qui ont fait leurs preuves ; mais de naturelles, il n'y en a pas.

En effet le mot était mal choisi, spontané est le mot qui convient le mieux.

Une chose importante toutefois : l'école est le prolongement naturel de la famille, dans le sens où la famille lui délègue l'instruction, pour prendre en charge le reste de l'éducation. L'école doit donc communier avec la famille, or l'école publique tente au contraire de s'y substituer. Il y a dans la France d'aujourd'hui une concurrence violente entre la famille et l'école, dont les principales victimes sont bien entendu les enfants.

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Toujours pas "naturel", le prolongement. Habituel, traditionnel, privilégié si tu veux ; mais force est de constater que cette option n'est pas partagée par la plupart des autres civilisations du monde. Ce qui ne m'empêche pas de penser qu'elles ont tort, et que l'expérience tend à prouver que le modèle où la famille choisit directement le "prestataire éducatif" de ses enfants est en gros une bonne option (dans une société où la division du travail est assez poussée pour voir apparaitre de tels professionnels). ;)

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Or l'école publique tente au contraire de s'y substituer. Il y a dans la France d'aujourd'hui une concurrence violente entre la famille et l'école, dont les principales victimes sont bien entendu les enfants.

Hem c'est pas comme si certains parents refusaient aussi de simplement se charger de leurs gosses, déléguant ainsi cette charge à l'école publique.

L'école publique n'est pas naturellement opposée à la famille. Je vois pas en quoi un/une instit parent lui/elle aussi agirait de façon à détruire la famille.

D'autant qu'il existe des écoles privées où l'on peut envoyer sont gamin si on est pas content de la version publique.

l'expérience tend à prouver que le modèle où la famille choisit directement le "prestataire éducatif" de ses enfants est en gros une bonne option

+1, pas certain que tous les parents soient capable d'enseigner avec la même habilité le calcul différentiel, pour prendre un sujet qui ne crée pas trop de débat ici :P

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Hem c'est pas comme si certains parents refusaient aussi de simplement se charger de leurs gosses, déléguant ainsi cette charge à l'école publique.

L'école publique n'est pas naturellement opposée à la famille. Je vois pas en quoi un/une instit parent lui/elle aussi agirait de façon à détruire la famille.

D'autant qu'il existe des écoles privées où l'on peut envoyer sont gamin si on est pas content de la version publique.

Effectivement, c'est devenu naturel maintenant de mettre l'éducation entre les mains de l'Etat. Et celui qui essaye de faire différemment rencontre pas mal de difficultés…

Le hors contrat ça n'est pas forcément donné et ça oblige à payer une deuxième fois pour l'école. Cela reste assez marginal à l'heure actuelle en France.

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Les délires du top management de l'Ed-nat ne sont pas forcément repris par la base aussi, hein.

Par exemple le programme du collège dit clairement que son but est "l'accession à la citoyenneté" (Sans la définir bien sûr…)

Mon père m'a raconté l'anecdote, où pendant un jury de français, faisant passer un futur prof sur une question assez précise de grammaire, un membre demande "et quel rapport dans le cadre de la citoyenneté ?" : réponse du candidat : "heu comment dire, aucun ?".

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.

+1, pas certain que tous les parents soient capable d'enseigner avec la même habilité le calcul différentiel, pour prendre un sujet qui ne crée pas trop de débat ici :P

Je pense que même ça c'est discutable : http://www.ted.com/t…_education.html

En gros, on pourrait laisser les enfants apprendre par eux même, en groupe. Le prof n'interviendrait qu'après, pour organiser les idées. Mais on en avait déjà parlé.

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Je pense que même ça c'est discutable : http://www.ted.com/t…_education.html

En gros, on pourrait laisser les enfants apprendre par eux même, en groupe. Le prof n'interviendrait qu'après, pour organiser les idées. Mais on en avait déjà parlé.

Et puis il y a de plus en plus de ressources.

http://www.khanacademy.org/

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Newt Gingrich’s surge has slowed and Ron Paul has gained momentum, but Mitt Romney remains the clear front-runner in New Hampshire with a little more than two weeks until the nation’s first primary, according to a new Boston Globe poll.

Romney has the support of 39 percent of the state’s likely Republican voters, a drop of 3 percentage points since last month but a strong indication he is weathering Gingrich’s national comeback in a state vital to his campaign.

In the closely watched contest for second place, Gingrich and Paul are tied with 17 percent each, just ahead of Jon Huntsman, who has the support of 11 percent of likely Republican voters.

But as the race hurtles toward the Jan. 10 primary, Paul has been gaining the most in New Hampshire. His support has risen by 5 percentage points since November, while Huntsman has picked up 3 percentage points in the last month and Gingrich has gained 2.

The momentum for Paul raises the prospect that he, not Gingrich, could emerge as the strongest early challenger to Romney if the Texas congressman can hold on to his lead in Iowa and capture second place in New Hampshire.

http://articles.bost…-primary-voters

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