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vos têtes de turc du moment


Messages recommandés

Bonne candidate mais encore trop insignifiante.

Clémentine te ferait un procès, moi je t'approuve. :mrgreen:

Tu as oublié le saint patron :

:icon_up:

Ce que je déteste, c'est la vision que mon père a de Sarkozy : à chaque fois qu'il passe à la télé, il me dit "tu vois, un libéral qui fait intervenir l'Etat". :doigt:

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Pour la France en ce qui me concerne c'est Nadine Morano, le pitbull-pom-pom-girl de Sarkozy :

Moche, conne, inculte et insupportable : l'avenir politique lui appartient.

Ah oui ! Je rajoute mes préférés, champions toute catégorie : Montebourg et Melenchon. (Pendant la campagne présidentielle, il y avait aussi Pécresse que je ne pouvais pas encadrer, mais maintenant, ça va mieux.)

Sinon, pour les présentateurs télé, Dechavanne et Cauet, assez clairement.

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Je +1 beaucoup de noms cités : Fogiel, Besancenot…

Après vu que je ne regarde jamais la télé je ne suis pas vraiment au courant des nouvelles têtes détestables que l'on a à subir.

J'y ajoute quand même Denis Olivennes :

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Et Pascal Nègre bien sûr, autre grand défenseur de la culture devant le piratage (et juge de la StarAc, admirez la cohérence) :

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Benoît Hamon :

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Bernard Maris:

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Connais même pas.

Sinon c'est vrai que Kahn (même le frère tiens) c'est un oubli impardonnable. Le type qui tout en bafouillant et postillonnant ne peut pas s'empêcher de raconter conneries sur conneries et se croire intelligent, pertinent ou pire encore : politiquement incorrect. Chaque fois qu'il se trouve dans une émission de "C dans l'air", ma réaction au début d'émission est toujours la même : "Et merde… il va encore plomber tout débat >< ".

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Je vais choisir une tête de turc facile, je me mouille pas trop :

Ségolène Royal.

Un savant mélange de Poujade, de nonne, et de sourire de pub.

Je vois pas qui est plus insupportable dans la vie politique française.

Royal : "déculpabiliser le droit à la réussite personnelle"

Le Monde - 19.01.08 | 19h18

Ségolène Royal a affirmé samedi à Paris que la gauche devait "déculpabiliser le droit à la réussite personnelle" et se préoccuper davantage "des classes moyennes".

L'ex-candidate socialiste à l'élection présidentielle a souhaité dissiper "trois malentendus" entre la gauche et les Français, à la séance de clôture de trois jours de réflexion sur le thème "inégalités et justice sociale", organisées à la Maison de la chimie par l'Institut Edgar Quinet.

Selon Mme Royal, très applaudie par un parterre d'environ 700 personnes, "la lutte contre les inégalités ne se réduit pas à la lutte contre l'exclusion, elle doit aussi englober les classes moyennes" que le discours de la gauche "a mises mal à l'aise".

La présidente de Poitou-Charentes a souhaité que la gauche insiste sur le besoin de "faire repartir l'ascenseur social, en faisant bien comprendre aux catégories moyennes que la gauche s'adresse à elles".

Deuxième malentendu à lever, "la lutte contre les inégalités n'est pas une remise en cause du droit à la réussite individuelle". Selon Mme Royal au contraire, "la mission de la gauche est d'universaliser le droit à la réussite personnelle". "La gauche doit non seulement le permettre, mais le déculpabiliser et même l'encourager" car son objectif "n'est pas le nivellement mais l'épanouissement de la personne".

Enfin, il faut combattre l'idée que la justice sociale serait "un frein à la création de richesses". C'est à l'inverse "un facteur de croissance (…), le synonyme de l'esprit d'entreprendre et du goût du risque".

Pour la responsable socialiste, il faut "repenser la question des inégalités de façon un peu provocatrice". "Ce n'est pas renoncer à nos racines", a-t-elle dit, citant Jean Jaurès.

Organisateur de ces journées, l'eurodéputé Vincent Peillon, proche de Mme Royal, avait réuni à la tribune, outre l'ex-candidate, les strauss-kahniens Pierre Moscovici et Marisol Touraine, les députés Gaëtan Gorce ("rénovateur") et André Vallini (proche de François Hollande).

Estimant qu'on assistait aujourd'hui au développement d'"une forte demande de promotion individuelle" et même de "montée de l'individualisme", M. Moscovici a appelé les socialistes à ne pas être "conservateurs", en critiquant "une forme d'immobilité sociale".

M. Gorce a préconisé "un audit" de "toutes les politiques de redistribution et de solidarité" et "une réforme en profondeur des services publics et de la protection sociale" pour qu'ils "répondent aux objectifs qui leur ont été assignés". Comme il faut "stabiliser les prélèvements obligatoires" alors que "les besoins sociaux augmentent", "nous serons amenés à faire des choix".

Selon Mme Touraine, "l'une des principales erreurs de la gauche a été de laisser la droite préempter ce beau mot de responsabilité".

M. Peillon a exhorté la gauche à "retrouver la tradition perdue et oubliée du socialisme français" qui est "l'héritier du libéralisme, au sens politique du terme, et le meilleur accomplissement du libéralisme".

Pour en finir avec "les discriminations négatives" engendrées selon lui par des politiques redistributives non discriminantes, il a prôné "des politiques différenciées selon la situation des uns et des autres".

M. Peillon a invité M. Moscovici à rejoindre le combat pour la rénovation du PS. "Il faudra que Pierre soit des nôtres", a-t-il dit.

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M. Peillon a exhorté la gauche à "retrouver la tradition perdue et oubliée du socialisme français" qui est "l'héritier du libéralisme, au sens politique du terme, et le meilleur accomplissement du libéralisme".

Toujours cette distinction entre "libéralisme politique" et "libéralisme économique". Et toujours cette tentative de récupérer l'idée de liberté. Quand j'entends un socialiste parler de liberté individuelle, j'ai une désagréable sensation dans le fondement.

Je pense que le socialisme français va pas tarder à tourner pour de bon la page marxiste, alors que certains des parties de gauche européens vont pas tarder à tourner la page social-démocrate. Bref, la gauche française a toujours un train de retard.

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Toujours cette distinction entre "liberalisme politique" et "liberalisme economique".

Le liberalisme politique est un oxymoron. La politique pense les relations entre les hommes comme exogene… la cite n'est plus le produit des actions individuelles mais prend une existence propre ou chacun "participe". Le liberalisme pretend donner aux gens la liberte de participer a la vie des autres, ce qui contredit nettement les principes liberaux.

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Hitchcock, Nabokov, Damien Hirst, Scorsese, Joyce, Warhol, Duchamp, Proust, Faulkner, Jelinek : autant d'êtres insupportables qui se la pét(ai)ent ou qu'on fait passer pour des génies alors que. Dans un autre genre, le mot "citoyen", que je hais à un point rarement atteint. Au moins il me permet de cataloguer rapidement mon interlocuteur.

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Cela dit c'est toujours plus facile de dire d'un homme célèbre qu'il est une merde que d'expliquer en quoi il est talentueux. Je me méfie des jugements à l'emporte-pièce, au moins ils me permettent de cataloguer rapidement mon interlocuteur.

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Moi, rien de politique… sont tous aussi dégoutants les uns que les autres..

Par contre, j'exècre à peu prêt tout ce qui existe sous le nom de "présentateur télé", surtout quant ils sont sensés être drôles :

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disagree, Ruquier est souvent drole, il est tres au dessus du lot.

Quant à Dechavane, certes il se fait vieux mais faut avouer que dans les années 80 il avait un reel talent.

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