Aller au contenu

FAQ du libéralisme pour répondre aux questions les plus courantes ?


EdouardH

Messages recommandés

Je suis également disposé à parier une bière qu'il resterait bon nombre d'espaces non-fumeurs en l'absence de loi.

 

En revanche faudra quand même s'imposer un peu face aux jean-foutres qui fument n'importe où à côté de n'importe qui. (Comme cité plus haut, les quai des gare sont des espaces privés dont les propriétaires interdisent de fumer, et on ne manque malheureusement pas d'impolis.

Lien vers le commentaire
  • 3 weeks later...

Pourquoi la zone euro marche moins bien que le reste du monde, alors qu'elle semble faire moins de relance keynesienne que les states par exemple, ou que le japon ?

Comment expliquer le relatif "succès" de la politique de relance japonaise (meme si les dernières nouvelles sont pas bonnes ?).

En gros, une relance keynesienne, ca marche a court terme (élan d'entousiasme, aveuglement collectif, + "croissance artificielle"), puis ca marche pas a moyen terme et au contraire ca aggrave la situation , c'est ca ?

Pourquoi les gens font du keynes, alors ? Aveuglement collectif ? Est ce aussi simple que "keynes c'est nul ?" ? Que répondre concrètement a un lepénien qui propose de sortir de l'euro car "la zone euro ca marche pas" (ce avec quoi on est pas forcément en désaccord sur liborg jusque la) , il faut dévaluer, blabla, relancer, blabla, etc ? Enfin quel est le scénario de politique fiction a lui proposer pour l'évolution de la France si on fait ce qu'il prone ?

Désolé chui un peu donbi en économie.

Lien vers le commentaire

La Zone Euro est globalement bien plus socialiste que les USA et le Japon. Les bases de l'économie américaine et japonaise sont plus saines et c'est ce qui compte le plus. 

 

L'impression de monnaie crée un sentiment d'enthousiasme à cause des limitations cognitives de l'être humain qui se sent riche quand il voit le nominal de son salaire augmenter jusqu'à ce qu'il passe en caisse. Du coup ça le fait dépenser un peu plus un bref laps de temps et donc ça évite momentanément des faillites.

 

Une relance keynésienne ça empêche les entreprises qui devaient faire faillite de faire faillite et donc de réalouer le capital et le travail où il est productif. Une fois que la relance est passés, les boîtes qui devaient faire faillite font faillite et comme du capital a été cramé c'est encore plus dur après.
Ensuite, l'inflation (et dans une moindre mesure) distord le signal des prix et donc les informations à la disposition des agents économiques et donc désorganise le système de production. Ça prend donc du temps à le remettre en place (produire ce que les consommateurs veulent). 
Le volet dépense publique de la relance ne marche quasiment plus du tout à court terme aujourd'hui car avec la mondialisation, la consommation se fait via l'importation plutôt que par la consommation locale.

 

L'État fait du Keynes parce qu'il a toujours, toujours, toujours fais comme ça. Keynes n'a fait qu'apporter un verni scientifique. Faire l'inverse c'est avouer que l'État est la source du problème et donc qu'ils devraient disparaître. C'est pas très sexy pour un homme politique.
Keynes c'est nul si on veut faire de l'économie. Pour acheter des voix c'est parfait.

Sortir de l'euro ou y rester ça ne fait pas vraiment de différence, l'important c'est d'avoir une monnaie à peu près bien géré. À l'Allemande plutôt qu'à l'Américaine ou à la Japonaise ou pire, à la Française.
Le scénario frontiste : on sort de l'euro, on le laisse filer le franc à la baisse (on ne dévalue pas la monnaie en système de change flottant) et le plan lepéniste : on déprécie le franc en imprimant. Les exportations vont peut-être aller un petit peu mieux dans un premier temps. Mais rien n'est sur, le principal déterminant des exportations n'est pas le prix, mais le produit qu'on exporte. Je ne me rappelle pas avoir vu les produits zimbabwéens envahir nos étals quand la Bank of Zimbabwe imprimait des billets de 1 trillons. Ensuite, le franc vaudra relativement moins, donc tout ce qu'on voudra importer coûtera plus cher. C'est donc toutes les entreprises importatrices qui vont souffrir et dans une économie mondialisée, ce sera aussi les entreprises exportatrices, qui importent au moins une partie des éléments nécessaires à la fabrication de leurs produits (comme des machines outils allemandes). Comme tout coûte plus cher, les pouvoir d'achat du consommateur est réduit, il ne peut plus consommer autant qu'avant, des entreprises vont donc fermer. Le producteur et le consommateur souffre. Les grands gagnants sont les banques et les grands capitaines d'industries qui reçoivent de l'argent frais gratuitement et qu'ils se dépêchent de convertir en immobilier ou capital à l'étranger (devises étrangères, actions d'entreprises étrangères etc.). Les dindons de la farce c'est le salarié qui a un salaire fixe et qui va vouloir essayer de le faire monter alors même que son patron freine des 4 fers puisque tous les autres coûts augmentent déjà. Pour faire face à cette détérioration, il faudrait augmenter la productivité et donc investir. Mais voilà, parce que la Banque de France ne cesse d'imprimer de la monnaie, l'inflation est galopante et personne ne prend le risque d'épargner à long terme et les taux explosent. La Banque de France décide donc de mettre les taux à 0%, finançant la nouvelle bulle qui pétera à la gueule d'une économie déjà totalement à bout de souffle.
Ça arrivera forcément un peu en cas de sortie de l'euro mais bien moins que si on en fait une politique économique à long terme, et encore mois si on libère les force du marché qui s'ajustent quand même rapidement de nos jours.

Tout cela vient notamment d'une mauvaise compréhension de la balance commerciale et d'une vision mercantiliste du commerce selon laquelle l'enrichissement de l'un se fait au détriment de l'autre et donc qu'exporter est mieux qu'importer. Or si on exporte mais qu'on importe pas à quoi ça sert d'exporter ? Pour exporter, à l'Allemagne, il faut qu'un Allemand achète des Francs contre des Deutschemark (DM) et donc qu'un Français se retrouve un moment avec des DM. Qu'est-ce qu'il peut en faire à part s'en servir pour importer depuis l'Allemagne ? Si on encourage les exportations et qu'on décourage les importations, le gagnant c'est le client allemand qui ne t'échange pas des DM contre tes produits, mais des bouts de papiers (vu que tu ne peux pas te servir de tes DM) contre tes produits.
Une balance commerciale déficitaire ne veut pas dire que l'on importe trop et qu'on exporte pas assez. Cela veut dire qu'on consomme plus que ce qu'on produit. Et qui consomme largement au-dessus de ses moyens en France ? L'État et ses déficit abyssaux. 

Lien vers le commentaire

Je cherche un livre à me faire offrir pour Noël. J'ai déjà du Ayn Rand, Hayek, Bastiat et Rothbard. J'aurais beaucoup aimé The Machinery of Freedom pour compléter la collection mais il est essentiellement introuvable.

Une idée de livre d'inspiration anarcap à se faire offrir ?

Lien vers le commentaire

Je fais la traduction:

"Qu'est-ce que rejettent les anarcaps dans l'école autrichienne, qui leur a permis de penser ?"

Mieux formulé, ça donne "Les livres autrichiens ne sont pas incompatibles avec la pensée anarcap".

 

Et en réponse à la question de Stef75 : la simple légitimité de l'Etat, au moins à long terme.

A une personne intéressée par le sujet, je répondais l'autre jour "Dis moi où tu penses que l'Etat est nécessaire, je te dirais comment faire sans".

Seul écueil généralement admis : l'armée, qui ne peut pas facilement être privatisée. Une anarcapie réussie nécessite un niveau de libre-échange tel que toute attaque armée devient impossible entre deux Nations (externalités négatives > externalités positives), au point de rendre l'armée caduque. Etrangement, je pense que nous y sommes presque déjà entre pays occidentaux (qui imaginerait encore une guerre entre la France et le Royaume Uni), et la mondialisation fait que cette situation sera probablement globale d'ici moins d'un siècle. Trollez un gauchiste : rappelez lui que le capitalisme est un vecteur de paix largement plus efficace que la démocratie (d'ailleurs, si ça n'a pas encore été traduit pour CP : http://www.fee.org/the_freeman/detail/want-peace-promote-free-trade)

 

Et enfin, me concernant, je considère l'anarcapie pleinement compatible avec les courants classiques et minarchistes, puisqu'il faudra de toute façon passer par là avant d'aller plus loin.

Lien vers le commentaire

On va pas refaire le débat, mais l'armée peut facilement être privatisée. Penser l'inverse c'est un reste de subconscient étatique qui donne l'impression que l'armée étatique est un succès.

Lien vers le commentaire
  • 4 weeks later...

Que penser de cet article ?

Pipeau et élitiste. L'économie c'est pour les 'experts' (on voit d'ailleurs les brillants résultats actuellement...)

Pour lui, si on ne publie pas dans ses revues de référence, c'est bullshit. Et seuls sont légitimes à parler ceux qui ont le diplôme universitaire et les publications adéquates.

Bien qu'il s'en défende, sa position est purement corporatiste.

 

Il pose des questions légitimes :

Justement, si l'article de Piketty et Saez était si biaisé, et si l'analyse de Varnier et Zimmern en exposait les failles de manière si évidente, il paraîtrait pertinent que ces derniers soumettent le fruit de leurs réflexions à Quarterly Journal of Economics. Là au moins leur critique de Piketty et Saez serait examinée par des experts compétents, et si elle tient la route, elle devrait être publiée.

Puisque les chercheurs de l'IFRAP détiennent la vérité sur les inégalités de revenu aux USA, puisqu'ils ont raison contre Piketty et Saez, pourquoi ne cherchent-ils pas à faire progresser la science pour le bénéfice de tous, pourquoi ne portent-ils pas leurs analyses à la connaissance de tous les économistes du monde, en publiant leurs travaux dans le seul forum pertinent pour cela, celui des revues scientifiques à comité de lecture ? Là, au moins, il y pourrait y avoir un débat de qualité. Mais cela ne semble pas être la démarche de l’iFRAP. L'approche de l'IFRAP semble être plutôt de tenter d'influencer directement les politiques et les décideurs, en court-circuitant l'expertise scientifique.
 

Mais une simple visite sur le site de l'IFRAP lui aurait permis d'avoir la réponse :

La Fondation iFRAP (Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques) a pour but d’« effectuer des études et des recherches scientifiques sur l’efficacité des politiques publiques, notamment celles visant la recherche du plein emploi et le développement économique, de faire connaître le fruit de ces études à l’opinion publique, de proposer des mesures d’amélioration et de mener toutes les actions en vue de la mise en œuvre par le Gouvernement et le Parlement des mesures proposées ».

 

Et sur les critiques de l'article de Piketty :

Je me garderais bien de juger l'article sur le fond, ce n'est pas mon domaine.

Un peu facile...

Lien vers le commentaire
Mais une simple visite sur le site de l'IFRAP lui aurait permis d'avoir la réponse :

Citation:

La Fondation iFRAP (Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques) a pour but d’« effectuer des études et des recherches scientifiques sur l’efficacité des politiques publiques, notamment celles visant la recherche du plein emploi et le développement économique, de faire connaître le fruit de ces études à l’opinion publique, de proposer des mesures d’amélioration et de mener toutes les actions en vue de la mise en œuvre par le Gouvernement et le Parlement des mesures proposées ».

 

Merci pour l'attention que vous portez à mon article. La critique est la bienvenue, surtout si elle est de bonne foi. Ayez donc l'obligeance de croire que j'ai épluché le site de l'IFRAP pendant quelques heures avant d'écrire un article sur le sujet!

En l'occurrence permettez-moi de réutiliser votre citation:

 

La Fondation iFRAP (Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques) a pour but d’« effectuer des études et des recherches scientifiques sur l’efficacité des politiques publiques, notamment celles visant la recherche du plein emploi et le développement économique, de faire connaître le fruit de ces études à l’opinion publique, de proposer des mesures d’amélioration et de mener toutes les actions en vue de la mise en œuvre par le Gouvernement et le Parlement des mesures proposées"

 

Ainsi, avant d'avoir quoi que ce soit à faire connaître, l'IFRAP se targue donc d'effectuer de la recherche scientifique, et c'est ce dont il s'agit dans mon article.

Dans la recherche scientifique, une règle déontologique largement acceptée est de ne pas communiquer sur un résultat de recherche avec les médias et le reste de la société, tant que le résultat n'est pas publié dans une revue scientifique expertisée par les pairs, et donc en quelque sorte validé. Cela permet d'éviter de diffuser des rumeurs, de provoquer des mouvements d'opinion ou de panique qui peuvent in fine s'avérer n'être fondés sur rien (ou sur des données ou des analyses de mauvaise qualité).

L'IFRAP visiblement ne s'impose pas ce genre de contraintes, et communique directement ses conclusions aux médias et aux décideurs sans jamais se soucier de les faire valider par qui que ce soit d'autre qu'elle-même. Je ne dis pas qu'ils sont les seuls à faire cela. Beaucoup de gens font cela, surtout en économie. C'est même le travail quotidien des lobbyistes. Mais pour des chercheurs, c'est une attitude irresponsable. Les gens de l'IFRAP ont tort de se réclamer de la recherche scientifique, et devraient simplement assumer plus honnêtement leur activité de lobbying.

Notez que sur mon blog j'ai déjà eu l'occasion de dénoncer la communication prématurée aux médias de résultats de recherche non publiés, par exemple:

http://franck-ramus.blogspot.fr/2012/03/autisme-que-penser-de-la-piste.html

J'ai également eu l'occasion de faire des analyses bibliométriques d'autres "chercheurs" pour analyser si leur prétention à une expertise dans un domaine donné était justifiée:

http://franck-ramus.blogspot.fr/2013/09/reponse-leditorial-de-bernard-golse.html

 

Enfin, j'attire votre attention sur un article récent qui expose de manière plus complète la problématique de la publication scientifique, qui était juste ébauchée dans le texte sur l'IFRAP:

http://franck-ramus.blogspot.fr/2013/12/comprendre-la-publication-scientifique.html

Lien vers le commentaire

C'est un peu normal pour un think tank, que de publier ses résultats sans passer par une publication internationale.

Du reste je serais bien curieux de connaître des journaux à comité de lecture qui pourraient s'intéresser à leurs publications.

Lien vers le commentaire

Bof, je ne vois pas le souci, on a toujours différencié "sciences grises" et "sciences blanches".

 

Mon domaine est bourré, jusqu'à ras bord, de "sciences grises" et je n'ai jamais vu de collègues les brocarder. Parfois, on en rigole -c'est vrai- et plus souvent, on les corrige -quand on en prend la peine-.On les lit parfois avec plus ou moins d'attention.

 

Je comprends bien le fond de votre article mais il aurait été plus pertinent si il posait la question de manière générale, sur tous les thinks tanks et sur toute la littérature "grise" de manière générale.

En s'attaquant à un article en particulier vous ratez la manœuvre, surtout sans répondre sur le fond (au moins, vous avez l'honneté de reconnaitre que vous n'en avez pas les capacités, et tout le monde n'a pas cette honneteté).

 

Ensuite, mais en tant que directeur de recherche, je suppute que vous le savez au fond de vous même, j'ai souri, j'avoue, sur le passage qui dit grosso-modo "l'article de Piketty à du être étudié en long et en large par un tas de scientifiques spécialisés". Vous savez sans aucun doute aussi bien que moi à quel point cette profession de foi est un peu naïve.

Lien vers le commentaire

Moi ce que j'aime c'est ça:

 

Ainsi, avant d'avoir quoi que ce soit à faire connaître, l'IFRAP se targue donc d'effectuer de la recherche scientifique, et c'est ce dont il s'agit dans mon article.

Dans la recherche scientifique, une règle déontologique largement acceptée est de ne pas communiquer sur un résultat de recherche avec les médias et le reste de la société, tant que le résultat n'est pas publié dans une revue scientifique expertisée par les pairs, et donc en quelque sorte validé. Cela permet d'éviter de diffuser des rumeurs, de provoquer des mouvements d'opinion ou de panique qui peuvent in fine s'avérer n'être fondés sur rien (ou sur des données ou des analyses de mauvaise qualité).

 

En suivant cette logique, ni Galilée ni Copernic n'auraient jamais rien put publier.

 

 

L'IFRAP visiblement ne s'impose pas ce genre de contraintes, et communique directement ses conclusions aux médias et aux décideurs sans jamais se soucier de les faire valider par qui que ce soit d'autre qu'elle-même. Je ne dis pas qu'ils sont les seuls à faire cela. Beaucoup de gens font cela, surtout en économie. C'est même le travail quotidien des lobbyistes. Mais pour des chercheurs, c'est une attitude irresponsable. Les gens de l'IFRAP ont tort de se réclamer de la recherche scientifique, et devraient simplement assumer plus honnêtement leur activité de lobbying.

 

Selon qui, et vis-à-vis de qui ? Sous prétexte qu'on publie en court-circuitant le système de publication universitaire, alors on a aucune légitimité scientifique ?

Jean-François Revel serait mort de rire en entendant ça.

 

En faisant ça, ils engagent leur nom dans leurs études plutôt que de se retrancher derrière le comité de lecture d'une revue. En cas de gros problème, ils feront face directement à aux critiques. Je trouve ça on ne peut plus responsabilisant, comme démarche.

Lien vers le commentaire

C'est pourtant simple.

Si c'est financé par l'état, c'est de la science.

Sinon, c'est du crottin de bique.

Et les milliers de gens qui chaque année inventent et découvrent, ont inventé et ont découvert, des choses en dehors d'un laboratoire officiel n'existent pas.

La preuve, ils sont même pas dans le rapport annuel du Céheneresse.

 

Et ne parlons même pas des salopards qui collaborent entre eux via internet sans caution d'un commissaire officiel.

 

 

Lien vers le commentaire

C'est pourtant simple.

Si c'est financé par l'état, c'est de la science.

Sinon, c'est du crottin de bique.

Et les milliers de gens qui chaque année inventent et découvrent, ont inventé et ont découvert, des choses en dehors d'un laboratoire officiel n'existent pas.

La preuve, ils sont même pas dans le rapport annuel du Céheneresse.

 

Et ne parlons même pas des salopards qui collaborent entre eux via internet sans caution d'un commissaire officiel.

 

On peut aussi répondre en évitant de raconter n'importe quoi.

Lien vers le commentaire

 

 

Dans la recherche scientifique, une règle déontologique largement acceptée est de ne pas communiquer sur un résultat de recherche avec les médias et le reste de la société, tant que le résultat n'est pas publié dans une revue scientifique expertisée par les pairs, et donc en quelque sorte validé. Cela permet d'éviter de diffuser des rumeurs, de provoquer des mouvements d'opinion ou de panique qui peuvent in fine s'avérer n'être fondés sur rien (ou sur des données ou des analyses de mauvaise qualité).

 

Comme le RCA ? 

 

Blague à part, je pense que Thomas Kuhn ne serait pas d'accord.

Lien vers le commentaire

Tiens, une gaterie :

La science est la croyance en l'ignorance des experts: http://www.drgoulu.com/2013/12/18/la-science-est-la-croyance-en-lignorance-des-experts/

 

Publié le 18 décembre 2013 par Dr. Goulu

ddd0eeaae31ec4e3b0bfb1371ceff83f.jpgIntrigué par la citation de Feynman "Science is the belief in the ignorance of experts", j'ai découvert qu'il l'a prononcé en 1966 dans un discours intitulé "What Is Science" au congrès de la National Science Teachers Association [1], que je n'ai pas trouvé en français.

Je vous offre donc ma traduction de ce texte comme Conte de Noël scientifique. A part le machisme courant à l'époque, il n'a pas pris une ride et pourrait toujours susciter ou réveiller les vocations de profs de science. Mais surtout, il partage une vision de la science qui n'a pas pris une ride.  Les titres de paragraphes sont de moi et les phrases en gras sont celles que j'ai particulièrement appréciées.

 

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...