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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

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Mes pauvres, si vous saviez. Ca fait deux semaines que je repousse la publi d'un article, déjà écrit, sur le vénézuela de Chavez et Maduro, assez rigolo, tellement j'ai des trucs à dire sur les avalanches de conneries actuelle.

 

 

Ceci posé ... J'ai vu la vidéo.

Oulala, on nage en pleine dépense de pognon invraisemblable !

Oulala, c'est très très consternant !

Oulala, j'aime pas très très beaucoup ça.

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Comme par hasard, c'est le banquier qu'on utilise pour le bon stereotype. Mélol.

 

oui, j'ai noté.

 

La ... le ... le machin sur l'école avec l'élève "itinérant" est juste complètement incroyable.

 

Des chatons sont morts pour ça. Par brouettées entières.

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En fait pour bien mesurer le degré de connerie du truc, faut fouiller quand même un peu.

Par exemple en ce qui concerne l'école, ils établissent le chemin de la discrimination :

 

1) Catégorisation

2) Stéréotype

3) Stéréotype discriminatoire

4) Actes et comportements discriminatoires

 

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J'espère que c'est pour les gosses qu'ils ont fait ça, sinon, c'est quand meme la preuve ultime que votre gouvernement vous prends pour des teubés à éduquer.

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J'espère que c'est pour les gosses qu'ils ont fait ça, sinon, c'est quand meme la preuve ultime que votre gouvernement vous prends pour des teubés à éduquer.

 

Non non, la vidéo sur le travail concerne "les chefs d'entreprises et les cadres." :(

 

 

Si jamais free jazz voit ça il va faire une attaque.

 

Oui.

J'ai pensé à lui en postant. :lol:

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A quoi sert la France ? A résister à Amazon

 

Le non exprimé par les Français contre le rabais agressif de la vente des livres en ligne est tout ce qu'il y a de plus admirable, estime Fiachra Gibbons. Répliquant à des critiques venant des Etats-Unis, le journaliste prend la défense de l'Hexagone.
  • Depuis quelque temps, je me demande à quoi sert la France. Je ne suis pas le premier – les gouvernements français successifs se sont penchés sur la question depuis Charles de Gaulle, la laissant sans réponse à côté des factures encore sous enveloppe, quand ils devaient céder la place à leurs successeurs.

Enfin, je crois que j'ai trouvé. C'est l'impressionnante fessée* que la ministre de la Culture et romancière Aurélie Filippetti a administrée à Amazon et à ses ambitions de domination intergalactique qui m'a convaincu que le pays des TGV, des très gros porteurs qui ne se remplissent pas de fumée au décollage [allusion à l'incident du 26 juin 2013 dans un avion de la Delta Air Lines] et du merveilleux petit motnon* avait quelque chose à nous apprendre.

 

Filippetti est montée au créneau devant le Parlement pour défendre le prix unique du livre, qui a permis à tant de librairies indépendantes et d'éditeurs de survivre. Son discours n'avait pas tout à fait la grandeur de ceux d'un Villepin dénonçant la folie de Bush et de Blair à propos de l'Irak, mais il marquera peut-être le début de la contre-offensive face aux seigneurs voleurs d'Internet.

 

Amazon plume les consommateurs

 

Les députés de gauche et de droite ont voté pour imposer à Amazon l'obligation de ne pas faire de remise de plus de 5 % sur les livres si la livraison est gratuite. Cela a été vivement critiqué – à l'étranger – comme le type même de "mesure débile à la française" : antimarché, protectionniste, etc. Certains libertariens américains sont allés jusqu'à la qualifier de taxe, ce qui laisse planer la menace de frappes aériennes !

Le magazine Forbes, gardien des hadith du néolibéralisme planétaire,s'est contenté d'évoquer l'irrationalité française. "Ils n'ont rien pigé à Adam Smith", a-t-il soupiré. En fait, c'est parce qu'ils comprennent très bien Adam Smith (lequel a été effaré par les monopoles français quand il a étudié en France) qu'ils ont collé à Amazon pour 252 millions de dollars [187 millions d'euros] d'impôt. De son côté, la très rationnelle Grande-Bretagne n'a facturé à Amazon pour 2012 que 2,4 millions de livres sterling [2,8 millions d'euros] d'impôt sur un chiffre d'affaires de 4,2 milliards de livres [4,9 milliards d'euros], des sommes que l'intéressé a largement récupérées sous forme de subventions.

 

Certes, la fixation des prix est une mauvaise chose. C'est pourquoi Amazon l'a pratiquée secrètement pendant des années, jusqu'à ce que la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne [par l'intermédiaire de l'Office of Fair Trading (OFT)] l'obligent en août à autoriser ceux qui vendent sur son marketplace [plateforme de vente en ligne d'Amazon, sur laquelle tout le monde peut vendre] à pratiquer des prix inférieurs, mais seulement dans l'Union européenne (UE). Amazon continue à plumer les consommateurs aux Etats-Unis et dans le reste du monde.

 

Comprenez-moi bien. Amazon m'a souvent tiré d'affaire – un seul clic (la marque de fabrique mondiale d'Amazon) et c'est plié. Toutes les librairies indépendantes ne sont pas tenues par des puits de science qui apparaissent comme par magie avec un fauteuil et un cappuccino au premier signe de spleen. Si l'on ouvre une librairie au Quartier latin, on peut avoir l'impression de gêner – comme si l'on avait fait irruption dans un sketch du Club des gentlemen : "Oh, mes précieux livres !" Je ne suis même pas sûr que les librairies soient le meilleur moyen de trouver de bons livres. Mais je sais que je veux avoir le choix. Or Amazon – involontairement ou à dessein – est là pour nous priver d'un tel choix.

La France a reconnu que nous étions confrontés à une nouvelle pratique commerciale, aussi infernale que celle qui broyait les vies des mineurs dans Germinal : un capitalisme Internet monopolistique, qui envahit la vie privée, fixe les prix, échappe à l'impôt, et qui dans le cas d'Amazon vise rien moins qu'à s'infiltrer dans toutes nos décisions d'achat. Amazon s'est glissé dans nos têtes et dans nos cœurs en passant par la porte ouverte de notre amour des livres et de la musique, et maintenant il retourne toute la maison comme un cambrioleur.

 

Nous devons tous réfléchir comme des petits Français

 

Tandis que nous acceptons d'être dépouillés de nos droits chaque jour davantage, clic après clic, nous avons cruellement besoin d'une France pour renégocier notre monde.

 

Outre caca boudin*, les mots que vous entendrez le plus dans les cours de récréation en France sont "non*", "C'est moi qui décide !"* et"Réfléchis !"*. Même si je ne suis pas un farouche partisan du système scolaire français – seul un idiot du calibre de Michael Gove [ministre de l'Education britannique] lui emprunterait davantage que la deviseLiberté, égalité, fraternité* au fronton des écoles –, il a bel et bien une chose à nous enseigner : l'analyse. Quand elle rentre de l'école, ma fille de trois ans ne raconte pas des histoires, elle en fait l'analyse.

"Le héros, c'est le loup. La victime, c'est le lapin", m'a-t-elle déclaré l'autre jour avec gravité par-dessus ses lunettes. "Raconte-moi l'histoire", l'ai-je suppliée, avec mon goût anglo-saxon pour les histoires. "C'est un loup et un lapin – à ton avis, qu'est-ce qui se passe ?!", m'a-t-elle lancé, impassible.

 

Dans la lutte inégale contre le pouvoir exorbitant d'Amazon, de Facebook, de Google, d'Apple et tutti quanti, nous devons tous nous mettre à réfléchir comme les petits Français de trois ans et répliquer à pleine voix : "Non ! C'est moi qui décide ! Caca boudin !"*

 

http://www.courrierinternational.com/article/2013/10/10/a-quoi-sert-la-france-a-resister-a-amazon?page=all

 

:facepalm:

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J'avais vu, j'avais paumevisager aussi.

En particulier :

Amazon continue à plumer les consommateurs

J'ai crû comprendre que dans son altermonde Amazon plume les résidents d'un pays parce que peu de taxes y sont payées, c'est ça ?

Ou vraiment parce qu'Amazon vend moins cher ses produits ?

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Allons, si Amazon vend moins cher ses produits, c'est uniquement pour couler les concurrents, prendre le monopole et pouvoir ensuite remonter ses prix - et dans tous les cas, plumer capitalistiquement le-a pauvre consommateur-trice-citoyen-ne.

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Deux milliardaires feraient capoter les activités du congrès, mais on se demande alors comment l'Etat US a pu continuer à s'endetter et le Congrès voter l'obamacare.

Il n'y a pas un seul journaliste correct dans ce pays de m....!

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Libertarien=Ultra-conservateur? Incompétence ou malhonnêteté? Sans doute un peu des deux.

 

Bon j'apprends quand même que les fétichistes en combinaison Lycra servent la cause  :ninja:

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Le film est sympa: construction d'un candidat et progression de celui-ci en raison des erreurs de l'adversaire.

 

 

Libertarien=Ultra-conservateur? Incompétence ou malhonnêteté? Sans doute un peu des deux.

 

Bon j'apprends quand même que les fétichistes en combinaison Lycra servent la cause  :ninja:

 

 

Ils cherchent à mettre leurs billes un peu partout. Sur le côté libertarien, il y a eu l'affaire du Cato:

 

 

Depuis quelques jours, tout Washington en parle : le CATO Institute, le plus grand laboratoire d’idées libéral et libertarien américain traverse une crise sans précédent. Les frères Koch, qui ont aidé à la fondation puis au financement de l’Institut, tentent d’accroître leur mainmise sur l’organisation en intentant une action en justice contre sa direction (illustration: Ed Crane, Président fondateur du CATO Institute).

 

Par Estelle Devisme – Le CATO Institute, huitième think tank le plus cité par les journalistes américains, réputé dans le monde pour sa dévotion à « la liberté individuelle, au libre marché et à la paix », est secoué par la dispute entre deux de ses actionnaires et sa direction. Au cœur du différent : le pacte d’actionnaires et notamment les parts de l’économiste libéral William Niskanen. Décédé en octobre dernier, ses actions ont été transférées à sa veuve, Kathryn Washburn. Les richissimes frères Koch estiment pourtant qu’elles devaient, selon le pacte, retourner à l’institution. Chaque actionnaire détient pour l’instant 25% du capital de cette organisation à but non lucratif – qui ne leur reverse donc pas de dividendes.

 

[...]

 

 

http://lebulletindamerique.com/2012/03/12/bras-de-fer-au-cato-institute/

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