Aller au contenu

Images pas cool, justice sociale & steaks saignants


Lancelot

Messages recommandés

Quelles sont vos stratégies pour contrer les SJW ?

 

Ca fait un moment que je les ai découvert sur Twitter, ces gens sont dangereux et d'un sectarisme encore pire que les fachos.

 

Sont ils prédominant dans les universités américaines comme je l'entends ? Où ils sont juste dans les départements de sociologie/gender studies ? (qui même en France sont un repère de l'extrême gauche)

 

Car si ça touche l'ensemble de la jeunesse, j'ai peur pour l'avenir.

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

Quelles sont vos stratégies pour contrer les SJW ?

Commencer par réaliser que le SJWisme est un narcissisme aliéné à une cause.

De la même manière qu'un narcissique ordinaire est perpétuellement tiraillé par une angoisse étouffante (une plaie béante insondable de son amour-propre) le poussant à détruire tout ce qui attire l'attention sur sa propre faillibilité et à maquiller la réalité pour s'y réserver le rôle central et ce faisant balaie avec une indifférence absolue les opinions, les droits et besoins de tous les autres au profit de son seul petit confort émotionnel, rejettant sur tous les autres ses propres torts, se disant en permanence victime de torts imaginaires, distordus d'exagération éhontée ou carrément orchestrés sciemment par le narcissique ; les SJW font de leur cause LA seule raison valable d'exister et de vouloir quoi que ce soit, maquillent la réalité pour faire de leur cause le centre unique de toute attention politique et médiatique, accusent tous les autres de leurs propres turpitudes (menaces de mort, fausses accusations, canulars à la bombe, guets-apens, troll, etc.), se mettent en scène comme victimes permanentes de tous les autres.

On les combat donc de la même manière: en les ridiculisant par la vérité et les faits, en dénonçant leurs manœuvres les plus hypocrites, et en privant leur cause de l'attention dont ils ont besoin pour se cacher un monde réel qui les angoisse insupportablement.

Ca fait un moment que je les ai découvert sur Twitter, ces gens sont dangereux et d'un sectarisme encore pire que les fachos.

Effectivement.

Sont ils prédominant dans les universités américaines comme je l'entends ? Où ils sont juste dans les départements de sociologie/gender studies ? (qui même en France sont un repère de l'extrême gauche)

Car si ça touche l'ensemble de la jeunesse, j'ai peur pour l'avenir.

Ils constituent la plus grosse minorité organisée dans les universités américaines. Cela leur donne le contrôle de la pluparts des institutions étudiantes et, de là, l'attention des médias.
Lien vers le commentaire

Merci d'avoir répondu

Commencer par réaliser que le SJWisme est un narcissisme aliéné à une cause.


De la même manière qu'un narcissique ordinaire est perpétuellement tiraillé par une angoisse étouffante (une plaie béante insondable de son amour-propre) le poussant à détruire tout ce qui attire l'attention sur sa propre faillibilité et à maquiller la réalité pour s'y réserver le rôle central et ce faisant balaie avec une indifférence absolue les opinions, les droits et besoins de tous les autres au profit de son seul petit confort émotionnel, rejettant sur tous les autres ses propres torts, se disant en permanence victime de torts imaginaires, distordus d'exagération éhontée ou carrément orchestrés sciemment par le narcissique ; les SJW font de leur cause LA seule raison valable d'exister et de vouloir quoi que ce soit, maquillent la réalité pour faire de leur cause le centre unique de toute attention politique et médiatique, accusent tous les autres de leurs propres turpitudes (menaces de mort, fausses accusations, canulars à la bombe, guets-apens, troll, etc.), se mettent en scène comme victimes permanentes de tous les autres.

On les combat donc de la même manière: en les ridiculisant par la vérité et les faits, en dénonçant leurs manœuvres les plus hypocrites, et en privant leur cause de l'attention dont ils ont besoin pour se cacher un monde réel qui les angoisse insupportablement.

Effectivement.

Ils constituent la plus grosse minorité organisée dans les universités américaines. Cela leur donne le contrôle de la pluparts des institutions étudiantes et, de là, l'attention des médias.

 

-Très exact pour les turpitudes. Ils sont les premiers à dénoncer le harcèlement et le trolling sur internet (parfois à juste titre).

Mais un jour où j'avais envoyé un message privé à une page FB sur la grossophobie (j'ignorai à qui j'avais à faire) pour critiquer, de manière courtoise l'esprit de la page, j'ai été affiché, avec ma photo, mon message privé, et mon vrai nom sur un compte Twitter et j'ai eu une dizaine de SJW pour me traiter de connard et m'insulter.

Je suis intervenu car je suis tombé dessus, et j'ai fait un débat épuisant à 15 contre 1.

 

-D'accord.

 

-Oui, mais l'étudiant américain moyen doit les mépriser du coup non ? Car j'ai du mal à voir un jeune "normal" (qui aime faire la fête, faire du sport, s'amuser avec ses potes...) tomber dans ce délire sectaire...

Et en France, les BDE sont contrôlés par les gens BG populaires fêtards, pourquoi il n'en serait pas de même aux USA ?

Je ne vois pas comment des SJW peuvent être populaire et susciter une sympathie quelconque chez des gens normalement constitués.

Lien vers le commentaire

Bon, j'ai reflechis a ou poster ca. J'ai decide d'ici parceque ca parle principalement de complainte contre de la discrimination.

 

Un groupe de policiers de Cleveland intente un proces a leur employeur pour discrimination contre "les policiers blancs ayant fait usage de la force lethale sur des suspects non-armes"

 

Leur argument est que des policiers afro-americains dans la meme situation auraient eu moins de sanctions.

 

Pour info, les "sanctions" en question sont:

- 3 jours de suspension

- un mois et demi de travail administratif hors des rues

 

https://www.youtube.com/watch?v=RlGQ4MSvflE

 

Lien vers le commentaire

Quelles sont vos stratégies pour contrer les SJW ?

 

Ca fait un moment que je les ai découvert sur Twitter, ces gens sont dangereux et d'un sectarisme encore pire que les fachos.

 

Sont ils prédominant dans les universités américaines comme je l'entends ? Où ils sont juste dans les départements de sociologie/gender studies ? (qui même en France sont un repère de l'extrême gauche)

 

Car si ça touche l'ensemble de la jeunesse, j'ai peur pour l'avenir.

 

Malheureusement, c'est un délire qui, j'ai l'impression, ne se cantonne plus aux facultés de sociologie et à certains cercles militants. Même en France. Il suffit de voir le soutien des grands médias pour des "causes" totalement SJW comme le manque de noirs aux Oscars ou de femmes au festival d'Angoulême. On fait carrément passer des lois au nom de cette idée de "justice sociale" (quotas, etc), et je pense que c'est globalement bien accepté aujourd'hui.

 

Récemment, j'ai lu un rapport d'une bonne centaine de pages, relayé par l'Etat, sur les mesures que doit prendre l'éducation nationale contre l'homophobie à l'école. Exemple : "apprendre aux enfants à déconstruire la complémentarité des sexes" ou "montrer des papas en jupe", avec toute une rhétorique de type SJW sur l'horrible complot patriarcal et l'affreuse masculinité.

 

Je dois dire que ça m'inquiète beaucoup.

Lien vers le commentaire

Merci d'avoir répondu

 

-Très exact pour les turpitudes. Ils sont les premiers à dénoncer le harcèlement et le trolling sur internet (parfois à juste titre).

Mais un jour où j'avais envoyé un message privé à une page FB sur la grossophobie (j'ignorai à qui j'avais à faire) pour critiquer, de manière courtoise l'esprit de la page, j'ai été affiché, avec ma photo, mon message privé, et mon vrai nom sur un compte Twitter et j'ai eu une dizaine de SJW pour me traiter de connard et m'insulter.

Je suis intervenu car je suis tombé dessus, et j'ai fait un débat épuisant à 15 contre 1.

 

Tu dois comprendre que les SJW n'ont pas de principes "généraux". Je veux dire par là qu'ils peuvent tout à fait défendre la liberté d'expression quand un noir insulte un blanc, tout en prônant la censure lorsqu'il s'agit de l'inverse. Et ils n'y voient pas la moindre contradiction. Car, selon eux, tout doit être analysé en fonction du degré de domination associé à la catégorie sociale de l'intéressé. Le noir peut insulter le blanc, car il est dominé, et donc son insulte représente forcément une résistance à l'oppression, à la domination exercée par le blanc. C'est donc autorisé, voire légitime dans l'esprit d'un SJW. Par contre, l'inverse doit être sévèrement proscrit, car un blanc qui insulte un noir, peu importe la raison, contribue à "l'oppression systémique" de sa "classe" sur celle des noirs. Et ce que je dis vaut tout autant pour le cas homme/femme, ou hétéro/homo, ou même mince/gros. Le "dominant" a toujours tort.

 

En fait, dans leur logique, l'individu n'existe tout simplement pas. Il n'y a ni individu, ni cas particuliers. Tout doit être ramené à la lutte globale des races ou des sexes. Si tu gifles ta femme pour te défendre parce qu'elle t'attaque avec un couteau, le SJW te dira que tu as agi ainsi car tu es un homme, et que la société patriarcale te pousse à la violence contre les femmes. Quant à ta femme, elle t'a agressé car elle voulait se libérer de la domination que tu exerçais sur elle au sein du couple. C'est d'ailleurs précisément ce que dit la méthode Duluth contre les violences conjugales aux US.

 

Bref, si tu es un homme blanc hétéro, ça ne sert à rien de leur parler, tu as tort. Point.

 

-Oui, mais l'étudiant américain moyen doit les mépriser du coup non ? Car j'ai du mal à voir un jeune "normal" (qui aime faire la fête, faire du sport, s'amuser avec ses potes...) tomber dans ce délire sectaire...

Et en France, les BDE sont contrôlés par les gens BG populaires fêtards, pourquoi il n'en serait pas de même aux USA ?

Je ne vois pas comment des SJW peuvent être populaire et susciter une sympathie quelconque chez des gens normalement constitués.

 

 

Tu sous-estimes l'influence du marxisme culturel sur les esprits. Le mâle blanc hétéro est culpabilisé depuis des décennies déjà, ça joue énormément sur l'acceptation de ce type de phénomènes.

Lien vers le commentaire

De la même manière qu'un narcissique ordinaire est perpétuellement tiraillé par une angoisse étouffante (une plaie béante insondable de son amour-propre) le poussant à détruire tout ce qui attire l'attention sur sa propre faillibilité et à maquiller la réalité pour s'y réserver le rôle central et ce faisant balaie avec une indifférence absolue les opinions, les droits et besoins de tous les autres au profit de son seul petit confort émotionnel, rejettant sur tous les autres ses propres torts, se disant en permanence victime de torts imaginaires, distordus d'exagération éhontée ou carrément orchestrés sciemment par le narcissique ; les SJW font de leur cause LA seule raison valable d'exister et de vouloir quoi que ce soit, maquillent la réalité pour faire de leur cause le centre unique de toute attention politique et médiatique, accusent tous les autres de leurs propres turpitudes (menaces de mort, fausses accusations, canulars à la bombe, guets-apens, troll, etc.), se mettent en scène comme victimes permanentes de tous les autres.

 

Je revoyais hier soir Austerlitz d'Abel Gance.

Bonaparte, c'était quand même un foute SJW de compétition.

Lien vers le commentaire

Malheureusement, c'est un délire qui, j'ai l'impression, ne se cantonne plus aux facultés de sociologie et à certains cercles militants. Même en France. Il suffit de voir le soutien des grands médias pour des "causes" totalement SJW comme le manque de noirs aux Oscars ou de femmes au festival d'Angoulême. On fait carrément passer des lois au nom de cette idée de "justice sociale" (quotas, etc), et je pense que c'est globalement bien accepté aujourd'hui.

 

Récemment, j'ai lu un rapport d'une bonne centaine de pages, relayé par l'Etat, sur les mesures que doit prendre l'éducation nationale contre l'homophobie à l'école. Exemple : "apprendre aux enfants à déconstruire la complémentarité des sexes" ou "montrer des papas en jupe", avec toute une rhétorique de type SJW sur l'horrible complot patriarcal et l'affreuse masculinité.

 

Je dois dire que ça m'inquiète beaucoup.

 

C'est vrai, mais je n'ai pas l'impression que ça touche profondément les gens.

 

Et il ne faut pas confondre gaucho de base (qui peut partager des idées avec les SJW, mais qui peut rester rationnel et avec qui on peut discuter) et SJW (sectaire à fond, qui ne parle que de féminismte/LGBT/antiracisme, qui affiche ses pronoms dans son profils et qui se teint les cheveux en bleu/vert/rose).

Dans mes amis FB, sur 250 personnes, je n'en ai qu'un seul répondant vraiment à ce critère.

 

Et les papas avec des jupes, je pense que ça dégoute la majorité des gens. Car les filles restent avant tout attirées par des hommes virils, et réciproquement. C'est quelque chose qu'on peut facilement vérifier en vrai.

Lien vers le commentaire

 

Tu dois comprendre que les SJW n'ont pas de principes "généraux". Je veux dire par là qu'ils peuvent tout à fait défendre la liberté d'expression quand un noir insulte un blanc, tout en prônant la censure lorsqu'il s'agit de l'inverse. Et ils n'y voient pas la moindre contradiction. Car, selon eux, tout doit être analysé en fonction du degré de domination associé à la catégorie sociale de l'intéressé. Le noir peut insulter le blanc, car il est dominé, et donc son insulte représente forcément une résistance à l'oppression, à la domination exercée par le blanc. C'est donc autorisé, voire légitime dans l'esprit d'un SJW. Par contre, l'inverse doit être sévèrement proscrit, car un blanc qui insulte un noir, peu importe la raison, contribue à "l'oppression systémique" de sa "classe" sur celle des noirs. Et ce que je dis vaut tout autant pour le cas homme/femme, ou hétéro/homo, ou même mince/gros. Le "dominant" a toujours tort.

 

En fait, dans leur logique, l'individu n'existe tout simplement pas. Il n'y a ni individu, ni cas particuliers. Tout doit être ramené à la lutte globale des races ou des sexes. Si tu gifles ta femme pour te défendre parce qu'elle t'attaque avec un couteau, le SJW te dira que tu as agi ainsi car tu es un homme, et que la société patriarcale te pousse à la violence contre les femmes. Quant à ta femme, elle t'a agressé car elle voulait se libérer de la domination que tu exerçais sur elle au sein du couple. C'est d'ailleurs précisément ce que dit la méthode Duluth contre les violences conjugales aux US.

 

Bref, si tu es un homme blanc hétéro, ça ne sert à rien de leur parler, tu as tort. Point.

 

 

Tu sous-estimes l'influence du marxisme culturel sur les esprits. Le mâle blanc hétéro est culpabilisé depuis des décennies déjà, ça joue énormément sur l'acceptation de ce type de phénomènes.

 

Exactement, je connais parfaitement le discours SJW sur les dominés/dominants.

 

Etant un homme hétéro cis blanc classe moyenne/aisée, valide je ne pèse rien dans le SJW-game, et il faut que je checke mes privilèges avant de leur parler :(

 

Qui est responsable du marxisme culturel ? La french theory ? Marx ? les trotskystes ? les illuminatis ?

 

Sans déconner, si tout le monde devient SJW et que le sommet social, c'est d'être une grosse baleine non binaire avec les cheveux violets, je migre sur Mars.

Lien vers le commentaire

Exactement, je connais parfaitement le discours SJW sur les dominés/dominants.

 

Etant un homme hétéro cis blanc classe moyenne/aisée, valide je ne pèse rien dans le SJW-game, et il faut que je checke mes privilèges avant de leur parler :(

 

Qui est responsable du marxisme culturel ? La french theory ? Marx ? les trotskystes ? les illuminatis ?

 

Sans déconner, si tout le monde devient SJW et que le sommet social, c'est d'être une grosse baleine non binaire avec les cheveux violets, je migre sur Mars.

 

Pour le marxisme culturel et ses responsables, voici mon avis très personnel (simplifié) :

 

1) Marx

 

Car il a développé l'idée de lutte des classes et l'égalitarisme le plus extrême. Or, la conception du monde des SJW est précisément une transposition de la lutte des classes, avec un prolétariat de substitution. Le SJWisme, c'est le marxisme, sauf qu'à la place des prolétaires il y a les femmes / minorités ethniques / homosexuels (+ trans, non-binaires, genderfluid et tout le délire), et à la place de la classe bourgeoise à anéantir, les mâles blancs hétérosexuels. La logique est la même.

 

2) L'Ecole de Francfort

 

Car c'est principalement dans ce cadre qu'a été développée l'idée selon laquelle le communisme ne pourrait s'imposer en Europe qu'après une déconstruction de la culture, de la morale, des normes de l'Occident.

 

3) La french theory et la philosophie postmoderne

 

Car c'est elle qui a définitivement mis en avant ce prolétariat de substitution défendu aujourd'hui par les SJW, et les "mécanismes de domination" qui l'oppressent.

 

4) La récupération américaine

 

Car elle ajoute une touche liberticide et puritaine que n'avaient pas les libertaires postmodernes français. C'est les américains qui ont principalement développé le côté "don't hurt my feelings" des SJW modernes, avec les atteintes à la liberté d'expression que ça implique.

 

Pour moi, c'est la combinaison de ces 4 éléments qui fonde la pensée SJW actuelle.

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

Pour le marxisme culturel et ses responsables, voici mon avis très personnel (simplifié) :

 

1) Marx

 

Car il a développé l'idée de lutte des classes et l'égalitarisme le plus extrême. Or, la conception du monde des SJW est précisément une transposition de la lutte des classes, avec un prolétariat de substitution. Le SJWisme, c'est le marxisme, sauf qu'à la place des prolétaires il y a les femmes / minorités ethniques / homosexuels (+ trans, non-binaires, genderfluid et tout le délire), et à la place de la classe bourgeoise à anéantir, les mâles blancs hétérosexuels. La logique est la même.

 

2) L'Ecole de Francfort

 

Car c'est principalement dans ce cadre qu'a été développée l'idée selon laquelle le communisme ne pourrait s'imposer en Europe qu'après une déconstruction de la culture, de la morale, des normes de l'Occident.

 

3) La french theory et la philosophie postmoderne

 

Car c'est elle qui a définitivement mis en avant ce prolétariat de substitution défendu aujourd'hui par les SJW, et les "mécanismes de domination" qui l'oppressent.

 

4) La récupération américaine

 

Car elle ajoute une touche liberticide et puritaine que n'avaient pas les libertaires postmodernes français. C'est les américains qui ont principalement développé le côté "don't hurt my feelings" des SJW modernes, avec les atteintes à la liberté d'expression que ça implique.

 

Légère erreur. Les SJW dénoncent aussi le classisme. Ils n'ont pas remplacés les prolétaires de Marx, ils en ont simplement rajouté d'autres de genre nouveau.

Les SJW, tout du moins en France, sont loin d'être tous de réels bourgeois. Ils sont plus de classe moyenne.

 

Mais pensez vous que ce mouvement va finir par mourir ? Car je ne le vois pas tenir sur la durée. C'est totalement contre nature ce qu'ils avancent. Vous ne pouvez pas faire une société où le plus vertueux est celui qui cumule toute les tares mentales possibles.

Car les SJW mettent aussi en avant leurs multiples troubles psychiatriques.

Lien vers le commentaire

Sans déconner, si tout le monde devient SJW et que le sommet social, c'est d'être une grosse baleine non binaire avec les cheveux violets, je migre sur Mars.

 

Ce jour-là, la "grosse baleine non binaire avec les cheveux violets" aura du soucis à se faire.

tumblr_nwtlj6la6H1u0r0dgo1_1280.jpg

Lien vers le commentaire

Je connais une SJW (la fameuse militante d'Osez le Féminisme. Plus le temps passe, plus elle me hait :mrgreen: )

 

C'est une fille d'aristocrate qui hait sa famille.
Elle est blanche.
Elle se fait des tatouages partout.
Elle est très très très égocentrée.

 

J'ai acquis la conviction que ses convictions politiques sont un moyen de se mettre en avant, d'être "progressiste", en avance sur son temps. Problème : quand on est un petit bourgeois (ou a fortiori un aristocrate), difficile de se la jouer "défenseur des ouvriers" et de jouer à l'opprimé soi-même. Solution : elle est une femme, donc opprimée (ses parents lui ont acheté son appartement à Montsouris, lui ont payé ses stages à la Réunion et à l'Île Maurice, lui paient ses vacances à Cuba, en Thaïlande, au Vietnam, en Afrique du Sud...pauvre femme opprimée).

 

 

Lien vers le commentaire

Je connais une SJW (la fameuse militante d'Osez le Féminisme. Plus le temps passe, plus elle me hait :mrgreen: )

 

C'est une fille d'aristocrate qui hait sa famille.

Elle est blanche.

Elle se fait des tatouages partout.

Elle est très très très égocentrée.

 

J'ai acquis la conviction que ses convictions politiques sont un moyen de se mettre en avant, d'être "progressiste", en avance sur son temps. Problème : quand on est un petit bourgeois (ou a fortiori un aristocrate), difficile de se la jouer "défenseur des ouvriers" et de jouer à l'opprimé soi-même. Solution : elle est une femme, donc opprimée (ses parents lui ont acheté son appartement à Montsouris, lui ont payé ses stages à la Réunion et à l'Île Maurice, lui paient ses vacances à Cuba, en Thaïlande, au Vietnam, en Afrique du Sud...pauvre femme opprimée).

 

Les gens qui trahissent leur milieux famililal me dégoutent au plus haut moins. :/

Lien vers le commentaire

Légère erreur. Les SJW dénoncent aussi le classisme. Ils n'ont pas remplacés les prolétaires de Marx, ils en ont simplement rajouté d'autres de genre nouveau.

 

Oui, si on veut, mais ça ne change pas grand chose à mon analyse, cela dit. Et le classisme est quand même loin d'être la cause qu'ils défendent le plus. Si tu te moques d'un pauvre, ils te lyncheront bien moins massivement que si tu te moques d'un noir, d'une femme ou d'un trans.

 

L'exemple de Flashy est très bon. Je pense que beaucoup de SJW utilisent le sexe, la couleur de peau ou l'orientation sexuelle pour revendiquer une oppression similaire à celle des prolétaires dans l'esprit de Marx et des communistes classiques. Et le fait est qu'il y a très peu de vrais prolos dans ce mouvement.

Lien vers le commentaire

Oui, si on veut, mais ça ne change pas grand chose à mon analyse, cela dit. Et le classisme est quand même loin d'être la cause qu'ils défendent le plus. Si tu te moques d'un pauvre, ils te lyncheront bien moins massivement que si tu te moques d'un noir, d'une femme ou d'un trans.

 

L'exemple de Flashy est très bon. Je pense que beaucoup de SJW utilisent le sexe, la couleur de peau ou l'orientation sexuelle pour revendiquer une oppression similaire à celle des prolétaires dans l'esprit de Marx et des communistes classiques. Et le fait est qu'il y a très peu de vrais prolos dans ce mouvement.

 

Je ne sais pas. J'ai déjà vu des SJW faire des appels aux dons pour payer un train. Il y a des bobos, mais des bourgeois classiques, il y en a très peu.

 

Mais oui, leur fond de commerce, c'est la victimisation à outrance.

Lien vers le commentaire

Je connais une SJW (la fameuse militante d'Osez le Féminisme. Plus le temps passe, plus elle me hait :mrgreen: )

 

C'est une fille d'aristocrate qui hait sa famille.

Elle est blanche.

Elle se fait des tatouages partout.

Elle est très très très égocentrée.

 

J'ai acquis la conviction que ses convictions politiques sont un moyen de se mettre en avant, d'être "progressiste", en avance sur son temps. Problème : quand on est un petit bourgeois (ou a fortiori un aristocrate), difficile de se la jouer "défenseur des ouvriers" et de jouer à l'opprimé soi-même. Solution : elle est une femme, donc opprimée (ses parents lui ont acheté son appartement à Montsouris, lui ont payé ses stages à la Réunion et à l'Île Maurice, lui paient ses vacances à Cuba, en Thaïlande, au Vietnam, en Afrique du Sud...pauvre femme opprimée).

 

Mais d'où tu la connais, si ce n'est pas trop indiscret ?

 

Moi, je vais faire un aveu. Je connais deux exemples similaires au tien : ce sont mes demi-sœurs. Et franchement, je ne les vois presque plus, car on est tellement opposés à ce niveau là que ça crée des tensions irréversibles. Ces gens ont en général un faible niveau de tolérance pour les idées qui heurtent leurs sentiments, et comme je ne sais pas vraiment me contenir... Bref, je ne sais pas comment tu fais avec ta connaissance ! :mrgreen:

 

La première travaille dans le milieu associatif, l'autre est journaliste. Caricatural, je sais.

Lien vers le commentaire

Mais d'où tu la connais, si ce n'est pas trop indiscret ?

 

Moi, je vais faire un aveu. Je connais deux exemples similaires au tien : ce sont mes demi-sœurs. Et franchement, je ne les vois presque plus, car on est tellement opposés à ce niveau là que ça crée des tensions irréversibles. Ces gens ont en général un faible niveau de tolérance pour les idées qui heurtent leurs sentiments, et comme je ne sais pas vraiment me contenir... Bref, je ne sais pas comment tu fais avec ta connaissance ! :mrgreen:

 

La première travaille dans le milieu associatif, l'autre est journaliste. Caricatural, je sais.

 

Comment ça se fait qu'ellles ont virées comme cela ?

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...