Images pas cool, justice sociale & steaks saignants

[sans]

C'est le seul moyen d'avoir des statistiques fiables

Mais justement, ça n'est pas fiable.

[Voy]

Donc pour eux, les blancs ont le "pouvoir social" ?

 

Donc, le "pouvoir social" des Blancs invaliderait la notion de racisme anti-blanc ?

Pourtant, les immigrés bénéficient eux d'un réel pouvoir social...

"C'est au niveau du consumérisme que la diversité a suscité son adhésion la plus sincère - surtout dans les domaines de la cuisine et de la mode. Dans les années 1950 et 1960, avant que les immigrants ne changent la culture européenne de ma,ière significative, les Européens leur étaient immensément reconnaissants des nouveautés qu'ils leur apportaient - de la samba au haschich ou au haba ghanoush. (...) En somme, la diversité n'était qu'un pur exotisme, un exotisme qu se déclarait mesuré, raisonnable et bon, plutôt que superficiel, exploiteur et colonialiste. L'influence des jeunes des minorités ethniques sur la mode était extrême. Dans les quartiers de France les plus pauvres, les jeunes gens dépensaient en moyenne 200 euros par mois en vêtements, et des dépenses de 600 euros n'étaient pas rares. Chaque pays avait un nom pour désigner une mode née dans les ghettos avant de devenir celle des jeunes autochtones. En France, c'était le look banlieue. En Grande-Bretagne, on traitait de "chav" les gamins qui s'affichaient en tenue de créateur ; aux Pays-Bas et ailleurs, une société britannique, Lonsdale, a fait un malheur en habillant les ados un peu voyous de tenues évoquant le style pseudo-athlète des rappeurs.

Les immigrés non-européens n'étaient peut-être pas enviables sur un plan socio-économique, mais ils l'étaient sur un plan existentiel. Ils étaient plus cools. C'étaient des aristocrates de l'identité.Tel était le message d'un journal étonnant, Gringo, fondé dans les banlieues à fortes population immigrée de Stockholm. Le swartkalle - la "tête noire" en argot suédois, ghettoïsé y était représenté comme un opprimé et un exclu. Mais les pages de Gringo étaient pleines de fanfaronnades maquillées en autodérision. Les Suédois autochtones y étaient traités d'un terme condescendant, Svennart, les "Svens", un peu similaireu au "Chuck" de l'argot des ghettos américains, un terme qui désignait les Blancs. Ils y étaient décrits comme des balourds qui ne saavient sûrement pas danser. Chaque numéro de cette publication portait la devise Sveriges svenskaste tidning ("le journal le plus suédois de Suède"). Le rédacteur en chef du jorunal, Zanyar Adami, expliquait parfois que tout le projet de Gringo visait à créer une identioté natioanle suédoise. Autrement dit, à se débarrasser du poids mort de l'ancienne."

 

Christopher Caldwell, Une révolution sous nos yeux (oui j'ai recopié)

 

En France depuis quelques temps on a aussi la notion de babtou fragile.

Dans la série US Scrubs, on a constamment des saillies humoristiques sur le fait que les blancs ne savent pas danser ou rapper et qu'ils devraient donc s'abstenir de le faire.

 

[Philiber Té]

Super, on va nous faire le coup du reverse-racism et du racisme anti-blanc maintenant.

[Lancelot]

Nan, du reverse-rape ou du viol sur homme. Faut suivre.

Ceci dit peut-être qu'une blanche qui viole un noir ça s'annule ? Les joies de la transversalité.

[NoName]

Super, on va nous faire le coup du reverse-racism et du racisme anti-blanc maintenant.

Tu vas nous dire que ça existe pas peut être?

[Azref]

C'est une minorité ces délires sociaux ou c'est devenu trendy dans le monde anglo saxon (comme le vegan)?

 

[Nihiliste frustré]

Maintenant que tout ce qui est naturel est bon, il et important de sortir le racisme du naturel et d'en faire une particularité des occidentaux et de leur industrie financiarisée anti-gaïa.

[jubal]

C'est simple : rape = non consensual sex + social power. Ergo, men can't be raped.

Sauf si c'est un homme blanc qui viole un homme noir, la ça devient possible.

Mais oui sinon c'est pas possible, ça va rassurer tout les hommes qui ont peur de se faire violer en prison.

 

Des jeunes filles avec 3 grammes de sang dans l'alcool au milieu d'autres personnes tout autant alcoolisées et qui se plaignent ensuite d'avoir été violées. Ce qui n'est, selon moi, pas du viol stricto sensu, mais davantage une relation sexuelle irresponsable, et ce de la part des deux parties.

Disons que si on définit le viol comme ça, on peut arriver a la situation ou deux personnes se violent mutuellement.

C'est pour ça qu'il bien préciser qu'un viol c'est toujours un homme qui viole une femme, sinon on arrive très vite a des trucs bizarres.

[jubal]

Tu vas nous dire que ça existe pas peut être?

Des individus qui n'aiment pas les blancs oui il y en a plein.

Mais les idéologies qui prétendent que les blancs sont une race inférieur c'est plus rare, après ça dépend comment on définit racisme.

Même si dans certain pays les blancs sont vu comme inférieurs aux autochtones, c'est plus une "préférence nationale" comme dirait l'autre que du racisme.

Les blancs sont bien vu presque partout (et a juste titre).

[Tramp]

 

 

Mais les idéologies qui prétendent que les blancs sont une race inférieur c'est plus rare

 

Ça s'appelle la sociologie, c'est booming.

 

 

 

Les blancs sont bien vu presque partout 

 

Sauf en occident.

[Philiber Té]

Tu vas nous dire que ça existe pas peut être?

 

Le racisme anti-blanc (ou le reverse racism) est une imposture. Le fait que des individus n'aiment pas des blancs n'a rien de comparable avec le racisme que subissent les personnes de couleur.

 

[Corned beef]

Le racisme anti-blanc (ou le reverse racism) est une imposture. Le fait que des individus n'aiment pas des blancs n'a rien de comparable avec le racisme que subissent les personnes de couleur.

 

De fait, les actes racistes que peuvent subir les blancs n'ont rien à voir, en nombre et en nuisances, avec ce que subissent les populations de couleur. Ce qui est logique puisque 1) les blancs sont plus nombreux 2) ils baignent dans un reste de culture coloniale ; en ce sens je veux bien admettre que le racisme anti-nouarabes diffère de nature sur certains aspects avec le racisme anti-blancs, et je veux bien reconnaître qu'on a souvent affaire à de la pleurnicherie puérile de petits merdeux aux intentions pas toujours louables. Mais limiter le racisme à sa définition "sociologique", en ne parlant que de sa dimension institutionnelle, en oubliant les actions individuelles, c'est de l'idéologie, en particulier le discours sur le "système" et la téléologie de la domination (la société est conçue pour et par les blancs afin de conserver le pouvoir).

[NoName]

Le racisme anti-blanc (ou le reverse racism) est une imposture. Le fait que des individus n'aiment pas des blancs n'a rien de comparable avec le racisme que subissent les personnes de couleur.

Bien sur

C'est comme les viols d'hommes par des femmes ou les hommes battus

Tu mérite bien ton qualificatif de marxiste culturel toi

[Anton_K]

Mais tu comprends pas c'est une violence SYM-BO-LIQUE.

 

Vérifie un peu ton privilège quoi...

[NoName]

Mes privilèges, dedans je compte mon 1m60 et le fait que je sois né dans une famille pauvre avec un grand père immigré et un père semi orphelin ou ça passe en perte et profit parce que c'est annulé par ma blanchitude?

[Jesrad]

Le racisme anti-blanc a existé par le passé, encore que sous des formes spécifiques (antichrétien, ou contre les populations d'Irlande, d'Europe de l'est ou de l'Italie). Plus aujourd'hui. Le critère d'institutionnalisation exclue les xénophobies latentes (je pense à certains pays d'Asie) ou certains mouvements populistes marginaux (coucou Kémi). Peut-être en Afrique du Sud ?

[Hayek's plosive]

Le racisme anti-blanc (ou le reverse racism) est une imposture. Le fait que des individus n'aiment pas des blancs n'a rien de comparable avec le racisme que subissent les personnes de couleur.

 

C'est très bien cette phrase, parce que la réalité c'est exactement le contraire.

 

Les noirs qui ne trouvent pas de boulot aux US ou les "jeunes de banlieue en France" sont inemployables avant tout à cause de leur culture de rue qu'ils ont créée et dans laquelle ils s'enferment. Et à leur tour, croyant se battre contre un racisme dont ils se disent victimes, recréent un racisme anti-blanc par rejet des Francais de souche qui sont pas gentils avec eux. Dans un cas on a un pseudo-racisme simpliste qui fait de l'amalgame et qui consiste à ne pas donner sa chance au nouarabe (parce qu'on a autre chose à faire que de jouer les assistantes sociales, Cf toutes les caméras cachées de SOS Racisme et du MRAP quand ils font passer un entretien d'embauche à un noir et un blanc), et dans l'autre on a un racisme de plus en plus ouvert, affiché, revendicatif.

 

S'il y a un vrai racisme aujourd'hui en France, c'est le racisme anti-blanc. Le racisme anti-nouarabe n'existe que dans la tête des extremistes frontistes et anti-frontistes, c'est-à-dire une petite minorité de gens qui est par contre très bruyante. La minorité raciste anti-blanc (et raciste tout court, faut voir ce que les noirs et les maghrébins s'envoient sur la gueule entre eux) dans les populations d'origine africaine en France, il n'y aurait pas de quoi etre surpris que ce soit en réalité une majorité.

 

Et sinon, hors de France, les pays les plus racistes sont probablement en Afrique et au Moyen-Orient. Un pote brésilien m'a raconté ses 6 mois à Lagos, même le racisme japonais à coté c'est de la grosse rigolade.

[Groucho Marx]

+1

[Philiber Té]

C'est très bien cette phrase, parce que la réalité c'est exactement le contraire.

 

Les noirs qui ne trouvent pas de boulot aux US ou les "jeunes de banlieue en France" sont inemployables avant tout à cause de leur culture de rue qu'ils ont créée et dans laquelle ils s'enferment. Et à leur tour, croyant se battre contre un racisme dont ils se disent victimes, recréent un racisme anti-blanc par rejet des Francais de souche qui sont pas gentils avec eux. Dans un cas on a un pseudo-racisme simpliste qui fait de l'amalgame et qui consiste à ne pas donner sa chance au nouarabe (parce qu'on a autre chose à faire que de jouer les assistantes sociales, Cf toutes les caméras cachées de SOS Racisme et du MRAP quand ils font passer un entretien d'embauche à un noir et un blanc), et dans l'autre on a un racisme de plus en plus ouvert, affiché, revendicatif.

 

S'il y a un vrai racisme aujourd'hui en France, c'est le racisme anti-blanc. Le racisme anti-nouarabe n'existe que dans la tête des extremistes frontistes et anti-frontistes, c'est-à-dire une petite minorité de gens qui est par contre très bruyante. La minorité raciste anti-blanc (et raciste tout court, faut voir ce que les noirs et les maghrébins s'envoient sur la gueule entre eux) dans les populations d'origine africaine en France, il n'y aurait pas de quoi etre surpris que ce soit en réalité une majorité.

 

Et sinon, hors de France, les pays les plus racistes sont probablement en Afrique et au Moyen-Orient. Un pote brésilien m'a raconté ses 6 mois à Lagos, même le racisme japonais à coté c'est de la grosse rigolade.

 

Ouah, qu'est ce qu'il faut pas lire ici ! Mais je garde ça de côté, c'est une vraie pépite.

 

[Table de cuisine]

Descends de ta tour d'ivoire kamarade et viens dans la boue.

 

Plein de lecteurs t'attendent.

 

 

[Elphyr]

Ouah, qu'est ce qu'il faut pas lire ici ! Mais je garde ça de côté, c'est une vraie pépite.

Pour avoir vécu en cité, la haine que se vouait les sénégalais et les maghrébins était spectaculaire.

Chacun accusant l'autre de "ruiner l'image des étrangers en France".

[Hayek's plosive]

Ouah, qu'est ce qu'il faut pas lire ici ! Mais je garde ça de côté, c'est une vraie pépite.

 

Tu pourras mettre tous les smileys que tu veux, la réalité restera ce qu'elle est.

 

Je sais, le butthurt te fait mal, donc je peux rajouter deux points:

 

- Le premier racisme est tout à fait condamnable (pas par voie de justice mais moralement, s'entend).

- Le second racisme est une conséquence du premier.

[Philiber Té]

Tu pourras mettre tous les smileys que tu veux, la réalité restera ce qu'elle est.

 

Je sais, le butthurt te fait mal, donc je peux rajouter deux points:

 

- Le premier racisme est tout à fait condamnable (pas par voie de justice mais moralement, s'entend).

- Le second racisme est une conséquence du premier.

 

Tiens, un aperçu du "faux racisme" : http://www.cncdh.fr/fr/publications/rapport-racisme-antisemitisme-et-xenophobie-2013-banalisation-de-la-parole-raciste-et

Il y en a un tous les ans mais j'imagine que tout ça n'est qu'un fantasme qui masque le "vrai racisme anti-blanc".

[Hayek's plosive]

Tu as complètement raté mon point. Je vais répéter en allant plus dans les détails.

 

Du racisme fait par des franges extremistes, tu en auras toujours. Toujours. L'important, le truc vraiment important, c'est que ca RESTE une frange extremiste, une petite minorité qui le fait. C'est un non-événement. A l'échelle d'un pays comme la France, c'est une chose inévitable. Or, en France, aujourd'hui, la très grande majorité des blancs n'est PAS raciste, à l'exception de quelques villages de petits vieux alsaciens, très loin de la Courneuve. Donc si c'est pour couiner au racisme parce qu'il reste des néo-nazis qui tagguent des mosquées et des p'tits vieux bas du front en France, tu peux autant t'abstenir d'enfoncer des portes ouvertes.

 

En revanche, ce qui n'existait pas il y a encore quelques décennies et qui est une réalité qui continue de monter aujourd'hui, c'est le racisme issu du repli communautariste de populations immigrées en France. Le racisme anti-noir des rebeus, le racisme anti-rebeus des noirs, et le racisme anti-blanc des deux. C'est nouveau, ca prend de l'ampleur, et ca peut vraiment devenir dangereux le jour ou c'est une majorité qui s'en affirme ouvertement.

 

Et ce jour-la, ca va craindre sévère surtout pour les nouarabes, et pas parce que Marine sera au pouvoir, mais parce que le PS fera volte-face parce qu'il ne pourra pas faire autrement et sous couvert de "combattre le racisme" anti-blanc va faire une politique super raciste et super violente parce que c'est un parti qui ne réfléchit que par idéaux et met ces-dits idéaux au-dessus de la vie humaine. Pour l'instant, l'idéal dominant du PS est un idéal de vivrensemble, mais le jour ou ce courant est minoritaire au PS, ca va puer. Et ca va puer grave. Parce que ce ne serait pas la première fois que l'intelligentsia parisienne retourne sa veste.

 

Et c'est ce qui me fait penser qu'Eurabia n'aura pas lieu. En tout cas pas en France. Bisous a Fadior.

[Philiber Té]

 

Du racisme fait par des franges extremistes, tu en auras toujours. Toujours. L'important, le truc vraiment important, c'est que ca RESTE une frange extremiste, une petite minorité qui le fait. C'est un non-événement. A l'échelle d'un pays comme la France, c'est une chose inévitable. Or, en France, aujourd'hui, la très grande majorité des blancs n'est PAS raciste, à l'exception de quelques villages de petits vieux alsaciens, très loin de la Courneuve. Donc si c'est pour couiner au racisme parce qu'il reste des néo-nazis qui tagguent des mosquées et des p'tits vieux bas du front en France, tu peux autant t'abstenir d'enfoncer des portes ouvertes.

 

En revanche, ce qui n'existait pas il y a encore quelques décennies et qui est une réalité qui continue de monter aujourd'hui, c'est le racisme issu du repli communautariste de populations immigrées en France. Le racisme anti-noir des rebeus, le racisme anti-rebeus des noirs, et le racisme anti-blanc des deux. C'est nouveau, ca prend de l'ampleur, et ca peut vraiment devenir dangereux le jour ou c'est une majorité qui s'en affirme ouvertement.

 

On nous sort constamment le coup de la minorité extrémiste (qui est de plus en plus active ? nombreuse ?), mais quid du racisme ordinaire alors ? Celui là on arrive bien à l'estimer, à le mesurer. Le racisme anti-blanc par contre, reste une chimère des identitaires pour nous vendre le péril ****, la grande invasion, le grand remplacement, le replis communautaire, etc... Quand il s'agit de jeter un coup d'oeil aux faits, c'est peanuts ! Et ce n'est surtout pas la même mécanique / idéologique qui se cache derrière.

 

Pour rappel, on est quand même dans un pays où l'État déporte des Roms sans trop de soucis et promulgue des lois contre le voile et le niqab. Qu'on vienne me dire après ça que le racisme, c'est de l'histoire ancienne.

[Mathieu_D]

Ha ben voila qui est intéressant, parle nous de cette mesure du racisme ordinaire.

[NoName]

On nous sort constamment le coup de la minorité extrémiste (qui est de plus en plus active ? nombreuse ?), mais quid du racisme ordinaire alors ? Celui là on arrive bien à l'estimer, à le mesurer. Le racisme anti-blanc par contre, reste une chimère des identitaires pour nous vendre le péril ****, la grande invasion, le grand remplacement, le replis communautaire, etc... Quand il s'agit de jeter un coup d'oeil aux faits, c'est peanuts ! Et ce n'est surtout pas la même mécanique / idéologique qui se cache derrière.

Pour rappel, on est quand même dans un pays où l'État déporte des Roms sans trop de soucis et promulgue des lois contre le voile et le niqab. Qu'on vienne me dire après ça que le racisme, c'est de l'histoire ancienne.

Ben oui, puisque les actes antiblancs ou français (je n'aime pas l'expression racisme qui ne correspond pas à la réalité) n'existent pas, ils ne sont pas comptés

Comme les viols d.hommes par les femmes.

[sans]

Pour rappel, on est quand même dans un pays où l'État déporte des Roms sans trop de soucis et promulgue des lois contre le voile et le niqab. Qu'on vienne me dire après ça que le racisme, c'est de l'histoire ancienne.

On est plus dans une histoire respectivement de xénophobie et d'islamophobie que de racisme.

[Philiber Té]

Ha ben voila qui est intéressant, parle nous de cette mesure du racisme ordinaire.

 

Je me suis mal exprimé, je voulais parler des chiffres du "racisme classique" (pas moyen d'éditer mon message après coup). Le racisme ordinaire ou quotidien est évidemment beaucoup plus difficile à estimer puisqu'il ne débouche pas systématiquement sur une procédure judiciaire. Il reste les sondages et les enquêtes de victimation.

 

Ben oui, puisque les actes antiblancs ou français (je n'aime pas l'expression racisme qui ne correspond pas à la réalité) n'existent pas, ils ne sont pas comptés

Comme les viols d.hommes par les femmes.

 

Parce qu'ils représentent une part infime du problème ! Et pourtant, chez certains c'est un véritable étendard accompagné d'un brouhaha incroyable. C'est clairement une imposture (et une diversion).

(Pour les viols d'hommes par les femmes, ils sont comptabilisés comme tous les crimes de ce genre. Hormis les cas de pédophilie / inceste, on en entend moins parler car ils sont moins nombreux.)

[Hayek's plosive]

Mais quel couineur alors. "gnagnagna, ca existe quand-meme!" "gnagnagna, la loi sur le voile!"

 

Mais justement, le jour ou le PS va péter son cable, ca va etre au nom de la laicité qu'ils vont faire un grand lavage ethnique. Et ils n'auront aucun problème à construire des prisons, déchoir de la nationalité francaise et renvoyer les Roms et sans-papiers dans des pays qui les préferent morts. J'ai largement confiance en l'électorat socialiste pour faire volte-face et dire "ouais en fait ils sont relous ses nouarabes". Et tu vas avoir de la bonne grosse violence physique, pas comme aujourd'hui.

 

Tu ne résoudras pas le racisme ordinaire sans résoudre le racisme résultant du communautarisme qui lui est bien plus décontracté. Va dire à Mme Michu qui habite dans le 18eme qu'elle peut pas dire ouvertement du mal des noirs quand eux la traite de sale blanche en toute décontraction.

 

C'est quoi, exactement, ton problème à refuser de condamner TOUS les racismes? S'il n'existe pas, c'est pas grave, on condamne quelque chose qui n'existe pas, et en meme temps on condamne ce qui existe réellement.

 

Parce qu'ils représentent une part infime du problème

 

15% des dépots de plainte quand on sait qu'il est beaucoup, beaucoup plus difficile aujourd'hui pour un homme de porter plainte qu'une femme pour violence sexuelle, c'est vraiment scandaleux de parler de "part infime du problème".