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Quel bouffon ce type quand même. Pas drôle en plus. Je me demande sérieusement quelle est son audience. C'est pas meilleur que les vidéosgags en boucle sur TMC.

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fix'd

 

(Et non, je ne paye pas de redevance. La tévé a été permabahn de chez moi il y a un paquet d'années)

Hmm j'ai mis notre parce que je pensais que c'était encore une brillante réussite de la RTS (on a un émission de débat du même nom), mais comme c'est de France 2 j'accepte ta correction :mrgreen:

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J'ai lu ça : http://www.tickld.com/x/next-time-someone-says-women-arent-victims-of-harassment-show-them?utm_source=tickld&utm_medium=facebook&utm_campaign=robothug&ts_pid=2&ts_pid=2

 

 

 

C'était rigolo mais je trouve ça assez lassant cette idée que la bonne méthodologie soit "d'éduquer" les mecs et d'aseptiser la société des remarques.

Il faudrait transposer le topic "Gentlemen contemporains, comment s'habiller avec classe..." en IRL en fait pour qu'au lieu de toujours considérer qu' "empêcher" comme étant une solution, faire en sorte que ce soit l'inverse par un nivellement par le haut.

:P

Enfin bref, j'enfonce des portes ouvertes mais je suis crevée par le boulot. J'ai des excuses :P

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Merci pour la trouvaille, je vais immédiatement poster cette BD où il se doit, dans le thread des images pas cool.
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dis donc c'est bien nul, et pleurnichard encore.

 

la société ne m'accepte pas comme je suis donc il faut qu'elle change. et une part pas négligeable des reproches peut aussi bien être le fait d'un homme que d'une femme aussi bien comme victime que comme bourreau.

Beh.

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Surtout que dire qu'il faut "éduquer" les femmes pour qu'elles apprennent un comportement adéquat en société, ça passerait pas.

 

Avec ta vision patriarcale, tu souhaites enlever et t'approprier le rôle de la femme génitrice dans l'optique de prendre le contrôle et le pouvoir non seulement sur les pauvres enfants mâles en leur lavant le cerveau et leur inculquant ces idées saugrenues mais en plus en aseptisant les jeunes filles qui penseront qu'il est normal que ce soient les "hommes" qui "éduquent".

 

Je suis sure que derrière ton écran, tu es un jeune homme blanc, hétéronormé, vivant dans un pays laïque aux origines chrétiennes, qui n'a jamais connu les vrais problèmes de société.

 

Citronne (qui a dit craquage?)

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la société ne m'accepte pas comme je suis donc il faut qu'elle change

 

xxFP in a nutshell.

 

 

C'est con tout de même, les féministes abordent des problèmes qui existent mais les mélange avec des trivialités sans importance tout en proposant des solutions complètement retarded. 

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et une part pas négligeable des reproches peut aussi bien être le fait d'un homme que d'une femme aussi bien comme victime que comme bourreau.

Bien sûr. Le slut-shaming c'est typiquement une arme de gonzesse. Mais fuck it, patriarchy!
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Bien sûr. Le slut-shaming c'est typiquement une arme de gonzesse. Mais fuck it, patriarchy!

Oui, je n'ai jamais vraiment compris non plus.

Les gonzesses entre elles sont infernales et c'est la faute aux hommes. WTF ?

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Ces fascistes justifieraient n'importe quel constructivisme politique illégitime au nom de la lutte contre un constructivisme social légitime. Cette bonne vieille logique utilitariste de " deux maux font un bien " ; et dans le cas de la discrimination positive " une chose 'amorale' et un énorme mal font un bien "

 

 

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Oui, je n'ai jamais vraiment compris non plus.

Les gonzesses entre elles sont infernales et c'est la faute aux hommes. WTF ?

Illustration de cette absurdité : l'autre jour je me coltine ( contraint et forcé) un docu de merde sur RanceTV sur Ségolène. Envoyespecial machin présenté par deux gonzesses, qui ne font travailler que des gonzesses, on sentait déjà la solidarité de classe.

Sans surprise, doc dithyrambique sur la life à Ségolène, présentée comme une eternelle victime du machisme.

On arrive à l'épisode du tweet de Trierweiler. Commentaire en voix off : "et pourtant, une fois de plus, ce jour la Ségolène sera la victime du monde des hommes" .

WTF ??? 2 cruches qui se jalousent pour une histoire de cul, un tweet de bitching envoyé par une petasse jalouse, et c'est la faute des hommes....

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Illustration de cette absurdité : l'autre jour je me coltine ( contraint et forcé) un docu de merde sur RanceTV sur Ségolène. Envoyespecial machin présenté par deux gonzesses, qui ne font travailler que des gonzesses, on sentait déjà la solidarité de classe.

Sans surprise, doc dithyrambique sur la life à Ségolène, présentée comme une eternelle victime du machisme.

On arrive à l'épisode du tweet de Trierweiler. Commentaire en voix off : "et pourtant, une fois de plus, ce jour la Ségolène sera la victime du monde des hommes" .

WTF ??? 2 cruches qui se jalousent pour une histoire de cul, un tweet de bitching envoyé par une petasse jalouse, et c'est la faute des hommes....

 

Et après, on condamne les talibans avec leur burqa…

Ce n'est pas pour rien que la déclaration des droits de l'homme et du citoyen s'appelle la déclaration des droits de l'homme et pas des droits de l'homme et de la femme.

 

:)

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:lol: vers 17/18min, le mec qui explique que les fillent preferent le BDSM dans le porno.

Bourdieu disait que les femmes participaient elles-mêmes à leur propre domination.

J'ai regardé tout le documentaire.

 

C'était pas génial hein.

 

Enfin, documentaire.

 

Reportage ?

 

gio ?

Documentaire.
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Bourdieu disait que les femmes participaient elles-mêmes à leur propre domination.

 

 

c'est absolument vrai.Facile a voir au quotidien, en particulier en famille et avec les amis, les collegues.Conformisme sous pression et stress divers.

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Une « journaliste » aux références plus que douteuses a monté une cabale contre un Prix Nobel (Tim Hunt), accusé d'avoir tenu des propos sexistes lors d'une conférence. Elle a failli avoir sa peau : il a aussitôt été déchu des positions honorifiques qu'il occupait (à la Royal Society, entre autres).

 

Que ça fasse le buzz sur Twitter, je veux bien (enfin, je comprends)... mais que des institutions (scientifiques) emboîtent le pas sans rien vérifier, je trouve ça assez dingue ; on a d'un côté un scientifique respecté (et soutenu par nombre de ses pairs, d'ailleurs), avec près de cinquante années de carrière anéanties par un tweet, de l'autre une mythomane patente (son CV semble complètement bidonné). Et il a été viré de son poste... normal.

 

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L'article, en version expurgée :

 

A very flawed accuser: Investigation into the academic who hounded a Nobel Prize winning scientist out of his job reveals troubling questions about her testimony

 

On Monday, June 8, a British academic called Connie St Louis uploaded a sensational document to her Twitter feed. Beginning with the question ‘Why are the British so embarrassing abroad?’, it offered an account of bizarre remarks that a Nobel Prize-winning biologist by the name of Sir Tim Hunt had made earlier that day at a conference in Seoul, the capital of South Korea. His audience was comprised of roughly 100 science journalists, most of them female, who were being treated to a free lunch by a local trade body representing Women’s Science & Technology Associations.

 

According to St Louis, who was in the crowd, their meal was ‘utterly ruined’ by the ‘sexist speaker’. She claimed that Sir Tim, having been asked to deliver a toast, embarked on a surreal rant in which he boasted of being a ‘male chauvinist’.

 

‘Let me tell you about my trouble with girls,’ it purportedly went. ‘Three things happen when they are in the lab. You fall in love with them, they fall in love with you, and when you criticise them, they cry.’

 

According to St Louis, Sir Tim then took the odd step of claiming that ‘single-sex’ science laboratories were preferable to ones in which men and women work together. ‘Really, does this Nobel laureate think we are still in Victorian times?’ she asked.

 

So began an extraordinary course of events that saw her tweet shared more than 600 times, kick-starting a viral scandal which resulted in the 72-year-old academic, famed for his pioneering work on cell division, being vilified across social media.

 

Sir Tim, screamed critics, was the epitome of an unreconstructed misogynist; an ‘out-of-touch a***hole’ to quote one of many hostile tweets, who should have no place in modern academia and whose comments laid bare the institutional sexism that allegedly pervades the world of science.

 

[...] The days that followed saw him unceremoniously hounded out of honorary positions at University College London (UCL), the Royal Society and the European Research Council (ERC).

 

[...] Troubled by Sir Tim’s fate, a collection of eminent scientists, including eight other Nobel Prize winners (and several senior female academics) chose to speak out publicly in support of him. [...] Among the most vociferous was Sir Andre Geim, the University of Manchester professor who developed graphene (the world’s thinnest material, said to be able to revolutionise almost every part of everyday life). He claimed that Sir Tim was being ‘crucified’ by ideological fanatics.

 

[...] Then, early this week, the simmering dispute took a further, seismic twist. It came courtesy of The Times newspaper, which revealed the contents of a leaked report into Sir Tim’s fall from grace compiled by an EU official who had accompanied him to the Seoul conference. This individual, who has not been named, sat with him at the lunch and provided a transcript of what Sir Tim ‘really said’.

 

Crucially, it presented a very different take to the one which had been so energetically circulated by Connie St Louis. The report began by confirming that Sir Tim had joked about falling in love with women in laboratories and ‘making them cry’. However, it said he’d prefaced those comments with an ironic introduction, joking that they would illustrate what a ‘chauvinist monster’ he was.

 

The report then revealed the existence of an entire second half of the controversial toast. In it, Sir Tim was said to have told his audience that his remark about ‘making them cry’ was, indeed, an ironic joke. He purportedly said, ‘now seriously . . .’ before going on to speak enthusiastically about the ‘important role’ women scientists play. He ended by joking that his largely female audience should pursue their trade, ‘despite monsters like me’.

 

[...] All of which, for quite understandable reasons, sparked further angry debate. Supporters of Sir Tim felt he had been vindicated. Among them was Professor Richard Dawkins, the evolutionary biologist, who said the leaked memo’s contents showed Sir Tim to be ‘the reverse of a chauvinist monster’.

 

[...] However, Sir Tim’s critics remained unmoved and disputed the EU report’s contents. Importantly, given how the scandal had originally emerged, they were led by Connie St Louis.

 

[...] As a result, this explosive controversy now rests on a single, straightforward question: which of these two, first-hand versions of events is true? Either the anonymous EU official is telling the truth, in which case Sir Tim is a hapless victim, guilty of nothing more than telling a misjudged joke. Or Connie St Louis, the architect of the witch-hunt against him, is in the right. In that case, many will continue to argue that he got what he deserved.

 

So, who are we to believe?

 

[...] Perhaps, therefore, we should ask two other related questions: who exactly is Connie St Louis? And why, exactly, should we trust her word over that of a Nobel laureate?

 

A good place to start is the website of London’s City University, where St Louis has, for more than a decade, been employed to run a postgraduate course in science journalism.
Here, on a page outlining her CV, she is described as follows:
‘Connie St Louis . . . is an award-winning freelance broadcaster, journalist, writer and scientist.
‘She presents and produces a range of programmes for BBC Radio 4 and BBC World Service . . . She writes for numerous outlets, including The Independent, Daily Mail, The Guardian, The Sunday Times, BBC On Air magazine and BBC Online.’*

 

All very prestigious. Comforting, no doubt, for potential students considering whether to devote a year of their lives (and money) to completing an MA course under her stewardship. Except, that is for one small detail: almost all of these supposed ‘facts’ appear to be untrue.

 

For one thing, Connie St Louis does not ‘present and produce’ a range of programmes for Radio 4. [...] For another, it’s demonstrably false to say she ‘writes’ for The Independent, Daily Mail and The Sunday Times. [...] Her work for The Guardian appears to consist of two online articles: one published in 2013; the other, about the Sir Tim Hunt affair, went live (online) this week.

 

Curiously, that 1,000-word piece, in which St Louis recalled the scandal, was heavily edited after publication. Around 30 changes, some of them significant, were made to it. In an apparent contradiction of usual Guardian policy, the version now running online contains no disclaimer detailing this fact.

 

[...] Asked to explain these discrepancies — although details of the claims are carried, remember, on the internet page where she is supposed to present her credentials to students and fellow academics — St Louis said she had done interviews for the Daily Mail but conceded it was ‘possible’ that she had never written for the paper. She said her by-lined articles in the Independent and Sunday Times may have been published more than two decades ago. Asked how she could, therefore, justify the claim on her CV that she ‘writes’ for the titles, she hung up.

 

[...] In common with most academics, St Louis also uses her online CV to cite articles she has previously published in prestigious academic journals. It claims that she has published three. However, even this is misleading. Two of the three cited journal articles are the same: a piece for the British Medical Journal entitled: ‘Can Twitter predict disease outbreaks?’

 

Are such errors merely sloppy? Or were they designed to mislead? And what do they tell us about the attention to detail of a woman whose purported recollection of a short lunchtime toast has effectively ruined a Nobel laureate’s career?

 

Again, readers must draw their own conclusions.

 

In an email, one of the prominent scientists who have publicly supported Sir Tim Hunt tells me: ‘What you have discovered is very alarming. False claims about publications are taken very seriously by universities. Perhaps even more seriously than reports of dodgy, sexist speeches!’ Another, Dame Valerie Beral, who has worked with Sir Tim, added that if St Louis had made false claims on her CV, then her evidence about his speech ought to be discounted.

 

[...] Strangely, the passage from Sir Tim’s speech that St Louis has so far made public is exactly 37 words long. It would take, at most, 20 seconds to recount. So did Sir Tim really ‘plough on’ for five to seven minutes? And, if so, what did he say? Why did she selectively quote just one statement from his toast? And how did such a remark end the 50-year career of a Nobel laureate?

 

Once more, readers must draw their own conclusions.

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Mais dîtes-donc c'est très intéressant tout ça, une féministe qui reconnaît qu'il n'y a pas d'inégalités homme-femme à poste et qualifications égales.

 

Peut-être qu'avec un peu de chance et de manière paradoxale ce sera le marxisme qui conduira à la perte du féminisme, si on peut prendre des raisonnements faux ( valeur travail) des uns pour taper sur les autres moi je suis ok.

 

PS : bonne chance Madame pour trouver objectivement la valeur d'un emploi, nous les autrichiens attendons que vous nous proposiez une grille de salaire arbitraire juste et égalitaire pour chier allègrement dessus.

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Ah c'est cool l'explication par analogie, ceux qui n'ont as compris que c'est pas cool de violer vont comprendre.

Heureusement que les féministes sont là pour nous expliquer que, contrairement à l'opinion populaire et à ce que nous suggèrent nos instincts masculins, le viol c'est mal. C'est un travail de pédagogie difficile (j'irais même jusqu'à dire héroïque) mais nécessaire.

Ceci étant le premier exemple est tout à fait légitime : qui se casse au milieu d'un film entre potes, a fortiori Pulp Fiction ?

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