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Ces petites phrases qui vous ont fait plaisir…


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Exactement, c'est ce que je dis tout le temps. Encore 3 ans de politique PS bien dogmatique, et les Français se masseront dans les rues lors du grand soir libéral pour réclamer privatisations massives et démantèlement de l'Etat. La prise de Bercy restera dans l'Histoire comme marqueur de la révolution libérale, cette date sera commémorée pour les siècles à venir comme fête nationale et événement fondateur d'une France enfin libre.

 

Et tout ça, c'est grâce à François.

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We all understand that a state-owned media is not a reliable source of information, though Western libertarians believe Russia Today because the channel is criticizing Obama.

 

Non mais sérieux, il y a des libertariens qui lisent et croient Russia Today, ce reliquat du ministère de la propagande soviétique ?  :facepalm:

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Je résume l'idée :  "Il y a un risque que tel média privé soit en sous-main contrôlé par le gouvernement américain et que l'information diffusée soit donc mensongère ou déformée. Seule solution pour être à l'abri de la manipulation : lire un média appartenant au gouvernement russe et officiellement reconnu comme organe de propagande".

 

Genius level: soralien.

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Russia Today a très intelligemment offert des tribunes aux libertariens américains, par exemple Ron Paul ou Ben Swann, qui bosse maintenant sur RT, en utilisant leur opposition à la politique extérieure US (si Ron Paul n'a pas perdu sa lucidité sur l'affaire ukrainienne, il a tout de même été très indulgent avec la politique de Poutine). Mais Alex Korbel aussi a été interviewé plusieurs fois sur RT, sur des thèmes relatifs à l'Union Européenne notamment.

 

Le gouvernement de Poutine a clairement différents médias pour charmer différents partis d'opposition européens, et par la tendance de la psychologie humaine qui conditionne l'adoption d'idées aux affinités des gourous davantage qu'à la cohérence des principes, c'est une politique qui a des chances de succès (RT invite Ron Paul, ou bien c'est Ben Swann qui parle, donc ce qui passe sur RT est la vérité).

 

Par ailleurs ça fait quelques années que RT engage de bons journalistes occidentaux en leur proposant à ce qu'il semble des salaires considérables (c'est un journaliste anglaise qui en a parlé notamment).

 

Heureusement que par ailleurs les manipulations du gouvernement de Poutine ou de ses zélotes restent à un niveau assez amateur notamment en matière d'infographie.

 

edit :

 

D'ailleurs the_student c'est une bonne idée de faire connaître Vera Kichanova, il serait assez intéressant que les libéraux français parlent avec les russes, notamment les jeunes via SFL ou ce genre d'association. Il faut pas nier qu'il y a une tendance hipster et progressiste chez eux, assez influencée par le libertarianisme US qui peut nous sembler superflue mais qui se comprend bien dans leur contexte (d'ailleurs elle s'est mariée avec un garçon qu'elle a connu dans une double manifestation, mais lui était du bord opposé, celui des jeunes pro-Poutine).

 

Et ça remettrait les pendules à l'heure vis à vis de la tentative de canaliser les libertariens occidentaux vers les positions poutiniennes.

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... mais qui se comprend bien dans leur contexte.

 

Ce que je veux dire par là c'est que l'antagonisme culturel majeur chez les jeunes n'est pas entre les gauchistes et les droiteux façon ouempé, mais une version libéraux vs. conservateurs de cet antagonisme, qui culturellement est pourtant assez isomorphe.

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Je li des articles d'elle et c'est vraiment triste ce qui lui arrive, à l'intérieur elle doit convaincre ses compatriotes qu'elle n'est pas une espionne US et à l'extérieur que tout les russes ne supportent pas Poutine et que ce régime est pourri.

 

Pour l'affaire Ukrainienne je suis choqué par le non interventionniste à sens unique. Un non interventionniste cohérent soutiendrait que l'armée russe doit servir uniquement à défendre le territoire russe, ce qui n'inclut ni la Crimée, ni l'est de l'Ukraine, ni l’Ossétie du sud, ni la Transnistrie, ni l'Arctique et que même si les USA seraient entrain de larguer des centaines de tonnes de napalm sur l'est de l'Ukraine ça ne constituerait en aucun cas une agression de la Russie.

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Remarque qu'un des angles morts du non interventionnisme, même bien compris, est de considérer qu'on ne peut parler que pour son pays, pour l'interventionnisme qu'on est forcé de financer.

 

Je suis d'accord, ça ne justifiait pas du tout ce qu'on a lu, c'est-à-dire une tendance à chercher des justifications historiques, par la présence des populations russes, et là une fois de plus, on lutte contre la pente naturelle qui consiste à choisir un camp, surtout quand c'est l'un des camps qui te donne la parole. (Là je parle de justifications données par des occidentaux à tendance critique de l'action US, pour ce qui est de la relation entre Ukraine de l'est et Russie du point de vue des gens concernés... je ne veux pas faire comme si c'était pas compliqué, même si on ne peut que condamner le choix de Poutine d'une politique du chaos, et pour la Crimée, il s'agissait clairement d'un geste d'anticipation non-justifiable).

 

Mais enfin pour revenir aux jeunes libertariens russes, je persiste, il faut les relayer davantage et entrer en contact avec eux, même si beaucoup sont de vulgaires randroids.

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J'ai du mal à trouver des choses en anglais sur Vera Kichanova qui n'ont pas de rapport avec l'Ukraine et qui n'est pas non plus son interview à reason et ses multiples reprises. J'avais posté cet article sur la Russie vue par une libertarienne russe, même si l'objet de l'article est de parler de l'Ukraine, je l'ai déjà posté ailleurs: http://libertarian-party.ru/blog/an-appeal-to-western-libertarians-about-the-war-in-ukraine

 

Elle explique aussi dans un article comment la politique de Poutine fait souffrir les russes qui pourtant ne sont pas d'accord avec lui quand ils voyagent à l'étranger (Elle semble très pro-Maidan, ça va surement en déranger ici) : http://euromaidanpress.com/2014/08/04/traveling-with-a-russian-passport-has-never-been-harder/

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Excellent article qui met bien en lumière l'imbécilité de certains libertariens occidentaux dans toute cette affaire. Les libertariens américains se sont transformés en idiots utiles du Poutinisme sans s'en rendre compte, juste par contradiction envers Obama et son administration. En France, que des gens de la droite nationale tombent dans le panneau est plus logique étant donné que leur idéologie est sensiblement proche de celle de Poutine, mais c'est plus affligeant d'en voir certains dans ce cas ici-même sur ce forum par exemple.

Pour ma part j'ai toujours pensé que Ron Paul et d'autres avaient déconné sur le sujet en concentrant 95% de leurs critiques sur Obama et les européens. Ils ont exagéré le rôle des européens et des US dans Maïdan et sciemment oublié l'agression russe en Crimée et au Donbass. On ne peut pas faire plus naïf. Il y avait des arguments bien plus productifs pour demander une non-intervention dans le conflit que ceux consistant à cirer les pompes à Poutine. Quant à Nigel Farage, sur ce sujet et d'autres il baisse dans mon estime, et avoir des discours percutants au parlement européen ne suffit plus à compenser.

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  • 2 weeks later...

 

La Sécurité sociale malade de son étatisation
La grève des médecins montre à quel point la mainmise de l'État sur le système de santé et d'assurance maladie est néfaste. Mais le reste de la Sécurité sociale pâtit également du fait que le législateur s'est institué gestionnaire de cette institution, la mettant entièrement entre les mains d'un État devenu tragiquement obèse.

Contre qui se met-on en grève ? Contre son employeur, évidemment ! Les grévistes lui reprochent d'être insuffisamment rémunérés, d'avoir de mauvaises conditions de travail, de ne pas être considérés, etc. C'est précisément ce que les médecins grévistes reprochent à l'État, devenu leur employeur de fait, sinon de droit. Les praticiens hospitaliers savent que la direction de leur établissement ne peut pas grand-chose : l'ARS (Agence Régionale de Santé), elle-même aux ordres du gouvernement, la chapeaute.

Et le personnel sur lequel ils s'appuient, infirmiers, aides-soignants, agents administratifs, n'est-il pas composé de fonctionnaires ? Quant aux libéraux, la volonté de leur faire pratiquer le tiers payant, c'est-à-dire de ne plus être payés par leur patient, mais directement par l'assurance maladie, est pour eux le signe de la sujétion à laquelle ils sont de plus en plus soumis : par qui est-on payé, si ce n'est par son employeur ?

Cette étatisation du système de soins n'est qu'une des facettes de l'étatisation de tout ce qui relève de la protection sociale. Le budget de la Sécurité sociale, depuis la mise en place du grand-œuvre d'Alain Juppé, à savoir les lois de financement de la sécurité sociale (LFSS) en 1996, est devenu un fac-similé de celui de l'État. Ces LFSS n'ont d'ailleurs de lois que le nom : elles constituent surtout des agrégats de décrets, des instruments de gouvernement, et même de gestion, à l'opposé de ce qui relève logiquement du législateur.

Là se situe le véritable drame de notre État : la confusion des pouvoirs, de l'exécutif et du législatif. Les lois servent surtout à gouverner, ce qui n'est pas leur rôle. Le gouvernement se cache derrière le Parlement, auquel il demande de signer les décisions qu'il prend. De ce fait, le Parlement n'exerce plus aucun contrôle sur ce que fait le gouvernement, puisqu'il l'a voté : il aurait mauvaise grâce à se déjuger, même si le vote de ces lois qui sont en fait des assemblages de textes réglementaires lui est quasiment imposé par le rapport entre gouvernement et majorité parlementaire.

En fait, il n'y a plus en France d'institution chargée de légiférer, le Parlement étant devenu la basse-cour du gouvernement. Depuis combien de temps la France n'a-t-elle pas été dotée d'une véritable loi, c'est-à-dire d'un texte définissant des règles de juste conduite ? Quasiment tous les textes appelés "lois" répondent à la définition de ce que Hayek appelle des commandements : ils donnent des ordres à la population, ou à l'administration, et cela de façon discrétionnaire.

La Sécurité sociale est la première à pâtir de cette situation. Aucune réforme systémique ne peut voir le jour dans un tel contexte. En matière de retraites par répartition, le principe constitutionnel d'égalité est battu en brèche par un amoncellement incroyable de commandements qui laissent subsister trois douzaines de régimes différents, privilégiant les uns et désavantageant les autres. Débordé, abasourdi, le Conseil constitutionnel n'envisage même pas d'endiguer le flot ininterrompu de prétendues lois qui mettent à mal les principes suprêmes de la République, la liberté, l'égalité et la fraternité.

L'étatisation de la Sécurité sociale, c'est-à-dire sa soumission aux commandements incessants de l'État, est une catastrophe nationale. Les gestionnaires ne sont plus responsables, les LFSS et une avalanche de lois, décrets et arrêtés supplémentaires décident de tout. Or quand les responsables sont déresponsabilisés, la gabegie est inévitable.

C'est la raison pour laquelle Arnaud Robinet et moi avons annoncé La mort de l'État providence (Les Belles Lettres, 2013) et expliqué comment nous pourrions faire évoluer la Sécurité sociale vers un vrai système d'assurances sociales, respectueuses de la liberté (notamment celle qui est volée aux médecins), de l'égalité (notamment celle qui est volée aux retraités et futurs retraités) et de la fraternité (notamment celle qui est évacuée par un système d'assistance bureaucratisé).

 

http://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-120400-la-securite-sociale-malade-de-son-etatisation-1077737.php

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  • 1 month later...

"Nous avons hérité à la fin des années 1960 d’une nation en croissance peu endettée et offrant le plein-emploi. Mais à cause de nos choix d’un Etat toujours plus lourd et d’une dépense publique ininterrompue, nous laissons à nos enfants, qui prendront leur retraite à 65-67 ans, voire plus tard, un pays endetté, avec un niveau de chômage insupportable et un faible potentiel de croissance, regrette-t-il. Il devrait nous en être tenu rigueur dans l’histoire."
Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France
http://www.challenges.fr/economie/20150205.CHA2827/pour-noyer-maintenir-le-taux-du-livet-a-est-une-tres-grave-erreur.html

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Voyage dans la pire économie du monde

[...]

L’effarante dégringolade du Venezuela montre que la politique économique compte. Que le romantisme socialiste du XXIe siècle est aussi dévastateur que celui du XXe. Que le marché, malgré tous ses défauts, est un formidable outil d’allocations des ressources. Que le prix est un indicateur essentiel qu’on ne fausse pas impunément.

[...]

http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/0204163025218-voyage-dans-la-pire-economie-du-monde-1093802.php

 

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  • 2 weeks later...
  • 1 month later...

Un commentaire rigolo sur Reason.com

 

Most of you should be familiar by now with the Seven Stages of Liberal Legal Activism:

1. It's a free country, X should not be illegal.
2. The Constitution prohibits X from being made illegal.
3. If the Constitution protects a right to X, how can it be immoral? Anyone who disagrees is a bigot.
4. If X is a Constitutional right, how can we deny it to the poor? Taxpayer money must be given to people to get X.
5. The Constitution requires that taxpayer money be given to people to get X.
6. People who refuse to participate in X are criminals.
7. People who publicly disagree with X are criminals.

 

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Un commentaire rigolo sur Reason.com

 

Most of you should be familiar by now with the Seven Stages of Liberal Legal Activism:

1. It's a free country, X should not be illegal.

2. The Constitution prohibits X from being made illegal.

3. If the Constitution protects a right to X, how can it be immoral? Anyone who disagrees is a bigot.

4. If X is a Constitutional right, how can we deny it to the poor? Taxpayer money must be given to people to get X.

5. The Constitution requires that taxpayer money be given to people to get X.

6. People who refuse to participate in X are criminals.

7. People who publicly disagree with X are criminals.

 

 

La route progressiste de la servitude…

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Ça escalade vite entre 3 et 4.

 

Pourtant réel. L'une des motivations de la réduction des inégalités découle du désir d'une société démocratique où chacun, en réduisant sa pauvreté, serait capable de participer à la vie publique.

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Un commentaire rigolo sur Reason.com

Most of you should be familiar by now with the Seven Stages of Liberal Legal Activism:

1. It's a free country, X should not be illegal.

2. The Constitution prohibits X from being made illegal.

3. If the Constitution protects a right to X, how can it be immoral? Anyone who disagrees is a bigot.

4. If X is a Constitutional right, how can we deny it to the poor? Taxpayer money must be given to people to get X.

5. The Constitution requires that taxpayer money be given to people to get X.

6. People who refuse to participate in X are criminals.

7. People who publicly disagree with X are criminals.

Ron Paul s'arrête au 3
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