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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

Messages recommandés

Non mais sans déconner, y'en a qui méritent des grosses baffes : je reçois une newsletter sur le monde de l'innovation, je lis les résultats d'un incubateur parisien où l'article parlait, je cite, des start-ups récemment graduées. (comprendre diplomées, c'est une francisation du mot anglais graduate.). Je vais leur envoyer un email à ces bouffons tiens.

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En français non plus je n'aurais pas compris note, ce que pourrait être une entreprise diplômée.

Oui pardon, j'ai pas été précis : ces incubateurs dispensent des cycles de formations à l'issus desquels des certifications, des diplomes, sont délivrés. Exemple : http://laccelerateur.fr/

 

Et si je cite cette structure, c'est pour une raison bien précise que je ne dévoilerai pas. :mrgreen:

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La jean claude vandammisation du monde progresse :/

En plus ce genre de personnes est capable de dire "j'assume que tu viendras à 15h". En général je suis obligé de me retenir de gifler la personne.

 

Comment peut-on être con au point de faire exprès des erreurs de français?

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Dans la sphère scientifique c'est encore plus terrible... Non seulement je pense que les gens font un peu exprès, mais à force de ne lire que des articles (écrits en anglais) ils n'arrivent plus non plus à trouver leurs mots techniques en français.

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Dans la sphère scientifique c'est encore plus terrible... Non seulement je pense que les gens font un peu exprès, mais à force de ne lire que des articles (écrits en anglais) ils n'arrivent plus non plus à trouver leurs mots techniques en français.

 

+1

 

Sans compter que avec la langue anglaise tu peux transformer n'importe quel nom en verbe/adjectif sans choquer personne ce qui rend parfois difficile de faire une traduction élégante. Par contre je n'excuse pas les " j'assume" "graduate" ou mots pour lesquels on a des traductions directes.

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1)GRADUER v. tr. XVe siècle, au participe passé. Emprunté du latin médiéval graduare, « conférer une dignité », dérivé de gradus (voir Grade).

img_fmono_73.gif 1. Vieilli. Élever à un grade universitaire. Il a été gradué à la faculté des sciences de Paris. Au participe passé, subst. Les gradués de l'Université. img_fmono_73.gif 2. Diviser en degrés d'égale longueur ; marquer d'une graduation. Graduer un thermomètre. Graduer une éprouvette. Règle graduée. Verre gradué. img_fmono_73.gif 3. Augmenter par degrés.Graduer ses efforts. Cet auteur dramatique sait graduer ses effets. Graduer les difficultés d'un exercice scolaire. Graduer les peines, dans un code criminel, ou dans un jugement, les proportionner à la faute.

 

Désolé, mais graduer pour un diplôme c'est parfaitement français. Ça revient par les anglophones, mais c'est français.

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ahah bande de gros nuls

 

je reçois une newsletter sur le monde de l'innovation, je lis les résultats d'un incubateur parisien où l'article parlait, je cite, des start-ups récemment graduées. (comprendre diplomées, c'est une francisation du mot anglais graduate.). Je vais leur envoyer un email à ces bouffons tiens.

 

 

c'est du quinzieme degre ou alors t'es reellement triso

 

 

En général je suis obligé de me retenir de gifler la personne.

 

 

en general a mon avis la vraie raison c'est que tu as oublie ton tabouret

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Hallucinant d'entendre les pitoyables tentatives de décryptage du mouvement des bonnets rouges par tous ces "analystes" formatés; "euuuh alors oui c'est surprenant parce que ya des ouvriers ET des patrons qui qui manifestent ensemble et ils sont antiecolos et identitaires donc forcément fascistes mais ya aussi des revendications de gauche et... et... *head blowing*

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Un commentaire de l'article CP sur la subtile ruse de Marine

 

 

« Madame Bête immonde » ???

 
Peut-être ! Mais… qui monte, qui monte, qui monte….
 
Et… Contrepoints, cela ne rimerait-il pas à… YOUPINS ???

 

Ouh pinaise il en tient une couche celui-là. Et ce sans évoquer le manque de compréhension du second degré.

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http://www.lepoint.fr/invites-du-point/francois-kersaudy/francois-kersaudy-mort-aux-cons-01-11-2013-1751027_1931.php

 

 
Le psychologue : "Mais enfin, comment pouvez-vous tolérer une telle chienlit ?"

Le ministre : "La vérité inavouable, c'est qu'on est ligotés par notre idéologie. Le surmoi marxiste dont parlait François Furet reste une réalité. Dans notre parti, vous avez des foules d'attardés qui en sont restés à un Marx fantasmé, au génial Lénine, à Trotski, à Mao et à Castro. Plus question pour des donneurs de leçons socialistes de reconnaître leur attachement à une idéologie qui a produit plus de cent millions de cadavres au XXe siècle, mais les réflexes conditionnés demeurent : on se souvient de Mitterrand dénonçant l'argent qui pourrit tout et de Hollande qui n'aime pas les riches. La détestation affichée des patrons forcément exploiteurs fait également partie du gène marxiste-léniniste, de même que l'allergie au profit, la défiance à l'égard de l'entreprise privée, l'inquisition fiscale spoliatrice et cette addiction plus ou moins consciente au slogan de Trotski : Les prolétaires n'ont pas de patrie, qui nourrit toujours l'immigrationnisme effréné des camarades. Et que dire de cette manie de voir des fascistes partout ? C'est l'héritage du vieux bolchevik Manouilski, avec sa célèbre injonction : Traitez vos adversaires de fascistes : le temps qu'ils se défendent, vous aurez tout loisir de leur porter de nouveaux coups ! L'aspiration frénétique à un égalitarisme imposé par l'État, dont s'exempterait furtivement l'élite du parti, n'est-ce pas aussi du léninisme à peine réchauffé ? Le mépris affiché pour la justice de classe et l'engouement pour les délinquants alliés potentiels contre le grand capital fait également partie du tableau, comme le rappelait ce discours hallucinant de François Hollande en faveur du quadruple meurtrier d'extrême gauche italien Cesare Battisti devant la prison de la Santé le 23 février 2004. Quant à cette posture de représentant des ouvriers, puis de tous les damnés de la terre, Mitterrand et ses successeurs y croyaient-ils autant - ou aussi peu - que leurs alliés et rivaux communistes ? En tout cas, le PS a parfaitement réussi à créer ou à récupérer une multitude de mouvements, d'associations et de syndicats, grâce au travail stakhanoviste d'anciens anars, staliniens, trotskistes et maos recyclés. C'est même ce qui l'a porté au pouvoir..."

Le psychologue : "Mais alors, pourquoi cette belle machine s'est-elle enrayée ?"

Le ministre : "Parce que le point faible du marxisme dur ou mou, c'est toujours l'économie. Comme l'avait déjà découvert Lionel Jospin, alias camarade Michel, une bonne idéologie ne fait pas toujours une bonne politique - et moins encore une bonne économie. Le PS a donc tenté de ruser avec les réalités en montant des usines à gaz comme les 35 heures, la retraite à 60 ans, l'assistanat débridé, le crédit d'impôt opaque et le compte pénibilité démotivant. Mais il se retrouve pris dans un étau entre des militants robespierristes, des syndicats ultra-marxistes, des associations immigrationnistes, des intermittents jusqu'au-boutistes, des prolétaires lepénistes, des entrepreneurs consomptifs, des chômeurs revendicatifs, des policiers dépressifs, des Bretons subversifs, des médias corrosifs, des antiracistes agressifs, des communistes vindicatifs, des ressources squelettiques, des fonctionnaires pléthoriques, des régions boulimiques, des ministres narcissiques, des opposants systématiques, des contribuables faméliques, des facs anarchiques, des islamistes fanatiques, des entreprises délocalisables, des communicants pitoyables, des écolos irresponsables, des lycéens incontrôlables, des délinquants irrécupérables, des clandestins inexpulsables, des Roms inassimilables, des preneurs d'otages insatiables, des créanciers intraitables, des fraudeurs insaisissables, des sondages implacables, des empilements législatifs inextricables et des directives européennes inapplicables. Ajoutez à cela un capitaine de péd... de bateau naviguant au plus près entre son aile droite réaliste et son aile gauche utopiste, et vous voyez bien qu'on est dans la... "

 

 

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Un commentaire de l'article CP sur la subtile ruse de Marine

 

 

Ouh pinaise il en tient une couche celui-là. Et ce sans évoquer le manque de compréhension du second degré.

Je sais bien qu'il reste encore quelques engeances comme ça, mais à chaque fois, ça surprend. J'espère que le commentaire a été poubellé.
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Ce qui vient d'arriver sur mon mur FB. 

ouééééé !

 

(d'autant que ça vient d'un gars qui vit à La Réunion, île située au beau milieu de l'océan indien, ou tout est importé (avec force aide de l'état, même si dans ce cas précis il n'y a pas vraiment d'alternative privée je pense) et ou le moindre crayon devrait coûter 20€ pièce  si on intégrant le coût du transport (et le bilan carbone, si on est réchauffiste) (ce qui est évidement le cas de mon pote) 

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Un site qui m'a fait rire plus qu'énerver sur des opposants à l'Ayraultport de ND des Landes (je précise que je suis aussi opposé au projet, mais là...). L'avant-garde de la révolution aux mains des intermittents du spectacle et des punks à chiens.^^

 

Morceaux choisis : 

 

Clément, 22 ans.                                                                                           

" Je suis ici pour notre mère la Terre."

 

Maëlle, 24 ans.

« Je suis étudiante en socio. Cette lutte est au croisement de plusieurs choses qui me révoltent, comme, notamment, la vitesse en tant que mode de vie."

 

Elise 31 ans, et Erwan 33 ans.

 "Lors de l’intervention policière du 24 novembre 2012, Elise et Erwan se mettent nus devant les gendarmes mobiles en signe de protestation".

 

http://www.isabellerimbert.com/tous-camille-notre-dame-des-landes/

 

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