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Les étudiants


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Je suis étudiant à Tolbiac en 1ère année d'économie… Ce matin on a réussie à faire une demi heure de cour tranquillement, avant qu'une vingtaine d'envahisseurs fassent intrusion dans l'amphi en beuglant "qu'une assemblé générale démocratique a eu lieu et il faut la respecter" ou "que les autres filières ont vu leurs cours supprimé, pourquoi auriez-vous le droit de faire cour et pas eux ?" etc.

Depuis plus d'une semaine, les socialo-marsxistes dictateurs en herbes parasites chaque cours, parfois en arrachant le micro du prof… Leurs assemblés générales sont pipées, et il faudrait aller y voter pour avoir le droit de faire cour… Des "barricades" de tables et de chaises sont dressées pour empêcher l'accès aux ascenseurs… Bref, un vrai bordel, très festif, mais rageant quand on est directement victime de leurs activités liberticides.

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C'est pour ton bien : il faut une «fac collective, propriété des étudiants et non pas des investisseurs».

Et puis c'est un combat apolitique et juste : l'Unef, l’UEC (Union des étudiants communistes), la FSE (Fédération syndicale étudiante) ou la CNT (anarchiste), et des militants de l’Unef également membres des JCR (Jeunesses communistes révolutionnaires).

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C'est pour ton bien : il faut une «fac collective, propriété des étudiants et non pas des investisseurs».

Et puis c'est un combat apolitique et juste : l'Unef, l’UEC (Union des étudiants communistes), la FSE (Fédération syndicale étudiante) ou la CNT (anarchiste), et des militants de l’Unef également membres des JCR (Jeunesses communistes révolutionnaires).

Sincèrement, je pense que la fac est dans un tel état de délabrement, que finalement, l'abandonner aux marxo-syndicaleux, c'est surement la méthode la plus rapide et la moins couteuse de libérer l'éducation.

Je veux bien que les facs deviennent une propriété des syndicaleux auto-gestionnaire, mais à ce moment-là, on supprime le budget de l'éducation supérieure qui va à la fac et les impôts qui vont avec.

Et les honnêtes citoyens pourront monter leurs écoles libres avec leur argent.

Et puis, les 2 premiers jours, ça surement fun là dedans, es facs deviendront un gigantesque baisodrome, avec des gens se vomissant dessus, mais pas plus longtemps, le troisième jour, ça deviendra un coupe gorge. ça deviendra un repère de dealers & co. Mais ça, c'est eux que ça regardera. ça sera leur fac collective, gérée par les étudiants. Bien sûr, ça coutera un peu en police, parce qu'il faudra contenir toute cette vermine pour qu'elle ne se répande pas chez les honnêtes gens, mais bon, l'un dans l'autre, c'est ptet la meilleure solution.

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C'est sur que nous autres, étudiants, on sait mieux ce qu'on doit apprendre que nos futurs patrons.

C'est pourtant exactement ce qu'on apprend dans tous les IUFM.

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Je suis étudiant à Tolbiac en 1ère année d'économie… Ce matin on a réussie à faire une demi heure de cour tranquillement, avant qu'une vingtaine d'envahisseurs fassent intrusion dans l'amphi en beuglant "qu'une assemblé générale démocratique a eu lieu et il faut la respecter" ou "que les autres filières ont vu leurs cours supprimé, pourquoi auriez-vous le droit de faire cour et pas eux ?" etc.

Depuis plus d'une semaine, les socialo-marsxistes dictateurs en herbes parasites chaque cours, parfois en arrachant le micro du prof… Leurs assemblés générales sont pipées, et il faudrait aller y voter pour avoir le droit de faire cour… Des "barricades" de tables et de chaises sont dressées pour empêcher l'accès aux ascenseurs… Bref, un vrai bordel, très festif, mais rageant quand on est directement victime de leurs activités liberticides.

Vous pouvez pas vous réunir (ceux qui veulent faire cours) et leur casser la figure ?!

(je dis ça mais lycéenne j'adorais faire des manifs où on bloquait la gare, on entrait dans les autres lycées pour les aider à sortir, on jouait au foot sur les gds boulevards etc.. c'était fun, c'était jeune et c'était vraiment pour faire sauter les cours et rigoler)

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Je suis étudiant à Tolbiac en 1ère année d'économie… Ce matin on a réussie à faire une demi heure de cour tranquillement, avant qu'une vingtaine d'envahisseurs fassent intrusion dans l'amphi en beuglant "qu'une assemblé générale démocratique a eu lieu et il faut la respecter"

Ils déclarent donc officiellement qu'ils font la loi.

Je suggère

À défaut, un airsoft.
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Dans les locaux des facs il y a des extincteurs sur les murs.

tres efficace.

autre ustensile magique: la bombe de gaz CS taille industrielle, a utiliser avec un masque a la h16. radical.

autre chose dont je possede quelques exemplaires a la maison : le signal de detresse orange.

(a degoupiller dans les AG, une fois qu'on s'est fait prendre l'amphi. tu reviens et tu balances ca.)

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(personnellement je prefere la flashbang mais il y aurait des morts)

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Sincèrement, je pense que la fac est dans un tel état de délabrement, que finalement, l'abandonner aux marxo-syndicaleux, c'est surement la méthode la plus rapide et la moins couteuse de libérer l'éducation.

Je veux bien que les facs deviennent une propriété des syndicaleux auto-gestionnaire, mais à ce moment-là, on supprime le budget de l'éducation supérieure qui va à la fac et les impôts qui vont avec.

Ça risquerait de coincer sur la dernière partie, parce que lesdits syndicaleux veulent bien de l'autogestion, mais refusent explicitement tout désengagement de l'État. La fac collective, c'est moins cool si c'est pas financé par l'argent des impôts.

Sinon, la gauche est déjà largement au pouvoir dans les universités à travers la présence importante d'élus syndicaux dans divers machins participatifs.

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Dans les locaux des facs il y a des extincteurs sur les murs.

tres efficace.

Il y a des idées intéressantes et marantes pour les dégagés. Le prof de maths avait pensée à l'extincteur, sûrement très efficace. Le pot de fumé en pleine AG peut être sympathique aussi, méme si la fumée (de tabac ou de cannabis) ce n'est pas ça qui manque dans les AG estudiantines. Les virer en leur cassant la gueule la FéeC, envisageable (légitime défense) mais pas facile… On écoute sagement le professeur quand 20 bonhommes viennent nous pourrir notre cour, le premier reflex n'est pas de leur sauter dessus (surtout pour les non bagarreurs comme moi). Parfois il y a des tentatives de contre-rebellion, mais elles avortent vite (seulement des petites bagarres, malheureusement jamais de batailles rangées, qui pourraient être très folklorique :icon_up: ). Il y a un manque de coordination chez les anti-bloqueurs.

Malheureusement Jesrad les gauches font la loi dans l'enceinte de certaines facs. Ils décident, de manière dictatoriale (en camouflant leurs totalitarisme rampant derrière des votes bidons), quand les cours ont lieu, quand ils n’ont pas lieu. Tolbiac est vraiment très teintée de rouge, un cauchemar. Les couloirs surabondes d’affiches faucille et marteau, CNT, etc.

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Ce qu'il faudrait faire, c'est laisser une poignée d'étudiants à l'intérieur prendre les cours pour les autres, pendant que les autres sont devant la porte pour empêcher les bloqueurs d'entrer (sans violence).

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ah non moi je suis pour la violence dans ce cas.

en fait pour etre exact, je suis pour un ou deux evenements sanglants et traumatisants entre etudiants, sans intervention de l'autorite.

Ca m'interesserait bien de voir comment ca fait evoluer le schmilblick; le media s'en melerait…

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Ce qu'il faudrait faire, c'est laisser une poignée d'étudiants à l'intérieur prendre les cours pour les autres, pendant que les autres sont devant la porte pour empêcher les bloqueurs d'entrer (sans violence).

Bof, on apprend pas en prenant des cours, mais en écoutant et cogitant. Je n'ai jamais relu la plupart de mes cours :icon_up:.

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http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-…l?xtor=RSS-3224

Alors que la mobilisation des organisations estudiantines de gauche contre la loi sur l'autonomie des universités affecte une quinzaine d'universités ou de composantes d'universités, la ministre de l'enseignement supérieur, Valérie Pécresse, a appelé les étudiants, vendredi 9 novembre, sur les ondes de France Inter, à se "rendre massivement dans les assemblées générales". "La puissance publique ne peut intervenir", a-t-elle ajouté, avant d'estimer que la présence de cheminots au sein de l'assemblée générale qui a voté le blocage de l'université de Nanterre, jeudi 8 novembre, montrait le caractère "politique et national" du mouvement déclenché dans les universités.

Pour les présidents d'université, il ne fait aucun doute que des groupuscules d'extrême gauche noyautent les assemblées générales. Olivier Audéoud, président de l'université de Nanterre, a souligné jeudi au Monde "qu'un tiers des étudiants présents à l'AG n'étaient pas de son université".

De fait, pour chaque université, le scénario est identique, notamment dans les composantes de lettres et sciences humaines. Selon Jean-Pierre Finance, premier vice-président de la Conférence des présidents d'universités, des petits groupes d'étudiants d'extrême gauche "profitent de la tension sociale actuelle pour sortir du bois et mobiliser les étudiants. S'y agrègent des étudiants qui vivent mal la distance très grande existant entre les annonces de réforme du gouvernement et leur vécu quotidien…" "En région parisienne, constate le président de Nanterre, une centaine d'individus, issus des groupes comme la CNT, SUD-Etudiants ou la LCR, se déplacent de fac en fac. Le 8 novembre, comme le site de Tolbiac de Paris-I était fermé, ils sont venus à Nanterre". "600 à 800 étudiants ont décidé d'un blocage pour 34000 étudiants. Une aberration!", s'exclame Olivier Audéoud.

"Les assemblées générales, qui se sont multipliées, rassemblent très peu de monde au regard du nombre d'étudiants de chaque université. A Tours, ils étaient 550, sur 23000 étudiants", explique Michel Lussaut, son président et porte-parole de la CPU.

Seule l'université de Rennes-II a tenté, jeudi, d'organiser un vote de l'ensemble des étudiants à bulletin secret. Perturbé, selon un communiqué de la direction, par un groupe de personnes "en partie extérieur à l'université", ce vote a été reporté au 12 novembre.

"Nous sommes beaucoup à penser que l'appel à l'abrogation de la loi est un prétexte à une contestation contre le gouvernement. Il y a manifestement une orchestration pour qu'il y ait convergence des luttes… Les arguments avancés dans les assemblées générales relèvent le plus souvent du fantasme. A Tours, certains étudiants disent que grâce à cette loi, le président pourra recruter des contractuels et que le conseil d'administration va accueillir des patrons en son sein. Cela fait vingt ans que c'est le cas!", analyse Michel Lussaut.

Si la CPU, qui a rappelé, le 8 novembre, que la "loi n'organise pas le démembrement du service public, ne met pas en cause la démocratie universitaire et ne soumet pas les établissements au joug des entreprises", reste ferme, elle pointe néanmoins les faiblesses du budget prévu en faveur de la réussite des étudiants en licence. "Des redistributions d'enveloppes budgétaires, dans le cadre du vote de la Loi de finance, permettront de mieux financer dès janvier 2008 les actions les plus importantes pour améliorer la réussite en licence et l'accueil des étudiants." Pour Daniel Filâtre, président de Toulouse-II-Le Mirail, "seulement 30 millions d'euros pour les 85 universités pour la réussite en licence, c'est beaucoup trop peu.".

Cet article me fait une effet boeuf, j'en suis tout chose !

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ah non moi je suis pour la violence dans ce cas.

en fait pour etre exact, je suis pour un ou deux evenements sanglants et traumatisants entre etudiants, sans intervention de l'autorite.

Ca m'interesserait bien de voir comment ca fait evoluer le schmilblick; le media s'en melerait…

Tiens, toi aussi tu es partisan de l'arrachage d'oreille avec les dents pour faire "switcher" les envahisseurs de l'agression à la peur ? :icon_up:

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Un ami grec me racontait les tactiques des syndicats étudiants au pays de Socrate: s'il y a une réunion où ils soupçonnent qu'une décision contraire à leurs idées va se prendre, ou si un cours contient des idées qui ne leur plaisent pas, ils construisent un mur dans l'encadrement de la porte de la salle: briques et ciment, un mur, quoi. Il laissent quand même un trou dans le mur. Quand celui-ci est fini, il glissent l'emboût d'un exctincteur dans le trou et vident l'exctincteur dans la salle où se trouvent les emmurés.

Mon ami, qui voulait aller militer contre ces gens là dans les facs, s'est vu rétorquer qu'il lui arriverait malheur s'il s'y aventurait, que la police n'a pas le droit d'y entrer. Seules les milices gauchistes y ont le droit de faire régner l'ordre.

La France a encore un peu de progrès à faire.

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Je suis étudiant à Tolbiac en 1ère année d'économie… Ce matin on a réussie à faire une demi heure de cour tranquillement, avant qu'une vingtaine d'envahisseurs fassent intrusion dans l'amphi en beuglant "qu'une assemblé générale démocratique a eu lieu et il faut la respecter" ou "que les autres filières ont vu leurs cours supprimé, pourquoi auriez-vous le droit de faire cour et pas eux ?" etc.

Mais cassez-leurs la gueule à ces petits fachos en herbe  :icon_up:

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absolument, nous on est plus etudiants.

C'est a vous les etudiants qui vivez ca de vous organiser une resistance; pour la premiere fois depuis bien longtemps en france vous avez l'avantage d'une contestation anti-contestation qui existe et recoit un peu d'echo dans les medias, profitez-en sacrebleu!

On n'arrete pas de dire que ceux qui veulent continuer sont plus nombreux, qu'ils le fassent valoir.

meme libe s'y met

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Le collectif étudiant contre l'autonomie des universités (CECAU), à l'origine du mouvement, a regretté cet après-midi d'être qualifié «d'extrême gauche pour nous présenter comme une minorité.» «Ca m'étonnerait que, dans les assemblées générales, les étudiants qui votent pour l'abrogation de la loi Pécresse sur l'autonomie des universités, soient tous d'extrême gauche», a expliqué Igor Zamichiei, membre du collectif et secrétaire général de l'Union des étudiants communistes.

:icon_up:

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Je connaît une personne qui est étudiant à Nanterre et il se trouve que ceux-ci ont fait venir des cheminots des postiers… dans les AG pour que le oui au blocage l'emporte. Je trouve cela scandaleux parce que cees gens là n'ont rien à voir avec les étudiants. Et après ils nous font des leçons de démocratie ! On croit rêver !!!

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mmm…

Tous ces gugusses assurent probablement eux-meme l'enterrement de leurs ideaux, techniquement ET aux yeux du reste de la population.

…Je pense qu'ils nous feraient des lecon de democratie jusqu'au bout du goulag si on les laissait faire :icon_up:

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Je connaît une personne qui est étudiant à Nanterre et il se trouve que ceux-ci ont fait venir des cheminots des postiers… dans les AG pour que le oui au blocage l'emporte. Je trouve cela scandaleux parce que cees gens là n'ont rien à voir avec les étudiants. Et après ils nous font des leçons de démocratie ! On croit rêver !!!

Pour la crise du CPE, à Nancy 1, les étudiants n'ont pas réussi à faire passer le blocage dans une AG de façon démocratique (vote à bulletin secret). Alors les profs l'ont voté à la place des élèves…..

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Le pire, c'est tout de même de devoir revoir la binette de Bruno Julliard.

Oui. Mais statistiquement, comme il passe souvent à la téloche, il existe une possibilité pour qu'on l'aperçoive se faisant remodeler ses petites pomettes de crétin à coups d'extincteur. Et ça, ce serait assez jouissif, je dois dire.

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Ce qui m enerve c'est qu'aux infos, ils disent que LA faculté d'aix marseille fait greve…c 'est faux, c'est seulement UI, qui la fait…la fac de lettre….nous, à UIII (droit + Eco-gestion), nous n avons jamais fait greve (meme pendant mai 68) et ce n est pas en ce moment que cela arrivera. Surtout que ceux qui dirigent ces mouvements n'ont que pour objectif de faire coaguler avec les mouvements de fonctionnaires. Il ne va pas du tout dans le sens des etudiants. va falloir aller mettre des claques à ces jeunes incultes!!!

Je ne sais pas si vous avez vu aux infos le "dialogue" en un brave travailleur voulant rentrer chez lui et une jeune gourdasse à la gare du nord, elle ne donnait comme unique raison au blocage de la gare que:" cest le seul moyen pour qu'on nous entende"….on croit rever… :icon_up:

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