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Allons, nous savons tous que la défaite des Bleus c'est en réalité la faute de l'ultra-nationalisme.

Sous prétexte de prestige national on en vient à prendre le fait de jouer avec le maillot bleu un privilège sacré, on exige d'eux de s'effacer avec abnégation devant le symbole républicain qu'ils sont supposés constituer collectivement, et dans le même temps on leur fait les poches et la moitié des spectateurs leur reproche de n'être pas assez français et pas assez proches d'eux.

Et on s'étonne qu'ils soient démotivés.

/troll

 

En tant que fan de sport oui je m'intéresse aux résultats des sélections, mais j'avoue que tous ces commentaires débiles et attitudes de beaufs patriotes autour des sélections nationales me dégoutent de plus en plus. Je m'y intéresse de moins en moins sauf quand il y a de l'enjeu comme cette semaine. J'ai d'ailleurs autant d'intérêt pour le France-Ukraine que pour le Suède-Portugal où ça devrait donner: Cristiano Ronaldo ou Ibrahimovic ne seront pas à la coupe du monde.

 

 

Carrement NSFW

http://i.imgur.com/yvWnZ.gif

 

Oh le stress! Lucilio tu exagères! :D

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"Cet acte inqualifiable, et particulièrement grave, constitue une attaque directe contre l'un des piliers de notre démocratie, la liberté de la presse", dénonce Matignon dans un communiqué. "Le gouvernement ne permettra pas que les représentants de la presse écrite ou audiovisuelle, dont le travail est indispensable au fonctionnement de notre démocratie et de nos institutions républicaines, puissent être menacés ou victimes d'actes criminels dans l'exercice de leurs fonctions", préviennent les services du Premier ministre. Selon Matignon, "tout sera mis en oeuvre pour retrouver rapidement l'auteur des faits et les présenter à la justice".

 

 

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Donc pour l'instant ce matin on a un type qui ouvre le feu à libération et un autre à la Défense. Quelle est la prochaine cible? Est-ce le même tireur d'ailleurs? La récup' sera-t-elle au rendez-vous lorsque les cibles sont de vulgaires travailleurs en costard? 

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Allons, nous savons tous que la défaite des Bleus c'est en réalité la faute de l'ultra-nationalisme.

Sous prétexte de prestige national on en vient à prendre le fait de jouer avec le maillot bleu un privilège sacré, on exige d'eux de s'effacer avec abnégation devant le symbole républicain qu'ils sont supposés constituer collectivement, et dans le même temps on leur fait les poches et la moitié des spectateurs leur reproche de n'être pas assez français et pas assez proches d'eux.

Et on s'étonne qu'ils soient démotivés.

/troll

 

Troll ? Mais c est exactement ce que je pense. Si ils avaient le choix sans que ca endommage leur image, je suis sur que plus de la moitie arreterai l equipe nationale que leur apporte rien d autre que de se faire insulter par tout les beaufs de France tout en leur rapportant des clopinettes par rapport a ce que les meilleurs gagnent en club.

 

 

Bon, connaissant l impartialite legendaire des journalistes quand un de leur collegue est pris en otage/tue par rapport a quand il s agit d un  ingenieur neocolonialiste de chez Areva, je pense qu on en a pour 5 jours de "atteintes a la democratie" "retour d un climat de haine instauree par les bonnet rouges". Des infographie pour expliquer comment les mouvement sociaux qui detruisent le cohesion nationale en delegitiment le presidant et sont directement responsable de cet acte abjecte.

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Ca y est la presse tient son nouveau buzz:

 

Une chasse à l'homme dans Paris, après les coups de feux à libération, à la défense et la prise d'otage d'un automoboliste:

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/11/18/01016-20131118LIVWWW00206-tir-liberation-homme-arme-fusil.php

Ouf, il était temps, on était sur le point de parler du fond des problèmes français !
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J'ai reçu ça aujourd'hui et je ne sais pas trop quoi en faire ou en penser :

Dépasser la crise

Jean-Luc Mayaud, Président de l'Université Lyon 2, 17 novembre 2013

Notre université traverse une crise interne d'autant plus vive qu'elle se produit en écho d'une crise générale du pays. Inquiétudes, sentiments d'incompréhension, d'injustice, voire d'abandon, créent de la souffrance au travail, aiguisent les tensions sociales et politiques, et produisent un mélange détonnant de défiance et d'attentes exaspérées en direction des structures de gouvernance.

À l'échelle de notre université, cela prend la forme de critiques aussi violentes que contradictoires, à la fois sur le registre de la contestation systématique des orientations ou des décisions assumées par une équipe présidentielle pourtant assise sur un vote majoritaire sans ambiguïté au printemps 2012, et sur celui d'une exigence impatiente de « mesures fortes » de la part de cette même équipe. Au sein même du groupe des élus, qui sont des collègues comme les autres, ayant eu le courage initial de consacrer une partie de leur temps à l'intérêt collectif sur les bases d'un compromis entre sensibilités, cela crée des tensions, des incompréhensions et des ruptures dont je veux bien assumer ma part, mais dont j'aimerais que l'on reconnaisse, au vu du déphasage entre la forme et le fond des désaccords - quelles vraies divergences stratégiques et politiques avons-nous ? -, qu'elles doivent beaucoup au contexte général.

De fait, sur tous les dossiers, les blocages sont de même nature : il faudrait défendre la souveraineté de Lyon 2 dans la définition de ses orientations et de ses priorités, mais répudier toute « logique comptable » susceptible d'éviter une mise sous tutelle de son budget ; il faudrait agir avec audace pour contrecarrer la marginalisation de Lyon 2 dans le paysage académique rhône-alpin, mais ne rien concéder à la Communauté d'universités et d'établissements (CUE) ; il faudrait défendre nos formations et nos enseignements dans leurs exigences les plus hautes, mais sans toucher aux positions acquises, aux doublons ou aux offres manifestement inadéquates.

Tout se passe comme si une partie des personnels de Lyon 2 attendait de leurs élus des trois conseils qu'ils défendent la somme de leurs aspirations et intérêts individuels ou catégoriels (sans aucune concession, vécue comme une compromission inacceptable), tout en se satisfaisant de honnir une équipe présidentielle chargée de faire le « sale boulot » de la rationalisation comptable et de l'adaptation de l'université aux injonctions ministérielles.

Osera-t-on nommer avec les mots des sciences sociales la demande implicite qui unifie ces discours contradictoires ? C'est la figure du chef sacrificiel. Or, à l'instar des vice-présidents qui persévèrent dans l'exercice de leurs missions, et qui méritent la considération de tous, et la mienne en particulier, je veux bien donner mon temps, mon énergie, mon expérience au collectif, je suis prêt aussi à entendre les critiques rationnelles, les conseils constructifs et les offres d'élargissement de la majorité et de l'équipe présidentielle – ce ne sont pas les tâches qui manquent ! -, mais je me refuse à assumer une rupture du principe de responsabilité collective dans la conduite de l'intérêt général.

Dans un système électif, ce que l'exécutif assume, c'est ce que le corps électoral assume solidairement, y compris lorsque c'est douloureux. On peut contester, argumenter, amender ; exiger, bien sûr, l'accès aux informations et aux données sur l'évolution de l'établissement et sur l'action de ses représentants. Les conseils élus sont là pour ça (entre autres attributions), et de ce point de vue, le travail est fait. Mais ce qui n'est pas acceptable, c'est de nier la légitimité des décisions sanctionnées par des votes ou celle des actions menées par les membres de l'exécutif pour mettre en œuvre concrètement la politique pour laquelle ils ont été investis. Enfin et surtout, dans une institution qui rassemble des milliers d'étudiants, de personnels administratifs et techniques et d'enseignants-chercheurs, on ne joue pas la politique du pire, celle de l'effondrement du collectif au milieu de la bataille. Faire le pari de l'échec, en effet, c'est faire volontairement le jeu des forces centrifuges qui n'attendent que cette occasion pour vider la maison Lyon 2 de ses forces vives.

Il est temps de se ressaisir. Ce que l'on peut comprendre d'une société marquée par un tiers de siècle de montée de la précarité sociale et par la conscience douloureuse de l'épuisement historique d'un certain modèle de croissance, de prospérité et d'ordre social, n'est pas admissible de la part des membres d'un établissement d'enseignement supérieur public qui, précisément, sont en charge d'étudier, de penser et d'enseigner les vertus de la distanciation, de l'analyse et du sens des responsabilités. Les personnels de l'Université Lyon 2 ne sont pas un prolétariat, et l'équipe présidentielle n'est pas un patronat. Nos intérêts et nos responsabilités sont les mêmes, ou alors l'Université n'existe plus.

Ne nous voilons pas la face : Lyon 2 ne peut plus regarder passer les trains.

Il ne s'agit pas d'une quelconque « capitulation » face à l'ordre dominant, mais au contraire de reprendre confiance dans notre potentiel pour agir sur cet ordre dominant. Avec, malgré, contre, mais intelligemment. Jouer l'échec de l'exécutif est mortifère, pas seulement pour les individus qui l'incarnent, mais pour l'établissement dans son entier, l'avenir de ses personnels et de ses étudiants. Le repli n'est pas une option, et nous ne pouvons nous offrir le luxe d'attendre les prochaines échéances.

J'appelle donc tous les membres de notre communauté qui ont le sens des responsabilités et qui ne veulent pas se résoudre à la fatalité de l'échec, à apporter leur contribution à l'effort de dépassement de cette crise, dans la cohérence du vote de 2012 et la conscience des enjeux du moment.

Je vous informe que le "Congrès élargi" de l'Université Lumière Lyon 2 (les élus des trois conseils (CA, CS, CEVU), les élus du CT (syndicats des personnels), les directeurs des laboratoires de recherche, d'écoles doctorales, ceux des structures fédératives de recherche, les doyens ou directeurs de composantes, les directeurs administratifs des services centraux, les Csaf des composantes) est convoqué le 21 novembre avec l'ordre du jour suivant:

- La situation de crise à Lyon 2... en sortir

- Point d'information sur les propositions des groupes de travail concernant la CUE.

Je vous prie de croire, chers collègues, chers étudiants, en l'expression de mes salutations dévouées.

Jean-Luc Mayaud

Président de l'Université Lumière Lyon 2.

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Le tireur de la SG n'a pas l'intention de toucher qui que ce soit, à une trentaine de mètres maximum, tirer au moins 6 mètres trop haut, je veux bien qu'il soit stressé et tout, mais c'est franchement au delà de mes forces de faire semblant qu'il voulait toucher quelqu'un.

 

Je connais très bien la géométrie des lieux (et je sais ou sont les caméras, aucune chance q'il ne soit pas identifiable  :devil:), c'est incroyable de tirer aussi haut, même si il devait se prendre du vent sur la passerelle :D

 

Et j'ai un alibi !

 

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Réactivité de la béchamel : nous sommes tous des Nicolas Demorand !

 

 

 Et nous aurons très vite droit aux mises en garde rituelles sur les risques de la surinterprétation d’un épisode qui devra, selon certains, rester de l’ordre du fait divers – d’autant qu’il s’est reproduit, quelques heures plus tard, devant les locaux de la Société Générale, dans le quartier de la Défense. On aura tort. Car ce qui vient de se produire rue Béranger est un événement, au contraire, de toute première importance politique. Qu’on puisse, dans la France d’aujourd’hui, tirer à bout portant sur un journaliste et le blesser très grièvement, est un témoignage de plus de cet affolement des repères, de ce vacillement des tabous et des interdits, de cette déliquescence du vivre-ensemble auxquels nous assistons depuis quelques temps. Et il y a dans cet acte d’une violence inouïe quelque chose qui, hélas, consone trop bien avec trop d’incidents récents pour ne pas être un mauvais signe des temps. Temps de brutalité et de fureur. Temps de la haine et du mépris. Temps où, levée des tabous et haine du politiquement correct aidant, on peut tout dire et, par conséquent, tout faire. Le journal dirigé par Nicolas Demorand est à la pointe du combat contre les nouveaux visages que prennent la bêtise et l’infamie. Il n’est donc pas tout à fait inexplicable qu’il soit dans la ligne de mire de ceux dont cette infamie a, d’une manière ou d’une autre, incendié la raison. Mais que cela ne soit pas inexplicable le rend plus inexcusable encore – et impose, ici, à La Règle du Jeu, une fraternelle solidarité.

 

Télescopage, Libé du 18 août 2010 : Eloge de l'insécurité.

http://www.liberation.fr/societe/2010/08/18/eloge-de-l-insecurite_672828

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IL réagit, "ça", le clown, est revenu:
 

François Hollande a condamné les tirs dans les locaux du quotidien Libération, en estimant que c'était "la liberté d'information qui était visée".

Ca y est c'est devenu une affaire nationâââle.
 
Réunion à Libération, attention ça bosse:
 
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La paranoïa s'empare des monstres médiatiques de notre pays.


Vers 15h, la tension est montée d'un cran à la Maison de la Radio, dans le XVIe arrondissement de la capitale, après qu'un suspect a été aperçu à proximité du bâtiment. Tous les accès ont été immédiatement bloqués. Mais l'alerte a finalement été levée.

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J'ai reçu ça aujourd'hui et je ne sais pas trop quoi en faire ou en penser :

 

C'est bien écrit. Et à la fin on se dit "c'est achement bien écrit dis donc", "ah oui, il écrit vraiment bien ce monsieur"

 

Y a un commité élu, on vote des décisions, ça plait pas, la plèbe proteste à coup de revendications contradictoires... 

Enfin, tout est normal quoi. Pas de quoi en faire un fromage non ?

 

Je ne comprend pas bien le but de son texte. 

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C'est bien écrit. Et à la fin on se dit "c'est achement bien écrit dis donc", "ah oui, il écrit vraiment bien ce monsieur"

 

Y a un comité élu, on vote des décisions, ça plait pas, la plèbe proteste à coup de revendications contradictoires... 

Enfin, tout est normal quoi. Pas de quoi en faire un fromage non ?

 

Je ne comprend pas bien le but de son texte.

Ben moi non plus, c'est ce qui m'intrigue. Pourquoi est-ce qu'il a ressenti le besoin de laver son linge sale devant tous les étudiants et tout le personnel ?
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parce qu'il est dépité et dépassé par sa fonction.

C'est un aveau d'imcopétence. Je suis sur qu'il doit se dire "ce n'est pas mon boulot de gérer les conflits ou de répondres au revendication incenssée du personnel"

Ce qui bien entendu est faux, c'est aussi son boulot.

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C'est bien écrit. Et à la fin on se dit "c'est achement bien écrit dis donc", "ah oui, il écrit vraiment bien ce monsieur"

 

Y a un commité élu, on vote des décisions, ça plait pas, la plèbe proteste à coup de revendications contradictoires... 

Enfin, tout est normal quoi. Pas de quoi en faire un fromage non ?

 

Je ne comprend pas bien le but de son texte.

C'est de dire "fermez vos gueules" à ses contradicteurs, en prenant le public à témoin.

C'est bien écrit, c'est convaincant : je serais étudiant à Lyon 2, je serais con vaincu.

Ce brave recteur a du déranger quelques vaches sacrées du temple universitaire.

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Sinon, depuis une journée Libé continue à parler de ses affaires internes et de sa vie au bureau plutôt que de l'actualité.

 

Ce matin sur BFMTV, deux sujets occultent tous les autres : La traque de bidule de Libé, la possible victoire ou non de l'EDF (prononcez Equipe De France).

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Nan mais n'importe quoi "le charme du métro parisien", faut vraiment jamais prendre le métro pour dire un truc pareil. Ça pue, c'est lent et aux heures de pointes on est comme des sardines. 

Qu'elle vienne prendre la ligne 13 une fois dans sa vie cette cruche...

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Surtout quand t'as pris le métro à Lyon, tu comprends clairement que celui de paris est plus que vetuste, c'est  comme comparer une putain d'épave de lada et une joli seat ibiza toute neuve.

 

J'espère que les parisiens vont lui rendre la politesse comme il faut.

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