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On l'a vu avec des potes. Les Molières c'est vraiment l'entre-soi de la culture subventionné et complaisante. Y a plus de gens dans la salle que devant leur poste.

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On peut interpréter cette prestation de diverses manières tout de même. Il se moque aussi des intermittents, certains ne l'ont pas bien pris.

D'un point de vue communication, c'est mieux de faire passer des messages à poil que dans un discours aigri et chiant.

Bon, mais demander des tunes bien sûr c'est pathétique.

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" La ministre en avait assez des "crises à répétition", " Donc on ne fait rien et on donne la thune.

C'est comme ça que marche la France depuis... euh... très longtemps non ?
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  • 2 weeks later...

http://www.capital.fr/enquetes/revelations/cinema-les-acteurs-les-plus-arroses-par-les-subventions-1038205

 

Cinéma : les acteurs les plus arrosés par les subventions

Réservées aux petites productions d'art et d'essai, les aides publiques au cinéma ? En théorie oui. Mais dans les faits, les grosses cylindrées du septième art en profitent aussi.

 

 

Magie du cinéma ou copinage avec les producteurs ? En tout cas, quand il s'agit de biberonner l'industrie du film tricolore, les pouvoirs publics ont souvent tendance à oublier la rigueur. Dernier exemple en date : en décembre dernier, l'Assemblée nationale a encore renforcé l'une des nombreuses niches fiscales dédiées au grand écran. A partir de 2016, donc, le taux du crédit d'impôt accordé aux investisseurs passera de 20 à 30% pour tous les films de moins de 7 millions d'euros de budget. Et pour les œuvres d'animation, il sera porté à 25%.

 

Bah, ça ne fera jamais qu'un coup de pouce de plus aux salles obscures ! Il y en a tellement que certains producteurs passent aujourd'hui plus de temps à ratisser les aides qu'à peaufiner les scénarios. Pour y voir un peu clair dans ce maquis, Capital a plongé dans la base de données du site Cinéfinances.info, qui compile les budgets de tous les films produits en France. Nous avons sélectionné les trois dernières œuvres dans lesquelles jouent nos principaux acteurs, et additionné les différentes aides publiques encaissées. Le résultat de ce palmarès exclusif est plutôt décoiffant.

 

Premier constat, les sommes en jeu sont encore plus considérables qu'on ne l'imaginait. En moyenne, chacun des trois films dans lesquels Gilles Lellouche tient le premier rôle a englouti 2,2 millions d'euros d'argent public et ceux de Charlotte Gainsbourg 1,4 million. «C'est considérable, mais cela n'a rien d'étonnant», observe Serge Siritski, de Cinéfinances.info. Selon la Cour des comptes, les seules niches fiscales ont apporté 145 millions d'euros au grand écran en 2012, huit fois plus qu'en 2002. Si l'on y ajoute le financement du régime des intermittents du spectacle (au moins 100 millions d'euros par an pour les seuls faiseurs de films), les aides du Centre national du cinéma (90 millions annuels, dont 25 millions d'avances remboursables), les investissements imposés aux chaînes de télévision (57 millions l'an dernier pour les antennes publiques) et les subsides offerts par les régions (16 millions en 2014), le soutien dépasse 400 millions par an. Deuxième constat : les aides ne vont pas toujours où elles le devraient. Versées au nom de l'exception culturelle, elles sont en effet censées soutenir avant tout les œuvres peu commerciales, qui ne pourraient se tourner sans elles. Pour les heureux élus, c'est le jackpot : les films d'auteur atteignent souvent la limite légale de 50% de subventions. «The Smell of Us», par exemple, long métrage confidentiel de Larry Clark réalisé en France, a bouclé la moitié de ses 2,7 millions de budget avec de l'argent public. Le problème, c'est que l'Etat et ses satellites dispensent aussi leurs largesses aux superproductions. Et pas avec le dos de la cuiller ! Alors que la moyenne des soutiens représente 8,9% du budget des films, certains barnums parviennent à faire couvrir près de 15% de leurs dépenses par le contribuable (16% pour ceux de Charlotte Gainsbourg, 13,6% pour Omar Sy). Selon nos informations, dix projets de films à plus de 10 millions d'euros ont déjà fait le plein de subventions depuis janvier : «Les Visiteurs 3», «Camping 3», «Papa ou Maman 2», «Baby sitting 2», «Les Tuche 2»...

 

Le plus gênant, c'est que ces fonds servent pour une bonne part à payer les cachets plantureux de certaines stars. Prenons par exemple «La French». Gilles Lellouche et Jean Dujardin, ses têtes d'affiche, ont encaissé à eux deux 2 millions d'euros, soit près de la moitié des subventions perçues ! Valérie Boyer, directrice de France 2 Cinéma, qui a mis de l'argent dans ce film, regrette cette dérive. «Ce sont les producteurs et les agents qui en sont responsables.» De fait, dans ce système où l'argent attire l'argent, il est indispensable de mettre en avant des acteurs «bankables» pour décrocher des financements. Pour essayer de briser ce cercle infernal, le CNC vient de décider de limiter les cachets à 900.000 euros. Au delà, le producteur peut faire une croix sur les aides publiques. Mais dans la pratique, la mesure est facile à contourner. D'abord parce que la règle ne s'applique pas sur la partie de la paie indexée sur les recettes, qui compte souvent pour beaucoup. «On n'interdit pas la rémunération au succès», sourit Pierre-Emmanuel Lecerf, directeur financier du CNC. Et puis parce qu'il est toujours possible pour les producteurs de rémunérer discrètement leurs stars via une société étrangère...

 

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Sélection officielle à Cannes : La loi du marché.... un film social autour d'un chômeur quinqua recyclé en agent de sécurité dans un supermarché

C'est de plus en plus joyeux ce festival, ça vend du rêve

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Sélection officielle à Cannes : La loi du marché.... un film social autour d'un chômeur quinqua recyclé en agent de sécurité dans un supermarché

C'est de plus en plus joyeux ce festival, ça vend du rêve

Les seuls bons films présentés à Cannes sont hors compétition. Le reste c'est du WTF subventionné
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Sélection officielle à Cannes : La loi du marché.... un film social autour d'un chômeur quinqua recyclé en agent de sécurité dans un supermarché

C'est de plus en plus joyeux ce festival, ça vend du rêve

 

J'ai cru que tu faisait de l'humour, puis tapé le nom sur google ...

 

H16, t'es foutu, la réalité a dépassé tes articles les plus farfelu

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En Belgique certaines ASBL culturelles peuvent recevoir des fonds si elles respectent certains critères...

Les subsides octroyés sont disponibles dans des fichiers pdf nommés "transparence-20XX".

 

http://www.culture.be/uploads/tx_cfwbtransparence/Transparence_2013_-_DO_21.pdf

 

On dirait qu'ils ont arrêté la transparence en 2013, c'est le dernier que j'ai trouvé... :P

 

 

On a le même genre de choses avec l'APAQ-W (ministère de l'agriculture)

 

Lors d'un camp scout, l'ASBL du mouvement peut recevoir 500 euros si tu prouvent que les gosses mangent des produits wallons et que tu joins une photo où ils posent avec des animaux de la ferme.  :pleur:

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En Belgique certaines ASBL culturelles peuvent recevoir des fonds si elles respectent certains critères...

Les subsides octroyés sont disponibles dans des fichiers pdf nommés "transparence-20XX".

 

http://www.culture.be/uploads/tx_cfwbtransparence/Transparence_2013_-_DO_21.pdf

 

On dirait qu'ils ont arrêté la transparence en 2013, c'est le dernier que j'ai trouvé... :P

 

 

On a le même genre de choses avec l'APAQ-W (ministère de l'agriculture)

 

Lors d'un camp scout, l'ASBL du mouvement peut recevoir 500 euros si tu prouvent que les gosses mangent des produits wallons et que tu joins une photo où ils posent avec des animaux de la ferme.  :pleur:

 

Je comprends pas comment des asbl miteuses peuvent avoir jusqu'à 2 ou 300 000€ quand des machines comme l'OPRL n'ont *que* 8 000 000.

Alors, 8 myons c'est beaucoup, mais on parle d'un orchestre qui a fait ses preuves, qui a son public, que tourne un peu partout en Europe, qui enregistre pas mal et qui occupe 150 musiciens et plusieurs 10aines de techniciens.

 

Je serai curieux de voir le pognon par tête de pipe. J'aime beaucoup le Toone mais près de 300 000€, c'est chaud hein.

Presque 6 myons pour "le manège" à Mons, mais putain on se moque de qui ? C'est autant que Théatre National pour une salle qui fait venir Soprano (qui remplit la salle qui n'a dont pas l'excuse des subsides).

L'atelier théatre de Louvain la Neuve, 1,7 myons. Pfiou

Liège, le Groupov, théatre "alternatif" ou tu dépasses pas 50 pèquenots par représentation : 550 000€.

 

 

Non mais quel foutage de gueule.

Si encore les subsides avaient un sens, un truc bien charpenté, lisible, transparent. A la limite.

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Ce gamin devient le Directeur de Cabinet de la nouvelle patronne de France Télévisions : http://www.lemonde.fr/festival/article/2014/08/22/stephane-sitbon-gomez-jeune-prodige-des-verts_4475151_4415198.html

 

Pour planter le décor : 

 

 

Stéphane Sitbon-Gomez dit avoir lu Marx à 10 ans puis se corrige. « Non, à 13 ans et que Le Manifeste, pas Le Capital. » Lui se définit comme un « radical réformiste » qui ne veut pas « passer sa vie à manifester ». A 13 ans, il choisit de militer chez les Verts – « les plus modernes ».
 

 

Gros expérience dans l'audiovisuel, c'est bien....

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Nan, mais le militantisme politique pour aller pantoufler en mode assistant exécutif dans une grande boîte, c'est super efficace.

 

Les mecs, ils ont pas besoin de comprendre le business en faisant le développement des produits, ou en data crunchant des données marketing comme une bête au BCG. Nan, papa/maman qui te trouve un petit poste d'assistant parlementaire, quelques cours de brassage de vent et c'est parti :D.

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Nan, mais le militantisme politique pour aller pantoufler en mode assistant exécutif dans une grande boîte, c'est super efficace.

 

Les mecs, ils ont pas besoin de comprendre le business en faisant le développement des produits, ou en data crunchant des données marketing comme une bête au BCG. Nan, papa/maman qui te trouve un petit poste d'assistant parlementaire, quelques cours de brassage de vent et c'est parti :D.

 

Je me demande tres sincerement a quel point cette description est proche ou eloignée de la réalité. C'est quoi l'emploi du temps et les missions d'un directeur de cabinet, concretement?

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J'ai l'impression que c'est assez varié. Ca va plus ou moins du super-secrétaire amélioré avec rédaction des discours en options, au quasi vice-président à qui on délègue une bonne partie des choix stratégiques. Ca dépend un peu de qui est ton directeur.

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Mais non, les charrettes de départ, ce sera Agnès Saal : http://www.lepoint.fr/societe/apres-les-exces-de-taxi-agnes-saal-recasee-au-ministere-de-la-culture-20-05-2015-1929927_23.php :

 

 

Au ministère de la Culture, où elle a déjà été en poste sous le gouvernement Jospin, de 1997 à 2001, Agnès Saal revient en tant que chargée de mission sur les questions de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, un poste qui n'existait pas auparavant.

 

Putain, c'est quand même honteux. Je comprends presque les mecs qui ont décapité l'aristocratie française en 92/93.

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Mais non, les charrettes de départ, ce sera Agnès Saal : http://www.lepoint.fr/societe/apres-les-exces-de-taxi-agnes-saal-recasee-au-ministere-de-la-culture-20-05-2015-1929927_23.php :

 

 

Putain, c'est quand même honteux. Je comprends presque les mecs qui ont décapité l'aristocratie française en 92/93.

 

Pellerin justifie son retour au Ministère : http://www.ozap.com/actu/fleur-pellerin-justifie-le-retour-d-agnes-saal-au-ministrere-de-la-culture/468569

 

 

 

 

 "Agnès Saal est fonctionnaire, elle est administrative civile du ministère de la Culture. Ce n'est pas une création de poste, et donc un privilège donné à Angès Saal. C'est vraiment l'application du droit qui prévoit qu'un fonctionnaire qui démissionne lorsqu'il est à l'extérieur de son corps d'origine, a vocation à être réintégré dans son ministère", a précisé la ministre.

 

C'est l'application du Droit en fait.

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