Aller au contenu

L’Appel De Pontivy Ou La Fronde Libérale Bretonne


Messages recommandés

Consensuel, Hollande ? SI tu entends par là qu'il n'a pas son pareil pour rassembler contre lui, tu as raison. Dans vos analyses, vous êtes quand même nombreux à oublier le contexte économique actuel très mauvais et sa probable dégradation à venir.

 

Je maintiens mon pari, il sera contraint de partir ou de dissoudre d'ici à la fin de l'année 2015 au plus tard. Rendez-vous donc d'ici deux ans et même un an, pour juger de la pertinence de nos pronostics respectifs :icon_wink:

 

 

Je parie une pinte que l'assemblée ne sera pas dissoute. Je parie cinq pintes qu'il ne démissionnera pas.

Lien vers le commentaire

Je parie une pinte que l'assemblée ne sera pas dissoute. Je parie cinq pintes qu'il ne démissionnera pas.

 

C'est evident. Hollande est nul comme president mais c'est un excellent stratege politique, il ne fera de telles conneries.

Surtout qu'il en a encore sous le pied cote ratio dette/PIB.

 

Lien vers le commentaire

Je parie que la reprise des pays voisins va tirer celle de la France, la laissant dans un marasme permettant à la fois à Hollande de se vanter d'avoir sauvé le pays pendant que la misère s'installera de manière de plus en plus profonde, lentement mais sûrement, pour un bon bout de temps.

Lien vers le commentaire

C'est evident. Hollande est nul comme president mais c'est un excellent stratege politique, il ne fera de telles conneries.

Surtout qu'il en a encore sous le pied cote ratio dette/PIB.

 

 

C'est pas tant le stock de dettes qui risque de poser problème à court terme mais plutôt le manque de liquidité, surtout quand les taux remonteront.

Lien vers le commentaire

Consensuel, Hollande ? SI tu entends par là qu'il n'a pas son pareil pour rassembler contre lui, tu as raison. Dans vos analyses, vous êtes quand même nombreux à oublier le contexte économique actuel très mauvais et sa probable dégradation à venir.

Je maintiens mon pari, il sera contraint de partir ou de dissoudre d'ici à la fin de l'année 2015 au plus tard. Rendez-vous donc d'ici deux ans et même un an, pour juger de la pertinence de nos pronostics respectifs :icon_wink:

Pas de problème, on ne fait que supposer...;)

Consensuel, oui, si l'on prend du champs par rapport aux sujets politiques du moment.

Certes les sujets de mécontentement ne manquent pas, en particulier la pression fiscale qui devient insupportable (pour ceux qui y sont soumis ds la classe moyenne), et la situation économique générale, mais paradoxalement je pense que ce pourrait jouer en sa faveur... (pour faire court: récession=chômage et économie assistée=autant d'eleteurs sensible à un discours de relance économique/emplois aidés/état providence)

Mais surtout , sans rentrer dans un débat de fond forcément stérile sur le thème " un autre (/la droite) aurait il fait mieux ?", je ne suis pas sur que les français en soient convaincus.

En résumé: concrètement pour qu'un président demissionne en France, si l'on fait abstraction d'un grave pb de santé physique ou mentale et/ou d'un cas de haute trahison/ intelligence avec l'ennemi, il faut soit qu'il pose lui même sa démission, ce qu'il n'assumera jamais devant l'histoire, soit une très grave crise qui lui fasse perdre le soutien des 2/3 du congrès (assemblée +sénat), si ma mémoire est bonne.

Or je pense que Hollande n'est pas assez clivant pour devenir aussi impopulaire au niveau institutionnel. N'oublions pas que ceux qui voteraient l'empechemement orendraient un gros risque pour leur propre situation dans la tempête politique qui suivrait.

Hollande reste un homme de consensus, c'est même sa carte d'identité politique, au contraire de sarko qui était un provocateur.

Sarko était détesté par les parlementaires. Si lui n'a pas déclenché de fronde institutionnelle, Hollande ne le fera jamais. Il parle le même langage que tous ces politocards professionnels. Même ses opposants politiques aiment le détester. Il les rassure car il est le garant du système qui assure leur pouvoir. Jamais les parlementaires ne déposeront un président sous la Ve. Trop risqué.

Enfin, c'est mon point de vue. Qui vivra verra ;)

Lien vers le commentaire

En résumé: concrètement pour qu'un président demissionne en France, si l'on fait abstraction d'un grave pb de santé physique ou mentale 

 

Très très très très très grave alors : cf Pompidou et Mitterrand

 

 

 

et/ou d'un cas de haute trahison/ intelligence avec l'ennemi, il faut soit qu'il pose lui même sa démission, ce qu'il n'assumera jamais devant l'histoire, soit une très grave crise qui lui fasse perdre le soutien des 2/3 du congrès (assemblée +sénat), si ma mémoire est bonne.

 

Il ne faudrait pas qu'une crise, il faudrait qu'il ait agit vraiment explicitement contrairement à la constitution et ses devoirs présidentiels. Et puis je vois bien le décret de dissolution partir beaucoup plus vite que la réunion de la haute cour.

Lien vers le commentaire

Pas de problème, on ne fait que supposer... ;)

Consensuel, oui, si l'on prend du champs par rapport aux sujets politiques du moment.

Certes les sujets de mécontentement ne manquent pas, en particulier la pression fiscale qui devient insupportable (pour ceux qui y sont soumis ds la classe moyenne), et la situation économique générale, mais paradoxalement je pense que ce pourrait jouer en sa faveur... (pour faire court: récession=chômage et économie assistée=autant d'eleteurs sensible à un discours de relance économique/emplois aidés/état providence)

Mais surtout , sans rentrer dans un débat de fond forcément stérile sur le thème " un autre (/la droite) aurait il fait mieux ?", je ne suis pas sur que les français en soient convaincus.

En résumé: concrètement pour qu'un président demissionne en France, si l'on fait abstraction d'un grave pb de santé physique ou mentale et/ou d'un cas de haute trahison/ intelligence avec l'ennemi, il faut soit qu'il pose lui même sa démission, ce qu'il n'assumera jamais devant l'histoire, soit une très grave crise qui lui fasse perdre le soutien des 2/3 du congrès (assemblée +sénat), si ma mémoire est bonne.

Or je pense que Hollande n'est pas assez clivant pour devenir aussi impopulaire au niveau institutionnel. N'oublions pas que ceux qui voteraient l'empechemement orendraient un gros risque pour leur propre situation dans la tempête politique qui suivrait.

Hollande reste un homme de consensus, c'est même sa carte d'identité politique, au contraire de sarko qui était un provocateur.

Sarko était détesté par les parlementaires. Si lui n'a pas déclenché de fronde institutionnelle, Hollande ne le fera jamais. Il parle le même langage que tous ces politocards professionnels. Même ses opposants politiques aiment le détester. Il les rassure car il est le garant du système qui assure leur pouvoir. Jamais les parlementaires ne déposeront un président sous la Ve. Trop risqué.

Enfin, c'est mon point de vue. Qui vivra verra ;)

 

Ton analyse se conçoit. Hollande est sans doute apprécié des parlementaires, mais son image est vraiment très dégradée dans l'opinion. Il suffit de parler aux gens pour s'en apercevoir. L'individu n'est peut-être pas antipathique, mais sa politique suscite un énorme rejet et celui-ci ne fait que croître au fil du temps.

 

Par ailleurs, lorsqu'il fait passer en force des projets comme le mariage gay, alors que des centaines de milliers de personnes défilent dans la rue pour s'y opposer, il ne se montre vraiment pas consensuel. Idem pour la réforme des rythmes scolaires. Il ne tient aucun compte des critiques de la majorité des familles et des enseignants du primaire. Comme il ne soucie aucunement de l'hostilité de l'immense majorité des Français à l'égard du projet de réforme pénale initié par Christiane Taubira. Sarkozy était clivant, mais Hollande l'est au moins autant et depuis son élection la situation économique déjà catastrophique sous son prédécesseur, n'a cessé de se dégrader. Du reste, après dix huit mois de présidence, l'impopularité de Hollande bat tous les records. Après ce laps de temps, Sarkozy était beaucoup moins impopulaire dans l'opinion.

 

Pour toutes ces raisons, il ne pourra pas selon moi se maintenir au pouvoir avec l'actuelle majorité jusqu'à la fin de sa majorité.

 

Enfin, comme tu l'as justement dit. Qui vivra verra :icon_wink:

 

Lien vers le commentaire

Pour toutes ces raisons, il ne pourra pas selon moi se maintenir au pouvoir avec l'actuelle majorité jusqu'à la fin de sa majorité.

 

 

Peut-etre si l'on etait encore en monarchie (et encore) mais en democratie, aucune de ces raisons ne peuvent empecher de gouverner. Sincerement, tu n'apportes aucun argument pouvant laisser penser a une fin de regne anticipe.

 

Lien vers le commentaire

Peut-etre si l'on etait encore en monarchie (et encore) mais en democratie, aucune de ces raisons ne peuvent empecher de gouverner. Sincerement, tu n'apportes aucun argument pouvant laisser penser a une fin de regne anticipe.

 

 

L'accélération de la dégradation d'une situation économique et financière déjà désastreuse au cours des mois et des années à venir, combinée à la popularité très basse de l'exécutif, ne constitue pas selon toi une raison majeure de croire à une future crise politique qui risque d'être fatale à ce gouvernement, voire au président de la République ?

 

Pour moi, il s'agit d'une combinaison explosive. Mais encore une fois, un peu de patience, on en reparlera à la fin de l'année 2014. D'ici là, il risque de se passer bien des choses :icon_wink:

Lien vers le commentaire

Très très très très très grave alors : cf Pompidou et Mitterrand

Oui j'y pensais en écrivant. Pour preciser ma pensée: un grave problème impossible à camoufler. Du style un avc qui le transforme en légume, ou il fond totalement un fusible et se met et faire l'hélicoptère avec sa teub sous le nez de Poutine en plein sommet du G20...

(J'imagine la photo en une du Figaro)

Plus sérieusement il y a l'exemple de Paul Deschanel, président du conseil dans les années 20, qui a du démissionner pour des problèmes de santé mentale. Le bonhomme était notamment descendu du train presidentiel en pleine nuit... alors que celui-ci était en marche. D'après ce que j'ai lu je ne sais plus ou il se serait présenté a 3h du mat dans un petite gare de campagne en pyjama déchiré et avec la tronche en sang, en annoncé au planton de service qu'il était le président de la République et qu'il devait joindre son cabinet au plus vite . On imagine la réaction du gars.

Les gardes de l'elysee l'auraient aussi repêché une ou deux fois dans les jardins de l'elysee au milieu de la nuit alors qu'il tenait conversation aux célèbres canards, enfoncé jusqu'à la taille dans une marre.

Ironiquement d'ailleurs, je crois que dans ses moments de lucidité, c'était un tyoe plutôt libéral sur le plan politique...

Lien vers le commentaire

Pourquoi y aurait-il "acceleration" de la degradation de la situation financiere?

La France a cette particularite de baisser tout doucement, avec inertie, principalement parceque l'amortisseur social joue un role majeur dans cette tendance. Le seul crash qui peut se produire, c'est celui qui suivrait une forte remontee des taux car il emmenerait l'immobilier avec.

A la limite pourquoi pas mais je ne vois pas ce qui pourrait declencher cette remontee, la BCE etant au commande presque sans adversaires pour lutter contre une remontee des taux.

Lien vers le commentaire

Un excellent article de Bruno Bertez sur la situation actuelle de la France et la politique de Hollande et Ayrault :icon_wink::

 

Politique Friction du Dimanche 8 Décembre 2013: Hollande et Ayrault ont choisi la politique du pire Par Bruno Bertez

By The Wolf on le Blog à Lupus

09/12/2013

( 9 )

 

Politique Friction du Dimanche 8 Décembre 2013:  Hollande et Ayrault ont choisi la politique du pire Par Bruno Bertez

 

"Les chiffres du chômage en France viennent  d’être publiés. Ils sont horribles.  Le taux de chômage s’inscrit à un plus haut de 16 ans à 10,09%. Cela fait neuf trimestres consécutifs que le chômage monte en France. On vient d’égaler les record de 1997. Le chômage des plus de 50 ans explose, c’est un chômage particulièrement douloureux… car sans espoir.

 

Le pays est désespéré à la fois par le chômage et les impôts, sans bien comprendre le lien qu’il y a entre les deux. En France, les esprits sont tellement pervertis que les gens croient que, comme du temps de l’économie purement agricole, tout se partage, ce que les uns ont, les autres ne l’ont pas, cela les prive. C’est une absence de raisonnement complètement idiote héritée de l’ancien régime où ceux qui avaient la terre en privaient les autres.

En France, on croit que l’on peut lutter contre la pauvreté en prenant à ceux qui ont encore quelque chose, on croit que l’on peut lutter contre la rareté et la pénurie par la répartition. On n’a pas encore compris que l’économie  agricole, c’est fini, et que le seul moyen de lutter contre la rareté, c’est de laisser les gens produire des richesses, de plus en plus de richesses. Seule, la production de richesses permet de réduire la pauvreté. Le succès chinois est là pour le prouver à ceux qui en doutent encore. Les Chinois sont moins pauvres et vivent mieux parce que leur économie est en croissance, parce que le système est incitatif.

Seule la production de richesses rend moins pauvre, tout le reste est sornette.

D’abord, il faut produire, et produire de plus en plus et, seulement après, il faut penser à répartir . Il faut penser à repartir avec, toujours, une seule obsession, surtout ne pas décourager les producteurs. L’action d’un gouvernement doit être guidée par ceci: ne pas gêner, ne pas décourager, ne pas pénaliser l’effort, la création, la prise de risque, l’innovation. Comme on dit, « please, no harm », surtout ne pas faire de tort.

 

Pour produire des richesses, il faut mobiliser des capitaux, investir, et mettre des gens au travail.

Il y a un lien organique entre la production de richesses, la constitution d’un capital, l’investissement et l’emploi. L’emploi est la résultante, l’aboutissement de la décision de produire des richesses et d’investir. L’emploi n’est pas un objectif, c’est une résultante, résultante  d’un processus complexe. L’emploi ne se décrète pas.

Si vous réduisez l’appétit à produire, à mobiliser des capitaux, à investir, que se passe-t-il? Tout simplement, vous détruisez la mécanique fragile qui conduit à l’offre, la création d’emplois. Vous ne créez pas d’emplois nouveaux et, au fur et à mesure que le temps passe, vous en détruisez. L’emploi est une double résultante:

–               Résultat d’une décision de production et d’investissement

–               Résultat de la différence entre les créations d’une part et les destructions d’autre part.

Si vous n’avez pas envie d’entreprendre, vous ne faites pas d’investissement, donc vous n’offrez pas d’emploi.

Si votre situation se dégrade, si vous vous sentez menacé dans votre statut social par la déchéance, la rétrogradation  et l’appauvrissement, non seulement vous n’investissez pas, mais vous adoptez des comportements frileux, des comportements défensifs.

Hollande et Ayrault agressent les Français, ils leur ont déclaré la guerre, ils veulent leur faire rendre gorge. Témoins,  les nouvelles lois scélérates qui font, de celui qui cherche à protéger ses biens et ses revenus de la confiscation fiscale,  des criminels. Les Français, non seulement sont victimes de confiscations directes et indirectes qui représentent plus de la moitié de leurs revenus au niveau national, mais, en plus, ils ont deux épées de Damoclès au-dessus de leur tête :

-                  La réforme fiscale qui a pour objectif de prélever et de répartir plus.

-                  Les contrôles fiscaux qui les criminalisent.

Les Français sont rationnels, ils angoissent, ils haïssent ; les plus courageux se révoltent. Tous, en tous cas, font le gros dos, ils se protègent. Ils rentrent dans leur coquille. Oh, ce n’est pas une vraie grève, comme on en fait à la CGT,  SUD ou la CFDT, non, ce qu’ils font les Français, c’est de l’ordre de l’instinct de survie, de l’ordre du réflexe. Cependant, l’effet est le même, c’est objectivement une grève. Tout à fait rationnellement, ils se protègent en coupant toutes leurs dépenses, leurs investissements, ils ne veulent plus échanger quoi que ce soit, car l’échange, tout échange, est soumis à la Taxe. On leur prélève sur tout, alors, ils rétrogradent, reprennent des comportements anciens.

Chacun pour soi, l’humeur sociale, condition première des échanges, se délite. C’est ce que les sondeurs appellent le moral, le sentiment, la confiance, sans bien comprendre concrètement comment cela se passe. C’est fondamentalement à la racine des échanges, de la circulation, du vivre avec, que les choses « foutent » le camp. L’huile des rouages sociaux disparaît, tout grince.

 

Il s’y ajoute, nous l’avons constaté, un désir secret de vengeance; on se venge en faisant la grève de la faim dans les cas extrêmes, on se venge en réduisant la circulation de l’argent, les échanges, voilà ce que tous ces gens d’en haut, comme dirait un ancien Premier Ministre,  ne comprennent pas. Normal, de la vie, ils ne connaissent rien, ils n’ont jamais rien fait d’autre que de la politique.

 

La France vit dans un régime de confiscation. Et les idiots qui gouvernent croient que les gens ne s’en rendent pas compte. Ces planqués du système ne se rendent pas compte que les limites de la tolérance ont été dépassées et qu’ à partir d’un certain point, une prise de conscience en tout ou rien se produit. On prend conscience, c’est ce qui est en train de se passer en France. Les yeux se décillent.

Pas de chance pour Hollande et Ayrault, ils sont arrivés au mauvais moment, quand il n’y avait plus de marge de manœuvre, quand les yeux étaient en train de s’ouvrir. Ils sont arrivés après Sarkozy.

Entre 2007 et la fin de 2012, il y a eu en France 205 hausses différentes d’impôts et taxes. Si on cumule ce qu’ont fait Sarkozy et Hollande, on aboutit à, tenez-vous bien, 84 nouveaux impôts.

 

Les impôts sur les revenus ont été augmentés de 16,2 milliards en 2011, puis encore de 11,7 milliards en 2012, puis dès ce que l’on appelle « l’élection de Hollande », une rallonge supplémentaire de 7,6 milliards. Pour 2013, on ajoutera encore une louche de 20 milliards au minimum.

Comme du temps de l’Allemagne nazie, dans les années 30, on a instauré une taxe sur les gens qui voudraient quitter le pays. Les nazis avaient monté un système abject par lequel, pour quitter l’Allemagne, les juifs devaient abandonner jusque 30% de leurs biens. Pourcentage qui a évolué en pratique jusqu’à plus de 75%. Dans certains cas, les juifs n’ont pu sortir que grâce à l’aide extérieure de parents et amis. Tout ceci alors que ces gens au pouvoir continuent de prôner l’immigration qui conforte leur base électorale et augmente leur clientèle d’assistés. La liberté de circuler, ce n’est plus pour les Français à la sortie, c’est pour ceux qui viennent, ceux qui entrent!

 

Ces gens au pouvoir, non seulement confisquent, mais ils confisquent de plus en plus et abaissent sans cesse les plafonds à partir desquels ils se donnent le droit de confisquer. Un riche maintenant,  c’est quelqu’un qui a un modeste appartement dans un grande ville. Ces gens parlent de s’attaquer aux malheureux qui ont travaillé toute leur vie pour être enfin propriétaire de leur logement et, ainsi, au moment de leur retraite, avoir la sécurité d’un chez soi qui ne coûte -non pas rien car il y a les rackets locaux- mais qui leur coûte le minimum compatible avec leur retraite. Honte !

Mais l’abject va plus loin. Dans un premier temps, le couteaux entre les dents, les revanchards socialistes se sont attaqués au capital et aux entreprises, indistinctement, ils n’avaient pas lu l’histoire des années 30 ou l’histoire proche de Mitterrand. Ils n’avaient pas compris qu’il fallait faire alliance avec le très haut « Mur de l’argent contre les petits murets, ils ont vite été mis au pas,  on leur a fait comprendre qu’ils avaient intérêt à mettre de l’eau dans leur vin rouge. À s’attaquer à ce qui était à leur portée, les petits,  et conclure des alliances avec les gros. Ainsi est née l’alliance avec le MEDEF, alliance scellée lors de réunions sécrètes, dîners de conspirateurs, et officialisée par la suite par la participation commune à une grande messe médiatisée.Alliance payée par des cadeaux de dizaines de milliards au très Grand Patronat, milliards ponctionnés sur le peuple et les PME, TPE, artisans, commerçants, etc.

Cadeaux distribués sans souci de justice ou d’efficacité puisque les Très Grandes Entreprises (les TGE) ne créent plus d’emplois depuis longtemps, même quand elles font des profits records.

Ce sont les petites entreprise qui, au niveau national, paient les cotisations qui permettent aux grandes entreprises de licencier à jets continus! On socialise, c’est cela le socialisme, le bénéfice des TGE sur le dos des petites, les PME, TPE, etc!

 

Les remerciements du MEDEF n’ont pas tardé, il a  mis ses  médias au services des socialistes afin d’étouffer les mouvements populaires, ces mouvements de désespoir que Gattaz a eu le culot de désigner sous le nom de « chienlit ».

Tout ceci va dans le sens  de la dislocation en profondeur du tissu social, dans la destruction du désir de vivre ensemble. On le voit maintenant au niveau économique, au niveau du chômage, mais les vrais dégâts sont plus graves,  ils sont enfouis dans les rancœurs."

 

 

 

 

Lien vers le commentaire

 

Pour moi, il s'agit d'une combinaison explosive. Mais encore une fois, un peu de patience, on en reparlera à la fin de l'année 2014. D'ici là, il risque de se passer bien des choses :icon_wink:

 

Attention, l'antipathie n'est pas forcément le clivage. Sarko suscitait un rejet très fort dans une partie très scindée de l'opinion, tout en ayant l'autre partie qui l'appréciait. Hollande est aimé par moins de monde, mais moins violemment. La tendance générale est avant tout à la déception. Les gens le prennent pour un nul, un lâche, qui tient pas ses promesses, qui n'a pas la carrure...

 

Pour ton hypothèse d'une situation qui se coupe brutalement, j'aurais tendance à dire qu'il faut plutôt un Sarko aussi impopulaire que Hollande. Mais le vieux truc tout mou qui n'est apprécié de personne ne suscite pas un rejet assez violent pour vivre autre chose qu'un lent dépérissement, amha.

Lien vers le commentaire

J'aimerais y croire mais non, je n'y crois pas. L'ensemble du pays s'est lance dans une course a la dette, aujourd'hui il n'y a simplement pas d'alternative.

En imaginant meme que les bonnes reformes soient mis en place, le niveau d'addiction a l'argent public mettrait la moitie du peuple dans la rue pour que l'on remette tout en place comme avant.

A terme, ca petera quand le volume de la dette ne pourra plus augmenter mais a ce moment, il n'y aura pas plus de raisons de faire la revolution puisque les caisses seront simplement vides. Je ne dis pas que ca ne va pas secouer avant cette chute finale mais en tout cas, ca ne petera pas comme certains le pensent et surtout, pas dans le sens d'augmenter les libertes.

Etat <> Pays.

Et les gens sous perf' d'argent public, c'est partout pareil, dans presque tous les pays de l'OCDE. Un peu plus en France, mais pas tant que ça.

on peut tout à fait avoir des bases pourries et faire des progrès

*kof* JVM *kof*

Ba-jDqSCcAAZ0mO.jpg

Dire qu'un mouvement qui s'élève contre la pression fiscale n'a rien de libéralo-compatible, faut le faire, quand même...

Il me semble reconnaître des personnalités (belges) de ce forum. Tu triches. ;)
Lien vers le commentaire

Oui j'y pensais en écrivant. Pour preciser ma pensée: un grave problème impossible à camoufler. Du style un avc qui le transforme en légume, ou il fond totalement un fusible et se met et faire l'hélicoptère avec sa teub sous le nez de Poutine en plein sommet du G20...

(J'imagine la photo en une du Figaro)

Plus sérieusement il y a l'exemple de Paul Deschanel, président du conseil dans les années 20, qui a du démissionner pour des problèmes de santé mentale. Le bonhomme était notamment descendu du train presidentiel en pleine nuit... alors que celui-ci était en marche. D'après ce que j'ai lu je ne sais plus ou il se serait présenté a 3h du mat dans un petite gare de campagne en pyjama déchiré et avec la tronche en sang, en annoncé au planton de service qu'il était le président de la République et qu'il devait joindre son cabinet au plus vite . On imagine la réaction du gars.

Les gardes de l'elysee l'auraient aussi repêché une ou deux fois dans les jardins de l'elysee au milieu de la nuit alors qu'il tenait conversation aux célèbres canards, enfoncé jusqu'à la taille dans une marre.

Ironiquement d'ailleurs, je crois que dans ses moments de lucidité, c'était un tyoe plutôt libéral sur le plan politique...

 

Il a surtout fait une dépression nerveuse du fait que ce poste ne lui laissait aucun pouvoir (le coup des canards est une légende), il s'est parfaitement rétabli une fois qu'il a démissionné.

 

Comparer Hollande à un Roi est une connerie car le fondement de la légitimité d'origine des deux est différent. Hollande a été élu par la volonté du peuple et ce dernier se rend compte qu'il a fait une grosse connerie et n'assume pas ce qu'il a fait.

Lien vers le commentaire

 

Tu peux me tutoyer et non les propositions catégorielles des bonnets rouges ne sont pas libéralo-compatibles, sauf si on abaisse très bas ses exigences.

Non non, tu n'es pas le seul sur ce forum à nous expliquer que les bonnets rouges sont d'horribles capitalistes de connivence avec nos élus.

Mais leurs propositions sont très compréhensibles à tout le monde, clairement associées à des revendications de l'ensemble du tissu économique breton et pas seulement la filière agricole. Alors évidemment ils se limitent à défendre la Bretagne et les bretons, mais ça n'a rien à voir avec des revendications catégorielles.

Et je répète, en listant leurs propositions, il n'y a vraiment pas grand chose d'étatiste, tout le monde le reconnaitra, au pire de vagues idées générales, il suffit de lire.

Bon, à part ça, Hollande ne démissionnera jamais, ni en rêve, ils se dissoudra pas l'assemblée non plus (mais j'en suis moins sûr).

Lien vers le commentaire

sauf erreur, élu avec moins de 50% des voix ... donc l'expression "volonté du peuple", bof.

 

Et l'on pourrait rajouter que le peuple n'y pipant que dalle aux questions politiques et économiques, ce sont les journaleux  (99% de gauche) qui par leurs petites manipulations choisissent le président (qui maintiendra leurs privilèges fiscaux).

 

Donc effectivement l'expression "volonté du peuple" 

Lien vers le commentaire

Je maintiens mon pari, il sera contraint de partir ou de dissoudre d'ici à la fin de l'année 2015 au plus tard. Rendez-vous donc d'ici deux ans et même un an, pour juger de la pertinence de nos pronostics respectifs :icon_wink:

Cela relèverait du hasard si tu gagnais, car rien dans ce que tu racontes pour justifier ton pari n'est convaincant.
Lien vers le commentaire

C'est evident. Hollande est nul comme president mais c'est un excellent stratege politique, il ne fera de telles conneries.

Il est nul en effet, l'Express et Le Point le disent c'est que cela doit être vrai.

D'ailleurs de même, Sarkozy est un dictateur fou qui va détruire la république et la démocratie, c'est ce que ces mêmes journaux disaient il y a 5 ans.

Lien vers le commentaire

Et je répète, en listant leurs propositions, il n'y a vraiment pas grand chose d'étatiste, tout le monde le reconnaitra, au pire de vagues idées générales, il suffit de lire.

Tu peux le répéter dix fois cela n'en fera pas quelque chose de vrai : ils demandent de lutter contre la concurrence déloyale et le dumping, cela s'appelle "hé papa maman je suis nul vous pouvez pas me protéger aux frais des français". C'est la quintessence de l'étatisme.
Lien vers le commentaire

Et l'on pourrait rajouter que le peuple n'y pipant que dalle aux questions politiques et économiques, ce sont les journaleux  (99% de gauche) qui par leurs petites manipulations choisissent le président (qui maintiendra leurs privilèges fiscaux).

Qui choisissent le président et qui décrètent si il est nul, fou, inactif, digne de sa fonction ou pas, etc.

Et les moutons répètent en choeur.

De nos jours : Hollande est nul. Allez, répétons tous en choeur : Hollande est nul, Hollande est nul, Hollande est nul...

Lien vers le commentaire

Il est nul en effet, l'Express et Le Point le disent c'est que cela doit être vrai.

D'ailleurs de même, Sarkozy est un dictateur fou qui va détruire la république et la démocratie, c'est ce que ces mêmes journaux disaient il y a 5 ans.

Decidement, prendre les autres pour des abrutis semble devenir ta specialite. Je me demande ce qui te pousse a pondre ce genre de reponse... je penche pour l'ennui et le tournage de pouces.
Lien vers le commentaire

Consensuel, Hollande ? SI tu entends par là qu'il n'a pas son pareil pour rassembler contre lui, tu as raison. Dans vos analyses, vous êtes quand même nombreux à oublier le contexte économique actuel très mauvais et sa probable dégradation à venir.

 

Je maintiens mon pari, il sera contraint de partir ou de dissoudre d'ici à la fin de l'année 2015 au plus tard. Rendez-vous donc d'ici deux ans et même un an, pour juger de la pertinence de nos pronostics respectifs :icon_wink:

 

 

J'envoie cette quote à mon moi du 30 décembre 2015.

Si tu as tort, il te dira : "Je t'avais bien dit le 11/12/2013 que Hollande irait au bout."

 

http://www.futureme.org/

Lien vers le commentaire

Etat <> Pays.

Et les gens sous perf' d'argent public, c'est partout pareil, dans presque tous les pays de l'OCDE. Un peu plus en France, mais pas tant que ça.

*kof* JVM *kof*

Il me semble reconnaître des personnalités (belges) de ce forum. Tu triches. ;)

 

Voo est un provider Internet Belge.

So en effet, je crois qu'il y a triche.

Lien vers le commentaire
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...