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L'identité sexuelle des enfants


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C'est pas vraiment un vestiaire, c'est pour se changer seul. Moi je n'aime pas la promiscuité des vestiaires, alors j'en aurai bien profité.

 

tu me fais penser a CSP et a d'autres avec ta peur des vestiaires et des salles de sport.Il y a un sacre complexe avec ca en fRance.

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  • 3 weeks later...

Info ou intox ?

« Papa porte une robe » dans le programme CP-CE1 !  

 

Nous y voilà : le livre « Papa porte une robe » vient de faire son entrée dans les programmes de l’Éducation Nationale pour les classes de CP et CE1. Du mariage gay à l’indifférenciation, en passant par la théorie du genre : la décadence, c’est maintenant !

Que dire ? Il est compliqué de commenter ce nouvel affront du système socialiste au bon sens et à l’humanité.

Dans le système scolaire le plus cher du monde et l’un des plus inefficaces, où le taux d’enfants ne sachant pas lire et écrire en entrant en sixième est ridiculement élevé, il était nécessaire, que dis-je urgentissime, d’apprendre à nos enfants à aimer les travelos !

Donc, les enseignants devront s’appuyer sur l’histoire de cet homme qui décide de mettre des robes afin d’inculquer aux jeunesses socialistes qu’il faut « déconstruire les stéréotypes ». A 6 ans, avant même qu’on leur ait appris à construire quelque chose, les enseignants apprennent donc à nos enfants à « déconstruire ». Tout un programme nihiliste pour faire de nos têtes blondes de véritables machines à consommer perdus qu’ils seront dans un monde où il leur sera interdit de construire toute forme de schéma, toute hiérarchisation des valeurs, sous peine d’être considérés comme des « stigmatiseurs ».

Que notre belle éducation nationale dont l’actualité n’est pas florissante et où la pédophilie est bien plus fréquente que chez les curés tant décriés par les socialos, apprenne à nos enfant à lire et à écrire. Leurs parents s’occuperont de leur expliquer ce qu’est un travesti et de leur dire s’ils le souhaitent qu’il s’agit d’un modèle déviant à éviter ou bien qu’il s’agit de formidables exemples à suivre et que rien n’est plus souhaitable que de se faire enfiler dans les toilettes d’un bar de nuit de Pigalle avec sa robe et ses portes jarretelles.

Dire qu’on nous jurait que la loi orwellienne de Taubira condamnant l’homophobie de dame nature n’aurait aucune conséquence sur notre société…

 

papa_porte_une_robe.jpg

http://24heuresactu.com/2013/05/23/papa-porte-une-robe-dans-le-programme-cp-ce1/
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Info ou intox ?

En meme temps c'est coherent, apres avoir flingue les capacites des gamins a pouvoir reflechir par eux-memes, on tente de detruire les reperes de bases.

Ces idiots utiles vont parvenir au meme resultat qu'avec le matraquage sur la shoah: au mieux un desinteressement, au pire un rejet complet du sujet. Qu'est-ce que les gamins peuvent bien en avoir a f***** des theories sur les genres. wtf.

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Info ou intox? Ce n'est pas ça la question.

 

D'abord, la question c'est : l'article que tu cites est-il un bon article, relève-t-il du bon journalisme? La réponse est non, c'est de la merde. C'est du niveau blog d'un mec qui s'est levé du pied gauche. Aucun fait, aucune analyse, rien, du vent, du vent, du vent.

 

Ensuite, une photo : c'est quoi cette photo? Elle représente quoi?

 

Enfin, on regarde dans le BOEN, et on ne trouve rien : https://www.google.fr/search?q=bulletin+officiel+de+l'%C3%A9ducation+nationale+papa+porte+une+robe&rlz=1C1ASUT_frFR506FR506&aq=f&oq=bulletin+officiel+de+l'%C3%A9ducation+nationale+papa+porte+une+robe&aqs=chrome.0.57.11541j0&sourceid=chrome&ie=UTF-8#rlz=1C1ASUT_frFR506FR506&sclient=psy-ab&q=bulletin+officiel+de+l%27%C3%A9ducation+nationale+%22papa+porte+une+robe%22&oq=bulletin+officiel+de+l%27%C3%A9ducation+nationale+%22papa+porte+une+robe%22&gs_l=serp.12...21047.22777.0.23984.2.2.0.0.0.0.76.119.2.2.0...0.0...1c.1.14.psy-ab._URJ0_ePJaI&pbx=1&bav=on.2,or.r_cp.r_qf.&bvm=bv.47008514,d.ZGU&fp=acc2c07a24493df4&biw=1366&bih=681

 

 

Hypothèse la plus vraisemblable : il s'agit d'un événement qui est arrivé dans une école en France, la photo amateur semble l'indiquer. Cela ressemble à du matériel pégagogique qu'un parent d'élève a photographié.

 

Cela concerne donc un établissement sur les 65 000 établissements français.

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En meme temps c'est coherent, apres avoir flingue les capacites des gamins a pouvoir reflechir par eux-memes, on tente de detruire les reperes de bases.

Ces idiots utiles vont parvenir au meme resultat qu'avec le matraquage sur la shoah: au mieux un desinteressement, au pire un rejet complet du sujet. Qu'est-ce que les gamins peuvent bien en avoir a f***** des theories sur les genres. wtf.

 

Et après on va dire que j'exagère en parlant de lopettisation et d'augmentation du contrôle social.

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Ah, l'école républicaine, ce mélange si particulier de "on va mettre un drapeau devant toutes les écoles" et "on va détruire les méchants stéréotypes réactionnaires".

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  • 2 months later...

Désolé d'avance pour la source
 

Aux États-Unis, un camp pour "enfants LGBT"

Par la rédaction d’E&R

On se souvient de la mine réjouie de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et de Dominique Bertinotti, ministre déléguée à la Famille devant des enfants victimes d’une expérience au sein de la crèche Bourdarias, à Saint-Ouen, destinée à "lutter contre les stéréotypes de genre qui assignent les enfants à des rôles différents en fonction de leur sexe".


1c-creche-bourdarias-2-93a26.jpg

Le changement (de sexe) : c’est maintenant ?

 
Mais aux États-Unis, on tient à rester précurseur dans la décadence... Ainsi, durant trois années, la photographe militante Lindsay Morris a suivi durant chaque été, un "Gender Camp" où durant quatre jours, des parents adeptes de la "théorie du genre" amènent leurs garçonnets dans "un refuge" où ces derniers peuvent exprimer librement leur féminité, loin des stéréotypes virils.
Dans ce camp, ont lieu notamment des défilés de mode où les petits garçons peuvent se maquiller et porter robes, talons hauts et sacs à main et adopter des manières féminines (visionnent-ils aussi, Michel Serrault-Zaza dans la "Cage aux folles" ?).
Lindsay Morris ne tarit pas d’éloges et se pâme d’enthousiasme devant ces enfants qui préparent leurs robes "avec leurs mères ou en famille", elle déclare :
"Ces garçonnets se questionnent dans leur vie quotidienne sur leur orientation, le camp est un endroit idéal pour exprimer ses craintes car nous entendons tant de tragédies au sujet des enfants LGBT qui sont victimes d’intimidation et frappés par la dépression et le suicide. Mon projet artistique est de représenter l’esprit de ces garçons quand il brille".
Flairant le bon filon "dans l’air du temps", Lindsay Morris espère un jour être en mesure de lancer une tournée mondiale de spectacles avec ces "jeunes LGBT" qui bien sûr, fera d’abord le tour des États-Unis… puis de créer une fondation pour financer le déplacement et le séjour au camp des plus défavorisés d’entre eux...
Un petit business qui devrait se poursuivre puisque Lindsay Morris a pour projet de suivre ces enfants au cours des années et d’assister à leur évolution vers l’âge adulte.
La dégénérescence sans fin de la société états-unienne étant un modèle pour nos "Young leaders" français, on imagine que cette expérience de ’’Camp du Genre’’ devrait arriver chez nous très bientôt (animé par le styliste et mannequin Vincent Mc Doom ?)
À noter que selon le site style.lesinrocks.com : ces clichés sont "joyeux, très émouvants"...
Voici quelques-uns des clichés pris par Lindsay Morris (l’intégralité est visible ici) :

http://www.egaliteetreconciliation.fr/Aux-Etats-Unis-un-camp-pour-enfants-LGBT-19456.html

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  • 1 month later...

 

My Son Wears Dresses; Get Over It

 
A lot of marriages don’t survive raising a gender-creative son who is, statistically speaking, most likely going to be gay or transgender as an adult. I wish I could to talk to those men. I wish I could be there for their kids.
 
I've been a police officer for more than 15 years. I've been a detective and now I’m a senior officer who trains the new recruits out on the street. Before that I was a firefighter. Before that I played football in college after playing baseball and football in high school, and lettering my sophomore year. I like beer, classic trucks, punk music, riding my motorcycle and catching the game with my buddies. I’m a stereotypical “guy’s guy” and hyper-masculine to a lot of people, I guess. Which may be why it surprises them when they find out that my son wears dresses. And heels, and makeup. It surprises them even more when they learn that I’m cool with it. And at this point, I wouldn't want him to change. Because, if my son liked boy stuff and dressed like a boy, he wouldn't be my boy, he’d be like a stranger.
 
I grew up in a sports-oriented family. My father was a high school football and baseball coach and my mother was a professional surfer. I had one brother. Growing up, I don’t remember homosexuality or gender being discussed in my house. No negative talk. No positive talk. No talk about it at all. My brother and I are straight. It appeared that all of my extended family and my parents’ friends were straight. I thought that that’s how it went. Then, at 18, I met my future wife and she introduced me to her brother. He was the first openly gay person I had ever met. He was cool, and who he chose to love or get physical with was none of my concern. That didn't matter to me. All that mattered was that I thought his sister was hot. I focused on that.
 
To me, loving a child who is different, a target and seen as vulnerable is my role as a father and decent human being.
But, being an athlete, a firefighter, and a cop, I have spent a lot of time in locker rooms and around guys who dish out homophobic slurs like turkey on Thanksgiving. Faggot. Queer. Gay. Homo. Cocksucker. I started to notice the slurs more after I met my future brother-in-law. Then, I had a son who—as he describes himself—only likes girl stuff and wants to be treated like a girl, and those insults started to get under my skin in a new way.
 
Sometimes I’ll call people out when they use them.
 
“Bro, I was just joking. You know I was kidding. What’s your problem?”
 
Those are the responses I get. 
 
Here’s the thing. When you use those words as a way to degrade or get the upper hand on someone, you are implying that to be a man who is gay or effeminate is to be “lesser than.” Now, when I hear those words, I feel like you are calling my son and people like him “lesser than.” I won’t stand for that. Get a dictionary. Learn some new words.
 
I don’t tell most of the guys who I work with at the police department about my son. It’s none of their business and I don’t trust them with the information. I don’t trust what they might think or say behind my back when they should just say it to my face. I don’t trust them with a kid as kick-ass and special as mine. 
 
My close friends know. And I know that they are my close friends because they don’t give a shit. They don’t care what toys my son likes or how he chooses to dress. They just care that he is happy and healthy and that I’m being a good dad.
 
I've slipped at times and told some of the other guys in my life.
 
“Man, how do you deal with that? I couldn't do it. Not in my house,” they've said.
 
What does all of that mean? You couldn't parent a kid like mine? You’d be his first bully and “make him a man?” To me, that makes you less of a man. Much of the time when I confront such people they immediately begin to backpedal and try to move on. I’m not afraid of this discussion and many don’t choose to argue with me or defend their position.
 
To me, loving a child who is different, a target and seen as vulnerable is my role as a father and decent human being. He’s just as special to me and loved by me as my oldest son, whose most prized possession is a pocketknife, who plays football, likes fart jokes, and is starting to notice girls.
 
I want to love him, not change him.
 
I’m a father. I signed on for the job with no strings attached, no caveats, no conditions. I can name every Disney Princess and her movie of origin. I've painted my son's nails and rushed to remove it when he was afraid that he would get teased for wearing it. I didn't want to remove it, I wanted to follow him around and stare down anybody who even thought about teasing him. I only removed it because he started to have a panic attack. It was his decision and if he wants to edit himself to feel safer, I’ll do it. Every time. No questions asked. 
 
My wife started a blog about raising our son who is a girl at heart. At first, I didn't really think anybody would read it. They did, and she started to get emails from parents who are raising a son like ours. My wife calls C.J. "gender creative." Most people choose the more negative connotation and call him gender non-conforming or gender dysphoric. 
 
Some of the emails she gets come from dads who are struggling. I feel bad for every single one of them. I've been there. I've struggled. A lot. But I've also evolved. A lot.
 
She’s gotten emails from more moms than I can count who are now raising an effeminate boy alone because the dad couldn't deal. It pisses me off, but I know that it’s the reality. A lot of marriages don’t survive raising a gender-creative son who is, statistically speaking, most likely going to be gay or transgender as an adult. I wish I could to talk to those men. I wish I could be there for their kids.
 
My wife also gets a load of emails from people asking where our son’s father is, as though I couldn't possibly be around and still allow a male son to display female behavior. To those people I say, I’m right here fathering my son. I want to love him, not change him. My son skipping and twirling in a dress isn't a sign that a strong male figure is missing from his life, to me it’s a sign that a strong male figure is fully vested in his life and committed to protecting him and allowing him to grow into the person who he was created to be. 
 
I may be a “guy’s guy,” but that doesn't mean that my son has to be.

 

http://www.theatlantic.com/health/archive/2013/09/my-son-wears-dresses-get-over-it/279333/

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J'ai l'impression que l'identité sexuelle ne marche que dans un sens : le garçon devient fille (ou tend à devenir fille), et très rarement (voire jamais) l'inverse. L'émasculation est-elle un fantasme féminin ou un fantasme socialiste ?

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Non c'est juste plus courant dans ce sens là à cause des particularités du développement mâle, sachant que le développement femelle est le "par défaut" humain et donc plus 'robuste' comme process.

On avait pas mal parlé récemment du fils f2m de Cher, d'ailleurs.

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+1. Ton meilleur post jusqu'ici, cité dans son intégralité pour que les générations futures s'aperçoivent que tu n'écris pas que des conneries. Il t'arrive aussi (trop rarement) de t'abstenir.
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