Aller au contenu

Je raconte my life 6 - Lamentations & fleurs de lol


FabriceM

Messages recommandés

Le franchissement de la frontière nationale s'accompagne d'une forme de soulagement, comme le fait de se sentir un peu plus chez soi !

Je me demande s'il s'agit uniquement d'un effet psychologique, ou bien si le corps reconnait sa maison.

Lien vers le commentaire

Quand tu arrives dans les environs de chez toi, dans le paysage, okay. Mais la frontière, ça me fait ni chaud ni froid.

J'ai déjà ressenti comme Poe le plaisir de se retrouver déjà un peu chez soi après un poste frontière. (Il faut dire que je suis frontalier aussi, quitter le Luxembourg à destination de Biarritz ne procure peut être pas les mêmes sensations.)

Ça me met en joie aussi de voir le panneau "Lorraine" quand je prends l'autoroute A4, où quand je quitte la Belgique en arrivant à Lille.

Lien vers le commentaire

Ben t'es pas jouasse toi quand tu rentres chez toi après tes vacances chez tes beaux parents en Franchoullie ?

On a cru comprendre que si.

 

mais c'est au Canada! j'aodre ca parce que c'est Wonderland et que je reviens de depressionland,

anyway keskonsenfou

Lien vers le commentaire

J'ai ça quand j'arrive dans les environs de Nantes et Bordeaux, où j'ai passé de longues années. L'inclinaison des toits, la végétation, les cours d'eau, les noms de villes familiers, l'apparence des voyageurs embarquant dans le train aux gares d'étapes, toutes ces choses qui me font penser "je suis d'ici".

Lien vers le commentaire

J'ai déjà ressenti comme Poe le plaisir de se retrouver déjà un peu chez soi après un poste frontière. (Il faut dire que je suis frontalier aussi, quitter le Luxembourg à destination de Biarritz ne procure peut être pas les mêmes sensations.)

Ça me met en joie aussi de voir le panneau "Lorraine" quand je prends l'autoroute A4, où quand je quitte la Belgique en arrivant à Lille.

 

Seulement en raison d'un panneau "Lorraine" ? 

 

 

 je reviens de depressionland,

 

 

Forcement, tu fréquentes Paris et la Provence, les gens sont terriblement français dépressifs dans le sud.

 

 

 

 

 

 

Blonde+sous+pression.jpg

Lien vers le commentaire

je frequente la Bretagne et la Provence, je vais plus a Paris, surtout parce que je n'ai plus besoin d'y passer pour les avions/trains.

Les gens de Bretagne et de Provence se la racontent regional bien sur, mais ils sont exactement les memes: des froncais.

Je n'ai plus la joie de revoir la Bretagne et de relire les noms de bleds merdiques qui ont signifie avant tout pour moi l'isolement campagnard a l'adolescence, et le nombrilisme provinchouille pendant trop longtemps.

La Provence je m'en fous je deteste la montagne.

J'y vais pour la famille et 2km2 de terre, un chemin et une plage, le reste peut bien aller se faire voir.Je lutte pour trouver quelque chose qui me manque.

Ah si.Les vagues, et les bateaux.

Lien vers le commentaire

je frequente la Bretagne et la Provence, je vais plus a Paris, surtout parce que je n'ai plus besoin d'y passer pour les avions/trains.

Les gens de Bretagne et de Provence se la racontent regional bien sur, mais ils sont exactement les memes: des froncais.

Je n'ai plus la joie de revoir la Bretagne et de relire les noms de bleds merdiques qui ont signifie avant tout pour moi l'isolement campagnard a l'adolescence, et le nombrilisme provinchouille pendant trop longtemps.

La Provence je m'en fous je deteste la montagne.

J'y vais pour la famille et 2km2 de terre, un chemin et une plage, le reste peut bien aller se faire voir.Je lutte pour trouver quelque chose qui me manque.

Ah si.Les vagues, et les bateaux.

 

image-7.gif

Lien vers le commentaire

Je n'ai plus la joie de revoir la Bretagne et de relire les noms de bleds merdiques qui ont signifie avant tout pour moi l'isolement campagnard a l'adolescence, et le nombrilisme provinchouille pendant trop longtemps.

+1

La campagne à l'adolescence c'est vraiment la galère, et je n'éprouverais aucune nostalgie à retourner dans un des ces patelins paumés. Je suis sûr que je retrouverais le tout au mieux inchangé, mais plutôt certainement en état de déliquescence économique avancée. Je me sens beaucoup plus chez moi à l'étranger, mais dans une ville, que dans le pays où j'ai grandi, à la campagne.

Lien vers le commentaire
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...