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Images pas cool, justice sociale & steaks saignants


Lancelot

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http://everydayfeminism.com/2016/05/teaching-consent-doesnt-matter/?utm_content=bufferffdcc&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer

 

Attention, on lui a inculqué le patriarcat et la rape culture de façon très violente.

 

 

Lesson #1. Three Years Old: ‘You’re Not Allowed to Say No’ 

[elle présente son cousin Angelo, 3 ans comme elle]

 

And so, whenever it was time to leave one another, they, innocently enough, would say, “Angelo, give Sophia a kiss!” And my mood would immediately dampen.

 

Because I hated when Angelo would give me a kiss. With the fire of a thousand suns, I hated it.

 

That cute little pout that everyone loved on him was always shining with drool. He’d always kiss me with a wet smack that made me grimace, and so I tried to get out of it whenever I could.

 

Sometimes, that meant attempting to avoid the situation altogether (which is kind of hard when you’re a baby and can’t just be like, “OH. Look at the time! Gotta run!”). Sometimes, that meant ignoring their requests or walking away from them. Sometimes, that meant outright saying “no.”

 

And each protest would end in the same way: “Awww, come on, Sophia, give Angelo a kiss!” And then they would erupt in cheers when, knowing I had no other options, I suffered through it.

 

And this behavior – this forcing of children to be physically intimate with people in their families, despite their own discomforts – is so common that I can already imagine people reading this and rolling their eyes at my insistence that this perpetuates rape culture.

But I learned early on that my refusal would be met with insistence, and that the only way out of it was to close my eyes and acquiesce.

So when your baby tells you no, or otherwise indicates a discomfort with or avoidance of a particular person or situation, trust that they know themselves better than you do – and remember that their bodies belong to them, and only them, even when they’re so small.

 

Elle a souffert. C'est affreux.

 

Ensuite, à 10 ans, au lac avec ses cousins, ils lui ont jeté de la boue et lui en ont mis dans son maillot de bain.

Ses parents n'ont fait que crier "leave the girl alone", alors que c'était très très très grave.

 

Patriarchy.

 

 

That day, we walked by a group of contractors sitting on a stoop, eating their afternoon meals from paper bags with dirty hands. I’m old enough now, and have acquired enough lived experience, to know that this is a scene where I grit my teeth, repeating “Don’t talk to me, don’t talk to me” inside my skull. But this was my first time, and I didn’t know what to expect.

To be honest, I don’t remember what they said to us. It was one guy in particular who sexualized us with his words, the rest of them hooting and hollering behind them, affirming his masculinity.

What I remember most is what happened next: Claire shooting two middle fingers high into the air as we walked away, the guy shouting back “Stick ‘em up your ass,” and Claire swiveling around to retort, “Better than having your dick up there!” And then we ran home.

It was the first time I’d hurried away from a strange man with the fear of being raped beating wildly in my heart – although it wasn’t the last.

 

Dans la rue, des gars sont posés en train de manger leur déj pendant leur pause déj.
Un gros lourd dit un truc sexiste. L'autre fait deux doigts d'honneur ; le mec répond de se les lui foutre au cul.
On a frôlé le viol.

Là, soudain, sa mère dit :

 

 

And when I got home, I was so shaken that all I wanted was my mother. So I picked the phone up off the wall, dialed her work number frantically, and waited for her to answer.

After I explained what had happened – leaving out a few of Claire’s choice phrases – my mother was sympathetic for a moment, mostly to my immediate need to be reassured that I was safe now. But then she told me something that has stuck with me ever since, that may have been a major turning point in my life.

 

She said, “I had to deal with that when I was younger. And so did your grandmother. And so did all of us, back and back and back. It’s the price you pay for being a woman in this world.”

And I had never felt so defeated.

 

I get it: My mother was trying, in her own way, to let me know that this wasn’t my fault – that this was something that men do to women, that this was an issue much bigger than myself.

 

 

 

Voilà. C'était éprouvant. On sent tout le poids du patriarcat, ici. Atroce. Affreux. Insoutenable. Ignoble.

Heureusement que les féministes sont là pour nous apprendre à respecter le "non" d'un enfant de 3 ans, qui sait mieux que les adultes ce qui lui convient, à appeler la police si des enfants font les cons & à généraliser à tous les hommes le comportement d'un lourd sexiste (qui a tenté de la violer puisqu'il a fait une remarque sexiste).

 

 

 

Autre sujet, un petit dessin pour expliquer le white privilege :

 

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J'ai juste dit ça pour info. Comme vous vous plaignez tout le temps de ne jamais savoir qui écrit les messages sur les tweets ou autre j'ai cherché pour vous sauf qu'on ne peut plus voir le tweet d'origine. I.e. mon post ici.

De rien bande de malotrus.

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J'ai juste dit ça pour info. Comme vous vous plaignez tout le temps de ne jamais savoir qui écrit les messages sur les tweets ou autre j'ai cherché pour vous sauf qu'on ne peut plus voir le tweet d'origine. I.e. mon post ici.

De rien bande de malotrus.

 

Tu as triggered Lancelot.

Il est sensible.

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Tu as triggered Lancelot.

Il est sensible.

A la limite de l'hystérie sur certains sujets dirais-je même. :mrgreen:

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Non en vrai je suis d'humeur égale et ma remarque se voulait juste factuelle. Mais j'ai été obligé de voir plein de gens la semaine dernière donc je suppose que mon capital social est épuisé et que j'émets de mauvaises ondes par réflexe autoconservateur.

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Non en vrai je suis d'humeur égale et ma remarque se voulait juste factuelle. Mais j'ai été obligé de voir plein de gens la semaine dernière donc je suppose que mon capital social est épuisé et que j'émets de mauvaises ondes par réflexe autoconservateur.

Ah putain moi aussi. Des confs, des réunions, du coup j'ai posé mon vendredi. Là y'a personne donc je récupère mais dans le doute, je pose la semaine prochaine.

 

c'est comme ca que je l'ai lue

Oui moi aussi. Mais franchement, l'incompréhension a fait revenir à la mode l'insulte "malotru".

Du coup, tout ça est très très positif.

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Le Monde.fr - « Race noire » : la formulation de l’alerte enlèvement fait polémique

Un bébé de quatre mois a été enlevé, mardi 18 octobre, à Grenoble par son père, selon la police, qui a déclenché une alerte enlèvement pour retrouver le nourrisson.

http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2016/10/19/race-noire-la-formulation-de-l-alerte-fait-polemique_5016086_1653578.html

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Le Monde.fr - « Race noire » : la formulation de l’alerte enlèvement fait polémique

Un bébé de quatre mois a été enlevé, mardi 18 octobre, à Grenoble par son père, selon la police, qui a déclenché une alerte enlèvement pour retrouver le nourrisson.

http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2016/10/19/race-noire-la-formulation-de-l-alerte-fait-polemique_5016086_1653578.html

 

Race noire, c'est un peu dur.

 

Il suffisait de dire que le suspect était un nègre...

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Vous n'êtes pas drôles.

Il est victime d'un système colonialiste, impérlaliste et capitaliste.

 

Il eût fallu dire qu'il s'agissait d'un "humain" afin d'éviter toute catégorisation fondé uniquement sur l'apparence de ses organes génitaux et de son physique.

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Il eût fallu dire qu'il s'agissait d'un "humain" afin d'éviter toute catégorisation fondé uniquement sur l'apparence de ses organes génitaux et de son physique.

C’est une discrimination spéciste envers les otherkin.

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D'ailleurs, tout le monde se formalise de cette histoire de race noire alors que dès les premières lignes de l'alerte, on assigne à son enfant un rôle genré : "petite fille" alors qu'elle n'a même pas 4 mois ! On lui a demandé si il/elle/iceux/Cthulhu voulait être une petite fille ? Je vais ouvrir un(e) Tumblr(e).

 

Et ce couffin rose. Quelle assignation genrée. Le père frappe la maman ; un couffin rose. Et quelqu'un pour dire que le patriarcat n'existe pas ? Cet-te-tu enfant-t-t--t- devrait être placé-e-u pour son bien.

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