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Alcools


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188 membres ont voté

  1. 1. Je préfère...

    • Le cécémel (ou un truc équivalent, sans principe actif)
      14
    • Le cidre
      35
    • La bière
      88
    • Le vin
      86
    • Le whisky
      55
    • La vodka
      28
    • Le gin
      9
    • Un eau-de-vie à 70 degrés
      10
    • Ethanol absolu acheté industriellement et mélangé à un peu d'eau
      9
    • Acide sulfurique
      8
    • Anisette
      15
    • Apéros (porto,martini)
      22
    • Rhum
      8


Messages recommandés

Bières : leçons de dégustation

 

Quelques suggestions en période de coupe du monde où la consommation de bière bat son plein.

 

Je ne connais que deux biérologues en France : Hervé Marziou, le premier, et Élisabeth Pierre. Tous les deux dégustent, conseillent et font connaître la bière en France et à l’étranger. Si les sommeliers et les œnologues sont nombreux, les descripteurs de la bière sont en revanche très restreints. Peut-être que l’on pensait que cette boisson ne mérite pas d’analyses ou de commentaires, ou bien qu’on ne la prenne pas au sérieux. Il est vrai que la bière souffre d’un déficit de notoriété. Comme c’est une boisson peu chère, associée aux pizzas et aux frites, ainsi qu’aux terrasses d’été des bistrots, on n’imagine mal qu’il puisse y avoir des bières de garde et des types de très grande qualité. Face au vin, la bière souffrira toujours d’un complexe d’infériorité. Jules César, au temps de la guerre des Gaules, a tracé la ligne : d’un côté la civilisation, de l’autre la barbarie. D’un côté le pays où l’on boit du vin, de l’autre celui de la bière. Chez les Romains, la vigne est le symbole de la civilisation, de la culture, de l’aristocratie. La bière, boisson fermentée de céréales, demeure la petite boisson. Et c’est le vin que le Christ a choisi pour la transsubstantiation, non la bière. Même les bières d’abbayes n’ont pas réussi à élever cette boisson au niveau culturel du vin. Demandez aux Chinois et aux Japonais : ils rêvent de vin, non de bière. Quand il faut fêter un événement important, on débouche une bouteille de vin, on ne décapsule pas une canette de bière. La frontière culturelle, alimentaire et psychologique semble tracée de façon définitive.

 

Pour autant, la bière a ses chemins, ses histoires, et ses paysages. Lisez donc ces Leçons de dégustation d’Élisabeth Pierre. Le livre est admirablement bien fait. Les photos sont magnifiques, des paysages somptueux et des artisans au travail. On s’immerge dans l’art du brasseur et dans la beauté profonde des céréales fermentées et du houblon en fleur. On y découvre l’histoire de la bière, les secrets de la fermentation, les sagas familiales et des noms de grandes bières. Quelques adresses utiles pour découvrir de belles brasseries, à Paris et en province. Des mots justes pour s’initier au breuvage. Un parcours pédagogique pour s’immerger dans cette boisson.

 

Oubliez les mauvaises bières de supermarché, les fausses bières d’abbaye et les eaux houblonnées. Oubliez les boissons amères et infectes, les goûts de caramel et les colorants artificiels. Avec ce livre, vous entrerez dans le monde riche et passionnant des bières ; et c’est un amateur de vin qui en fait la promotion. Avec ce livre, la bière se dote d’un langage, d’une réflexion et d’une systématisation qui permet à cette boisson de gagner quelques lettres de noblesse. Il manque encore la littérature à la bière, les lettres et les arts, quelques tableaux, quelques chansons paillardes et frivoles, quelques bons mots et des livres décrivant les terroirs et les paysages brassicoles. Il manque encore beaucoup à cette boisson pour atteindre le niveau de profondeur et de densité du vin. Mais la bière vous surprendra, et vous pourrez découvrir les somptueuses différences entre les brunes, les blondes et les ambrées, les bières de Belgique, d’Angleterre, d’Irlande et de France.

 

Nous sommes en période de coupe du monde de rugby. Si la France gagne, on débouchera le champagne. En attendant, devant les matchs, abandonnez les mauvaises bières, ces boissons qui, d’ailleurs, ne méritent pas le nom de bière. Ouvrez une Westvleteren, une Karmeliet, une Paix de Dieu, une Orval, une Bombardier…

 

Le monde des bières est immense. Merci à ces passionnés de nous aider à y entrer.

 

 

 

Tant de franchouillisme et snobisme   :icon_surpris:

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Tiens Ashta tu connais des clubs de dégustation sur Lille ?

Je suis dégustateur certifié en vins j'aimerais suivre une petite formation pour faire un truc du genre en bières.

 

 

 

 

 

Bénifontaine : les Buveuses de bière en talons aiguilles ont parlé houblon à la brasserie Castelain

 

 

 

Non, la bière n’est pas qu’une histoire de mâles. Et non, la bière et le foot ne forment pas la seule association pour savourer le jus de houblon. Lundi soir, le club des Buveuses de bière en talons aiguilles du nord a une nouvelle fois battu en brèche les idées reçues.

 

L’association par définition conviviale (et ouverte aux hommes, même sans talons) a organisé une soirée dégustation chez l’une de ses fondatrices, Annick Castelain, propriétaire de la brasserie éponyme de Bénifontaine, près de Lens. Au menu : bière de printemps, fromage de chèvre, Beaufort, explications de la gardienne de la Ch’ti et appréciations d’une « zythologue » (comprendre biérologue). « Depuis 2011, on se réunit quatre à cinq fois par an, généralement à Lille, explique Annick Castelain. On a créé l’association nordiste après une réunion organisée à Lille par le club des Buveuses de bière en talons aiguilles par une styliste parisienne. Elle en avait assez que lorsqu’elle commandait une bière et un jus d’orange avec un ami à la carrure de rugbyman, le serveur lui servait le jus de fruit alors qu’elle avait pris la bière ! »

 

Sens en éveil

 

Le Nord – Pas-de-Calais étant une terre historique et Annick Castelain l’une des rares femmes brasseurs en France, la Bénifontainoise a pris la responsabilité du groupe, « avant tout pour promouvoir la culture de la bière de dégustation et le savoir-faire ». Le club revendique aujourd’hui plusieurs dizaines d’adhérentes et près de huit cents fans sur Facebook. « Pour nos rencontres, on invite les vingt premières qui répondent sur Facebook », indique la présidente. Comme lundi, des sympathisants, des brasseurs souvent, viennent compléter le groupe.

 

Après le chocolat, associé à la bière lors de la précédente soirée, c’est donc le fromage qui s’est fait mousser lundi. « Comme pour apprécier le vin, il faut utiliser le nez pour cerner les subtilités de la bière », guide la zythologue, Elisabeth Pierre. Le pouce et l’index saisissant le pied du verre, l’auditoire composé en majeure partie de « buveuses » s’exécute, découvrant un onctueux breuvage non-filtré, une bière noisettée et crémeuse, ou encore une autre fruitée et levurée. « La bière est plus subtile que le vin, les familles d’arômes sont plus nombreuses », glisse Elisabeth Pierre.

 

 

:chris:

 

 

 

 

Elle en avait assez que lorsqu’elle commandait une bière et un jus d’orange avec un ami à la carrure de rugbyman, le serveur lui servait le jus de fruit alors qu’elle avait pris la bière !

 

 

Tiens, je n'ai jamais rencontré cette situation dans le nord, par contre une fois dans le sud de la France, vers la Normandie, le problème est fréquent. 

 

 

 

 

 

Sinon (peut-être plus touristique):

 

Samedi 17 octobre, Lille

 

17h30 - 19h30 : Samedi 17 octobre, Bar Le Gastama (109-115 Rue St-André, Lille) - 25 €

 

4 bières dégustées

1 planche apéritive à partager

 

Samedi 17 octobre, nous vous proposons un cours de dégustation de bières artisanales dans un bar proposant un large choix de bières pression et bouteilles. Hostel et Bar, le Gastama est un endroit où se croisent toutes les nationalités. Si vous ne connaissez pas déjà l'endroit, vous serez séduits par le cadre chaleureux et la déco néo-industrielle qui mêle briques apparentes, métal, plancher aux lattes bien larges, bar en zinc...

Dans un espace dédié, nous vous accueillons autour d'une grande table pour 2h de dégustation, de convivialité, et de découvertes dans un esprit chaleureux. Ce cours de dégustation est ouvert et accessible à tous : néophyte, amateurs, connaisseurs. Chacun vient avec son bagage, partage ses connaissances. Vous aurez l'opportunité de découvrir 4 bières d'exception aux différences marquées (galopins de 15 cl), d'affiner vos connaissances, de découvrir vos préférences, de vous exercer à l'art de la dégustation en reconnaissant arômes et saveurs que recèlent les bières dégustées...

Fabrication de la bière, grandes familles de bières, art de la dégustation et histoire de la bière n'auront plus aucun secret pour vous ! Pour terminer la soirée dans une ambiance ludique, nous vous proposerons un quizz sur la bière, avec une bouteille de bière à gagner !

Réservations dans la limite de 15 personnes. 

 

 

http://www.echappee-biere.com/seminaire-entreprise-nord-Cours-degustation--fr--948--fiche?idfiche=1050#bas

 

 

BIÉROLOGIE

Samedi 17 octobre

Cours de 2h.

 

Découvrez à l'aide d'une sélection de bières industrielles et artisanales, l'histoire, la fabrication et les sensations issues de ce breuvage vieux de 10 000 ans.

 

Séance de Bièrologie animée par un artisan brasseur.

DATE DU COURS :  SAMEDI 17 OCTOBRE DE 10H30 À 12H30

 

 

 

http://www.lestoquees.com/bons-cadeaux-oenologie-et-bierologie/53-carte-cadeau.html

 

 

 

Ou tu peux toujours te renseigner à la Capsule ( tu y as déjà mis les pieds ?).

 

La Capsule, 23e meilleur bar à bière au monde, un travail guidé par la passion, mais sans pression

 

« La demande, à l'origine, est venue des touristes. » De prime abord, on dirait presque que ça ne leur fait rien à Franck Di Gregorio et Anthony D'Orazio que leur bistrot, La Capsule, ait été classé vingt-troisième meilleur bar à bière au monde par le site américain ratebeer.com. « On n'a pas attendu ça », relativise les deux cogérants qui n'auraient pas appris la nouvelle sans le SMS d'un ami, patron de bar à Bruxelles.

 

Mais tout de même, c'est « une reconnaissance », reconnaît Franck Di Gregorio, à la tête du seul café français du classement. Plus qu'un travail, elle honore la passion qui guide les deux copains depuis leur rencontre en prépa maths sup.

 

Il y a sept ans, ces prêtres ouvriers de la pédagogie appliquée à la trappiste ouvrent, rue des Vieux-Murs, l'Abbaye des saveurs, une épicerie fine qui vend le délicat breuvage. Les touristes avides de gastronomie régionale y défilent. Avec toujours la même question : « Où peut-on boire de la bonne bière locale ? » À deux pas de leur commerce dans le Vieux-Lille, quand le café Les Trois Mollettes ferme, les deux amis, avec deux associés, décident de reprendre le local de la rue du même nom pour en faire la Capsule. « Le jour de l'interdiction de fumer dans les bars », le 2 janvier 2008, Franck Di Gregorio et ses acolytes signent le bail d'un bar qu'ils veulent différent des autres. « Quand on a dit qu'on n'allait servir aucune des bières que l'on trouve traditionnellement dans les cafés, tout le monde nous a dit : "Mais vous êtes fous !" », se souviennent-ils. Même réaction quand ils décident d'arrêter la Karmeliet, raconte Anthony D'Orazio : « C'était notre meilleure vente. Mais on l'a arrêtée, on n'avait plus vocation à la faire connaître, elle l'était déjà assez. »

 

« Découvreur de bière »

 

De la Mikkeler « Texas Ranger », parfumée au piment, à la Fleurac, fabriquée dans le Cantal, des litres de bières plus originales les unes que les autres ont coulé des pompes de la Capsule. Une fierté pour Franck Di Gregorio, « découvreur de bière ». Et un succès, tout autant commercial - dans ce bar où le week-end il faut jouer des coudes pour arriver jusqu'au comptoir - que pédagogique.

Insérer une citation

« Les gens arrivent, ils lisent la carte et ils viennent à nous. C'est ça que l'on veut, explique Jean Morel, barman. Souvent, je leur demande de quoi ils ont envie. De quelque chose de fort, d'amer, ou au contraire d'un goût fruité. Et en fonction de ça, je les conseille.

» Un jour, l'un de ces clients, en ressortant de la Capsule, a inscrit le bar sur le site ratebeer.com. « Le site possède un algorithme qui fait une sélection des bars par le nombre de votants, explique Franck. Et c'est après qu'entrent en compte les notes. » La Capsule a eu vingt-six commentaires, dont celui de Tim Webb. « C'est un ponte de la bière amère, il a écrit un tas de livres à ce sujet », s'émeut presque Franck Di Gregorio.

Alors vingt-troisième meilleur bar à bière du monde et seul bistrot français de la liste : pas si mal que ça finalement. « Mais maintenant, il va falloir justifier cette place, pour la conserver. Et pouvoir grimper ! », s'enflamme Jean Morel.  

 

 

 

 

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Ah, bon ? Je n'aurais pas cru !

 

J'aime bien l'ambiance, qui me rappelle certains voyages, et la bière pression est bonne. Enfin, je préfère la terrasse à la salle, histoire d'être un peu isolé du bruit, qui peut être casse pieds au bout d'un moment. Mon ancien repère, la Sarthe, n'est plus que l'ombre de lui-même.

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  • 2 weeks later...
  • 3 weeks later...

Interdrinks, une société de Lille, a vendu 2.800 exemplaires de son coffret «Beery Christmas» 2015...

 

Il y avait déjà les bières de Noël, voici les calendriers de l’Avent « spécial bière ». Une jeune société de distribution lilloise, InterDrinks, lance cette année la deuxième édition de son éphéméride « Beery Christmas ». Le produit a trouvé son public : 2.800 exemplaires ont déjà été prévendus sur Internet.

 

Du 1er au 24 décembre, au lieu d’ouvrir chaque jour une petite case en carton contenant une prière (version caté), un chocolat (version gourmande) ou un Lego (version ludique), les amateurs pourront ainsi découvrir 24 bières artisanales.

 

Beery Christmas promet « 24 surprises » venues du monde entier, et fait la part belle aux petites brasseries de 800 à 10.000 hectolitres par an (à titre d’exemple, la production de Trois-Monts atteint 35.000 hl/an). « Certaines des bières du coffret ne sont vendues nulle part en France », assure InterDrinks.

 

 

 

&

 

 

La Guinness devient « vegan-friendly »

 

Aussi surprenant que cela puisse paraître, il y avait bien, jusqu'à présent, des traces de poisson dans la Guinness. Plus pour longtemps. La marque, propriété de Heineken, vient de s'engager, à partir de 2016, à ne plus utiliser des vessies natatoires de poissons pour filtrer et éclaircir sa bière.

 

La Guinness était confectionnée ainsi depuis 256 ans, rappelle The Times, laissant de l'"ichtyocolle", ou colle de poissons, dans sa version finale. Or ce composant n'affectait "ni le goût, ni la texture", affirme l'une des pétitions qui demandait la fin de ce processus pour que la Guinness soit compatible avec le mode de vie végane, qui ne consomme aucun produit animal ou issu de l'exploitation des animaux.

 

 

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2015/11/02/la-guinness-devient-vegan-friendly/

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  • 3 weeks later...

How do you smuggle 48,000 cans of Heineken into Saudi Arabia? Disguise it as Pepsi.

 

 

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Legally, alcohol is banned in Saudi Arabia. In reality, however, there are people in the country who drink.

 

 

If you're wondering how exactly they actually get that alcohol, consider the multiple reports in the Saudi press today that describe how the Saudi authorities at border with United Arab Emirates caught a man with 48,000 cans of Heineken – all disguised as Pepsi cola.

 

“A truck carrying what first seemed to be normal cans of the soft drink Pepsi was stopped and after the standard process of searching the products, it became clear that the alcoholic beers were covered with Pepsi’s sticker logos,” Al Batha border General Manager Abdulrahman al-Mahna was quoted as saying, according to Al Arabiya News.

 

 

https://www.washingtonpost.com/news/worldviews/wp/2015/11/12/how-do-you-smuggle-48000-cans-of-heineken-into-saudi-arabia-disguise-it-as-pepsi/

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  • 2 weeks later...

Bah ce sont les français qui ont lancé la vigne là bas.

 

C'est pas une raison ça Mathieu, c'est pas une raison. Quand on appelle le pinard par le cépage et pas par le domaine, c'est qu'on n'a aucune idée de l'impact d'un cailloutis bien aéré ou d'une exposition particulière sur un vin. Dans ce cas là on fait pas du vin. On fait du tricot.

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C'est pas une raison ça Mathieu, c'est pas une raison. Quand on appelle le pinard par le cépage et pas par le domaine, c'est qu'on n'a aucune idée de l'impact d'un cailloutis bien aéré ou d'une exposition particulière sur un vin. Dans ce cas là on fait pas du vin. On fait du tricot.

Oula le mono-cépage c'est une tendance lourde sur le marché. (Mais le monde méditerranéen - au sens large - et ses douze mille cépages pisse à la raie du reste du monde sur ce sujet rassure toi.)

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C'est pas une raison ça Mathieu, c'est pas une raison. Quand on appelle le pinard par le cépage et pas par le domaine, c'est qu'on n'a aucune idée de l'impact d'un cailloutis bien aéré ou d'une exposition particulière sur un vin. Dans ce cas là on fait pas du vin. On fait du tricot.

+1

 

C'est un truc qui m'agace assez d'appeler un vin un Syraz ou un Merlot. Surtout qu'ils n'ont pas l'air de piger le concept de mélange, qu'un vin ce n'est jamais 100% un seul cépage.

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+1

C'est un truc qui m'agace assez d'appeler un vin un Syraz ou un Merlot. Surtout qu'ils n'ont pas l'air de piger le concept de mélange, qu'un vin ce n'est jamais 100% un seul cépage.

L'assemblage c'est la vie mais un pinot noir, un pinot gris, un chardonnay, un riesling, un muller-thurgeau ou un auxerrois peuvent vivre seuls, hein.

(Pour ne citer qu'eux.)

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Sans même parler d'assemblage, tu peux faire du mono cépage sur des argiles de l'oligocène, tu auras de la villageoise. Tu peux aussi le faire sur des schistes carbonifères de la Montagne Noire et tu peux faire quelque chose de délicieux. Pareil avec les cailloutis valanginien des environs du Pic Saint Loup. Et puis tu peux pas faire ça n'importe ou. Il y a l'orientation et la pente de la vigne. Bref c'est un métier et c'est pour ça qu'une bouteille de Syrah, ça veut rien dire.

Mais bon oui, la Méditerranée pisse à la raie du reste du monde... mais on se régale :D

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Sans même parler d'assemblage, tu peux faire du mono cépage sur des argiles de l'oligocène, tu auras de la villageoise. Tu peux aussi le faire sur des schistes carbonifères de la Montagne Noire et tu peux faire quelque chose de délicieux. Pareil avec les cailloutis villafranchiens des environs du Pic Saint Loup. Et puis tu peux pas faire ça n'importe ou. Il y a l'orientation et la pente de la vigne. Bref c'est un métier et c'est pour ça qu'une bouteille de Syrah, ça veut rien dire.

Mais bon oui, la Méditerranée pisse à la raie du reste du monde... mais on se régale :D

Mmmmmmh

Monocépager sur des éboulis du quaternaire ça peut faire des trucs sympas.

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