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Belgique, garnaalkroketten, stoemp & mitraillette


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C'était super chiant, je me suis retrouvé dans un bar avec une ardoise salée après un apéro chargé en vin blanc et en huîtres.

 

Faut que j'aille la payer aujourd'hui d'ailleurs.

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Excellente trouvaille pour obliger les Belges à épargner au lieu de dépenser en cette fin d'année

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/12/23/97001-20131223FILWWW00616-belgique-les-paiement-electroniques-en-panne.php

 

Je n'avais pas vu cette info tiens.

Moi qui avais pensé avoir trouvé un truc qui fonctionnait encore plus mal en Belgique qu'en France... mais c'était juste une panne. En tout cas, c'est incroyable le bordel que ça peut créer. C'était surréaliste les files d'attente devant les DAB... 

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  • 2 weeks later...

Bon, je vais en acheter alors. Après tout au pire si je trouve ça pas terrible ce ne sera pas si cher de l'expérience.

 

Ça m'a fait tiquer le marketing de la Deus. Champagne d'orge, vendu en coffret cadeau avec des verres à champagne. (43€)

 

'fin bon.

 

Je me dois de connaître.

 

Bon j'ai donc testé la Deus, bière champagnisée, trouvé 18 euros à l'Abbaye des Saveurs à Lille.

 

Belle complexité aromatique, des agrumes, des épices, du sucre candy. Ça fait un peu bière de Noël en moins sucrée en bien plus complexe.

C'est cependant trop fort en goût, trop puissant pour de la bière. On n'a pas envie de se resservir.

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Belgique Commissaire UCL jusqu’en mars, Philippe Charlier terminera sa carrière au sein de l’Ares.

Certes il y a dans ce dossier une part de “poto-poto” interne à chaque parti de la majorité Olivier (PS-CDH-Ecolo), on vous l’accorde. Toutefois, cette affaire met également en lumière d’autres éléments (tristement ?) révélateurs d’une loyauté parfois mise à mal de la part de certains politiques et/ou de certains “politisés” envers… leur propre parti.

Explications. Tout commence en juillet dernier lorsqu’une totale inconnue du nom de Sabine Seelmans (CDH), secrétaire du Collège des commissaires et des délégués au gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, décide d’introduire un recours auprès du Conseil d’Etat contre l’Ecolo Thierry Detienne, ancien ministre wallon, ainsi que contre le socialiste Karim Ibourki, actuel chef de cabinet du ministre-Président Rudy Demotte, par ailleurs secrétaire du gouvernement.

L’objet de son mécontentement  : la désignation rapidement effective et sans examen préalable des candidatures déposées (dont la sienne) des deux hommes en question aux postes très prisés – parce que très bien rémunérés notamment – de “commissaires-délégués auprès des hautes écoles et des écoles supérieures des arts (Esa)”. Pour rappel, il s’agit de ces personnes habilitées à exercer un contrôle sur un certain nombre d’écoles supérieures pour le compte du gouvernement afin de s’assurer, notamment, que les décisions du pouvoir organisateur (PO) et des institutions contrôlées respectent bien les règles légales et réglementaires.

Tu me donnes un poste par-ci, je te donne…

Mais voilà, et on vous passe les détails, alors que le poste convoité par Sabine Seelmans était historiquement destiné à un CDH/Segec (clef de répartition initiale), il aurait finalement été attribué, sur décision “collégiale” des partenaires de l’Olivier, à un Ecolo. Une façon de rééquilibrer les choses “au regard du poids politique de chaque parti dans l’Olivier” , expose-t-on dans les rangs de la majorité. Estimant avoir été traitée de façon inégalitaire, Mme Seelmans aurait ainsi introduit un recours… pour finalement le retirer quelques semaines plus tard.

“Promis”, à tout prix

 

Mais la saga politico-politique ne fait alors que commencer. Dans la foulée, une autre CDH, Véronique Charlier, déjà commissaire haute école elle, aurait été “encore un cran plus loin”, dénoncent plusieurs sources proches du dossier, en exigeant de son parti – le CDH, on l’aura compris – le poste que ce dernier lui aurait promis, précisément celui de “commissaire-délégué auprès de l’UCL”. Un poste plus prestigieux encore, parce que plus rémunérateur et octroyant davantage de pouvoirs, aujourd’hui occupé par Philippe Charlier (non, ils ne sont pas de la même famille), 63 ans, bientôt admis à la retraite et… CDH. Aïe. Délicat dès lors pour la CDH Véronique Charlier d’introduire un recours contre quelqu’un de son propre parti.

Ainsi, “de façon à mettre une pression maximale sur son président de parti, Benoît Lutgen”, nous confie-t-on, Véronique Charlier aurait trouvé une entourloupe consistant à brandir la menace d’un dépôt de recours contre l’actuel chef de cabinet du ministre Marcourt, le socialiste Toni Pelosato, ce dernier se voyant attribuer de facto le poste de “commissaire ULB” au 1er novembre dernier.

Une menace que l’intéressée ne mettra finalement jamais à exécution. Et pour cause, Véronique Charlier aurait obtenu le poste tant “promis” par son parti, pour une entrée en fonction en mars prochain. Le CDH aurait effectivement trouvé une astuce pour “recaser” Philippe Charlier, retraité en 2016, en lui créant un “poste ad hoc, un poste de garage”, lâchent certains, au sein de la nouvelle Ares, l’académie unique de recherche et d’enseignement supérieur. Quant à Sabine Seelmans, l’initiatrice (ou pas) de ces recours en cascade, nul ne sait ce qu’elle a finalement obtenu…

 

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Eric Van Rompuy (CD&V) a dû donner des accès d’urticaire à tous les négociateurs qui ont passé des centaines d’heures à déminer le dossier BHV (Bruxelles-Hal-Vilvorde). Dans une interview accordée au Knack, il revient sur sa période “BHV”, lorsqu’il militait pour la scission de l’arrondissement. Après des années de combat flamingant, il trouve que, tout compte fait, on aurait pu s’en passer.

 “Chaque année, j’ai participé au Gordel vêtu d’un T-shirt jaune affichant “Splitsen nu”, a-t-il confié à l’hebdomadaire flamand. Il y a dix ans, ce dossier a été amplifié, jusqu’à ce qu’un gouvernement tombe à cause de BHV. Et j’y ai donc collaboré. BHV a dominé la politique belge pendant six, sept ans. J’ai été furieux contre les francophones qui continuaient à dire non. Pas uniquement à la scission de BHV mais aussi à la réforme de l’Etat. Ils ont bloqué le pays, ce qui a provoqué un vide dans lequel la N-VA a sauté à pieds joints. Entre-temps, la circonscription électorale a été scindée – et c’est bien – mais je me demande si tout cela en valait bien la peine. N’ai-je pas contribué à faire des tonnes de ce qui a pratiquement entraîné un climat préséparatiste ?

 

 

Ce connard quoi.

 

Réponse : non. Voilà. C'est tout. Suffisait de demander.

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  • 2 weeks later...

Pendant que les extrémistes s'allient:

 

Marine Le Pen sur des tracts du Vlaams Belang

 

Filip Dewinter, l'une des figures de proue du VB, avait déjà annoncé auparavant que Marine Le Pen soutiendrait une éventuelle campagne dans le Hainaut.

 

Le Vlaams Belang pourra compter sur un soutien de Marine Le Pen, la présidente du FN français, dans sa campagne pour conquérir des sièges au parlement bruxellois. L'information devait être annoncée officiellement dimanche au congrès du parti, elle a été révélée dès vendredi par le site brusselnieuws.be. Mme Le Pen soutiendra la campagne sous forme d'un message vidéo, qui sera diffusé à un meeting le 3 avril. Elle apparaîtra également dans les tracts électoraux.

 

 

http://www.lalibre.be/actu/belgique/marine-le-pen-sur-des-tracts-du-vlaams-belang-52e267e93570ba3e184234e5

 

 

 

 

Les Belges monopolisent, en toute discrétion, le patrimoine culinaire du coin:

 

13 Foods That'll Make You Want To Visit Belgium

 

Visiting the country of Belgium hardly ever makes it on anyone's bucket list. This small country is nestled along the North Sea and is often overshadowed by its more romantic French neighbor to the south or the ever so thrilling city of Amsterdam above it. Belgium is getting the shaft -- and it's a real shame.

 

There are many reasons you could give to disregard this small and sometimes strange country altogether (and I say that with love and respect, as a Belgian citizen). Like the fact that this country's number one tourist attraction is a tiny statue of a little boy taking a piss. OR that the entire country and its residents are the butt of every French joke. OR that the residents are at such odds with one another they can't agree on a government (so they'd rather go without). But if you take a look at Belgium's regional cuisine, you'll see that the food is reason enough to make a trip to this extra rainy, yet beautifully forested country.

 

[...]

 

 

 

http://www.huffingtonpost.com/2014/01/21/belgian-cuisine-food_n_4617498.html

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Philippe sera-t-il un roi fort, dans la lignée de son oncle ? L'article du Nieuwsblad ci-dessous pourrait le laisser penser. 

 

http://www.nieuwsblad.be/article/detail.aspx?articleid=dmf20140204_011

 

On ne dit pas quelles sont les décisions prises par Albert que n'aurait pas prises Philippe, mais je suis plutôt satisfait de constater que ce dernier semble avoir la même opinion que moi de son père : un type qui a abaissé constamment sa culotte face aux politiciens. 

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Questions aux expat' français en Belgique.

 

J'ai terminé une mission de deux mois à Bruxelles.

Pour faire clair, je ne comprends pas ceux qui fuient l'Etat français pour se réfugier en Belgique.

 

J'y ai perçu encore plus de propagande gouvernementale qu'en France, des cris partout pour des délires sociétaux appliquées par l'une ou l'autre des administrations incompréhensibles, dans tous les sens.

 

Est-ce que c'est parce que je ne vois plus ces aspects en France ?

 

Niveau travail, en côtoyant des actuaires, j'ai pu constaté que la fiscalité était d'un niveau comparable à la France en complexité et en instabilité.

 

Je ne doute pas qu'on puisse trouver de multiples situations où la vie est meilleure est Belgique pour de nombreuses situations données. En vision macro cependant, il ne semble pas y avoir de grosses différences avec la situation française.

 

Je ne parle pas plaisir, je ne parle pas culture, je ne parle que de cet aspect emprise de l'Etat.

Pourquoi fuir la France pour aller en Belgique ?

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Ah oui, la Belgique n'a rien a envier de ce côté la à la France.

 

Mais je pense que, malgré tout, c'est quand même beaucoup plus "business friendly", je vois bien avec ma compagne qui est indépendante des deux côtés de la Frontière.

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non, c'est ça.

 

Le travail l'est beaucoup plus. A petit salaire (donc l'immense majorité des gens), il est bien plus intéressant de bosser en France.

Par contre, pour les cadre sup' et les professions très spécialisées, je ne serai pas étonnant qu'il soit plus intéressant d'être en Belgique. Au moins, c'est pas encore mal vu d'être riche, hormis au PTB (qui a ma grande peur, prend chaque jour un peu plus de place dans les médias) et à mon avis, les salaires doivent être attractifs. Mais c'est un a priori.

Autre avantage, il parait que c'est plus "fluide" et moins sclérosé à coup de copinage qu'en France.

 

Mais faudrait demander aux expats.

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Aussi? Les 3?

Non, l'IRPP est beaucoup plus assommant en Gelbique (les seuils des différents taux d'imposition ne sont pas indexés sur l'inflation, et donc une grande proportion de gens, notamment la classe moyenne-aisée, paie le taux maximal).
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Il y a un truc que les gens qui viennent en touristes ou pour quelques mois ne voient pas : les Belges sont bien plus pragmatiques et bien moins vérolés par la politique qu'en France. Les gens y votent socialistes, certes, mais ils savent tous que ce sont des pourris. En France, y'en a encore des brouettées qui pensent sincèrement qu'il y a des politiciens honnêtes et convaincus. Ajoutez à ceci l'aspect "business friendly" où l'indépendant ou l'artisan de PME n'est pas considéré a priori comme un exploiteur / salaud de patron, que le fait d'être riche est vu normalement (ni bien, ni mal) et que le pays soit réellement ouvert au reste du monde (plus de 80% du PIB de la Belgique provient de l'exportation de matières transformées), qu'on y parle souvent plusieurs langues et qu'on n'a pas cette prétention insupportable d'être le nombril du monde (un Belge arrogant parce qu'il est Belge, par exemple, j'en connais pas), ça fait un monde de différence.

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Je n'ai pas parlé de haine mais de méfiance, qui peut parfois aller jusqu'à la haine. Et c'est aussi un certain rapport de méfiance à l'argent.

Combien de fois j'entends les poncifs du style "sale bourge", "c'est à cause de l'argent", "toi t'as de l'argent donc de quoi tu te plains", les "riches exilés fiscaux qui trichent", "fils à papa", les "patrons nanani nanana" etc etc...

 

Tout ça pour dire que lorsque tu sais que les mentalités vont changer à ton égard et bien tu hésites peut-être plus avant de te lancer dans un business, et ça c'est un péage aussi dommageable que toutes les réglementations et taxes.

 

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  • 2 weeks later...

Nos Staliniens belges ne se cachent plus : https://www.facebook.com/charlie.lepaige

 

 

Le MR qui, par le voix de Reynders dans son dernier chef-d'oeuvre, se déclare favorable à la taxation au kilomètre. Pas très étonnant pour un système qui propose une solution individuelle qui fait payer de la même façon tous les utilisateurs sans tenir compte de leurs revenus. Au PTB nous préférons les solutions collectives qui permettent de défendre une politique à la fois écologique ET sociale.

 

 

On vous aura prévenu.

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Il y a un truc que les gens qui viennent en touristes ou pour quelques mois ne voient pas : les Belges sont bien plus pragmatiques et bien moins vérolés par la politique qu'en France. Les gens y votent socialistes, certes, mais ils savent tous que ce sont des pourris. En France, y'en a encore des brouettées qui pensent sincèrement qu'il y a des politiciens honnêtes et convaincus. Ajoutez à ceci l'aspect "business friendly" où l'indépendant ou l'artisan de PME n'est pas considéré a priori comme un exploiteur / salaud de patron, que le fait d'être riche est vu normalement (ni bien, ni mal) et que le pays soit réellement ouvert au reste du monde (plus de 80% du PIB de la Belgique provient de l'exportation de matières transformées), qu'on y parle souvent plusieurs langues et qu'on n'a pas cette prétention insupportable d'être le nombril du monde (un Belge arrogant parce qu'il est Belge, par exemple, j'en connais pas), ça fait un monde de différence.

 

Je pense surtout qu'il y a bien plus de menteurs en France qu'en Belgique. Attention, je vais définir menteur : il s'agit de ces petits arrangements avec la vérité qui font qu'on met de l'huile dans les rouages ou qu'on met du beurre dans les épinards.

 

 

On peut ainsi s'auto-intoxiquer, et attendre tranquillement son petit privilège : je vois bien que le logement social amène beaucoup de problèmes, m'enfin si je pouvais avoir un 100 m2 à Paris pour 500 euros par mois ça le ferait grave.

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