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[Sérieux] Immigration : questions et débats libéraux


Messages recommandés

C'est pas de l'accueil mais de la libre-circulation/installation. J'ai dit visa pas logements.

Ca ne marche pas comme ça.

Un réfugié qui se pointe n'arrive pas en parachute sur le Vatican. Il arrive par l'Italie (ou par ailleurs) et là, paf, c'est le pays d'entrée qui est responsable du suivi des visas. Et tant que le visa n'est pas émis, le réfugié ne peut pas être admis ailleurs.

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C'est pas de l'accueil mais de la libre-circulation/installation. J'ai dit visa pas logements.

Je ne pensais pas à du logement.

Le Vatican peut distribuer des visas à qui il l'entend. Mais il ne le fera pas car cela se passerait très mal.

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On commencera à rire quand la Grèce, au bord du gouffre, commencera à faire chanter massivement l'Europe avec ses migrants : "On veut des sous, sinon on distribue des visas !". :-°

 

Si c'est Tsipras qui fera ce chantage, j'ai hâte en effet^^

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La Turquie l'a déjà fait. Donc...

D'ailleurs il me semble que la Grèce réclame déjà plus de moyens. Le chantage aux pauvres et aux migrants grâce a la social-démocratie, tu peux pas test.

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La Turquie l'a déjà fait. Donc...

D'ailleurs il me semble que la Grèce réclame déjà plus de moyens. Le chantage aux pauvres et aux migrants grâce a la social-démocratie, tu peux pas test.

 

Oui, je m'étonne que les pays de transit n'utilise pas plus ce chantage pour faire cracher au bassinet les pays destinations. Les raisons pour lesquelles ils ne veulent pas se risquer à ce genre de marchandage m'échappent. J'aurais du mal à croire qu'il s'agit uniquement de grands principes éthiques...

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Ils ont peur que les autres pays ne cèdent pas et découvrent au final que l'immigration n'est pas plus problématique que cela et qu'en fait il n'y a vraiment aucune raison de céder au chantage.

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Oui, je m'étonne que les pays de transit n'utilise pas plus ce chantage pour faire cracher au bassinet les pays destinations. Les raisons pour lesquelles ils ne veulent pas se risquer à ce genre de marchandage m'échappent. J'aurais du mal à croire qu'il s'agit uniquement de grands principes éthiques...

 

 

Ils ont peur que les autres pays ne cèdent pas et découvrent au final que l'immigration n'est pas plus problématique que cela et qu'en fait il n'y a vraiment aucune raison de céder au chantage.

 

Il me paraît plus probable qu'ils craignent que les autres pays préfèrent les sacrifier. Ils sont tout à fait dispensables, au fond.

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Le gouvernement a plutôt bien réussi son opération de com' concernant Calais, le "démantèlement de la partie sud de la jungle" était devenu dans les médias nationaux "le démantèlement de la jungle" et il y avait des images de commerçants à la peine rencontrant Hollande. 

 

 

Depuis:

 

Migrants à Calais : jets de troncs sur la rocade, les autorités inquiètes

Publié le 19 avril 2016

 

Des migrants de la "Jungle" ont bloqué la rocade portuaire de Calais avec des troncs d'arbres dans la nuit de lundi à mardi, une nouvelle manière de bloquer les camions qui inquiète les autorités, a-t-on appris de sources concordantes.

 

"Des migrants ont de nouveau tenté de ralentir le trafic routier en déposant des branches sur la chaussée afin de se dissimuler dans les camions qui se rendent sur le port de Calais", a indiqué la préfecture du Pas-de-Calais.

 

Selon les autorités, depuis trois semaines, les "migrants découpent et placent désormais des branchages voire des troncs d'arbres directement sur la chaussée et opèrent simultanément à différents endroits". La préfecture a condamné "fermement" ces comportements "irresponsables et dangereux".

 

Cette recrudescence des actions violentes sur la rocade suscite également l'inquiétude des syndicats de police. "Depuis trois semaines, on revit des moments compliqués", a réagi Bruno Noël, secrétaire zonal du syndicat Alliance, après une accalmie liée au démantèlement de la zone Sud de la "Jungle" de Calais mi-mars. Ce syndicaliste redoute aussi une baisse du nombre des forces de l'ordre en raison de l'Euro de football (10 juin-10 juillet) avec des matches dans la région, à Lille et Lens. "Je crains une montée de la tension et des problèmes, d'autant que des milliers de migrants arrivent en Italie, même si certains repartent en Turquie. Les collègues en ont marre car il n'y a pas de solution", a-t-il également estimé.

 

 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/migrants-calais-jets-de-troncs-sur-la-rocade-les-autorites-inquietes-978696.html

 

 

Migrants à Calais : les commerçants en colère dénoncent les promesses non tenues par l'Etat

Publié le 21 avril 2016

 

À Calais, des commerçants ne décolèrent pas. Ils constatent avec amertume que l'Etat n'a pas tenu ses promesses concernant leurs difficultés liées à l'afflux de migrants. 

 

Ils sont en colère. Et envisagent même d'attaquer l'État en justice. Les commerçants en colère de Calais ont décidé de monter au créneau. Six semaines après leur action symbolique à Paris et les promesses du gouvernement de leur apporter des aides, ils ne voient toujours rien venir. "On s'est moqué des commerçants, des entreprises de Calaisis. On nous a reçus en grande pompe à l'Élysée, aujourd'hui il n'y a pas d'aides", explique à France 2 Frédéric Van Gansbeke, président du collectif des commerçants de Calais. 

 

Le 7 mars dernier, 500 commerçants de la ville s'étaient déplacés à Paris. Objectif : obtenir un grand plan d'aide pour le Calaisis. A la sortie de leur rendez-vous à l'Elysée, on leur avait promis la création d'une cellule d'urgence pour accompagner les professionnels et leur proposer des reports ou exonération de charges. Mais depuis rien selon le collectif. La cellule crée en préfecture a reçu 105 dossiers de demandes d'aide. "Je ressens une grosse amertume. Ce qu'ils proposent aujourd'hui c'est juste un étalement des charges, pas un dégrèvement", explique Antoine Boutillier, coiffeur et membre du collectif. "Aujourd'hui, notre métier est considéré comme un métier où l'on doit se débrouiller tout seul et faire face aux problèmes", explique aussi à BFMTV Pierre Nouchi, patron d'un restaurant gastronomique à Calais.

 

 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/migrants-calais-les-commercants-en-colere-denoncent-les-promesses-non-tenues-par-l-etat-979906.html

 

 

A Calais, le gestionnaire du port « vit de plus en plus mal » les blocages par des migrants

15.04.2016

 

C’est l’exaspération et la colère qui animent Jean-Marc Puissesseau, PDG de la Société d’exploitation des ports du détroit, créée en juillet 2015, qui gère les ports de Boulogne et Calais. Il vit « de plus en plus mal la situation » à laquelle quotidiennement les personnels du port de Calais doivent faire face sur la rocade portuaire, la N216.

 

Ce point de passage des camions et des véhicules qui embarquent pour l’Angleterre cristallise les crispations depuis trois semaines, après avoir connu une relative accalmie, crispations dont se fait l’écho la presse locale. Le campement des migrants est installé le long de ce « cordon ombilical », sécurisé depuis le printemps 2015 sur une portion par des grillages de 4 mètres de haut, régulièrement découpés.

 

Sur la portion qui ne l’est pas, en amont de la zone d’activités Marcel-Doret, au niveau de l’embranchement de l’A16 et de l’A26, encore appelée « l’autoroute des Anglais », branchages, troncs d’arbre, pneus enflammés ou sacs poubelles sont déposés sur les voies pour tenter de stopper les camions en vue d’atteindre les côtes britanniques.

 

Stéphane Vancutsen, du collectif Agir ensemble pour sauver le port de Calais, y voit « l’adaptation des passeurs du camp ». « Il n’y a pas de patrouilles de CRS. Il suffit de stopper dix minutes le trafic pour faire monter une dizaine de migrants dans les camions. » Ce qui occasionne des retards sur le trafic des deux compagnies maritimes P&O Ferries et DFDS, qui assurent quelque quatre-vingts rotations entre Calais et Douvres quotidiennement.

 

 

http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/04/15/a-calais-le-gestionnaire-du-port-vit-de-plus-en-plus-mal-les-blocages-par-des-migrants_4903009_3224.html

 

 

 

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Après Calais, les migrants tentent désormais la Normandie ou la Belgique

Publié le 22 avril 2016

 

Avec le renforcement du dispositif sécuritaire autour de Calais, les candidats à l'exil essaiment désormais en Normandie et en Belgique, explique le chef de l'Office central pour la répression de l'immigration irrégulière et de l'emploi d'étrangers sans titre, Julien Gentile.

 

Des migrants arrivent-ils encore à rejoindre l'Angleterre depuis Calais ?

 

Le seul moyen d'y arriver aujourd'hui, c'est avec des passeurs. Mais le chiffre, par nature, est inconnu : personne ne peut avoir d'estimation. De surcroît, on ne passe plus forcément par Calais mais par d'autres endroits : les migrants sont certes pris en charge dans les camps comme Calais ou Grande-Synthe, mais pour ensuite se rendre à Zeebrugge (Belgique), Ouistreham, Dieppe ou Cherbourg afin de tenter de rejoindre l'Angleterre. On constate donc qu'il y a un étalement, une dissémination, on a commencé à retrouver des migrants du côté normand et belge. Et on observe que les filières se sont dispersées sur l'ensemble du territoire national. Les gens qui restent à Calais ou Grande-Synthe sont ceux qui n'ont plus d'argent pour payer les passeurs, ou qui les ont déjà payés et attendent la prestation. Ce sont aussi souvent les plus motivés pour rejoindre l'Angleterre, car ils y ont de la famille ou une communauté d'accueil et sont anglophones. Ils n'ont aucune envie de rester dans le nord de la France ou d'être envoyés dans un centre d'accueil, en Lozère par exemple, où ils ne connaissent personne.

 

Combien de migrants tentent leur chance autre part que dans le nord ?

 

Difficile à dire. L'indicateur pourrait être le nombre de personnes interpelées en situation irrégulière dans ces secteurs. Il peut bien sûr s'agir des mêmes personnes interpelées plusieurs fois, mais on a noté depuis le début de l'année dans des endroits comme Dieppe ou Cherbourg des hausses de +200%, +300%, voire +1000% sur certaines villes. On parle parfois de très petits chiffres, mais l'augmentation est très brutale dans certains endroits. Les camps ne vont pas forcément se vider, mais les nouveaux arrivants ne vont plus systématiquement sur Calais où la situation est bloquée. Le risque, c'est que d'autres camps se créent autre part. En termes de démantèlement, on était à peu près à 20-30 filières par an jusqu'à l'année dernière, et on en est déjà à 15 sur quatre mois en 2016. Depuis un an et demi, dans le nord, 70 enquêteurs de la PAF (police aux frontières) travaillent uniquement sur ces démantèlements.

 

 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/apres-calais-les-migrants-tentent-desormais-la-normandie-ou-la-belgique-981090.html

 

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Alors qu'y suffirait que les anglais les laissent passer.

 

Depuis la fin des années 90 et Sangatte, empêcher la libre circulation entre le Calaisis et l'Angleterre doit représenter une jolie somme d'argent.

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Terrifiés par la montée de l'extrême droite, les partis de gouvernement autrichiens appliquent son programme :

Le Monde.fr - L’Autriche adopte un « état d’urgence » migratoire

En introduisant l’une des lois les plus restrictives en Europe pour les réfugiés, Vienne emboîte le pas à la Hongrie. Les ONG craignent un effet boule de neige.

http://www.lemonde.fr/europe/article/2016/04/27/crise-migratoire-l-autriche-veut-limiter-drastiquement-le-droit-d-asile_4909670_3214.html

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Alors qu'y suffirait que les anglais les laissent passer.

La France a signé un accord pour ne pas les laisser passer et faire la police à la place du RU, et en échange le RU paye les frais de police. Il me semble que ça s'est fait sous Chirac. 

 

Le gouvernement a plutôt bien réussi son opération de com' concernant Calais, le "démantèlement de la partie sud de la jungle" était devenu dans les médias nationaux "le démantèlement de la jungle" et il y avait des images de commerçants à la peine rencontrant Hollande. 

 

 

Depuis:

 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/migrants-calais-jets-de-troncs-sur-la-rocade-les-autorites-inquietes-978696.html

 

 

 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/migrants-calais-les-commercants-en-colere-denoncent-les-promesses-non-tenues-par-l-etat-979906.html

 

 

 

http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/04/15/a-calais-le-gestionnaire-du-port-vit-de-plus-en-plus-mal-les-blocages-par-des-migrants_4903009_3224.html

 

 

 

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http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/apres-calais-les-migrants-tentent-desormais-la-normandie-ou-la-belgique-981090.html

En ce moment ils sont carrément en train de placer des traverses de chemin de fer sur la route pour bloquer les camions. Mais tout va bien, dormez braves gens.

 

Terrifiés par la montée de l'extrême droite, les partis de gouvernement autrichiens appliquent son programme :

Le Monde.fr - L’Autriche adopte un « état d’urgence » migratoire

En introduisant l’une des lois les plus restrictives en Europe pour les réfugiés, Vienne emboîte le pas à la Hongrie. Les ONG craignent un effet boule de neige.

http://www.lemonde.fr/europe/article/2016/04/27/crise-migratoire-l-autriche-veut-limiter-drastiquement-le-droit-d-asile_4909670_3214.html

C'est vraiment une grosse surprise.

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Soaring asylum numbers force Sweden to cut costs, borrow more

http://www.reuters.com/article/us-europe-migrants-sweden-forecast-idUSKCN0SG0I220151022

 

 

Sweden Opens Door to Unfinanced Budgets Amid Refugee Crisis

http://www.bloomberg.com/news/articles/2015-11-13/soaring-refugee-costs-trigger-alarm-as-sweden-reworks-its-budget

 

Mais bon on va me répondre que les réfugiés payent des taxes et des impôts :D

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Sweden’s finance minister is defending her decision to crank up spending in order to cover the cost of absorbing hundreds of thousands of refugees from the Middle East.

After a prominent economist at one of Sweden’s biggest banks characterized the government’s approach as “slaughtering the sacred cows” of fiscal policy, focus has shifted from the human cost of the refugee crisis to the budget hole now faced by Scandinavia’s biggest economy.

Finance Minister Magdalena Andersson, who on Thursday presented an amended budget to deal with the refugee influx, says the fiscal response of Sweden’s government is warranted by the “exceptional situation.”

In an interview in Stockholm on Friday, she said there was no binding requirement for Swedish budgets always to be fully financed.

“Krona-for-krona is not a sacred cow, and has never been a sacred cow,” Andersson said. The government could also put forward unfinanced reforms, unrelated to the refugee crisis, depending on the economic situation. “There’s no value in keeping the krona-for-krona principle when public finances improve,” she said.

The krona lost as much as 0.6 percent against the dollar, and traded 0.4 percent lower versus the krone of neighboring Norway. Against the euro, it was down 0.2 percent. Swedish 10-year bond yield spreads traded about 20 basis points wider versus Germany than a week ago. “The market is now speculating there’ll be a bigger borrowing need, which is driving up Swedish rates relative to Germany,” Handelsbanken wrote in a note.

Andersson expects a budget surplus target maintained by previous governments to be replaced with a balanced budget goal. She has already signaled Sweden may need to breach a budget ceiling that has existed since 1997, to cope with the refugee costs.

“We think it’s suitable to review the surplus target,” Andersson said. “The expenditure ceilings are important and therefore we try, in an exceptional situation, to stay under the ceiling. But in an exceptional expenditure shock, it’s not certain that we’ll be able to.”

Sweden’s generous asylum policies are eating through its public finances, with ramifications for its government bonds, according to SEB, one of the country’s largest banks.

Sweden has become a magnet for asylum seekers fleeing war zones in the Middle East after it early on in the crisis declared it would give all Syrian refugees permanent residency. But the cost of that policy is proving too heavy to bear and Sweden on Thursday started imposing border controls in a move that raises questions around the future of free movement within Europe’s Schengen area.

Refugees queue to purchase tickets for passage to Sweden in the seaport of Rostock

Refugees queue to purchase tickets for passage to Sweden in the seaport of Rostock Photographer: Bernd Wstneck/picture-alliance/dpa/AP Images

Some 350,000 refugees will have entered Sweden’s borders by the end of next year, with the cost in 2016 alone reaching about $7 billion, it estimates.

The upshot is that Sweden is quickly changing its framework for public finances, abandoning its surplus target and krona-for-krona funding principle, Robert Bergqvist, chief economist at SEB in Stockholm, said in a note.

As a AAA-rated nation, Sweden is still “far from a point where credit rating agencies are becoming a threat,” Bergqvist said. “But the foreign investors’ appetite for Swedish government debt is declining.”

The difference in yield between Sweden’s 10-year bond and similar-maturity German debt widened to about 32 basis points this week from about 10 to 12 basis points a week earlier, according to data compiled by Bloomberg.

Sweden has stepped up its entreaties to the rest of Europe to help share the burden as the flow of refugees from the Middle East continues. At a meeting of government leaders from Europe and Africa in Malta this week, Prime Minister Stefan Loefven said the region’s response to the crisis must change.

“We need another system, that is obvious,” Loefven said. “This is not an issue for one, two or three countries; this is an issue for the whole European Union.”

Since controls were introduced at 12 noon on Thursday, about 50 people seeking asylum have been stopped at Sweden’s southern border and sent back to Denmark, according to newspaper Berlingske. The country’s integration minister, Inger Stojberg, said late on Thursday Denmark is willing to consider its own border controls should the situation rapidly deteriorate.

Danish Prime Minister Lars Loekke Rasmussen on Friday unveiled a package designed to tighten immigration policy, including stricter access to residency. But he talked down the scenario of border controls raised by his integration minister.

Malheureusement, la capacité du contribuable à payer des impôts a souvent du mal à suivre la capacité des politiciens à trouver des raisons de dépenser.

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Malheureusement, la capacité du contribuable à payer des impôts a souvent du mal à suivre la capacité des politiciens à trouver des raisons de dépenser.

Ce qui est surtout fascinant avec le cas de la Suède c'est que leur politiciens ont été incapables de prévoir les conséquences d'une politique d'acceptation inconditionnelle et illimitée avec un système social très généreux. Ils doivent être fâchés avec la logique et l'arithmétique les plus basiques. Mais bon, c'est de la politique des bons sentiments: la Suède voulait se montrer comme la superpuissance de l'humanitaire du monde, elle va le payer très cher.

 

Ensuite il va être intéressant de voir comment ça va évoluer, maintenant qu'il n'y a plus le choix qu'entre des mauvaises solutions et des mauvaises solutions. Brace yourself!

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