Aller au contenu

Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

Messages recommandés

Tiens, encore du journalisme :

 

 

La Belgique a gagné 12 milliards grâce à la crise grecque, l'Allemagne encore plus

Abonnés Raphaèl Meulders et PVC Publié le

mercredi 26 août 2015 à 19h31 - Mis à jour le jeudi 27 août 2015 à 07h22
55de90b33570b5465383fd65.jpgPhotos
284
Actualité Le malheur des uns fait le bonheur des autres. Alors que la Grèce plonge encore et toujours dans un marasme sans fin, l’Etat belge a, lui fait, de très importantes économies… grâce à cette crise grecque. A la demande de "La Libre", Eric Dor, le directeur des études économiques de l’Université catholique de Lille (IESEG) a ainsi calculé que depuis 2010, l’Etat belge a réalisé une économie de 12 milliards d’euros sur les charges d’intérêts de sa dette publique. Ce montant correspond à la différence entre les charges d’intérêts payées réellement par la Belgique et l’évaluation de ce qu’elles auraient été sans la crise en Grèce.

 

 

La Belgique a éventuellement, on pense, ce n'est même pas sur, eu un taux d'intérêt moins élevé que la Grèce à cause de la crise dont c'est qu'elle a gagné 12 milliard.

 

Et tout mon facebook reprends en disant "crevure de gouvernement".

Je hais chaque jour un peu plus les journalistes pour leur connerie intersidérale."Payer moins" c'est bien sur "gagner", si les Grecs ont tout foiré et ont connu une hausse de leur tx d'intérêt, c'est bien sur que les autres qui en profitent sont des salauds.

 

Lien vers le commentaire

Et tout mon facebook reprends en disant "crevure de gouvernement".

C'est pas une mauvaise chose remarque.

Pendant que les socialauds grecs boostaient leur dette, Verhofstadt baissait la dette belge de presque 50pts de PIB, encore heureux que les marchés préfèrent acheter de la dette belge.

Lien vers le commentaire

Oui, les marchés ont réagit a peu près normalement mais "les gens" (qui sont trop teubés) pensent que Michel s'est fait 12 milliards sur le dos de la Grèce.

 

Il y UN commentaire sur La Libre qui explique que le raisonnement proposé est un sophisme. Un seul.

 

 

Lien vers le commentaire

Reportage de France 2 sur : Pourquoi les touristes ne dépensent pas beaucoup en France. (Moins qu'en Espagne, avec 20M de touristes en plus).

Propos général : C'est la faute aux touristes, ils sont radins, pressés et ne savent pas apprécier le charme de la France profonde.

:facepalm:

Lien vers le commentaire

http://www.jean-luc-melenchon.fr/2015/08/24/en-europe-developpons-un-plan-b
 
Mélenchon pond pas mal d'articles sur son blog. Tous contenants un gras tas d'âneries prévisibles. Mais cette fois, il a décidé de se surpasser.
 
Il cite notamment hayek (enfin, il name-droppe haineusement sans citation précise) et il balance un tel torrent d'énormités et de non sens que ça donne véritablement le tournis.

Lien vers le commentaire

 

En 1976 déjà, le maître de cette idéologie, Friedrich August von Hayek, a montré dans un article fondamental que le transfert de compétences vers le niveau international fraye la voie au néolibéralisme.

 

De quel article il parle ?

Lien vers le commentaire

De quel article il parle ?

 

Pour autant que je sache, il n'a jamais existé. Je ne connais pas de texte d'Hayek qui soutiendrait la construction européenne, et il a publiquement exprimé son hostilité à l'euro (cf http://www.institut-entreprise.fr/reflexions/societal/les-articles-de-societal/hayek-leuro-ou-la-concurrence-des-monnaies ).

 

Ces gauchistes ont une fâcheuse tendance à falsifier la réalité. Et en l'occurrence, cet Oscar Lafontaine ajoute la contradiction au mensonge, puisque si l'UE est un affreux projet de domination ultralibérale, l'attitude logique des antilibéraux devrait être de vouloir en sortir. Or ce n'est pas ce que son texte propose.

Lien vers le commentaire

Et en 1963 Rothbard écrit État, qu'as-tu fait de notre monnaie ? :

 

Déjà, les principales banques centrales tentent de « coordonner » leurs politiques monétaires et économiques, d’harmoniser  les taux d’inflation et d’établir les taux de change. Le mouvement qui milite en faveur d’une  monnaie papier européenne émise par une banque centrale européenne semble sur le point de réussir. Cet objectif est présenté au public naïf sous le prétexte fallacieux qu’une  union  économique européenne ne peut constituer un marché si  elle n’est pas chapeautée par une bureaucratie européenne, une harmonisation fiscale européenne et, en particulier, une banque centrale Européenne et une monnaie unique. Une fois ceci accompli, il s’ensuivra  immédiatement une meilleure coordination avec la  Réserve Fédérale et les autres principales banques centrales. À partir de là, une banque centrale mondiale ne devrait-elle pas suivre ?

 

Livre qui par ailleurs retrace superbement les différentes étapes de la mainmise des gouvernements sur la monnaie avec la complicité intéressée des banques.

 

Hülsmann actualise le texte de Rothbard pour la période 70's-99 :

 

La grande question est bien évidemment de savoir quelle politique la BCE nous réserve à l'avenir. La BCE et  l'euro n'ont été créés que parce que l'ancien système était  en train de s'effondrer sous le poids de l'endettement des États nationaux. Cependant la BCE et le passage à l'euro  n'éliminent ni le poids des dettes, ni le besoin pressant des  États européens d'acquérir sans cesse des moyens de paiement nouveaux. Ils n’apportent aucune solution à ces  problèmes. En fait, ils les aggravent.

 

Lien vers le commentaire

C'est à cause du méchant capita... Des lobbies du pétrole et du coton qui ont empêché la culture du chanvre qui visiblement permet de produire de l'essence 100% non polluante, qui enlevé tout le méchant co2 et qui multiplie la prolifération des gentils bébé phoques communistes.

Lien vers le commentaire

C'est trop tard. Cela dit, cela n'empêche pas de s'interroger sur l'influence des énergies fossiles sur l'économie et le destin des civilisations.  A quoi aurait bien pu ressembler un monde sans pétrole ?

On peut aussi s'interroger sur la notion de progrès. Les progrès scientifiques et techniques sont ils réellement un bienfait pour l'homme ?

Lien vers le commentaire

Rousseau avait eu un premier prix de dissert dans sa jeunesse en étant le seul à répondre non.

 

 

Ce n'est certainement pas le seul. Cette question est vieille comme Hérode.

Lien vers le commentaire

Les progrès scientifiques et techniques sont ils réellement un bienfait pour l'homme ?

 

Oui. Si une évolution de la technique ou une découverte scientifique entraîne plus de désagréments que d'avantages, c'est de tout évidence qu'elle n'est pas un progrès. Par conséquent les progrès scientifiques et techniques sont nécessairement un bienfait pour l'homme, puisque leurs avantages compensent et au-delà leurs inconvénients. CQFD.

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...