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Je raconte my life 6 - Lamentations & fleurs de lol


FabriceM

Messages recommandés

C'est la mode en Occident d'avoir du ressentiment contre ses parents. C'est parallèle à la lopétisation et à la psychanalysation des masses. Dès qu'on a un problème d'intolérance au gluten on va voir ce super psy que m'a conseillée mon amie Christine et on découvre finalement que notre mère était trop protectrice et trop présente dans nos vies d'enfants. Get over it sérieux.

Qui c'est l'autre connard qui voulait supprimer le concept de famille, là ? Le cocaïne addict parisien dégueulasse ? Le bobo ? Yann Moix, voilà. Vous êtes comme Yann Moix.

J'ai plein de raisons d'être en colère contre ma mère, tout comme je suis en colère contre le type qui m'a marché sur le pied ce matin dans le métro. Des raisons qui parfois encore me déchirent le cœur. On ne ressort pas de dix-huit ans de vie commune sans grief. Normal quoi. Mais on arrête de chouiner et on marche vers l'avant. 

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Je ne vois pas en quoi c'est quelque chose de récent : il y en avait déjà dans le théâtre antique, dans la mythologie, etc...

Après "pourquoi fait-on des enfants ?", j'ai hâte que le débat dérive sur "pourquoi les humains s'obstinent à faire perdurer leur espèce par la reproduction ?", jusqu'au fameux "quel est le sens de la vie ?".

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Dans le doute, il vaut mieux les suivre. Ils contiennent l'information qui a aidé tous nos ancêtres à survivre, il faut vraiment avoir une bonne raison pour ne pas les suivre.

 

Dans l'espace d'une journée un homme a rationnellement réfréné mille instincts. Se réveiller malgré le sommeil, ne pas se gaver de pain, ne pas essayer de féconder cette femelle, ne pas frapper intel, etc. Des trucs triviaux.

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Je ne vois pas en quoi c'est quelque chose de récent : il y en avait déjà dans le théâtre antique, dans la mythologie, etc...

 

J'ai l'impression à chaque fois que je parle avec quelqu'un qu'il a été battu par ses parents. Enfin, battu émotionnellement tu vois, comme les violences scolaires non physiques ou les violences conjugales verbales. Des trucs de féministes.

 

Pour les enfants comme l'a dit Mathieu c'est de la rationalisation a posteriori. On fait un enfant pour construire quelque chose, sceller son couple, pour des raisons parfois égoïstes, etc. Pourquoi vous vous levez le matin ?

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voila, c'est tout ce qu'il sont.ET RIEN d'autre. Un palliatif et une justification, une mauvaise en plus.Et vouloir pallier a la vieillesse c'est etre faible, et immoral !

Les gens qui ont des enfants sont des MERDES.

Merci de m'avoir ouvert les yeux. Grace a ton intellect et ta puissance de Nalyse.

Je vais de ce pas me petit-suicider et avorter mes enfants tardivement. Quelle connerie la reproduction !

Tu sur-interprètes.

Vouloir pallier la vieillesse n'est ni faible ni immorale. C'est un problème, il faut bien trouver des solutions.

C'est en effet une justification que tu as produite. C'est surement une des meilleures rationalisations sur la question (et c'est pas un terme qui est péjoratif, on passe notre temps à rationaliser/justifier nos décisions, c'est comme ça).

 

On pourrait s'amuser et se demander s'il vaudrait mieux vivre ne pas vieillir et ne pas avoir d'enfant, ou mourir à 80ans avec des enfants, mais tu personnalises trop la discussion donc ce n'est pas intéressant.

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C'est bien beau vos discours, mais c'est possible d'avoir un parent nocif ou qui devient nocif par un événement malheureux, un cas où l'instinct de survie et de préservation nécessite de s'en protéger. En Occident, en Asie, même sur la planète Mars, il y aura toujours des gens détraqués mentalement - et parfois ça tombe sur les parents de quelqu'un. Ce sont des accidents et des cas particuliers qui sont loin d'être la majorité des situations (où souvent c'est du ressentiment)... mais ça n'est pas la peine de résumer la complexité et la grande souffrance de ces cas particuliers en "ouais, ça suffit les gens qui sont en colère et qui font des psychanalyses, pauvres petites choses fragiles".

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Dans l'espace d'une journée un homme a rationnellement réfréné mille instincts. Se réveiller malgré le sommeil, ne pas se gaver de pain, ne pas essayer de féconder cette femelle, ne pas frapper intel, etc. Des trucs triviaux.

Il réfrène les instincts que tu cites parce que l'instinct de survie et de conformisme sont généralement les plus puissants.

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Je ne vois pas en quoi c'est quelque chose de récent : il y en avait déjà dans le théâtre antique, dans la mythologie, etc...

 

 

je te fiche mon billet que ca ne parle que des enfants emo de riches, toutes epoques confondues.

Chez les pauvres ca quittait la maison a 12 ans a cause du papa alcolo qui bat, et ca ravalait ses emotions jusqu'a la psychose au moins jusqu'aux annees 1950.

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Maintenant je ne trouve pas particulièrement sain de faire un enfant quand on est pauvre (c'est-à-dire quand on gagne moins de 6000€ par mois selon des esprits éclairés de ce forum). Ca m'emmerderait de donner naissance à quelqu'un sans pouvoir lui fournir des éléments de base pour lui assurer une forte probabilité d'une "bonne" vie. Mais bon faut bien des pauvres hein, sinon qui conduira mon Uberpop ?

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Oui je fais caca aux toilettes et pas partout par conformisme.

Je ne sais pas si tu es sarcastique, mais oui, c'est par conformisme.

 

Imagine toi faire caca dans la rue. La simple représentation des regards des passants à ton encontre devrait rapidement t'être insupportable. Le rejet social active les mêmes zones du cerveau que la douleur physique.

 

(et il y a une époque où faire caca dans la rue était accepté socialement => si tu avais vécu à cette époque tu n'aurais eu aucun problème à faire, ou à t'imaginer faire, caca dans la rue).

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Le sens trigonométrique, c'est évident :jesaispo:

 

Alors que tout le monde sait que la réponse est "de gauche à droite", c'était simplement pour faire mon malin sur un débat qui m'échappe totalement.

 

Les parents étouffants existaient déjà dans le théâtre antique ?

Tu as des exemples ?

 

Je parlais du ressentiment, Patricide & Co.

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Maintenant je ne trouve pas particulièrement sain de faire un enfant quand on est pauvre (c'est-à-dire quand on gagne moins de 6000€ par mois selon des esprits éclairés de ce forum). Ca m'emmerderait de donner naissance à quelqu'un sans pouvoir lui fournir des éléments de base pour lui assurer une forte probabilité d'une "bonne" vie. Mais bon faut bien des pauvres hein, sinon qui conduira mon Uberpop ?

Si l'humanité avait eu ce raisonnement, on aurait disparu depuis longtemps.

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Tu sur-interprètes.

Vouloir pallier la vieillesse n'est ni faible ni immorale. C'est un problème, il faut bien trouver des solutions.

C'est en effet une justification que tu as produite. C'est surement une des meilleures rationalisations sur la question (et c'est pas un terme qui est péjoratif, on passe notre temps à rationaliser/justifier nos décisions, c'est comme ça).

 

On pourrait s'amuser et se demander s'il vaudrait mieux vivre ne pas vieillir et ne pas avoir d'enfant, ou mourir à 80ans avec des enfants, mais tu personnalises trop la discussion donc ce n'est pas intéressant.

 

je personnalise parce que c'est vraiment agacant de 'discuter' a ce niveau.Si par exemple on continuait l'echange ca ne serait PAS interessant de toute facon vu le niveau au ras de la moquette des reflexions mises en jeu, les enfants palliatifs a la vieillesse bon Dieu quelle decouverte, vite vite creusons cette mine :icon_neutral:

Serieusement, t'y avais jamais pense? tu maches ca avec interet ? vraiment ?

Et a part ca tu t'es pas demande a partir de combien de paragraphes a ton rythme la discussion va devenir interessante pour moi ?

tes intentions sont pures mais ta phraseologie colle de trop pres avec les discours des emmerdeurs, desole de te confondre, hein.

 

 

On pourrait s'amuser et se demander s'il vaudrait mieux ne pas vieillir et ne pas avoir d'enfant, ou mourir à 80ans avec des enfants,

 

ah oui on pourrait se demander ca, ce serait pass-ion-ant :icon_neutral: , surtout que l'option 'ne pas vieillir' est vraiment realiste et d'ailleurs chacun fait ce choix a 20 ans et six mois, puis une seconde fois vers 23 ans et demie. :icon_tourne:

 

 

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tu parles.

Imagine-toi en train de vieillir tout seul dans ta cuisine en bougonnant et radotant.

Et maintenant imagine toi en train de vieillir avec des enfants qui viennent te voir de temps en temps avec leurs petits, qui sont les enfants de tes enfants et te ressemblent comme deux gouttes d'eau.

Je suis desole mais meme en tant qu'asocial je prends la secoonde solution, bien meilleure pour la sante de l'ane  l'ame.

C'est d'ailleurs l'argument de Bryan Caplan pour faire plein de gosses, largement plus qu'il ne serait économiquement raisonnable.
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Je ne sais pas si tu es sarcastique, mais oui, c'est par conformisme.

 

Imagine toi faire caca dans la rue. La simple représentation des regards des passants à ton encontre devrait rapidement t'être insupportable. Le rejet social active les mêmes zones du cerveau que la douleur physique.

 

(et il y a une époque où faire caca dans la rue était accepté socialement => si tu avais vécu à cette époque tu n'aurais eu aucun problème à faire, ou à t'imaginer faire, caca dans la rue).

 

Faire caca dans la rue, ce serait une forme d'appropriation culturelle vis à vis des dogskin. Je trouverais ça limite :/. D'autant plus que la conversation actuelle manque d'égards vis-à-vis des cacakin.

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C'est la mode en Occident d'avoir du ressentiment contre ses parents. C'est parallèle à la lopétisation et à la psychanalysation des masses. Dès qu'on a un problème d'intolérance au gluten on va voir ce super psy que m'a conseillée mon amie Christine et on découvre finalement que notre mère était trop protectrice et trop présente dans nos vies d'enfants. Get over it sérieux.

Occident ou pays latins?

Ce truc de trainer des trucs contre ses parents c'est quelque chose de tres commun en France, en tout cas de mon experience. Par contre j'ai tres peu vu ca dans le monde anglo-saxon et meme en y reflechissant, je ne trouve pas un seul exemple de mes proches anglais/ecossais/irlandais/australien/neozelandais qui n'ont pas une relation nickel avec leur parent.

Et je ne parle pas de truc cache dans le subconscient que tu ne pourrais que savoir en etant tres intime, meme en France des gens que je connaissais tres peu se plaignaient de leurs parents. Un peu comme ici quoi.

 

Qui c'est l'autre connard qui voulait supprimer le concept de famille, là ? Le cocaïne addict parisien dégueulasse ? Le bobo ? Yann Moix, voilà. Vous êtes comme Yann Moix.

J'ai plein de raisons d'être en colère contre ma mère, tout comme je suis en colère contre le type qui m'a marché sur le pied ce matin dans le métro. Des raisons qui parfois encore me déchirent le cœur. On ne ressort pas de dix-huit ans de vie commune sans grief. Normal quoi. Mais on arrête de chouiner et on marche vers l'avant. 

Non mais tu ne veux tout de meme pas oter le chouinement aux francais quand meme. Tout le process de la dispute repose la-dessus, c'est presque un principe de societe:

Chouinement -> debat -> vexation -> poussee de virilite -> pleurnichage apres mandale. 

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je personnalise parce que c'est vraiment agacant de 'discuter' a ce niveau.Si par exemple on continuait l'echange ca ne serait PAS interessant de toute facon vu le niveau au ras de la moquette des reflexions mises en jeu, les enfants palliatifs a la vieillesse bon Dieu quelle decouverte, vite vite creusons cette mine :icon_neutral:

Serieusement, t'y avais jamais pense? tu maches ca avec interet ? vraiment ?

Et a part ca tu t'es pas demande a partir de combien de paragraphes a ton rythme la discussion va devenir interessante pour moi ?

tes intentions sont pures mais ta phraseologie colle de trop pres avec les discours des emmerdeurs, desole de te confondre, hein.

Je trouve ça intéressant parce que c'est une explication récurrente quand le sujet est abordé et que c'est une justification à laquelle je ne trouve pas de contre-argument.

Une des raisons pour lesquelles je discute c'est pour modifier et enrichir ma vision du monde, pour essayer de comprendre comment fonctionne les autres pour mieux comprendre le monde et pour répondre aux questions que je me pose. En l'occurrence je pense que de comprendre mieux les réelles motivations de la natalité peut aider à comprendre les évolutions de la natalité à long terme et l'avenir de l'humanité, et ça c'est un sujet que j'aime bien creuser.

Loin de moi l'idée de remettre en cause les choix de vie de quiconque, j'ai 27 ans et j'ai une position d'agnostique quant à ma future hypothétique parentalité, aucune putain d'idée de si je vais faire des enfants ou pas.

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C'est la mode en Occident d'avoir du ressentiment contre ses parents. C'est parallèle à la lopétisation et à la psychanalysation des masses. Dès qu'on a un problème d'intolérance au gluten on va voir ce super psy que m'a conseillée mon amie Christine et on découvre finalement que notre mère était trop protectrice et trop présente dans nos vies d'enfants. Get over it sérieux.

Qui c'est l'autre connard qui voulait supprimer le concept de famille, là ? Le cocaïne addict parisien dégueulasse ? Le bobo ? Yann Moix, voilà. Vous êtes comme Yann Moix.

J'ai plein de raisons d'être en colère contre ma mère, tout comme je suis en colère contre le type qui m'a marché sur le pied ce matin dans le métro. Des raisons qui parfois encore me déchirent le cœur. On ne ressort pas de dix-huit ans de vie commune sans grief. Normal quoi. Mais on arrête de chouiner et on marche vers l'avant. 

 

les sales blancs, toujours en train de se plaindre.

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Je trouve ça intéressant parce que c'est une explication récurrente quand le sujet est abordé et que c'est une justification à laquelle je ne trouve pas de contre-argument.

 

 

euhh ok, a quoi servirait un contre argument ?

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