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Armageddon économique ?


vincponcet

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Sarko ne laissera pas faire même s'il a été pris au dépourvu par la décision de Papandréou qui n'en avait pipé mot jusque là.

Et il va faire quoi le caniche à Merkel?

Monsieur blabla, comme disent les allemands.

Ceux qui espèrent que la m… dans laquelle s'est foutue la Grèce va éclabousser la France et le parti au pouvoir (UMP) et ainsi préparer un boulevard à des mouvements anarchistes, se foutent le doigt dans l'oeil.

Les pîtres irresponsables de l'UMP et leur chef adepte de la fuite en avant sont aujourd'hui les principaux fauteurs de trouble en Europe, le mieux serait de les passer au karcher.

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L'Etat grec peut refuser de rembourser simplement parce qu'il est un Etat.

L'État grec ne rembourse pas parce qu'il est méchant, il ne rembourse pas parce qu'il ne peut pas le faire. C'est si compliqué à comprendre ? Donc il fait faillite et c'est tout.

Les grecs employés par l'Etat grec doivent leurs salaires à ces crédits, les grecs doivent tout le fonctionnement de leur pays et des services publics à ces crédits, et c'est pas peu dire.

Non sequitur. Un fonctionnaire grec perçoit de l'argent de l'État grec. Pas des banques européennes. Etc. Les grecs ne doivent strictement rien aux banques européennes.

Lorsque le crédit n'est pas remboursé le créancier fait saisir les biens.

Aux époques héroïques, c'est ce qui se faisait. Si Sarko a les couilles, il peut tenter de faire comme Napoléon III au Mexique et envahir la Grèce.

Sinon, si faire faillite est du vol, l'accord qui avait été signé la semaine passé qui réduisait de moitié la dette grecque, c'était aussi du vol ? Donc, on se trouverait devant l'alternative où les banques seraient "volées" et la Grèce devient un province proconsulaire de Bruxelles ou les banques seraient "volées" et la Grèce reste souveraine. Les votent pour la seconde option. Qui ne feraient comme eux ?

Sarko ne laissera pas faire…

Je sais, il court déjà pleurnicher dans les jupes de la Merkel.

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L'État grec ne rembourse pas parce qu'il est méchant, il ne rembourse pas parce qu'il ne peut pas le faire. C'est si compliqué à comprendre ? Donc il fait faillite et c'est tout.

J'ai jamais parler de méchanceté ou quoi que ce soit. Il fait faillite, ok, c'est un constat. Je parle de la suite, on s'assoie tous sur l'argent dilapidé ou on récupère ce qu'on peut récupérer, via la vente des biens publics, privatisations et autres ?

Non sequitur. Un fonctionnaire grec perçoit de l'argent de l'État grec. Pas des banques européennes. Etc. Les grecs ne doivent strictement rien aux banques européennes.

On peut jouer sur la sémantique tant qu'on veut, la source du budget grec c'est l'emprunt. Le budget c'est l'Etat, l'Etat c'est le peuple qui vote.

Aux époques héroïques, c'est ce qui se faisait. Si Sarko a les couilles, il peut tenter de faire comme Napoléon III au Mexique et envahir la Grèce.

Une petite victoire miliaire, rien de tel pour remonter le moral du peuple en temps de crise =D mais, oui, si Sarko (et pas seulement) avait des couilles, il "se" rembourserait autant que possible. Il a l'éthique pour lui.

Sinon, si faire faillite est du vol, l'accord qui avait été signé la semaine passé qui réduisait de moitié la dette grecque, c'était aussi du vol ? Donc, on se trouverait devant l'alternative où les banques seraient "volées" et la Grèce devient un province proconsulaire de Bruxelles ou les banques seraient "volées" et la Grèce reste souveraine. Les votent pour la seconde option. Qui ne feraient comme eux ?

Faire faillite c'est du vol, si tu conserves la propriété (pour ne pas dire usufruit) des biens payés par l'emprunt. Sinon, ben, shit happens une faillite c'est pas la fin du monde quand c'est assumé et joué dans les règles.

Sur ce j'ai un peu de boulot qui m'attend, même en ce jour sacré… Bon aprem' à tous, j'essaierai de repasser dans la soirée

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Invité rogermila

Et il va faire quoi le caniche à Merkel?

Monsieur blabla, comme on disent les allemands.

Papandréou utilise un procédé voyoucratique qu'on pourrait résumer à:. Vous vous êtes plantés, tant pis pour vous.

Mais ça, ça ne marche pas sauf chez les voyous (et eventuellement chez les anarchistes).

Il y a un telle desaprobation internationale que je ne serai pas surpris que son referedum ne puisse avoir lieu.

En France, le député-maire UMP Christian Estrosi est monté au créneau : «Cette décision me paraît incompréhensible. Quand on sait le mal que Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont eu à faire adopter ce plan courageux, je déplore cette décision qui me paraît totalement irresponsable de la part du premier ministre grec»,

«Lorsque l'on est en situation de crise et que d'autres veulent vous aider, il est insultant de tenter à sauver sa peau plutôt que prendre ses responsabilités», a ajouté Christian Estrosi.

En Grèce, les mots sont tout aussi durs à l'encontre de Georges Papandreou. Le chef de file de l'opposition conservatrice (Nouvelle Démocratie), Antonis Samaras, estime que le premier ministre «ne peut pas gouverner et au lieu de se retirer de manière honorable, il dynamite tout». «Jamais je n'aurais pensé que Papandreou prendrait une décision aussi dangereuse et frivole», a affirmé, l'ancienne ministre des Affaires étrangères Dora Bakoyanni, qui dirige l'Alliance démocratique (un petit parti de centre droit).

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/11/01/04016-20111101ARTFIG00306-referendum-grec-sarkozy-et-merkel-veulent-en-discuter.php

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Invité rogermila

. Donc, ils ont intérêt à dire merde.

Je vois que tu es sur la même longueur qu'Attac qui a réagi de façon similaire à la tienne.

L'organisation altermondialiste Attac a estimé que l'annonce par le Premier ministre grec, Georges Papandréou, d'organiser un référendum était "une première avancée de la démocratie". "L'annonce, hélas trop tardive, par M. Papandréou de l'organisation d'un référendum sur le plan européen d'aide à la Grèce, est une première avancée de la démocratie face aux plans d'austérité qui s'abattent partout en Europe", écrit Attac dans un communiqué.

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Oui, mais le problème c'est que si je fais ça je me retrouve en taule moi, contrairement aux Grecs.

Et voila, tu touches du doigt ce qui fait la différence entre toi et un état : le monopole de la violence.

J'ai jamais parler de méchanceté ou quoi que ce soit. Il fait faillite, ok, c'est un constat. Je parle de la suite, on s'assoie tous sur l'argent dilapidé ou on récupère ce qu'on peut récupérer, via la vente des biens publics, privatisations et autres ?

Et mise en esclavage de la population grec ? Comme au bon temps des romains ?

On peut jouer sur la sémantique tant qu'on veut, la source du budget grec c'est l'emprunt. Le budget c'est l'Etat, l'Etat c'est le peuple qui vote.

Non. L'état c'est une entité abstraite qui a pas mal d'attribut, notamment le monopole de la violence. Dans bien des cas, l'état ne demande pas l'avis de la population. QUe je sache, Assad n'a pas fait de référendum avant de bombarder ses civils.

Alors, dans certain pays, l'état respecte un certain nombre de forme. En particulier celui de recueillir de temps à autres l'assentiments de ces sujets. Mais en aucun cas, l'état n'est l'ensemble de la population grec.

Et si référendum il y a (ce qui n'est pas sûr, au dernière nouvelle il faut un vote du parlement pour que le référendum ait lieu et Papandréou aurait perdu sa majorité, donc très certainement chute du gouvernement et nouvelles élections, ce qui grosso modo revient au même), c'est le peuple grec qui s'exprimera.

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Je parle de la suite…

Ce sera aux banques et à l'État grec failli de voir ce qui pourra être fait.

On peut jouer sur la sémantique tant qu'on veut…

En droit des contrats, comme en droit tout court, la sémantique, c'est tout. Donc, les Grecs doivent peau de zob aux banques.

…Sarko […] a l'éthique pour lui.

Quelle blague ! Mr Blabla, le mec qui est prêt à ponctionner tous les contribuables européens pour sauver le cul des banques françaises et faire à donf la planche a billet a moins d'éthique qu'une vieille maquerelle décatie.

Faire faillite c'est du vol…

Encore une fois, non. Surtout que les banques connaissent bien les règles du jeu lorsqu'elles prêtent aux États.

Papandréou utilise un procédé voyoucratique…

Ouaip, on sait, chez les ouempé, la consultation populaire, c'est un truc de voyou.

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Sur la supériorité du mécanisme de banqueroute ordonnée comme alternative à la kleptocratie, on peut lire avec intérêt ces qqs articles de Vincent Bénard:

La faillite, meilleur moyen de régulation de la finance

http://www.objectife…est-devant-nous

http://www.objectife…elles-solutions

Le plus grand hold-up de l'histoire

S'il est confirmé, le montant de 100 milliards d'euros de recapitalisation des banques constituera le plus grand hold-up de l'histoire. À côté, les paris de Jérôme Kerviel étaient une peccadille. En effet, ce n'est pas de l'argent levé par les banques auprès d'actionnaires volontaires pour y investir. C'est de l'argent pris de force par les Etats dans nos portefeuilles, dans le portefeuille de chaque citoyen, pour recapitaliser des banques qui ont été extrêmement mal - on pourrait même dire frauduleusement - gérées. Pourtant, les dirigeants de ces banques restent en place, avec leurs primes, et les règles du jeu restent à peu près les mêmes, avec le léger tour de vis donné par les règles de Bâle 3. C'est un véritable scandale. Il n'y avait pas d'autre solution, vous diront les politiciens. Eh bien si, il y a une autre solution, très bien expliquée par Vincent Bénard : la faillite ordonnée des banques en délicatesse financière : les créanciers verraient leurs créances converties en actions.

Et pendant ce temps-là, la France milite contre l'Allemagne pour imposer un statut bancaire au FESF (futur MES), et la possibilité pour lui de se refinancer auprès de la BCE. Ce qui signifie tout simplement la fin des règles élémentaires du monétarisme, à savoir une banque centrale indépendante de l'Etat. Ce sont pourtant les règles monétaristes, inspirées de Milton Friedman, qui ont permis au Royaume-Uni sous l'autorité énergique de Margaret Thatcher de sortir de la situation catastrophique dans laquelle les travaillistes l'avaient plongé dans les années 1970.

http://journal-liber…-lhistoire.html

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Entièrement d'accord avec cette décision de faire un référendum. Le contribuable grec paie les pots cassés de ses politicards qui les engagent dans des dépenses inconsidérées, et dans des décisions dans lesquelles ils ne sont jamais consultés. Ces accords européens se font au détriment de la volonté des peuples (et des contribuables), et pas seulement la Grèce devrait réaliser ce référendum mais tous les pays, j'attends que Sarko et Merkel en fassent de même.

Chaque accord concédant un abandon de souveraineté devrait être validés par référendum, voyez comme les eurocrates et autres fédéralistes tremblent devant cette annonce, ils voient leur pouvoir et leurs expérimentations mis en cause.

La seule solution: laisser les grecs se démerder tout seuls, s'ils ne prennent pas le taureau par les cornes en réformant, le risque sur la valeur de l'euro existe, je pense qu'on pourrait les en exclure sans le leur demander, ou alors ils décident de faire faillite et d'en sortir par eux-mêmes.

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Invité rogermila

Entièrement d'accord avec cette décision de faire un référendum.

Tu approuves ce referendum sans même savoir quelle question Papandréou va poser.

(Ne faites pas attention à moi, je viens de salir mon calbute.)

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La mise sous tutelle ne concerne pas seulement la Grèce, il faut lire les statuts du Fesf (futur MES, doté par Sarko d'un effet de levier *4) qui autorise cet organisme à tondre les contribuables européens en dehors de tout contrôle démocratique, sans contre-pouvoir, le terme de servitude n'est pas exagéré pour en décrire les aboutissants. Il est d'ailleurs stupéfiant que les journaux se soient totalement désintéressés de ces statuts instaurant une dictature feutrée, dans l'impunité la plus complète.

Olivier Delamarche :

« Le FESF a le droit de demander n’importe quelle somme à un pays qui doit s’exécuter dans les sept jours. Si vous ne vous executez pas la demande, à ce moment là, il peut agir en justice contre vous. En revanche, ils se sont voté l’impunité. Il y a l’article 24 qui dit : on ne peut pas agir contre les décisions du FESF. Même si elles sont totalement ahurissantes et non fondées, vous n’avez aucun recours en justice contre le FESF. Personne ne le sait, personne ne le dit. Tout ça risque de nous coûter très cher ». (Intégral des statuts du FESF à lire ici)

5CZr17HLH5U

Article 9 : « Par la présente, les membres du MES s’engagent de manière irrévocable et inconditionnelle à honorer sur demande tout appel de fonds adressés à eux par le Directeur général en vertu de cet alinéa, et ce dans les sept jours après réception. »

Article 27,2 : « Il aura la pleine capacité juridique d’ester en justice » et 3 : « Le MES, ses biens, ses financements et ses avoirs, où qu’ils se trouvent et quel qu’en soit le détenteur, bénéficiera de l’immunité de toute forme d’action en justice. » Ainsi, le MES peut intenter des poursuites judiciaires comme bon lui semble, commente la vidéo, mais ne pourra pas être poursuivi ? Prendra-t-il des actions contre nos gouvernements ou nos parlements ?

L’alinéa 4 du même article 27 précise que « les biens, financements et avoirs du MES, où qu’ils se trouvent et quel qu’en soit le détenteur, seront à l’abri de toute perquisition, réquisition, confiscation, expropriation ou toute autre forme de saisie » suite à une « action exécutive, juridique, administrative ou législative ». Les alinéas 5 et 6 affirment que les archives, documents et locaux du MES sont inviolables. Ainsi, le MES est au-dessus des lois, à l’abri de la justice et de toute action gouvernementale. Des pouvoirs plutôt étendus pour une institution censée assurer la stabilité financière, fait remarquer le commentateur dans un euphémisme.

Enfin, l’article 30 est cité, qui confère aux gouverneurs, aux directeurs et à tout le personnel du MES l’immunité judiciaire à l’égard de « tout acte exécuté dans leur qualité officielle » et « l’inviolabilité pour ce qui est de leurs documents officiels ». Autrement dit, ils n’ont à rendre de comptes à personne, se demande le narrateur ? Que signifie : « documents inviolables », qu’on n’a pas le droit de les voir ?

http://blogs.mediapa…r-les-nuls-le-r

NDLR : Même si le régime d'immunité est modifiable par le Conseil des Gouverneurs, une telle protection et un éloignement si grand de la situation des citoyens lambda est assez incroyable :

Chapitre 6. Dispositions générales et juridiques [art. 26 à 33]

Immunités, privilèges, et exonérations d'impots :

Il jouit d'immunités et de privilèges qui doivent être accordés dans chaque Etat membre [art. 27.1]. Le MES a pleine personnalité juridique et pleine capacité juridique [art. 27.2] de :

•Acquérir et aliéner des biens immobiliers et mobiliers;

•Contracter;

•Aller en justice;

•Entrer dans un accord cadre/protocole nécessaire pour assurer ses privilèges et immunités;

Le MES, ses biens, ses fonds et avoir, où qu'ils se trouvent, jouissent de l'immunité de toute forme de procédure judiciaire sauf si le MES renonce lui même à une de ces immunités (voir les articles 6 et 7 sur les structures de vote du Conseil des Gouverneurs) [art. 27.3]. La propriété, le financement et les actifs du MES, où qu'ils se trouvent, sont exempts de perquisition, réquisition, confiscation, saisie, par une action de l'exécutif, judiciaire, administrative ou législative [art. 27.4].

Les archives et les documents du MES ainsi que ses locaux sont inviolables [art. 27.5 et 27.6]. Les biens, les fonds et les avoirs du MES sont exempts de restrictions, réglementations, contrôles et moratoires [art. 27.7].

C'est le Conseil d'Administration qui fixe les conditions d'emploi (rémunérations etc.) du Directeur Général et des autres employés [art. 28]. Les employés du MES sont tous soumis au secret professionnel et cela y compris une fois que leur période d'activité est terminée [art. 29]. Tout le personnel est à l'abris de poursuites à l'égard d'actes accomplis en qualité officielle, sauf si le Conseil des Gouverneurs en décide autrement [art. 30.1], celui-ci peut lever les immunités, et le Directeur Général peut aussi lever l'immunité d'un employé (sauf Gouverneur ou Directeur) [art. 30.2]. Bien sur, chaque état s'engage à tout faire pour que cet article 30 soit appliqué [art. 30.3].

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Les Grecs ne sont peut-être pas responsables de la dette de leur état, cependant, ils ont voulu et voté pour un état socialiste, avec tout plein de services publics gratuits, aujourd'hui, ils beuglent parce que mince, les sévices publics, ben c'est payant, et oui !

Qu'ils votent non, qu'ils se démerdent, qu'on leur donne plus un euro, tant mieux !!

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Enfin, il est quand même complétement con ce Papandréou. Il y a une semaine, il pousse dans un sens. Aujourd'hui, il pousse dans l'autre. Les européens, leurs politiques et leurs banques proposent aux grecs de payer 50 % de leurs dettes et les gus font les difficiles. Du coup, ils auront eu le plaisir de donner démocratiquement leur avis grâce à ce référendum et ils auront quand même, quoi qu'il arrive, l'austérité, l’appauvrissement et le merdier total.

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Franchement, c'est tout de même incroyable. C'est LE jour où je ne peux pas accéder à l'informatique que poum, la crise prend une proportion supérieure notoire !

Bon. En tout cas, ma conclusion de tout ce merdier c'est que le titre de ce fil commence à ressembler à quelque chose.

Crisounette, hein ?

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Les Grecs ne sont peut-être pas responsables de la dette de leur état, cependant, ils ont voulu et voté pour un état socialiste, avec tout plein de services publics gratuits, aujourd'hui, ils beuglent parce que mince, les sévices publics, ben c'est payant, et oui !

Qu'ils votent non, qu'ils se démerdent, qu'on leur donne plus un euro, tant mieux !!

Mouais enfin on peut aussi retenir c'est que les socialistes ont révélé l'ampleur du problème de la dette en venant au pouvoir en remplacement d'un parti qui disait être pour un "libéralisme radical":

Néa Dimokratia comme un parti moderne et progressiste de centre-droit. Dans sa conférence nationale de 1979, la Néa Dimokratía définit son idéologie de « libéralisme radical » c’est-à-dire une double insistance : sur l'économie de marché d'abord, mais aussi sur l'intervention « décisive » de l'État pour maintenir la justice sociale,

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvelle_D%C3%A9mocratie_(Gr%C3%A8ce)

Le libéralisme a vraiment un problème d'image, même avec ceux qui s'en réclament et qui utilisent ce mot à tord et travers.

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Crisounette, hein ?

Le couple infernal Sarkozy / Merkel vient de se déclarer "déterminé à faire appliquer le plan de sauvetage" et à convenu d'une réunion ensemble demain après-midi. Ouf nous sommes sauvés. :sorcerer:

Par contre si j'étais Carla je me poserai des questions, toutes ces conversations téléphoniques, ces prétextes bidons pour se réunir. A sa place je trouverai cela louche, et je me demanderai s'il n'y a pas baleine sous gravillon.

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…les socialistes ont révélé l'ampleur du problème de la dette en venant au pouvoir en remplacement d'un parti qui disait être pour un "libéralisme radical"…

Oui bon… mais faut pas oublier que la politique en Grèce n'a strictement rien à voir avec la droite, la gauche, le libéralisme ou autre chose. La politique en Grèce c'est : tu votes pour un Papandréou ou tu votes pour un Karamanlis. Point barre.

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Enfin, il est quand même complétement con ce Papandréou. Il y a une semaine, il pousse dans un sens. Aujourd'hui, il pousse dans l'autre. Les européens, leurs politiques et leurs banques proposent aux grecs de payer 50 % de leurs dettes et les gus font les difficiles. Du coup, ils auront eu le plaisir de donner démocratiquement leur avis grâce à ce référendum et ils auront quand même, quoi qu'il arrive, l'austérité, l’appauvrissement et le merdier total.

Une hypothèse est que ce roublard de Papandreou joue double-jeu depuis le début :

http://ladettedelafrance.blogspot.com/2011/11/referendum-en-grece-le-coup-de-theatre.html

Rappelons l'expression que j'avais inventée : Sarkozy s'est fait empapandréouter.

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