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Venezuela : l'autre grande réussite du socialisme


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Sans doute, mais ceci dit j'ai pas l'impression que l'argent qu'ils gagnent va leur permettre d'acheter quoi que ce soit tellement leur monnaie ne vaut rien.

Ils seraient à mon avis mieux lotis en se barrant et en envoyant régulièrement de l'argent et des vivre au pays.

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Sans doute, mais ceci dit j'ai pas l'impression que l'argent qu'ils gagnent va leur permettre d'acheter quoi que ce soit tellement leur monnaie ne vaut rien.

Ils seraient à mon avis mieux lotis en se barrant et en envoyant régulièrement de l'argent et des vivre au pays.

Reste à voir à quel point l'immigration en Colombie est aisée niveau administratif.

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Le chaos du Venezuela correspond à une séquence classique qui était déjà celle de l'empire romain : j'augmente la dépense publique, je crée de la monnaie pour financer le déficit, les prix augmentent, je fixe des prix maximum, les pénuries s'installent. 

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Voici maintenant une pénurie de BigMac qui frappe le Vénézuela. http://www.globalpost.com/article/6784085/2016/07/21/big-mac-latest-casualty-venezuela-shortages

L'AFP qui prend le parti des gauchistes

"Venezuela's economy is mired in crisis because of the global plunge in the price of oil, its main export."

Et beh...

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Mardi, le Venezuela a attendu toute la journée la décision du Conseil national électoral (CNE) sur la poursuite du processus de référendum révocatoire contre le président Nicolas Maduro. Mais peu avant 20 heures, le CNE faisait savoir qu’il se donnait une semaine supplémentaire de réflexion. Pire: deux heures avant, le gouvernement socialiste avait annoncé son intention de demander la mise hors la loi de la MUD (Table pour l’Unité démocratique), la coalition d’opposition à l’origine de la demande de référendum, et qui avait remporté en décembre les deux-tiers des sièges à l’assemblée nationale.

Le conseil électoral, composé de fidèles du régime chaviste (fondé par le défunt président Hugo Chavez), continue ainsi à jouer la montre, comme il l’a fait dans les premières étapes d’un processus complexe lancé en avril. Le CNE devait se prononcer sur la validité de 200000 signatures, accompagnées d’empreintes digitales et de copie de la carte d’identité, demandant le référendum. L’opposition en a fourni 2 millions, dont 700 000 ont été récusées par les autorités. Motifs: elles concerneraient des électeurs morts, mineurs ou emprisonnés. C’est ce prétexte qu’a brandi le gouvernement pour demander l’illégalisation de la MUD, jugée coupable de «la plus grande fraude électorale dans l’histoire du pays» par un porte-parole.

Marathon de recomptage

Si jamais le CNE valide les 200000 signatures lundi prochain, la tenue du référendum ne sera pas encore acquise. L’opposition aura trois jours pour recueillir 4 millions de signatures, soit 10% du corps électoral. Si le quota est atteint, à l’issue d’un nouveau marathon de recomptage et de vérifications, les Vénézuéliens seront appelés aux urnes pour décider s’ils révoquent ou s’ils confortent Maduro, élu en 2013. Mais la date du vote est un enjeu crucial. La MUD espère qu’il aura lieu avant le 10 janvier, soit le mi-mandat du président. Dans ce cas, si le scrutin est défavorable à Maduro, une nouvelle élection présidentielle doit avoir lieu. Mais si le référendum a lieu après cette date, le sexennat sera achevé par le vice-président, Aristibulo Isturiz, un représentant de l’aile dure du chavisme.

Selon un sondage récent de l’institut Venebarometro, 64% des Vénézuéliens voteraient pour le départ du président moustachu. Et les critiques contre lui proviennent désormais de son propre camp. Face cette défaite inéluctable, le pouvoir semble pencher pour un référendum en 2017, qui leur permettrait de conserver le pouvoir. Au risque d’une explosion sociale dans un pays à bout de patience: l’économie s’est effondrée avec la chute du pétrole, les pillages et lynchages se multiplient, la pénurie frappe 80% des aliments et la plupart des médicaments, la criminalité est en hausse et l’inflation devrait battre cette année un record mondial: 700% selon le FMI.

 

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Quelle catastrophe.Esperons que cela les vaccine.

Le pire c'est que c'est pas sur. En Hongrie j'ai eu l'occasion de croiser pas mal de personnes de 40-59 ans nostalgiques du socialisme.

Ils déclaraient tous que la seule chose bien apres la chute du socialisme c'etait les voyages. Tous auraient voulu aller en France.. tandis que j'expliquais que je voulais en partir.

Heureusement ce n'est pas le cas chez les jeunes apparemment.

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Le pire c'est que c'est pas sur. En Hongrie j'ai eu l'occasion de croiser pas mal de personnes de 40-59 ans nostalgiques du socialisme.

Ils déclaraient tous que la seule chose bien apres la chute du socialisme c'etait les voyages. Tous auraient voulu aller en France.. tandis que j'expliquais que je voulais en partir.

Heureusement ce n'est pas le cas chez les jeunes apparemment.

Je n'ai pas de fréquentations hongroises, mais pour ce qui est de la Tchéquie et la Slovaquie, je suis pas convaincu (en dehors de ma bulle sociale de l'intelligentsia pragoise) que cette vaccination marche.

Par contre récemment, des gens disent plutôt avoir peur d'aller en France et la considèrent presque comme un pays dangereux du Moyen-Orient.

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Je n'ai pas de fréquentations hongroises, mais pour ce qui est de la Tchéquie et la Slovaquie, je suis pas convaincu (en dehors de ma bulle sociale de l'intelligentsia pragoise) que cette vaccination marche.

Par contre récemment, des gens disent plutôt avoir peur d'aller en France et la considèrent presque comme un pays dangereux du Moyen-Orient.

Je pense qu'il s'agit d'une question de degré en fait : le socialisme après 1956 (plutot à partir des 70's en fait) en Hongrie c'était plutôt "soft" contrairement à la Roumanie de Ceaucescu où les roumains ont une plus grande soif de liberté aujourd'hui (juste un ressenti Cugieran pourra peut être con/infirmer ).

Je ne sais ce qu'il en est en Tchéquie et Slovaquie (l'URSS a-t-elle lâché un peu le pays après 68 ? Faut croire que non en voyant les évènements de 89?). Reste que d'après ce que j'ai pu constater plus Maduro fera dans le desastre, plus les vénézuéliens seront vaccinés. À moins que la transition vers une économie de marché libre soit encore plus dure pour les habitants.

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