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Le Nouveau Programme Du Pld


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Quand on a une situation donnée fruit de longues années d'étatisme, peut etre qu'avant de pouvoir vivre dans un joyeux monde libéral faut un peu d'étatisme "inverse", si je puis dire.

 

Paye ta cohérence. L'étatisme "inverse", c'est comme l'étatisme. Quel que soit ton but, ça marche de travers et ça amène tout un lot de complications pas voulues.

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Pareil pour moi. Mais c'est normal, sauf exceptions (hors-EdNat notamment), un jeune de 25 ans aujourd’hui n'a connu que l'Etat nounou. Il a rarement essayé de monter une entreprise, s'enrichir, ou n'importe quoi le mettant face aux blocages publics. Du coup c'est plus long pour faire la transition... Personnellement, il m'a bien fallu 3/4 ans.

Je ne sais pas trop si le coup de la détestation marche vraiment bien, je constate aussi que souvent, la réponse à ce genre de considération c'est "oui mais c'est juste pas les bons". Ils acceptent d'être momentanément dirigés par des "méchants" parce qu'après ce sera au tour des "gentils" de prendre les choses en main, et là ça ira mieux.

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Non, je veux la comptabilité complète par principe parce que chaque centime prélevée au contribuable doit pouvoir, virtuellement, être tracé. Et pas juste avec un intitulé "fournitures de bureau". Je veux pouvoir connaître la marque du stylo en question, la couleur, le jour et le magasin d'achat, avec ticket de caisse à l'appui s'il le faut. Que si je visite, en tant que contribuable, une association vivant d'argent public, je puisse demander n'importe quelle information relative à l'utilisation de mon argent sur n'importe quoi, de la location des locaux à l'achat des ramettes de papiers et des punaises.

 

Voyez le principe ?

Si le but c'est de rendre les fonctionnaires définitivement non productifs... en fait c'est pas con. Mais ça ne passerait pas, la fonction publique a tellement de monopoles en France qu'elle est obligée d'être un minimum efficace.

 

De combien de Français est-il possible de capter l'attention de cette façon ? 100.000, 200.000 grand maximum.

C'est simple : pour toucher plus de monde il faut que les libéraux deviennent des gens dont l'opinion importe. Pas en tant que libéraux, mais individuellement. Donc il faut se faire des réseaux, se diriger vers des métiers ou des activités où nous aurons de l'influence. Et ensuite nous serons en position de force pour faire passer nos messages.

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Moi je constate que pendant des années, ma rethrique à bloqué sur 2 type de remarques. Je simplifie :

 

1- Le liberalimes c'est l'anarchie/laxisme, regarde il faut des regles comme le code de la route,.....

REPONSE: le liberalisme n'es PAS l'absence de rêgles, le droit de propriete/responsabilité/liberté EST une rêgle >> l’abîmer, c'est jouer au fou,

 

2- Si l'impot c'est mal alors tu veux pas d’impôts faut être logique, il n'y aura pas de routes, ce sera la fin du monde.
REPONSE: l'impot en france n'a aucune legitimité, nous n'avons aucun controle sur les depense et les taux >> démocratie directe + concurrence fiscale = minimum syndical pour prélever.

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Ça ne marchera pas, car la redistribution n'est pas linéaire. Concrètement, la personne lambda te répondra "oui mais ce sont les autres qui paient pour moi, surtout les riches. Si on arrête de dépenser, moi je vais toucher 1k par an et l'autre riche ramassera 47k/an, donc je préfère que l'Etat lui prenne tout et en utilise la moitié pour me payer des trucs".

Tu peux utiliser ça.

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la génération des 25 ans d'aujourd'hui d'imaginer un monde solidaire sans Etat.

La seule personne de mon entourage (pas très proche pour le coup) qui est d'accord de me suivre sur cette voie, et souvent emballée par "mes" idées, est une personne ayant arrêté l'école à 16 ans mais étant très curieuse et lisant beaucoup de choses en s'instruisant seule. Coïncidence ?

Pas suivi d'études donc pas totalement déconstruit par l'EDnat donc pas formaté donc essaie de réfléchir par lui-même avec ses expériences donc ne peut pas se référer à la boite à outils dont on dote les élèves pour qu'ils aient instinctivement le libéralisme (et ses versions néo, ultra, giga et turbo) en horreur. Et ceci tout en se croyant original en choisissant des prises de position anticapitaliste (la pensée unique c'est le capitaliste UMP en chapeau de forme)

Pourquoi coïncidence dès lors, ça n'est que logique. (Même si mes donc en cascade sont un peu foireux mais tu as globalement compris)

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Paye ta cohérence. L'étatisme "inverse", c'est comme l'étatisme. Quel que soit ton but, ça marche de travers et ça amène tout un lot de complications pas voulues.

 

Franchement, j'en sais rien.

D'un point de vue pratique, ce qu'on dit n'a de toute manière pas grand sens (un quota de journalistes libéral je vois pas comment tu fais ca concrètement).

Mais, si on imagine que c'était possible, je sais pas si on aurait pas tort de s'en priver.

 

L'étatisme marche très bien pour l'état si vous me permettez l'expression, de tas de grandes entreprises de construction idéologique ont été crées/accélérées par l'état. Encore une fois, faut pas se leurrer, les gens sont influencables, très.  L'anticléricalisme, le politiquement correct, l'état providence,  l'antiracisme, l'euthanasie présentée comme progrès, enfin j'en sais rien mais en gros tous les trucs "dans l'air du temps", ou tu passes pour un con si t'es pas d'accord, ce ne sont pas des "airs du temps" venus d'en bas, ce sont des "airs du temps" venus de l'état, de lobby copains de l'état, et autres médias pas indépendants de l'état.

 

A partir de la si un type "beaucoup plus libéral que ce qu'on a connu jusque la" arrive au pouvoir, et a mon avis encore une fois c'est possible, les francais ont toujours la tentation de voter pour une personnalité qui les inspire avant tout, suffit qu'on en trouve un bon qui sachent etre pédagogue, se raccrocher a 2-3 thèmes démago, et les gens sont pret a l'écouter a mon avis. 

Bref, que ce soit possible ou pas, imaginons que ca arrive.

 

Je pense qu'on aurait bien tort, d'un point de vue pragmatique, de se priver de "pédagogie par le haut", de se priver de donner d'une manière ou d'une autre si on le pouvait du temps d'image et de parole aux rares intellectuels libéraux, pour tenter de déconstruire toutes les fausses croyances, tous les faux réflexes. En gros ca fait des années que l'état fait en sorte qu'on ait besoin de lui, et fait en sorte de nous inculquer un tas d'idées à lui, et nous une fois au pouvoir faudrait qu'on refuse de tenter de "déssouder" les croyances profondément intégrées d'une majorité de la population ?  On peut le faire discrètement comme des voyous hein, pas besoin de l'institutionnaliser.

http://www.bbc.co.uk/news/entertainment-arts-22120480

Margaret Thatcher, un bon exemple de combo "libéralisation/maisquandmemej'aidemespotes".

 

Je sais pas vous mais je pense vraiment pas qu'on passera direct de "étatisme/socialisme" à "libéralisme".

 

Je sais meme pas si c'est vraiment techniquement possible, d'un point de vue pratique.

 

A partir de là, je pense qu'on a besoin de "transitions". Et donc un bon mec de droite bien actif sur la libéralisation de l'enseignement, la sécurité, la liberté d'expression, la réduction du poids des dépenses publiques, des impots, même s'il fait un peu de l'idéologie, ca me dérange pas, je pense que ca préparerait bien le terrain , que ca déplacerait bien le centre de gravité de l'opinion pour un vrai libéral par la suite.

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Je pense qu'on aurait bien tort, d'un point de vue pragmatique, de se priver de "pédagogie par le haut", de se priver de donner d'une manière ou d'une autre si on le pouvait du temps d'image et de parole aux rares intellectuels libéraux, pour tenter de déconstruire toutes les fausses croyances, tous les faux réflexes. En gros ca fait des années que l'état fait en sorte qu'on ait besoin de lui, et fait en sorte de nous inculquer un tas d'idées à lui, et nous une fois au pouvoir faudrait qu'on refuse de tenter de "déssouder" les croyances profondément intégrées d'une majorité de la population ?  On peut le faire discrètement comme des voyous hein, pas besoin de l'institutionnaliser.

 

Si on coupe les robinets des médias, déjà, tous les français comprendront que ces médias n'ont aucune raison d'être impartiaux. Qu'ils sont juste la voix de l'exécutif.

Tout le monde pourrait assister à leur faillite. Des médias en ligne non subventionnés comme Contrepoints gagneraient énormément en popularité par application de cette mesure et les médias qui suivraient auraient un biais beaucoup plus libéral, étant contraints à survivre sans subventions. Les journalistes "degôche" s'adapteraient ou changeraient de métier.

On aurait donc ici un changement de l'opinion publique sans intervention de l'Etat.

 

 

A partir de là, je pense qu'on a besoin de "transitions". Et donc un bon mec de droite bien actif sur la libéralisation de l'enseignement, la sécurité, la liberté d'expression, la réduction du poids des dépenses publiques, des impots, même s'il fait un peu de l'idéologie, ca me dérange pas, je pense que ca préparerait bien le terrain , que ca déplacerait bien le centre de gravité de l'opinion pour un vrai libéral par la suite.

 

Je suis d'accord. Le libéralisme économique viendra de la droite. Mais on pourra dire adieu au libéralisme sociétal. Influence de Le Pen toussa.

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Nous sommes au point A.

 

Le programme du PLD indique le point B.

 

Comment aller de ce point A au point B? C'est ce qui manque.

 

C'est à dire ?

Tu parles de la feuille de route d'un gouvernement élu ou bien de la feuille de route d'un parti pour gagner les élections ?

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C'est simple : pour toucher plus de monde il faut que les libéraux deviennent des gens dont l'opinion importe. Pas en tant que libéraux, mais individuellement. Donc il faut se faire des réseaux, se diriger vers des métiers ou des activités où nous aurons de l'influence. Et ensuite nous serons en position de force pour faire passer nos messages.

 

C'est tout à fait vrai, mais ça me semble utopique : je ne doute pas que le genre de milieux à dominance socialiste trient d'une façon ou d'une autre. Et il ne faut pas oublier qu'on est très peu.

 

Promouvoir la décentralisation serait une bonne chose, car il est plus simple pour un petit parti de percer localement que nationalement, et bien d'autres sont favorable à la décentralisation. Mais le problème de la boucle revient : la gouvernance est actuellement centrale, pourquoi ceux qui dirigent (et qui sont souvent fort influencés par le jacobinisme) accepteraient de décentraliser ?

 

 

Cette société est bien trop profondément dominée par la pensée étatiste. Elle ne pourra pas changer brutalement, mais très lentement, sous réserve de décadence (enfin, de diminution des richesses) et que l'étatisme soit identifié comme responsable. Et il faut se rendre à l'évidence : grâce à la technologie moderne, on peut vivre parfaitement bien tout en étant spolié par le gouvernement. Les gens n'accepteront de revoir leurs idées profondes que si leur frigo se vide, et ce n'est pas près d'arriver.

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Franchement, j'en sais rien.

D'un point de vue pratique, ce qu'on dit n'a de toute manière pas grand sens (un quota de journalistes libéral je vois pas comment tu fais ca concrètement).

Mais, si on imagine que c'était possible, je sais pas si on aurait pas tort de s'en priver.

 

L'étatisme marche très bien pour l'état si vous me permettez l'expression, de tas de grandes entreprises de construction idéologique ont été crées/accélérées par l'état. Encore une fois, faut pas se leurrer, les gens sont influencables, très.  L'anticléricalisme, le politiquement correct, l'état providence,  l'antiracisme, l'euthanasie présentée comme progrès, enfin j'en sais rien mais en gros tous les trucs "dans l'air du temps", ou tu passes pour un con si t'es pas d'accord, ce ne sont pas des "airs du temps" venus d'en bas, ce sont des "airs du temps" venus de l'état, de lobby copains de l'état, et autres médias pas indépendants de l'état.

 

A partir de la si un type "beaucoup plus libéral que ce qu'on a connu jusque la" arrive au pouvoir, et a mon avis encore une fois c'est possible, les francais ont toujours la tentation de voter pour une personnalité qui les inspire avant tout, suffit qu'on en trouve un bon qui sachent etre pédagogue, se raccrocher a 2-3 thèmes démago, et les gens sont pret a l'écouter a mon avis. 

Bref, que ce soit possible ou pas, imaginons que ca arrive.

 

Je pense qu'on aurait bien tort, d'un point de vue pragmatique, de se priver de "pédagogie par le haut", de se priver de donner d'une manière ou d'une autre si on le pouvait du temps d'image et de parole aux rares intellectuels libéraux, pour tenter de déconstruire toutes les fausses croyances, tous les faux réflexes. En gros ca fait des années que l'état fait en sorte qu'on ait besoin de lui, et fait en sorte de nous inculquer un tas d'idées à lui, et nous une fois au pouvoir faudrait qu'on refuse de tenter de "déssouder" les croyances profondément intégrées d'une majorité de la population ?  On peut le faire discrètement comme des voyous hein, pas besoin de l'institutionnaliser.

http://www.bbc.co.uk/news/entertainment-arts-22120480

Margaret Thatcher, un bon exemple de combo "libéralisation/maisquandmemej'aidemespotes".

 

Je sais pas vous mais je pense vraiment pas qu'on passera direct de "étatisme/socialisme" à "libéralisme".

 

Je sais meme pas si c'est vraiment techniquement possible, d'un point de vue pratique.

 

A partir de là, je pense qu'on a besoin de "transitions". Et donc un bon mec de droite bien actif sur la libéralisation de l'enseignement, la sécurité, la liberté d'expression, la réduction du poids des dépenses publiques, des impots, même s'il fait un peu de l'idéologie, ca me dérange pas, je pense que ca préparerait bien le terrain , que ca déplacerait bien le centre de gravité de l'opinion pour un vrai libéral par la suite.

 

Totalement d'accord.

 

Le programme scolaire serait transformé dans une logique McCarthyste, les fonctionnaires privés du droit de vote et les groupuscules faisant l'apologie du communisme verraient les biens de leur militants saisis. Ce type de recette a a marché pour éradiquer les courants nationaux-socialistes, la droite monarchiste et la droite racialiste, on pourrait y voir si ça marche face aux gauchistes.

 

Le communisme est un crime contre l'humanité, et la machine de propagande étatique devrait être retournée pour inculquer cette vérité fondamentale aux futurs citoyens.

 

A l'inverse, quelques milliards d'euros de subventions seraient parfaitement utiles à des militants libéraux, désormais payés pour dé-gramsciser le pays.

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bla bli

 

 

glou glou

 

Si je met de côté le caractère immoral du projet, ainsi que sa probable inefficacité, je dois vous rappeler que pour mettre au point une politique libérale-totalitaire pour convertir le pays au libéralisme il faudrait d'abord avoir le pouvoir politique.

 

Et si jamais vous disposez du pouvoir politique, c'est que le pays s'est ouvert aux idées libéral, vos "ajustements étatiques" sont donc inutiles. 

 

D'où, votre petit délire n'a pas franchement d'intérêt, sauf pour vous auto-gargariser en vous la jouant droite forte, droite dure, et autres big truck syndrome.

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C'est tout à fait vrai, mais ça me semble utopique : je ne doute pas que le genre de milieux à dominance socialiste trient d'une façon ou d'une autre. Et il ne faut pas oublier qu'on est très peu.

 

Promouvoir la décentralisation serait une bonne chose, car il est plus simple pour un petit parti de percer localement que nationalement, et bien d'autres sont favorable à la décentralisation. Mais le problème de la boucle revient : la gouvernance est actuellement centrale, pourquoi ceux qui dirigent (et qui sont souvent fort influencés par le jacobinisme) accepteraient de décentraliser ?

 

 

Cette société est bien trop profondément dominée par la pensée étatiste. Elle ne pourra pas changer brutalement, mais très lentement, sous réserve de décadence (enfin, de diminution des richesses) et que l'étatisme soit identifié comme responsable. Et il faut se rendre à l'évidence : grâce à la technologie moderne, on peut vivre parfaitement bien tout en étant spolié par le gouvernement. Les gens n'accepteront de revoir leurs idées profondes que si leur frigo se vide, et ce n'est pas près d'arriver.

 

Pour vivre en liberalie, faut deja convaincre les liberaux.... que c'est bien plus un problème d'institutions que de personne.

 

 

Il est plus que probable qu'aucun liberal n'arrivera devant les électeurs ici, tant il y de filtres pro étatistes AVANT.

L'absence de libéralisme en France n'est pas le fait des français, mais de l'appareil politique + fonction publique qui n'en représente qu'une fraction (4-8 millions d’électeurs sur 42)

Pas plus qu'une dictature n'est le souhait des gens du cru, mais simplement d'une fraction de la population.

 

Ce qu'il faut, c'est un cheval de Troie ayant deja les faveurs du public pour miner l'appareil, et pour moi ça s'appel la Démocratie directe, locale et constitutionnelle, ce que le PLD comprend à présent .

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Ça ne marchera pas, car la redistribution n'est pas linéaire. Concrètement, la personne lambda te répondra "oui mais ce sont les autres qui paient pour moi, surtout les riches. Si on arrête de dépenser, moi je vais toucher 1k par an et l'autre riche ramassera 47k/an, donc je préfère que l'Etat lui prenne tout et en utilise la moitié pour me payer des trucs".

Un smicard dépense tout son salaires en consommation, son taux d'imposition TVA est donc égal à la TVA elle-même.

 

Un riche dépense 20% de son salaire en consommation, son taux a lui est donc d'un cinquième de la TVA.

 

Pourquoi tout le monde oublie toujours la TVA, qui est l'impôt principal français, que tout le monde paie de Liliane Bettencourt à Jojo le clodo en passant par les enfants quand ils s'achètent des bonbons avec leur argent de poche?

 

Un mec qui ne paie que 1000€ de TVA c'est très très rare en France.

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Pour vivre en liberalie, faut deja convaincre les liberaux.... que c'est bien plus un problème d'institutions que de personne.

 

 

Il est plus que probable qu'aucun liberal n'arrivera devant les électeurs ici, tant il y de filtres pro étatistes AVANT.

L'absence de libéralisme en France n'est pas le fait des français, mais de l'appareil politique + fonction publique qui n'en représente qu'une fraction (4-8 millions d’électeurs sur 42)

Pas plus qu'une dictature n'est le souhait des gens du cru, mais simplement d'une fraction de la population.

 

Ce qu'il faut, c'est un cheval de Troie ayant deja les faveurs du public pour miner l'appareil, et pour moi ça s'appel la Démocratie directe, locale et constitutionnelle, ce que le PLD comprend à présent .

 

C'est bien un problème d'institution, mais je ne pense pas que la DD soit la solution. Les Français ne sont pas les Suisses, modifier les institutions ne modifieraient pas leur détestation des riches et leur défiance envers le libre-échange et la liberté contractuelle. Tu sous-estime la démocratie représentative, elle incarne bien dans les grandes lignes les idées du peuple. 

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Un smicard dépense tout son salaires en consommation, son taux d'imposition TVA est donc égal à la TVA elle-même.

 

Un riche dépense 20% de son salaire en consommation, son taux a lui est donc d'un cinquième de la TVA.

 

Pourquoi tout le monde oublie toujours la TVA,

 

Personne ne l'oublie. Ce que tu dis est juste la preuve que les riches ne sont pas assez taxés, et que si ça va mal c'est de leur faute. :)

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C'est bien un problème d'institution, mais je ne pense pas que la DD soit la solution. Les Français ne sont pas les Suisses, modifier les institutions ne modifieraient pas leur détestation des riches et leur défiance envers le libre-échange et la liberté contractuelle. Tu sous-estime la démocratie représentative, elle incarne bien dans les grandes lignes les idées du peuple. 

C'est-à-dire qu'on ne transforme pas les mentalités avec un instrument politique comme ça et pouf! L'instrument politique on en fait ce qu'on veut.

Moi je suis personnellement favorable à la DD mais pour des choses bien précises: pour s'opposer à une loi déjà votée et validée, pour s'opposer à un projet d'ouvrage public voté par une municipalité, pour s'opposer à toute augmentation d'impôts ou pour toute adhésion à un organisme international par exemple.

La DD en tant que force de proposition de lois, non merci, on a assez de législateurs comme ça. 

 

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c'est bien plus un problème d'institutions que de personne

Je pense exactement l'inverse. C'est un problème de personne, mais pas de n'importe qui : ce qu'il faut faire c'est convaincre ou remplacer les élites (entrepreneurs, bureaucrates, militaires, universitaires, politiciens, journalistes...) et le reste suivra mécaniquement. Par contre, si ces gens sont hostiles, c'est foutu quelles que soient les institutions.

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amha, c'est surtout un probleme d'institutions parce que c'est un probleme de personnes. Chacun voit son propre interet et si il peut abuser de son pouvoir a des fins personnelles, il le fera regulierement, de sorte qu'a terme il pervertit les institutions. Les dites-institutions doivent etre hors d'atteinte de ce genre de manipulation, d'ou la limitation claire, nette et précise des activités de l'Etat aux fonctions régaliennes.

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