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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

Messages recommandés

Elle doit avoir une méconception hilarante du monde du travail. En fait c'est quelqu'un qui se retrouve "artiste" parce que paralysée de terreur et de renoncement à l'idée d'aller rendre service une trentaine d'heures par semaine à quelqu'un, 46 semaines par an, juste par qu'elle a une vision très "contremaître égyptien antique" de ce qu'est le travail:

history-slave-slavery-slave_labor-whippe

Elle doit avoir une estime de soi aux raz des pâquerettes et se percevoir incapable d'accomplir vraiment quoi que ce soit de "sérieux".

Le socialisme est bien, décidément et avant tout, une tragédie personnelle.

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Le socialisme est bien, décidément et avant tout, une tragédie personnelle.

 

Que de généralités condescendantes et d'exagérations...

 

Par ailleurs, le socialisme ne se confond pas avec le rejet du travail ou le souhait de sa disparation. Il y a même des exemples du contraire.

 

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bah, elle n'est pas socialiste, c'est juste une dinde ignorante qui repete ce qu'elle a entendu.

C'est la jeunesse qui est une tragedie personnelle, sur le plan des idees exprimees surtout :lol:

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C'est même très exactement le contraire.

 

Non plus. Debord et son fameux "Ne travailler jamais" (cf https://www.google.fr/search?hl=fr&site=imghp&tbm=isch&source=hp&biw=1366&bih=638&q=Guy+Debord+Ne+travailler+jamais&oq=Guy+Debord+Ne+travailler+jamais&gs_l=img.3...634.13698.0.13874.54.17.11.26.28.0.288.2447.1j14j2.17.0....0...1ac.1.64.img..23.31.2744.lxjlEwC8wkg) appartiennent aussi au socialisme, mais ce n'est pas celui de Zola et du prolétaire "prométhéen", encore moins du héros Stakhanov.

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le socialisme d'origine à un côté productiviste mais c'est tellement incohérent qu'au final OSEF.

Si on veut du prométhéïsme cohérent, lire Y.Guyot, c'est bien plus fun.

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Debord.... Ya encore des gens qui s'en reclament, en dehors d'une poignée de vieux agrégés de socio soixante-huitards et d'ingénieurs des ptt à la retraite ?

Devine... => http://www.monde-diplomatique.fr/2006/08/SCARPETTA/13756

Néanmoins pour ce que j'ai pu voir ou lire, Debord reste très confidentiel. Infiniment plus que Marx, alors même que la proximité temporelle et le support cinématographique aurait pu jouer en faveur du premier.

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le hijab doit également être compris comme le fruit d’une négociation entre hommes et femmes dans laquelle le contexte post colonial joue un rôle majeur. Le foulard renvoie un message clair à la société blanche : « 1/ Nous ne sommes pas des corps disponibles à la consommation masculine blanche. 2/ Nous ne sommes pas des corps exploitables par la société du spectacle». Il renvoie un message tout aussi clair à la société indigène : « Nous appartenons à la communauté et nous l’assurons de notre loyauté ».

 

Malgré des démarches parfois différentes, il existe un point commun entre la plupart de ces sociologues : ils ne s’aventurent pas à reconnaître la race comme rapport social de luttes, comme rapport de forces politiques, et, encore moins, à définir l’enjeu central de cette lutte : le pouvoir. Leurs approches alimentent la représentation du « racisé » comme participe passé, simple objet d’une action racisante dont il est victime. De ce point de vue, le « remède » au racisme apparaît nécessairement comme extérieur à la relation raciale, un extérieur dont on a du mal à situer l’emplacement, sinon dans une relation que l’on espère vertueuse entre une intelligentsia « consciente », supposée s’être élevée au-dessus de l’imaginaire social du racisme, et un État régénéré, homogène enfin à son idéal républicain. Penser la race sans penser le conflit racial, sans penser l’enjeu du pouvoir – et, en son sein, le pouvoir central -, interdit à l’antiracisme de se penser comme stratégie politique.

S’ils lui reconnaissent une forme d’existence sociale, reflet pratique d’un imaginaire aussi tenace qu’une tâche de sauce tomate, la race ne doit surtout pas devenir corps politique en tant que race ni accéder à une existence historique réelle. L’hypothèse d’une lutte des races pour le pouvoir peut être effectivement embarrassante : comme toute lutte politique, elle implique l’exercice de la contrainte – rapport de forces – et la haine entre les deux pôles raciaux. Le « racisé » n’est plus simplement victime innocente. Il devient lui-même « racisant ». La haine du Blanc risque de devenir réalité. Une réalité d’autant plus désagréable que les racistes blancs ne manqueront pas de s’en emparer et de désarmer ainsi une gauche antiraciste qui exige des dominés qu’ils soient aussi propres que s’ils sortaient du pressing. Leur combat, pour être légitime, devrait être, selon eux, l’expression de l’universalisme humaniste. L’accepter comme vulgairement particulier et c’est l’universel qui explose en vol. Or, l’intellectuel blanc ne peut pas renoncer à cette idée d’universel, sans laquelle il serait immédiatement rejeté, en tant que Blanc, au cœur du conflit racial, alors qu’en tant qu’intellectuel antiraciste, il s’élève au-dessus du particulier pour être lui-même universel (ce qui est, disons-le en passant, la particularité du Blanc dominant). Être tout simplement blanc est une terrible humiliation. Ne pas être l’incarnation de l’Homme, n’est pas facile à digérer. Être reconnu comme membre du groupe oppresseur, doté de privilèges et de pouvoirs, est proprement inavalable. L’intellectuel antiraciste blanc craint comme la mort le choc qu’impliquerait la prise de conscience de sa non-universalité,

 

À ce stade, le militant blanc de gauche n’a pas beaucoup de choix. Comme il n’est pas question pour lui de rejoindre ses frères, les Blancs racistes et fiers de l’être, il peut tenter de conserver son « universalité », c’est-à-dire sa « pureté » d’Homme, en « trahissant » le camp des dominants et/ou en attribuant aux « racisés » un devoir de « pureté » et d’« universalité » qui lui assurerait d’être du bon côté de la barrière. Cela reste toutefois une position incommode, même si on peut y trouver un certain confort. Il y a alors une autre solution, plus banale, celle du déni. Éric Fassin a parfaitement décrit ce phénomène qui interdit de reconnaître la racialité de la société française (Fassin/Fassin 2006). On peut compléter son analyse pour y ajouter un autre processus de déni, celui qui interdit à l’intellectuel blanc de gauche, conscient de cette racialité, d’appréhender cette dernière pour ce qu’elle est : un conflit racial, une lutte pour le pouvoir.

 

 

Affirmer que la question raciale est inséparable de la lutte des races pour le pouvoir signifie que les races sont des rapports de forces sociaux entre race dominante et races dominées, les unes voulant préserver leur suprématie constitutive du système racial, les autres s’en libérer. Cela signifie aussi que les races, et donc les démarcations raciales, se constituent dans le processus même de leurs luttes pour le pouvoir. La résistance des races dominées est à la fois une lutte menée de front – la race dominée voulant détruire la suprématie de la race dominante ou instaurer la sienne, tandis que la race dominante cherche à conforter sa suprématie – et une lutte pour appartenir à la race dominante ou, à tout le moins, en être le plus proche, c’est-à-dire grimper les marches de la hiérarchie raciale. Et l’une des stratégies du Pouvoir blanc, c’est justement d’élargir ses propres frontières, de sélectionner qui peut les passer, ou de faire grimper l’un ou l’autre groupe dans la pyramide raciale. C’est une stratégie et c’est l’un de ses pouvoirs. Une stratégie confortée en regard par les stratégies des races dominées, tourmentées par l’ambition d’être accueillies de plein droit dans la communauté des Blancs.

Ainsi, la hiérarchie raciale se présente plus comme une pyramide que comme une opposition entre deux pôles homogènes et rigoureusement définis. Elle est à la fois bipolaire, opposant Blancs et non-Blancs, et pyramidale : face aux Blancs, ou plutôt en dessous des Blancs, s’empilent les différents groupes raciaux opprimés – par strates de couleur ou de culture, chacune selon son rang dans l’humanité ou la civilisation, ses droits et ses servitudes, les combats perdus et les combats gagnés. La stratification raciale opère également une distribution des personnes et des groupes selon les classes – et je n’ai pas besoin de préciser qui sont les principaux bénéficiaires de cette répartition.

 

Tout l'article est complétement fou ... (badurl) http://indigenes-republique.fr/nous-avons-besoin-dune-strategie-decoloniale/ (badurl)

Un bon résumé de la façon de pensée dominant/dominé.. Ces gens sont complétement à l'ouest, haineux etc .... Incroyable.

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Ha oui, on dirait qu'ils ont trouvé pire que Caron.

 

 

C'est des liens du sang que sont venus le racisme, la monarchie absolue. La vraie révolution, la vraie égalité totale, ce serait de mélanger les bébés à la naissance comme dans La vie est un long fleuve tranquille. On devrait interdire aux parents d'élever leurs enfants biologiques. Cette manière de placer son ego dans sa chair me donne le vertige.

 

 

La bonne nouvelle, c'est qu'il ne veut pas faire d'enfant.

 

 

 

Edit:

 

Tout s'explique:

Yann Moix est « découvert » en 1994 par Bernard-Henri Lévy6,

http://fr.wikipedia.org/wiki/Yann_Moix

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Moix déteste le monde entier à commencer par lui même, le pauvre petit chou ne s'est pas remis de son enfance pourrie, alors il fait genre je hais la famille. Rien de neuf, quoi, sauf qu'il en fait profiter un max de monde. Faudrait qu'il ne soit plus en colère mais comme c'est sa signature...

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Tout l'article est complétement fou ... (badurl) http://indigenes-republique.fr/nous-avons-besoin-dune-strategie-decoloniale/ (badurl)

Un bon résumé de la façon de pensée dominant/dominé.. Ces gens sont complétement à l'ouest, haineux etc .... Incroyable.

 

Les Indigènes de la République forment le parti le plus raciste de France. Loin devant le Front National. Noter au passage la façon dont ils se renforcent mutuellement: appel à la lutte raciale contre la suprématie "blanche" d'un côté, qui permet, de l'autre, de pointer les noirs et les arabes comme des envahisseurs menaçants sur le point de détruire notre chère nation chrétienne.

 

Connerie symétrique qui pourrit le débat public.

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Au second degré, son fil twitter est une mine d'or.

 

 

On s'en bat les couilles du Pont des Arts hein, augmentez les allocs c'est mieux.

 

 

La politique ça devrait pas dépasser les cadres de l'idéologie marxiste-léniniste après ça part dans des délires... "Libre qui râle" wsh.

 

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Mal du siècle : la jeunesse est aujourd'hui plus sensible à la culture populaire japonaise qu'au maoïsme.

 

Effectivement  :D

 

SI j'essaie de résumer, ce serait un Chinois raciste musulman communiste pro-Israel ?

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In a truly libertarian culture, nearly all of them would be squashed like ants—mostly by the same people who are squashing them now. But the fantasy lives on regardless.

 

http://www.motherjones.com/kevin-drum/2015/06/heres-why-libertarians-are-mostly-men

 

J'ai du mal à comprendre. Les libertariens sont les gens en bas de l'échelle qui rêvent de devenir des surhommes randiens ? Je croyais que c'était l'idéologie des mâles blancs ultra-privilégiés pourtant, on est pas déjà en haut de l'échelle ?

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C'est la jeunesse qui est une tragedie personnelle, sur le plan des idees exprimees surtout :lol:

C'est beau, ça pourrait presque finir en signature, tiens.
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Certains, c'est vrai, choisissent des chemins de traverse, coupent les ponts avec la technologie, refusent le salariat, deviennent végétariens… Mais ces com­portements confinent à l'héroïsme moral et ne concernent qu'une minorité d'acteurs.

Je ne vois guère l'héroïsme moral des comportements en question, mais c'est sûrement parce que je suis un dangereux ultralibéral vendu au Grand Capital et au Marché.

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Une question « antique » semble avoir été abandonnée en chemin : l'interrogation sur ce qui serait bon et juste pour la société prise collectivement.

 

Je cherche la société...

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