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C'est un non-sujet d'action politique et je suis d'accord que les statistiques que l'on nous sort tous les 8 mars n'ont pas de sens. Le fait de ne pas se sentir assez payé est un sujet pour beaucoup là où les deux/trois malotrus aux jambes écartées que j'ai pu croiser tout au long de ma vie dans le métro ne le sont pas.

La question est de savoir si cette impression d'être sous-payé, considérant son choix et sa stratégie de carrière, son comportement et son implication réelle dans son travail, est réelle ou non, et si oui comment renverser la vapeur.

Cela me semble être un sujet important que l'on ne peut pas complètement balayer de la main comme le manspreading.

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il y a 18 minutes, Romy a dit :

 

Les politiques s'y mettent et même quelqu'un comme Pecresse, qui n'est pas du même tonneau idéologique que Schiappa, doit donner le change. Une législation n'est pas du domaine de l'impossible. Effectivement, ça sort du cadre de la parité et de l'égalité de salaire qui en soi ont le mérite de ne pas être des non-sujets.

 

il y a 14 minutes, Tramp a dit :

L'égalité de salaire c'est un non-sujet. 

La parité comme but est également un non sujet: ce n'est bien ni mal que des secteurs/entreprises soient plus ou moins loin de la parité, tant que les femmes sont libres de choisir leur vie comme elles l'entendent.

 

Citation

 

On ne parle plus de permettre aux femmes d'accéder aux mêmes opportunités que les hommes mais de "limiter" les hommes pour permettre aux femmes d'exister (logique redistributive). C'est un changement de paradigme qui s'observe depuis un moment mais si ça commence à toucher les politiques en manque d'idées, ils ont devant eux un boulevard d'actions liberticides.

 

Je ne suis pas sûr que ça passe vraiment: c'est finalement assez proche de la discrimination positive, et c'est mal vu en France pour moi.

Par contre, dans les (grosses) boites un peu internationales et/ou anglo-saxonnes dans lesquelles j'ai bossé, il y a un discours ambiant important sur le fait que la parité (et la "diversité") est le but qu'il faut atteindre à tout prix.

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1 hour ago, Romy said:

La question est de savoir si cette impression d'être sous-payé, considérant son choix et sa stratégie de carrière, son comportement et son implication réelle dans son travail, est réelle ou non, et si oui comment renverser la vapeur.

Forcément quand on leur matraque à longueur de journée les conneries sur le wage gap certaines femmes finissent par se sentir sous-payées. De manière classique en politique on invente des problèmes imaginaires et ça entraîne des problèmes réels.

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Sur "l'égalité salariale", les termes du débat sont mauvais (action politique correctrice) mais le débat est réel. A mon sens c'est un travail sur soi qu'il faut faire dans la plupart des cas (orientation, implication vie professionnelle vs. vie privée, travail sur la confiance en soi...). Certaines femmes ont tendance peut-être à répéter des schémas du passé et à choisir des carrières "féminines" mais moins lucratives, ont du ressentiment parce que leur carrière évolue moins vite à cause d'un congé parental, sont mécontentes de la répartition des tâches dans leur couple, etc. Dans ce cas, c'est facile de se déresponsabiliser et d'accuser la société d'être sexiste.

Y a un vrai sujet pour les libéraux je pense sur un discours responsabilisant qui, s'il dit qu'on ne peut tout avoir en même temps, est libérateur car il donne les moyens intellectuels de faire ses choix et de trouver des solutions créatives au lieu de s'empêtrer dans un discours victimaire qui rabaisse l'âme.

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Manspreading.

 

On a franchit un cap journalimstique, l'article ne prend même plus de distance avec la thèse féministe et la défend comme sienne avec les arguments alakon habituels.

 

http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/07/06/comment-le-manspreading-est-devenu-un-objet-de-lutte-feministe_5156949_4832693.html

 

Citation

De même, on ne peut pas compter sur des prises en charge individuelles du problème avec des femmes qui demanderaient aux voisins de serrer les jambes, « ce qui risque toujours de finir par une agression » rappelle la géographe.

 

On trouve les mêmes siphonnées à chaque fois : Edith Maruéjouls la géographe du genre et pour Le Monde Violaine Morin (qui couvrait complaisamment Nuit Debout).

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11 minutes ago, Corned beef said:

Manspreading.

 

On a franchit un cap journalimstique, l'article ne prend même plus de distance avec la thèse féministe et la défend comme sienne avec les arguments alakon habituels.

 

http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/07/06/comment-le-manspreading-est-devenu-un-objet-de-lutte-feministe_5156949_4832693.html

 

 

On trouve les mêmes siphonnées à chaque fois : Edith Maruéjouls la géographe du genre et pour Le Monde Violaine Morin (qui couvrait complaisamment Nuit Debout).

 

J'allais le poster, on note que tous les commenatires sont négfatifs, c'est déjà ça.

 

Et toujours ça:

« Aucun de ces sujets ne doit effacer les autres, mais ils peuvent tous s’inscrire dans un projet global de résistance »,

 

Genre moi je résiste au manspreading, y en a d'autres qui vont se battre à Raqqa, mais faut pas hiérarchiser, je mérite aussi mes applaudissements.

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il y a 26 minutes, Fagotto a dit :

 

 

J'allais le poster, on note que tous les commenatires sont négfatifs, c'est déjà ça.

 

Et toujours ça:

« Aucun de ces sujets ne doit effacer les autres, mais ils peuvent tous s’inscrire dans un projet global de résistance »,

 

Genre moi je résiste au manspreading, y en a d'autres qui vont se battre à Raqqa, mais faut pas hiérarchiser, je mérite aussi mes applaudissements.

 

I want to like so hard.

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il y a une heure, Fagotto a dit :

 

 

J'allais le poster, on note que tous les commenatires sont négfatifs, c'est déjà ça.

 

Et toujours ça:

« Aucun de ces sujets ne doit effacer les autres, mais ils peuvent tous s’inscrire dans un projet global de résistance »,

 

Genre moi je résiste au manspreading, y en a d'autres qui vont se battre à Raqqa, mais faut pas hiérarchiser, je mérite aussi mes applaudissements.

 

C'est ça qui fait mal. 

 

Tu as des nourjalistes payés grassement pour pondre ces conneries et un random guy sur Liborg peut sortir une analyse cent fois plus intelligente en 4 lignes, juste parce qu'il a allumé son cerveau. 

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Les progrès de la communication impactent tout.

ama il y a d'évidence un phénomène de diversification de la dinguerie affichée comme ça n'a jamais existé.

Il y a toujours eu des fadas, mais avant ils piochaient une implémentation précise de dinguerie dans un catalogue restreint (et monotone).

 

Aujourd'hui, il n'y a que l'embarras du choix pour exprimer sa folie.

Et tout et n'importe quoi y passe.

Il y a des gamines de 15 ans qui se prennent pour des chevreuils.

Alors qu'est ce qu'elles ne peuvent pas avaler ?

Surtout s'il y a un intérêt pour un tiers à leur faire gober un truc.

 

 

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Il y a 6 heures, Corned beef a dit :

Manspreading.

 

On a franchit un cap journalimstique, l'article ne prend même plus de distance avec la thèse féministe et la défend comme sienne avec les arguments alakon habituels.

 

http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/07/06/comment-le-manspreading-est-devenu-un-objet-de-lutte-feministe_5156949_4832693.html

Citation

De même, on ne peut pas compter sur des prises en charge individuelles du problème avec des femmes qui demanderaient aux voisins de serrer les jambes, « ce qui risque toujours de finir par une agression » rappelle la géographe.

On trouve les mêmes siphonnées à chaque fois : Edith Maruéjouls la géographe du genre et pour Le Monde Violaine Morin (qui couvrait complaisamment Nuit Debout).

 

Le passage rapporté est réellement dramatique. Si le terrorisme intellectuel existe, ça en est un exemple frappant. Le but et l'effet, c'est de créer de totue pièce de la peur chez les lecteurs, et surtout les lectrices. C'est le genre de propos qui crée un climat de paranoïa insupportable, et qui rend la vie en société étouffante, éprouvante à chaque instant, sans aucune raison.

 

Bientôt, on va demander des lignes de circulation pour les hommes, les femmes, les transgenres, chacune bien séparée des autres pour éviter tout risque d'agression lorsque deux personnes se font face sur un trottoir "anarchique".

Il y a 6 heures, Rocou a dit :

Ça sent la fin de la mixité.

Exactement.

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Bah une nénette qui croit sa vie gâchée parce qu'elle a les lèvres un peu longue je visualise bien.

 

Si ça arrive à une de mes fillles j'imagine que je paierai aussi pour la chirurgie esthétique si c'est vraiment une cause de mal être intense et prolongé

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il y a 21 minutes, Mathieu_D a dit :

Bah une nénette qui croit sa vie gâchée parce qu'elle a les lèvres un peu longue je visualise bien.

 

Si ça arrive à une de mes fillles j'imagine que je paierai aussi pour la chirurgie esthétique si c'est vraiment une cause de mal être intense et prolongé

je me demande si le lifting burnesque existe

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il y a 22 minutes, Hayek's plosive a dit :

La chirurgie pour grossir le zgeg oui ça existe. Les complexes liés à la morphologie de son sexe ça marche chez l'homme et la femme.

grossir le zgeg, je sais, mais lifter les coucougnettes ?

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Je pense qu'un garçon de moins de 15 ans qui demande à ses parents une chirurgie esthétique pour se faire grossir la bite aura beaucoup plus de chances de se faire envoyer balader. C'est du seximse.

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Ah tiens il y a quelques temps j'ai découvert une revendication féministe qui je trouve tiens la route.

Il s'agit de revenir sur la règle gramaticale qui veut que le masculin l'emporte sur le feminin. Il est proposé de revenir à la règle antérieure dite de proximité,  où l'adjectif s'accorde avec le nom qui est le plus proche de lui.

Exemple :

-Pierre et Marie sont belles.

-Marie  et Pierre sont beaux.

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il y a 13 minutes, frigo a dit :

Ah tiens il y a quelques temps j'ai découvert une revendication féministe qui je trouve tiens la route.

Il s'agit de revenir sur la règle gramaticale qui veut que le masculin l'emporte sur le feminin. Il est proposé de revenir à la règle antérieure dite de proximité,  où l'adjectif s'accorde avec le nom qui est le plus proche de lui.

Exemple :

-Pierre et Marie sont belles.

-Marie  et Pierre sont beaux.

 

En quoi ça tient la route ?

 

Que les gens continuent à faire des fautes grotesques sur leur CV, ca m'arrange.

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