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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

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Fouyayayaya…

S'habiller, la roue, le feu, l'imprimerie,… Vous pensiez que c'était le fruit d'une évolution, un fait social et économique ?

Non, c'est de l'idéologie ! Et du néolibéralimse, qui plus est…

http://www.liberation.fr/economie/2015/04/20/les-technologies-sont-des-concentres-d-ideologies_1254606

:facepalm:

C'est possible d'être aussi con ?

Message signalé.

J'ai failli faire une crise cardiaque en lisant l'interview.

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S'habiller, la roue, le feu, l'imprimerie,… Vous pensiez que c'était le fruit d'une évolution, un fait social et économique ?

Non, c'est de l'idéologie ! Et du néolibéralimse, qui plus est…

Créditer le progrès au capitalisme (= néolibéralisme), je vois pas du tout ce qui te choque :)

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Créditer le progrès au capitalisme (= néolibéralisme), je vois pas du tout ce qui te choque :)

 

Pour certains, c'est du progrès qu'une fois qu'on ne plus vraiment revenir en arrière ou que bon finalement c'est pas mal. Avant, ça détruit des emplois etc ...

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Mais chaque citoyen devrait avoir un socle de compétences, même si ces compétences sont devenues technologiquement obsolètes. Dans certains cas l’automatisation consiste à repousser les limites de la déqualification, sauf que ce sont des capacités cognitives, intellectuelles, et bientôt peut-être émotionnelles, que nous acceptons de perdre.

 

 

il doit pas travailler dans un domaine ou l'automatisation arrive.Seulement un ignorant total peut sortir cela.

mot cle :"Dans certains cas"

 

article: poubelle.

 

 

Tous ces objets personnalisés à l’extrême vont certainement achever de détruire les quelques restes de solidarité et de respect mutuel laissés par des années de dogme néolibéral. En gros, l’Etat providence, qu’on l’aime ou qu’on le déteste, présupposait un certain degré d’ignorance. La prolifération de capteurs nous permet de combler ce vide, nous donnant quantité d’informations sur les «profils risques» de la plupart des citoyens. Si je sais que ma santé est bien meilleure que celle de mon voisin, pourquoi subventionnerais-je son mode de vie pas très sain ? Ces questions sont au cœur de la transformation de l’Etat providence. Les appareils connectés, aussi excitants soient-ils, ouvrent une voie encore plus sinistre : une montre connectée ne va pas transformer une assurance en œuvre de charité. Tout le monde ne pourra pas obtenir des réductions - quelqu’un va donc devoir payer plus. Et je suis presque sûr que ces gens-là seront les pauvres, les gens malades, les plus vulnérables.

 

 

ah pardon, on a affaire a un intello d'operette, un vrai idiot congenital.Il essaye de faire semblant de penser mais arrive au meme resultat que ma belle-mere.Cretin.Je vais m'abstenir de lire la suite c'est du vent.

 

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Créditer le progrès au capitalisme (= néolibéralisme), je vois pas du tout ce qui te choque :)

 

Il n'est pas question de créditer le progrès au capitalisme, mais de prendre la technologie pour une idéologie.

Si le capitalisme permet et incite à l'innovation, il n'est pas l'innovation en soi.

 

Le truc, cependant, c'est que l'innovation rend obsolète certaines structures politiques par destruction créatrice. Et l'idéologue de l'article prend alors ce fait pour une idéologie. Ce qui en soi est complètement débile.

C'est comme si un zozo disait que l'homme doit prendre son envol en sautant dans le ravin et que face aux conséquences de la gravitation sur ceux qui sautent, dit que la gravitation est une idéologie…

 

Un grooooos con…

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il dit en filigranne que la technologie est l'ennemie du vivrensemble et de la social-democratie ce qui est vrai.Mais pas selon son explication mongolienne.

 

 

C'est comme si un zozo disait que l'homme doit prendre son envol en sautant dans le ravin et que face aux conséquences de la gravitation sur ceux qui sautent, dit que la gravitation est une idéologie…

 

 

plus exactement, il dit que celui qui trouve comment voler est une menace pour le vivrensemble des autres, et que l'ideologie du createur se transmet dans l'utilisation des avions.C'est a la fois bobo-intello et totalement dysfonctionnel.

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Il y a dans mon université un 'festival des héros' organisé par des kots à projets altermondialiste, on retrouve une galerie de héros, avec à côté de Mandela et Gandhi, Obama et... Chavez.

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Ce n'est pas vraiment une phrase énervante, mais je viens de m'apercevoir que le Manifeste contre le Travail (dont Gio a proposé une lumineuse critique ici: http://www.senscritique.com/livre/Manifeste_contre_le_travail/critique/47779413), est maintenant vendu pour la modique somme de 25 euros ( http://livre.fnac.com/a4631419/Robert-Kurz-Manisfeste-contre-le-travail ).

 

Paye ton anticapitalisme.

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Proposition de loi visant à neutraliser les individus en lien avec une activité terroriste

 

Proposition présentée par Estrosi notamment avec dans l'exposé des motifs :

Face à des personnes présentant des caractéristiques laissant à penser qu’elles pourraient se rendre coupables d’actes terroristes, mais pour lesquelles aucun commencement d’exécution ne peut être prouvé, la loi ne permet pas de protéger la population. Pour autant, il faut que notre droit prenne en compte la menace qu’ils représentent.

 

 Alors je ne sais pas si c'est parce que je lis le roman 1984 en ce moment mais la manipulation possible résultant d'une telle loi est tout simplement effrayante.

Ça reste dans la même ligne que les sorties précédentes d'Estrosi sur la concession nécessaire de certaines libertés et cela va encore de delà.

 

L'ensemble de l'exposé des motifs est hallucinant. Récupération de morts pour en faire des symboles (que ça soit conforme ou non à leurs idéaux), champ lexical fleuri à base guerre, morts, barbares, civilisation, terrorisme,...

 

 

Mesdames, Messieurs,

Dix-sept. Ils sont dix-sept à être tombés sous les balles de barbares qui se sont attaqués en ce début d’année à notre civilisation.

Morts pour la liberté d’expression, morts pour la liberté de croire ou de ne pas croire ou morts pour assurer notre sécurité. Tous sont devenus les symboles d’une France qui refuse qu’on lui impose un mode de vie qui n’est pas le sien.

Si dans un formidable élan de solidarité, les Français ont honoré la mémoire de ces dix-sept victimes, il est désormais du devoir des responsables politiques, que nous sommes, de prendre la mesure de ces attentats et de tout mettre en œuvre pour que la peur change de camp. Après le temps du deuil, après le temps du recueillement est venu le temps de l’action politique.

Il nous faut se donner les moyens de gagner la guerre qui nous est déclarée aujourd’hui !

Cette guerre d’un nouveau genre nous oblige à adapter les pouvoirs dont disposent nos forces de l’ordre.

Les lois du 21 décembre 2012 et du 13 novembre 2014 ont renforcé l’arsenal juridique permettant de mieux lutter contre le terrorisme.

Les évènements récents à Nice, avec la tentative d’assassinat d’un militaire déployé dans le cadre du plan Vigipirate, ont démontré qu’un vide législatif existait. Face à des personnes présentant des caractéristiques laissant à penser qu’elles pourraient se rendre coupables d’actes terroristes, mais pour lesquelles aucun commencement d’exécution ne peut être prouvé, la loi ne permet pas de protéger la population. Pour autant, il faut que notre droit prenne en compte la menace qu’ils représentent.

Il devient donc impérieux de renforcer l’arsenal législatif face à des individus en lien avec le terrorisme (I) en donnant aux services de police les moyens d’intervenir rapidement permettant un contrôle de l’autorité judiciaire a posteriori et non une autorisation préalable lorsque la sécurité intérieure est menacée (II) et enfin en élargissant le spectre des peines et des sanctions applicables (III).

 

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Encore une perle de Michéa (son livre en est rempli...), je n'ai rien modifié, les italiques sont de l'auteur :
 

D'un point de vue libéral, en effet, un individu altruiste et soucieux du bien commun représente par définition une exception à la nature humaine [1]. Un tel choix privé — à supposer qu'il ne soit pas lui-même le masque de l'intérêt et de l'amour propre — est donc déjà voué à rester le privilège (du reste assez mystérieux) d'une élite restreinte. Mais ce serait surtout un choix peu conséquent. Si la poursuite par chacun de son intérêt bien compris constitue la meilleure façon de servir la communauté d'appartenance (ce qui est, depuis Adam Smith, le credo majeur du libéralisme), un libéral soucieux du bien commun devrait, en toute logique s'obliger à agir en égoïste afin de conférer un contenu réel à ses convictions morales. Les libéraux à visage humain sont donc, de toute manière, condamnés à rentrer dans le rang [2].

[1] Traduit dans les termes de l'analyse économique libérale, on dira, avec Kenneth Arrow, que la « motivation altruiste » est une « ressource rare ».

[2] De là, les contradictions psychologiques apparemment insolubles de tous ceux qui, à l'image d'un Constant ou d'un Tocqueville, se résignent au triomphe de la société marchande, tout en demeurant profondément étrangers à son esprit. Dans le cas de Benjamin Constant, la littérature sera le moyen privilégié d'assumer ces contradictions.

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J'aurais pas du googler kots.

 

J'aurais pas du.

 

C'est typiquement franchouille de l'intérieur de ne pas savoir ce qu'est un kot. (Heureusement l'élite franchouillarde connait ce mot). 

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Une autre, toujours du même auteur :
 

L'idéalisation de l'enfant, qui est au coeur de la culture libérale moderne (ce n'était pas le cas chez Hobbes), est d'abord le signe d'une admiration fascinée pour son égocentrisme initial. C'est pourquoi le principe de toute éducation libérale (sic) n'est pas d'aider l'enfant à grandir mais de laisser sa « nature » s'exprimer librement.
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Michéa est fascinant.
J'ai lu deux bouquins de lui. Il a une faculté incroyable à se planter sur certains points, c'est plutôt épique. Quand je le lis, j'ai l'impression de vivre dans une dimension parallèle à la sienne.

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F.mas, puisque tu passes par là, j'en profite pour te citer un autre passage qui se situe quasiment au même endroit : « Sa sensibilité de gauche ne lui permettait sans doute pas d'admettre une critique aussi radicale du libéralisme. ». Si tu te souviens d'une discussion qu'on a eu il y a quelques temps, tu comprendras l'allusion et il y a pleins de choses comme ça dans le livre.

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