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[modéré]Hollande, le départ du comique français


Messages recommandés

Emmanuel Macron est-il libéral ?

 

Plus que ceux-ci et moins que ceux-là...

 

Libéral pragmatique, oui. C'est-à-dire qu'il va assumer de défendre publiquement le libéralisme, mais au milieu d'une rhétorique pro-business navrante et caricaturale ("Les jeunes doivent avoir envie de devenir milliardaires") et en participant à un gouvernement socialiste, ce qui discrédite complètement son propos, et par ricochet fait passer le libéralisme pour ce qu'il n'est pas.

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Hollande a affirmé publiquement qu'il s'attendait à ce que la Russie achète des bateaux à la France dans le futur, malgré l'affaire des mistrals.
Pour se prendre aussitôt une volée cinglante de la part du Kremlin.

 

http://www.zerohedge.com/news/2015-10-15/russia-responds-french-presidents-renewed-attempt-sell-ships-moscow

 

 

Quoted by AP during a visit to the shipyard of Saint-Nazaire in western France, Hollande said that "Things went well with Russia, which has agreed to cancel the contract. And I even think we'll get partnerships for new ships." He didn't specify whether they could be military ships. More from AP:

[..]

Russia promptly responded with the following simple and brief message:

    Paris is looking to sell new ships to Russia, France's President Francois Hollande said during his visit to the Saint-Nazaire shipyard.  The president, however, neglected to mention whether Russia is actually eager to purchase such hardware from France.

 
HollandeTM , Marque de boulets déposée.

 

 

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En même temps ces pignoufs ne font même pas les vérifications les plus basiques de sécurité... Y'aurait moyen de faire enregistrer des milliards de votes dans leur truc avec un script automatique si quelqu'un le voulait. Et vu les tensions, ça m'étonnerait pas qu'il y aie pas quelques personnes en France pour faire ce genre de connerie. Ca va être marrant les résultats. :D

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Myriam El Khomri ne "croit pas" aux référendums d'entreprise Comme François Hollande lundi, Myriam El Khomri a exprimé ses réserves ce mardi sur les référendums d'entreprise. Pour réformer le code du travail, elle préfère miser sur "l'intelligence collective" des syndicats et du patronat. La ministre du Travail propose également de laisser à "l'entreprise la question (le choix?) du fractionnement des congés".

"Le référendum d'entreprise, je n'y crois pas", "je n'y suis pas favorable, je crois aux syndicats dans notre pays. Pour moi les corps intermédiaires sont importants, ils représentent les salariés, ils ont été élus pour", a expliqué la ministre sur "France Inter". La réforme qu'elle prépare donnera "plus de place à la négociation", d'entreprise ou de branche pour donner "plus de souplesse aux entreprises" et rendre "plus lisible" le droit, a-t-elle rappelé en ajoutant que cela imposait de réfléchir à la "formation" des représentants de salariés.

Lors d'un référendum d'entreprise tenu en septembre, une majorité des salariés de Smart France à Hambach (Moselle) s'était prononcée en faveur d'un retour provisoire aux 39 heures, payées 37, en échange d'une garantie de l'emploi jusqu'en 2020. La CGT et la CFDT entendent opposer leur veto à ce projet. 74% des cadres ont voté "oui" mais seulement 39% des ouvriers.

Sur "RTL" lundi, François Hollande avait lui aussi exprimé ses réserves lundi sur les référendums d'entreprises : "un référendum dans une entreprise, c'est quand même plus difficile, ça ne peut pas être exclu, mais il y a des pressions qui peuvent se faire, ça se joue sur l'emploi, ça se joue sur le salaire, ça se joue sur la promotion, ça ne peut pas être une méthode qui puisse être répétée autant que certains le voudraient", avait expliqué le chef de l'État.

Le président de la République avait cependant établi un distinguo avec le travail du dimanche, alors que des accords sur le travail de nuit ont été soumis aux salariés dans certaines enseignes, comme Sephora ou Marionnaud. "Aujourd'hui, il y a des négociations qui sont en cours, et on voit bien qu'il y a beaucoup de salariés qui veulent travailler le dimanche, les syndicats sont amenés à en tenir compte", a-t-il fait valoir. Smart est "un exemple où dans une entreprise, on demande à remettre en cause la durée du travail, les 35 heures, donc les salariés ont à perdre". "Dans l'affaire du travail du dimanche, ceux qui sont volontaires ont tout à gagner puisqu'on leur propose une 'surrémunération'".

"Il y aura une réarchitecture du code du travail" en "trois niveaux" (entreprise, branche, loi). "C’est un travail qui prend du temps. Le rapport Combrexelle a été remis en septembre. Tout le monde partage ce souci de l’illisibilité du code du travail. Les salariés ne sont pas protégés et les employeurs regrettent l’imprévisibilité. A partir de là, il faut voir comment on peut laisser plus de place à la négociation", a expliqué la ministre, en assurant que les "grands principes du droit du travail" resteront inscrits dans le code et la loi.

Prenant l'exemple de l'organisation du temps de travail, Myriam El Khomri a cité comme "principes" le "droit au repos quotidien" et "droit au repos hebdomadaire". "L’enjeu est de pouvoir laisser de la souplesse aux entreprises. Par exemple sur l’organisation du temps de travail on pourrait laisser à l’entreprise la question du fractionnement des congés", a-t-elle déclaré. "Tout cela pourrait relever de l’accord de branche et d’entreprise".

"Aujourd'hui notre droit du travail ne permet pas de répondre à la réalité de toutes les entreprises,(...) de tous les salariés. Moi je crois à l'intelligence collective", a-t-elle ajouté. "Un accord majoritaire c'est 50%. (...) Les représentants des salariés ne seront pas obligés de les signer. Et s'il ne sont pas signés, il y a bien sûr d'autres niveaux de garanties".

La ministre doit remettre le 28 octobre au Premier ministre ses propositions devant servir de base au projet de loi qu'elle présentera début 2016. La première phase de la concertation touche à sa "fin", a-t-elle indiqué, en précisant qu'elle devait encore recevoir mardi après-midi le leader de la CGT, Philippe Martinez. Suivra une deuxième phase de concertation sur le projet de loi lui-même jusqu'en fin d'année.

http://www.boursorama.com/actualites/myriam-el-khomri-ne-croit-pas-aux-referendums-d-entreprise-a9ebb95f1132f9c9597d57444eed9001

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Article L.911-1 du code de la sécurité sociale :

 

"A moins qu'elles ne soient instituées par des dispositions législatives ou réglementaires, les garanties collectives dont bénéficient les salariés, anciens salariés et ayants droit en complément de celles qui résultent de l'organisation de la sécurité sociale sont déterminées soit par voie de conventions ou d'accords collectifs, soit à la suite de la ratification à la majorité des intéressés d'un projet d'accord proposé par le chef d'entreprise, soit par une décision unilatérale du chef d'entreprise constatée dans un écrit remis par celui-ci à chaque intéressé."

 

Le référendum, c'est bien pour la mutuelle, ou pour gérer le risque décès. Après tout, ce sont des choses simples, sans aucun enjeu financier, n's'pas?

Par contre, pour gérer le temps de travail, là, c'est impossible. Vous imaginez l'enfer ultra-néolibéral?

Logique.

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Article L.911-1 du code de la sécurité sociale :

 

"A moins qu'elles ne soient instituées par des dispositions législatives ou réglementaires, les garanties collectives dont bénéficient les salariés, anciens salariés et ayants droit en complément de celles qui résultent de l'organisation de la sécurité sociale sont déterminées soit par voie de conventions ou d'accords collectifs, soit à la suite de la ratification à la majorité des intéressés d'un projet d'accord proposé par le chef d'entreprise, soit par une décision unilatérale du chef d'entreprise constatée dans un écrit remis par celui-ci à chaque intéressé."

 

Le référendum, c'est bien pour la mutuelle, ou pour gérer le risque décès. Après tout, ce sont des choses simples, sans aucun enjeu financier, n's'pas?

Par contre, pour gérer le temps de travail, là, c'est impossible. Vous imaginez l'enfer ultra-néolibéral?

Logique.

 

Un referendum dans l'entreprise ça empêche le dialogue social façon CGT à coup de dégradation, de prise d'otage et d'agression physique.

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ben il dit qu'en tant que député il est débordé de boulot, alors qu'à la Cour des comptes, il pourrait glander, je vois pas ce qu'il y a comme scoop, ça la fout juste mal pour ces "redresseurs de tort " que sont les mecs qui bossent dans ce bouzin, et qui pondent des rapports qui servent  à caler les pieds des bureaux

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