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[modéré]Hollande, le départ du comique français


Messages recommandés

Selon deux sources différentes Manuel Gaz est séparé de sa compagne depuis février et a une aventure avec NVB.

 

Tu fréquentes les sites s'adressant aux gonzesses ?

 

 

Quelles sources ? Et ça signifie qu'il va redevenir pro-palestinien ?

 

Ah bon, il l'était ?

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Ah bon, il l'était ?

Et pas qu'à moitié. C'est lui qui organisait, en tant que maire d'Evry, les "Six heures pour la Palestine" au début des années 2000 (quand ça chauffait bien, en somme), et qui a fait jumeler sa ville avec Khan Younès (une ville de la bande de Gaza). Ce n'est pas rien, comme signes envoyés.
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Game over.

 

 

Economie anémiée, déficit, chômage: les mauvais choix français La politique économique suivie depuis 2012 devait nous guérir, il s’avère qu’elle nous enfonce…Et que la France affiche des (mauvaises) performances qui l'isolent progressivement au sein de la zone euro.

C’est un événement que personne ne remarquera, et que, sans doute, j’aurais moi-même laissé passer si un tweet de Denis Ferrand, le Directeur général de Coe-Rexecode, n’avait appelé mon attention sur le sujet il y a quelques jours : dans les statistiques que vient de publier Eurostat, le taux de chômage de la France (qui continue à grimper) s’approche dangereusement de celui de la zone euro (lequel continue à baisser). Au point qu’il est très probable que, d’ici à Noël, les deux courbes vont se croiser : le chômage sera, dans quelques semaines, plus élevé en France que dans la zone euro.

Il s’agit là d’une démonstration éclatante de l’absolue inanité des politiques économiques mises en œuvre depuis 2012. Plus encore que l’échec du pari du président de la République d’infléchir la courbe du chômage, cette défaite française par rapport à la zone euro montre que nous avons incontestablement suivi la mauvaise route. Rappelez-vous. En 2012, François Hollande est élu. Il nous promet (comme tout le monde) des lendemains qui chantent avec retour de la croissance et réduction du chômage, mais il s’engage aussi (avec un certain courage) sur la réduction des déficits. A l’époque, le continent tout entier subit le contrecoup de la « deuxième crise », celle de l’euro, et tâche d’y faire face avec des politiques relativement convergentes : réduction des déficits principalement obtenue par une baisse des dépenses publiques (et non par des hausses d’impôt) et par des coupes dans les effectifs de fonctionnaires, restauration de la compétitivité des entreprises grâce à un allègement de la fiscalité et des contraintes pesant sur elles.

La France n'a pas eu raison contre le reste du monde

Mais la France, elle, est plus maligne que les autres. Elle fait presque le contraire avec un sévère matraquage fiscal des entreprises et des ménages, en particulier ceux d’entre eux dits « les plus favorisés », une dépense publique en hausse et des recrutements de fonctionnaires. La thèse officielle est alors simple : le choix français sera à la fois plus social (plus « juste »), et plus intelligent économiquement car, en préservant la dépense publique, en épargnant les ménages au plus petits revenus et en faisant « investir » l’Etat, nous préserverons la croissance – donc, à terme, nous relancerons l’emploi. Trois ans après, les chiffres montrent que, hélas, et aussi curieux que cela puisse paraître, nous n’avions pas raison contre le reste du monde.

Le déficit ? Nous avons longtemps pu triompher… Malgré les constantes manœuvres de Paris pour ne pas le réduire autant que nos engagements européens nous y contraignaient, le nôtre a très longtemps été nettement inférieur à celui de nombre de nos voisins, pays du Sud en tête (l’un des plus mauvais élèves étant aussi, hors zone euro, le Royaume-Uni). C’est terminé. Le Royaume-Uni, qui était tombé à presque 11 points de PIB au pire de la crise (bien plus que nous !) est en train de repasser en dessous de 4 points. Et les prévisions officielles du Trésor de sa Majesté – qui, jusqu’alors, ont été très justes – indiquent que nous serons à touche-touche l’an prochain… et que nous devrons nous incliner devant les Anglais quelque part entre la fin 2016 et le début 2017. L’Espagne, incarnation des malheurs des pays du Sud, qui était elle aussi tombée à plus de 10 points de déficit alors que nous n’avons que brièvement touché les 7 points, est remontée à 4,5 points, seulement 0,7 point de plus que nous - et c’est dès le début 2016 que nous devrons sans doute nous incliner, sur ce critère, devant ce qui fut l’homme malade de l’Europe, devant un pays qui a frôlé la faillite. Il va sans dire que tous les pays sérieux de l’Union (Italie comprise !) ont de longue date remonté la pente et sont nettement en avance sur nous dans la trajectoire de retour à l’équilibre des comptes.

Une économie anémiée incapable de créer des emplois

La belle affaire, pourrait-on dire. Si là est le prix à payer pour que l’économie se redresse plus vite, oublions les quelques années de retard que nous avons prises dans la réduction des déficits ! Le problème est que, côté croissance, nous n’avons pas, tant s’en faut ! fait mieux que les autres. Cette année, Espagne et Royaume-Uni – pour reprendre ces deux exemples très symptomatiques de ce que la crise a pu avoir de dévastateur : l’un et l’autre ont subi des récessions plus profondes et bien plus durables que la nôtre ! – auront connu une croissance à 3% et plus, c'est-à-dire sans doute trois fois plus que nous ou presque. Le Royaume-Uni vient de nous repasser devant en termes de PIB et il est aujourd’hui plus riche par habitant qu’il n’était avant la crise, ce qui n’est hélas pas du tout notre cas. Pour la troisième année consécutive, la croissance française sera en 2015 inférieure à la moyenne de la zone euro – seules l’Italie, la Finlande… et la Grèce faisant moins bien que nous. Quelle réussite.

On comprend que le chômage suive : alors que partout en Europe – sauf en Grèce, confessons-le… - on crée des emplois par centaines de milliers, notre économie anémiée continue à en détruire par dizaines de milliers. L’Espagne voit son taux de chômage, il est vrai stratosphérique au pire de la crise, diminuer à une vitesse spectaculaire. L’Allemagne, le Royaume-Uni, sont au plein emploi. Même les Italiens auront créé cette année un quart de millions d’emplois ! Partout, en fait, le chômage est en recul, plus ou moins net, par rapport au pic passé – sauf en Finlande, pays qui, coïncidence sans doute ! dispute à la France le privilège d’avoir le temps de travail (pour les temps pleins) le plus faible. En un mot, tout le monde est en train de gagner la bataille contre le chômage, sauf ceux qui l’avaient déjà gagnée… et la France qui continue à s’enfoncer.

Au fil des quinquennats des recettes sans résultats

Tout mettre sur le dos du pouvoir en place serait très injuste. La question du déficit a été négligée par la droite du temps de Nicolas Sarkozy, et le matraquage fiscal avait commencé du temps où il était à l’Elysée. Il n’en reste pas moins que, sur nombre des courbes qui viennent d’être évoquées, on constate un divorce très net entre la France et ses principaux compétiteurs à partir de 2013, année où les mesures radicales décidées par le nouveau pouvoir ont été mises en œuvre. Symétriquement, les quelques virages opérés depuis lors (CICE etc…) n’ont pas – en tout cas, pas encore - donné de résultat visible en termes de comparaison avec nos voisins, ni sur la croissance, ni sur l’emploi.

La vérité est que François Hollande a choisi pour la France en 2012 des recettes absolument différentes de celles appliquées par tous les autres, et qu’il engrange comme il l’espérait… des performances également différentes. Mais c’est une différence dont le pays se serait bien passé !

http://www.challenges.fr/politique/20151002.CHA0054/economie-anemiee-deficit-chomage-les-mauvais-choix-francais.html

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La loi controversée sur le renseignement entrera en vigueur samedi, au lendemain de la nomination au Journal officiel du président de la commission de contrôle Francis Delon, qui a promis de la diriger en toute "indépendance" et "impartialité".

Annoncée par François Hollande deux mois après les attentats de janvier qui ont fait 17 morts, cette loi vise à encadrer l'activité des services spécialisés en leur donnant des moyens supplémentaires face aux nouvelles technologies, mais aussi un cadre légal.

Nombreux ont été les opposants - associations, partis, syndicats de magistrats et de journalistes notamment - à ce texte jugé "liberticide" : ils ont cherché à alerter élus et opinion publique sur la perspective d'une surveillance de masse.

De la prévention d'attentats à l'espionnage économique, le texte définit un large éventail des missions des services de renseignement ainsi que le régime d'autorisation et de contrôle de techniques d'espionnage (écoutes, pose de caméra ou de logiciel-espion, installation chez les opérateurs de télécommunications de dispositifs pour collecter les données de connexion, etc.)

Le Premier ministre Manuel Valls avait rejeté les accusations de "loi de circonstance". Mais le gouvernement avait fait de la menace terroriste un argument à l'appui de son texte, notamment après l'attentat avorté de Villejuif.

Fin juin, le Parlement avait adopté définitivement la loi à une large majorité gauche-droite, mais avec des voix dissidentes dans presque chaque groupe.

Face à la controverse, François Hollande avait annoncé qu'il saisirait lui-même - fait inédit - le Conseil constitutionnel pour apporter la "garantie" que ce texte est "bien conforme" à la Constitution.

Fin juillet, le Conseil constitutionnel avait validé la majeure partie de la loi mais censuré trois articles, dont un sur "l'urgence opérationnelle", qui permettait aux services de renseignements de déroger à l'avis du Premier ministre et de la commission de contrôle.

- Menace plus forte que jamais -

Après la censure d'un autre article sur la "surveillance internationale", les députés ont adopté jeudi une proposition de loi pour encadrer les interceptions effectuées par la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure), qui resteront soumises toutefois à moins de contrôle que celles réalisées en France.

Alors que la menace d'attentats jihadistes est plus forte que jamais en France, le Parlement a largement approuvé mardi la nomination du conseiller d'Etat Francis Delon à la tête de la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR), créée par la loi pour contrôler l'activité des services.

Le nom de cet énarque de 64 ans, qui fut secrétaire général de la Défense nationale (2004-2014), avait été proposé par François Hollande, suscitant les critiques dans la mesure où il était lui-même proche du monde du renseignement.

Auditionné par les commissions des Lois du Parlement, Francis Delon avait assuré que "connaissance ne signifie pas connivence ou complaisance". Il avait promis d'apporter un "soin particulier" au contrôle de l'algorithme censé détecter une menace sur les réseaux télécoms.

Outre M. Delon, la commission comprendra Jacqueline de Guillenchmidt, conseillère d'Etat honoraire, ainsi que Franck Terrier, président de chambre, Christine Pénichon, avocat général, et Patrick Puges, spécialiste des communications électroniques.

Quatre parlementaires y siégeront également: les députés Catherine Vautrin (Les Républicains) et Pascal Popelin (PS), ainsi que les sénateurs Michel Boutant (PS) et Catherine Troendle (LR).

Cette commission devra donner un avis préalable à chaque mise en ?uvre des techniques de renseignement prévues par la loi, sauf en cas d'"urgence liée à une menace imminente ou à un risque très élevé de ne pouvoir effectuer l'opération ultérieurement". La commission devra alors en être informée "sans délai".

Les services du Premier ministre, qui délivrent les autorisations pour une période de quatre mois renouvelable, pourront passer outre l'avis de la commission. A chaque désaccord, la CNCTR pourra saisir le Conseil d'État.

La commission aura aussi accès aux renseignements collectés, à leur traçabilité et aux locaux des services où ils sont centralisés.

https://fr.news.yahoo.com/loi-controvers%C3%A9e-renseignement-entre-vigueur-samedi-164226978.html

 

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Dans le même temps sur Facebook on m'a partagé ceci:il y en a encore qui sont persuadés que le déclinisme est une vue de l'esprit....

http://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/021372024306-quand-des-patrons-americains-defendent-la-france-devant-fabius-1161324.php

"La France c'est super parce qu'il n'y a jamais de class action", il faut le prendre comment ?

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"La France c'est super parce qu'il n'y a jamais de class action", il faut le prendre comment ?

Bien, il faut le prendre bien.

 

 

Sinon les députés ont reçu des entrepreneurs de la "french tech", je n'ai pas encore tout écouté, mais j'ai trouvé cette citation amusante:

 

 

Du coup, la jeune femme le dit clairement : les changements de législation au gré des alternances politiques nuisent au développement des entreprises. "Si vous pouviez ne plus rien faire, à la limite ce serait mieux !" plaisante-t-elle, sous le regard amusé des députés…

 

 

http://www.lcp.fr/videos/reportages/175120-quand-les-entrepreneurs-de-la-french-tech-bousculent-les-deputes

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Bien, il faut le prendre bien.

Je ne connais pas bien les mécanismes des class action. Est-ce que leur absence en France témoigne d'un état du droit moins bon ?

Dans ce cadre on pourrait comprendre autrement la citation.

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Je ne connais pas bien les mécanismes des class action. Est-ce que leur absence en France témoigne d'un état du droit moins bon ?

Dans ce cadre on pourrait comprendre autrement la citation.

Ah ok, j'ironisais car l'article que je cite est du grand n'importe quoi pour faire prendre les vessies pour des lanternes.

 

Disons que l'absence des class action ça me semble révélateur d'une obsession française à protéger certains groupes d'intérêts des turpitudes du libre marché et de la concurrence. 

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Claude Bartolone au cœur d’une enquête préliminaire sur un possible emploi fictif

 

Le parquet de Bobigny a ouvert, fin septembre, une enquête préliminaire susceptible d’embarrasser Claude Bartolone, à quelques semaines des élections régionales (les 6 et 13 décembre), dont le président de l’Assemblée nationale sera l’une des figures – il conduit la liste socialiste en Ile-de-France. L’enquête judiciaire, qui vise d’éventuels détournements de fonds publics, a été confiée à la direction centrale de la police judiciaire.

 

Elle porte sur un possible emploi fictif, en l’occurrence le recrutement par le conseil général de Seine-Saint-Denis, présidé par M. Bartolone de 2008 à 2012, de Didier Segal-Saurel. Pour l’opposition de droite, cet élu de Pantin a été embauché par le conseil général, pourtant exsangue sur le plan financier, pour le récompenser d’avoir cédé une place élective à M. Bartolone.

Les magistrats s’étonnent du nombre pléthorique de collaborateurs affectés à la présidence sous le mandat de M. Bartolone

L’affaire trouve son origine dans un rapport de la chambre régionale des comptes (CRC) d’Ile-de-France sur la gestion du département de la Seine-Saint-Denis depuis 2010. Dans leurs conclusions, rendues publiques début juillet, les magistrats s’étonnent du nombre pléthorique de collaborateurs affectés à la présidence sous le mandat de Claude Bartolone.

Le cas de « Monsieur S »

« Toutes les personnes qui occupent des emplois ont vu leur recrutement décidé et leur niveau de rémunération fixé directement par le président ou son directeur de cabinet », écrivent-ils, regrettant en outre que le processus de recrutements se soit « écarté de la procédure ». Mais la CRC s’attarde surtout sur le cas d’un salarié, pudiquement baptisé « Monsieur S. ». Il s’agit de Didier Segal-Saurel.

Au début de l’année 2008, ce dernier laisse sa place dans le canton de Pantin-Est, dont il était l’élu sortant, au profit de M. Bartolone, qui a besoin d’être élu à l’assemblée départementale pour pouvoir en briguer la présidence. De fait, la gauche l’ayant emporté, M. Bartolone accède au fauteuil qu’il convoitait. Et il embauche dans la foulée M. Segal-Saurel à son cabinet, où ce dernier sera en poste du 1er avril au 1er décembre 2008. Puis, jusqu’en 2012, M. Ségal-Saurel conseille le président de Seine-Saint-Denis Avenir, organisme satellite du conseil général, dont la disparition va inciter le département à lui trouver une nouvelle affectation.

C’est chose faite à l’été 2012 : alors que Claude Bartolone, après la victoire de François Hollande, accède au « perchoir » de l’Assemblée nationale, M. Segal-Saurel est nommé « chargé de projet » à la direction de la culture du département. Son contrat de trois ans, note la CRC, est signé le 21 août 2012 « par le président du conseil général lui-même ». A cette date, M. Bartolone est encore à la tête de l’assemblée départementale – il sera remplacé par Stéphane Troussel le 4 septembre 2012.

Un emploi « très peu défini »

Or, les magistrats émettent des doutes sur l’embauche de M. Segal-Saurel, dont le contrat a pris fin cet été. Rappelant que sa lettre de mission le chargeait de publier « un ouvrage historique » sur la Seine-Saint-Denis, ils constatent que près de trois ans après, « aucun ouvrage de cette nature n’avait encore été publié ». Ce n’est pas tout : la chambre des comptes observe que « le recrutement de ce collaborateur a été effectué précipitamment au cours de l’été 2012, sans que les besoins du département soient explicites ». « De surcroît, ajoute-t-elle, le niveau de diplôme de l’intéressé [le bac] ne correspondait pas à celui requis s’agissant d’un administrateur territorial. »

Conclusion des magistrats : « Le contenu de l’emploi de l’intéressé (…) semble très peu défini et une incertitude existe sur la réalité de son service au sein de cette direction. » Convaincu que la CRC a mis au jour l’existence d’un emploi de complaisance, le président du groupe Les Républicains au conseil départemental, Jean-Michel Bluteau, a saisi d’une plainte, dès le 9 juillet, la procureure de Bobigny, qui a donc décidé, au vu du dossier, de déclencher une procédure judiciaire. Interrogé par Le Monde, M. Bluteau a assuré : « La question est de savoir si M. Bartolone s’est payé le poste de président du conseil général aux frais du contribuable. »

Lire aussi : Régionales : accusée par le PS de pratiques frauduleuses, Pécresse réplique et porte plainte

Si M. Segal-Saurel n’a pu être joint, Jean-Luc Porcedo, qui dirigeait le cabinet de M. Bartolone au conseil général, a affirmé au Monde que « parler d’emploi fictif est à la limite de la diffamation. M. Segal-Saurel a effectué un vrai travail ; il était d’ailleurs à son poste tous les jours. Il est par ailleurs totalement faux d’affirmer que cet élu avait laissé sa place éligible à M. Bartolone. Il est regrettable que la droite fasse une campagne de caniveau ».

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/10/06/claude-bartolone-au-c-ur-d-une-enquete-preliminaire-sur-un-possible-emploi-fictif_4783313_1653578.html#YtyJVdTxHoZrJ8Lp.99

 

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http://www.lemonde.fr/festival/article/2015/09/27/emmanuel-macron-le-liberalisme-est-une-valeur-de-la-gauche_4774133_4415198.html

 

Quand Emmanuel Macron,ministre de l'économie se proclame libéral. Et il ne semble n'avoir aucun complexe à se revendiquer(à la différence de la plupart des caciques du PS et de l'UMP),d'une doctrine suscitant la controverse en France.

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Les policiers du service de protection des personnalités portent plainte contre X INFO BFMTV - Les policiers dénoncent leurs conditions de travail et vont déposer plainte cette semaine pour "mise en danger de la vie d'autrui", "faux" et "harcèlement moral".

Le service de protection des personnalités ou SDLP, notamment chargé de la protection de François Hollande et Manuel Valls, déposera cette semaine une plainte contre X, selon nos informations. 

Trois motifs sont avancés. Le premier est le non-paiement d'heures supplémentaires. Selon les fonctionnaires, l'administration n'inscrit pas toutes les heures supplémentaires dans le logiciel de gestion. Les "superflics" affirment ainsi avoir accumulé quelque 1,3 million d'heures supplémentaires. Depuis un an et demi, ils se disent surchargés de travail, les attentats de janvier n'ayant pas arrangé les choses, accroissant le nombre de personnalités à surveiller.

 

"C'est vrai que les attentats ont aggravé la situation parce qu'on a pris de nouvelles missions, parce que plein d'autres personnes sont menacées actuellement. On fait des journées de 10, 15, jusqu'à 18 heures d'affilée. On n'a quasiment plus de repos. Ça m'est arrivé de travailler 20 ou 25 jours à la suite", témoigne, sous couvert d'anonymat, Bruno (prénom modifié).

Ce policier qui a témoigné auprès de BFMTV cumulerait 3.000 heures à son compteur personnel.

La plainte sera aussi déposée pour harcèlement moral. Les plaignants affirment avoir été l'objet de brimades de la part de leur hiérarchie quand ils se sont plaints de ces journées et nuits à rallonge.

"Bombe à retardement"

Le dernier argument avancé et celui de la mise en danger de la vie d'autrui. Ces personnels censés être en alerte permanente estiment que leur état d'épuisement professionnel ne leur permet pas d'assumer leur mission dans des conditions satisfaisantes. La conduite à grande vitesse, le port d'une arme, la nécessité de se maintenir en "hyper-vigilance" alors que la personne traverse un épisode de fatigue avancée feraient qu'ils mettraient en danger à la fois eux-mêmes et ceux qu'ils protègent.

"Quand on est crevé, qu'on a pas dormi, qu'on est hyper-stressé, en hyper-vigilance constante, et qu'on conduit avec un armement, c'est une bombe à retardement ce service. Plusieurs départs intempestifs de coups de feu son liés à des fatigues", analyse Laurent Franck Liénard, avocat des policiers du SDLP.

Sans doute l'avocat faisait-il référence à cet accident survenu en janvier dernier, quand un policier chargé de la protection de l'imam de Drancy s'était tiré une balle dans la cuisse. 

Les fonctionnaires insistent aussi sur le fait qu'ils n'ont plus le temps de maintenir la condition qu'exige leur métier. Ils n'ont ainsi plus le temps de faire du sport ou de s'entraîner à tirer.

L'administration répond pour sa part que des recrutements vont avoir lieu pour alléger la charge de travail.

http://www.bfmtv.com/societe/le-service-de-protection-des-personnalites-porte-plainte-contre-l-administration-921597.html

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Le comédien Pierre Arditi, mais aussi l’urgentiste Patrick Pelloux ou encore les chanteurs Renaud et Dominique A, le comédien Michel Piccoli, le syndicaliste Jean-Claude Mailly, le réalisateur Stéphane Foenkinos, la philosophe Elisabeth Badinter… Au total, 150 personnalités ont signé un appel pour demander que, dans la perspective des travaux du Grand Paris, une future station de métro porte le nom de « Commune-de-Paris-1871 », en référence à cette page de l’histoire de la capitale. Pendant cette période insurrectionnelle, qui dura un peu plus de deux mois, du 18 mars au 28 mai 1871, Paris tenta de se défaire de la tutelle de l’Etat. Un mouvement qui fut réprimé dans le sang.

 

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September 11, 2015| Crédits : GUILLAUME SOUVANT

French President Francois Hollande ® and French minister of health Marisole Touraine (L) taste cakes on September 11, 2015 at a factory of French biscuits maker 'Saint-Michel' in Contres, central France. AFP PHOTO

Je suis encore jeune et naïf. J'ai eu l'espoir que ce ne fût qu'un montage. Mais non, c'est une photo tout à fait authentique.

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