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Le Monde.fr - Non, il n’y a aucune « preuve » de tortures au Bataclan

Partie de l’extrême droite française, une rumeur faisant état de tortures sur les otages du Bataclan le 13 novembre a fait le tour du monde. Elle est pourtant démentie.

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/07/18/non-il-n-y-a-aucune-preuve-de-tortures-au-bataclan_4971370_4355770.html

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Sinon on pourrait dire qu'on peut faire les pires lois liberticides que l'on veut, tant que c'est pas appliqué à un moment donné y'a pas de quoi s'inquiéter

 

 

Si, cela permet l'arbitraire. La loi peut appliquée juste pour t'emmerder (voire pire) quand cela les arrangent, mais pas tout le temps sinon la population se révolterait et la loi serait modifiée.

 

 

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Le Monde.fr - Non, il n’y a aucune « preuve » de tortures au Bataclan

Partie de l’extrême droite française, une rumeur faisant état de tortures sur les otages du Bataclan le 13 novembre a fait le tour du monde. Elle est pourtant démentie.

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/07/18/non-il-n-y-a-aucune-preuve-de-tortures-au-bataclan_4971370_4355770.html

Lol, comme s'il y avait besoin de leur rajouter quelque chose pour les faire apparaître encore plus méchant.
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Le Monde.fr - Etat d’urgence : le texte de prolongation permettra d’exploiter les données informatiques

L’« utilité et l’efficacité » des perquisitions administratives, qui doivent être réintégrées par la prolongation de l’état d’urgence, seront « accrues » par la possibilité de saisir et exploiter les données informatiques, a avancé le chef du gouvernement.

http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2016/07/18/etat-d-urgence-le-texte-de-prolongation-permettra-d-exploiter-les-donnees-informatiques_4971501_1653578.html

En fait, l'état d'urgence c'est à la carte ce qu'ils mettent dedans. C'est beau. C'est la France. C'est la République.

Qui prend les paris que ça va servir à la SACEM à faire arrêter de dangereux délinquants :) ?

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Qu'est ce qui est si horrible dans cet état d'urgence -dans les faits- pour préférer laisser mourir "quelques centaines de personnes" ?

Je n'aime pas bien l'idée que les flics puissent, sans indices forts et sans autorisation d'un juge, défoncer ma porte à trois heures du matin, tout casser et cloîtrer au poste de police toute ma famille. La dernière fois que c'est arrivé à ma famille, ça s'est très mal fini.

  • Yea 7
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On augmente les pouvoirs administratifs de police, le bon peuple se croit protégé mais ça sert à empécher les opposants du pouvoir de sortir comme les écolos de la cop21 pour le gouvernement valls mais je suis sur qu'ils peuvent être inventif et trouver d'autres cibles.

  • Yea 1
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Vu que l'état d'urgence n'a eu aucun effet concret ou aucun apport en plus de nos services existants - de ce que j'ai pu lire en tout cas - la décision de le prolonger en autorisant cette fois de fouiller les ordinateurs paraît ridicule. Je ne suis pas un expert du renseignement, il me manque donc peut-être des éléments, mais je me souviens avoir lu cette conclusion dans un article du Figaro :

 

"L'explosion des communications électroniques, le développement du darknet, la mise à portée de tous de moyens de communication bénéficiant de puissants chiffrements - telle que l'application de messagerie Telegram - rendent les terroristes plus furtifs aux yeux des services de renseignements et leur imposent d'opérer des sauts capacitaires réguliers."

 

On verra bien. Espérons qu'on soit en recherche d'efficacité et pas dans une volonté superficielle de se rassurer avec des mesures "gros bras". Je ne sais pas si c'est déjà le cas mais on devrait aussi coopérer et apprendre de l'expertise des pays comme Israël, assez au point sur les méthodes de ces terroristes (ils y ont encore plus intérêt que nous pour le coup).

 

Tout ça pour ne pas parler de l'Etat-providence qui plombe tout, y compris la sécurité.

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Lol, comme s'il y avait besoin de leur rajouter quelque chose pour les faire apparaître encore plus méchant.

 

 Le terrorisme marche quand les gens se disent "ça pourrait m'arriver !". 

 

 Partant de là, il y a une différence entre crever d'une balle dans la tête et crever après avoir torturé dans la cruauté et le sadisme. L'effet crainte est démultiplié. 

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Il y a un point qui me surprend régulièrement : lorsqu'on parle de politique économique ou sociale, les gens aiment bien avoir des résultats à disposition pour montrer que ça marche (ou pas). Ça rejoint l'idée que le citoyen doit pouvoir juger personnellement de l'utilisation de ses impôts et autres histoires de transparence. Par contre, pour la sécurité, on accepte sans trop se poser de questions le secret dans certains domaines. Alors que pourtant l'enjeu est vachement important ! Certains sont prêts à abandonner une partie de leur liberté plus ou moins aveuglément pour leur sécurité, sur les conseils (la promesse ?) de ceux qui en sont justement chargés. Le conflit d'intérêt et le caractère incertain sont pourtant assez évidents, non ?

 

Quid de ces problèmes en Libéralie d'ailleurs ? Peut-on accepter que certains sujets ne soient connus que par des fonctionnaires ou des politiciens ? La prérogative du secret est-elle indépassable ? :jesaispo:

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Ben dans certains cas oui dans d'autres non.

 

Comment fait-on le tri ?

 

À mon avis, le secret doit être limité aux questions militaires opérationnelles. Ce qui ne concerne pas la police.

 

Ou bien plus largement le secret est acceptable durant l'opération mais n'a pu lieu d'être une fois qu'elle a abouti ?

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Ben ce qui me gêne c'est la légalité des actions qu'ils commettent au cours de leur infiltration qui me semble douteuse. En particulier quand ça concerne la drogue et les montants en cash liés. Qui infiltre qui au final ?

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Le secret, une question délicate.

 

Dans notre monde chacun a des ennemis, le secret vient principalement de ce fait je pense. Une nation ayant des ennemis menace sa sécurité en étant complètement transparente. La politique étrangère c'est une affaire, une stratégie. A un autre niveau, les entreprises veulent aussi garder des secrets pour les mêmes raisons, pour garder certains avantages sur leurs concurrents, etc.

 

Prendre le cas d'une opération de façon isolée et hors contexte n'est donc pas un bon exemple je trouve, surtout si on veut en faire un principe général. Vous trouverez des cas où il n'y a aucun problème de lever le secret juste après une opération et d'autres où c'est bien plus problématique. 

 

 

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La politique étrangère une stratégie ? La politique étrangère c'est la politique intérieure à l'étranger et le court-termisme est la règle. Le secret sert à cacher ca.

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Pour moi la politique étrangère est très différente de la politique intérieure justement. C'est une longue discussion, mais les visions courtes ne dépendent que des évènements et des individus menant la politique. En tout cas le "court-termisme", bien que s'étant répandu depuis peu, n'est pas la seule façon historiquement, et est loin d'être la meilleure.

 

Je trouve que beaucoup de nos problèmes viennent justement du manque de prévision ou de projection, afin de chercher un équilibre. La Troisième République est un très bon exemple pour illustrer ce problème. Le traité de Versailles en a aussi été une bonne illustration, avec la vision du président Wilson.

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Il y a un point qui me surprend régulièrement : lorsqu'on parle de politique économique ou sociale, les gens aiment bien avoir des résultats à disposition pour montrer que ça marche (ou pas). Ça rejoint l'idée que le citoyen doit pouvoir juger personnellement de l'utilisation de ses impôts et autres histoires de transparence. Par contre, pour la sécurité, on accepte sans trop se poser de questions le secret dans certains domaines. Alors que pourtant l'enjeu est vachement important ! Certains sont prêts à abandonner une partie de leur liberté plus ou moins aveuglément pour leur sécurité, sur les conseils (la promesse ?) de ceux qui en sont justement chargés. Le conflit d'intérêt et le caractère incertain sont pourtant assez évidents, non ?

Oui enfin... les résultats probants qui en économie nous sont montrés sont souvent des abenomics ; des trucs qui ne marchent pas. Comme personne ne fait d'économie en France, ça passe comme une lettre à la poste.

Pour la sécurité, il faut connaître un minimum. De ce côté là, il n'y a pas plus de culture en France.

Ainsi, quand on parle de la délinquance, très souvent la police est désignée comme inefficace. Or, l'efficacité policière est dépendante de la justice.

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Le parquet qui émane de l'exécutif.

Le parquet qui émane de l'exécutif.

Les juges et les jurés sur les preuves apportées par le parquet et les policiers qui émanent de l'exécutif.

Les juges et les jurés sur les preuves apportées par le parquet et les policiers qui émanent de l'exécutif.

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Vive les listes secrètes :

La Réunion: Deux «fichés S» refusés à bord d'un avion

MIS À JOUR LE 18/07/16 À 17H03

Ces deux personnes, qui ne se connaissaient pas, ont voulu venir en métropole le même jour...

Un commandant de bord a refusé d’embarquer deux passagers sur un vol au départ deLa Réunion : il avait appris qu’ils étaient « fichés S », a-t-on appris lundi de sources judiciaires et auprès de la compagnie aérienne.

Les faits se sont produits début juin, mais n’ont été révélés que dimanche soir d’abord par la presse locale. Ils ont été confirmés par des sources proches de l’enquête ainsi que par Corsair.

C’est une pure coïncidence si les deux passagers, deux hommes, ont décidé de prendre le même vol en direction de Paris. Les enquêteurs ont établi qu’ils ne se connaissent pas et qu’il n’existe aucun lien entre eux.

Coïncidence

L’un, ressortissant algérien habitant dans l’ouest de l’île, devait se rendre dans son pays pour raison familiale. Le second, originaire du Moyen-Orient, voulait aller en Métropole.

Les deux hommes ont été identifiés comme étant « fichés S » lors des formalités de police aux frontières à l’aéroport Roland-Garros situé à Sainte-Marie (nord de l’île). Leur niveau de signalement dans le fichier S (pour « sûreté de l’Etat ») n’impliquant pas une interdiction de voyager ou de sortir du territoire, les deux hommes ont pu entrer en salle d’embarquement.

Une centaine de personnes sont « fichées S » à La Réunion

C’est à ce moment-là que l’information sur leur fichage a été portée à la connaissance du commandant de bord. Autorisé à prendre toutes les mesures qu’il juge utiles pour que son vol se déroule dans de bonnes conditions, le commandant a décidé de leur interdire l’accès à l’avion. Les bagages des deux hommes ont été débarqués.

La décision du commandant de bord a provoqué la colère des deux. L’homme originaire du Moyen-Orient a finalement pris un vol deux jours plus tard, tandis que l’autre passager n’a pris aucun avion.

Au total, un peu moins d’une centaine de personnes sont « fichées S » à La Réunion, a indiqué une source proche de l’enquête.

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