Aller au contenu

Bar du football


Messages recommandés

Ce n'est pas lié à Zidane que s'il supprimé ses chances par pétage de plomb de gagner un ballon d'or et une CdM de plus, il ne les a pas gagnés ? 

 

Je t'ai répondu pour la C1 et JB t'a répondu sur la finale de 2006 il y a quelque temps (blessure de Viera et mauvais coaching avec entrée de Diarra).

Lien vers le commentaire

Je t'ai répondu pour la C1 et JB t'a répondu sur la finale de 2006 il y a quelque temps (blessure de Viera et mauvais coaching avec entrée de Diarra).

Tu réponds à l'ensemble de mon message. Essaie pas les grigris à la JB, tu te fais un croche pied à toi même. Paf. 

Lien vers le commentaire

Tu réponds à l'ensemble de mon message. Essaie pas les grigris à la JB, tu te fais un croche pied à toi même. Paf. 

 

C'est surtout que tu casses les couilles avec ta fixette de 2006. De plus tu étais complètement hors sujet sur la C1 avec un niveau de réflexion digne d'un footix. Tu t'es driblé tout seul.

Lien vers le commentaire

Lemerre a 74 ans  :o  ce coup de vieux.

 

On a jamais vraiment su qui était Roger.

 

 

Lemerre fouettard Après le désastre de 2002, l'ancien et rigide sélectionneur des Bleus retrouve le Mondial à la tête de la Tunisie. Où il a pu recycler ses valeurs traditionnelles et ressasser sa rancune envers la fédération française.

Tunisie-Arabie Saoud.

«Si mon chapeau savait pour qui je vote, je brûlerais mon chapeau.» Avec cette ellipse digne de Cantona, Roger Lemerre, actuel sélectionneur de la Tunisie, s'est taillé une réputation d'homme insaisissable. S'intercalant de 1998 à 2002 entre le psychorigide Jacquet et le mutique Santini, il est le troisième larron d'une série qui fit croire que le poste de sélectionneur de l'équipe de France était voué à l'incommunicabilité. Sa gestion de la crise après l'échec du Mondial coréen lui vaut aujourd'hui encore de traîner une image de gros plouc réactionnaire. Pourtant, derrière la carapace forgée par 65 ans (il les fêtera dimanche) d'une vie consacrée au foot, se cache une énigme humaine, truffée de paradoxes et de blessures intimes.

Sacré déconneur. Bon joueur durant les années noires du foot français (1961-1975), malgré un palmarès vierge, Roger Lemerre brille par sa rigueur dans l'exercice jusqu'à devenir, de 1969 à 1973, le préparateur physique officieux des Bleus. Ce qui lui vaut les sarcasmes de ses coéquipiers d'alors. «Il venait en équipe de France [6 sélections, ndlr] pour mener les footings. C'était un cheval !», confie Jean-Michel Larqué. Pourtant, à Sedan, Nantes, Nancy et Lens, Lemerre, libero ou arrière latéral, laisse le souvenir d'un sacré déconneur. Hervé Collot, qui le côtoie à Nancy, se rappelle qu'il «aimait se mettre dans les buts et accompagnait ses arrêts d'un bruit de bête immonde pour apporter la bonne humeur». D'autres évoquent un joueur qui ouvrait les fenêtres des chambres à 6 heures du matin en plein hiver ou enfermait son pote Marc Rastoll sur le balcon. Franche déconnade, donc. En 1972, lors du seul mouvement de grève de l'histoire du foot français, il est porte-parole de ses coéquipiers. A la même époque, il prête main forte dans une rue de Grenoble à un coéquipier qui s'embrouille avec un proxénète local, ou se fait exclure en Bleu contre la Belgique pour avoir vengé l'un des siens. Roger n'est pas le genre à abandonner un soldat sur le champ de bataille.

En 1975, il revêt pour la première fois le survêt de l'entraîneur et, tel un Janus pris de torticolis, abandonne sa fantaisie pour ne plus dévoiler que son côté sérieux. Denis Troch, futur binôme d'Artur Jorge, a 15 ans quand il le voit débarquer au Red Star : «Il faisait peur à tout le monde. A Saint-Ouen, on était des petits voyous, il nous a mis dans le droit chemin. A 30 ans, j'ai arrêté de l'appeler Monsieur Lemerre pour le tutoyer et j'ai connu l'homme érudit, qui sait vivre.» Sa carrière d'entraîneur de clubs s'enroule autour d'une relation amour/haine avec le RC Lens : écarté de la finale lensoise face à Saint-Etienne en 1975 pour sa dernière année de joueur, il fait monter Lens en 1978 et... est aussitôt éconduit par ses dirigeants. Son ami Joachim Marx, lensois à l'époque, se souvient : «Il m'a dit : "C'est la première fois que je réussis quelque chose et je suis viré."» Au soir de la montée, alors que le vestiaire chante et trinque, il file à l'anglaise pour... faire un footing. Près de vingt ans plus tard, il joue à nouveau les Zorro pour le club nordiste qu'il sauve de la relégation, mais refuse de prolonger la pige : il tient sa revanche, et son «disciple» Leclercq assure la suite.

Militaire. En 1986, Roger Lemerre prend en mains l'équipe de France militaire. Sans surprise. Jean-Paul Bertrand-Demanes, l'ancien gardien de but du FC Nantes, qui l'a connu chez les Canaris : «Fallait respecter l'ancien, ne pas prendre sa place dans le vestiaire. Au Bataillon de Joinville, il devait être dans son élément. Roger, c'est un peu l'armée.» Dans son costume d'adjudant-chef, il gagne le championnat du monde militaire. Bien en place à la direction technique nationale, il devient, de 1996 à 1998, le bras droit d'Aimé Jacquet. Là, les attaques portées contre le maître avant le triomphe du 12 juillet le blessent et durcissent la carapace qui sera la sienne quand il succédera à Mémé. «Je me souviens notamment de l'épisode du match contre le Chili, raconte Willy Sagnol. On avait joué au Stade national de Santiago et Lemerre avait cru bon évoquer l'histoire de ce stade, mais avec une telle maladresse que cela passait pour un véritable discours pro-Pinochet. Cela avait beaucoup choqué à l'époque, et il en avait voulu à ceux qui avaient repris ses propos, mais voilà, ils les avaient tenus. Il a dit des choses vraies, Lemerre, mais il a aussi dit un paquet de choses absurdes...» Pas un très grand communicant, Roger. Et les médias ne vont pas beaucoup l'aider. Remporte-t-il l'Euro 2000 avec les Bleus qu'on l'affuble du syndrome Henri Michel 86 : avec une équipe en autogestion sous la houlette de Deschamps et Blanc, n'importe qui en eût fait autant ! En revanche, quand les Bleus explosent en Corée, il est le bouc émissaire idéal. Six mois après avoir été fait chevalier de la Légion d'honneur, Lemerre devient le maillon faible. L'homme jovial, ouvert et optimiste est à nouveau sur la réserve. «Roger n'a pas digéré la Corée, confirme Leclercq. Il gagnerait le Mondial avec la Tunisie qu'il ne la digérerait toujours pas. Il en veut à la Fédé française qui l'a laissé seul.» Ceux qui le connaissent bien restent persuadés qu'en mec droit, il a appliqué les consignes et endossé la responsabilité d'un grand bordel qui n'était pas le sien. Robert Nouzaret, ancien entraîneur de Saint-Etienne : «Avec ses valeurs, il aurait démissionné s'il s'était senti responsable. S'il ne l'a pas fait, c'est que le problème se situe ailleurs, dans le foot actuel.» Car le destin français de Lemerre nous dit en creux que le football a abandonné les valeurs de Roger : solidarité, sens de l'effort et respect de la parole donnée. Quitte à se ridiculiser. On se souvient l'avoir vu enfiler une veste de survêtement griffée par-dessus son costard pour ne pas froisser le sponsor de son équipe tunisienne lors d'un raout médiatico-publicitaire.

Qu'importe, en remportant la Coupe d'Afrique des nations 2004 avec la Tunisie (qu'il avait rejointe en 2002) et en obtenant une belle qualification pour le Mondial 2006, l'homme s'est offert un semblant de revanche. Outsider, il a prouvé sa capacité à transmettre un état d'esprit commando. Ainsi, son coup de gueule monumental à la mi-temps du match capital contre le Maroc aura été décisif. «C'est un gars qui a besoin de beaucoup parler, d'exploser», confie Marx. Lors de la conférence de presse d'après match, dans un état de nervosité avancé, il s'était encore une fois éclipsé. Pour faire un footing ?

Lien vers le commentaire

Videz nous Lacagette aussi. 

 

Pousser Beauvue dehors oui;  mais il n'est pas question de laisser démembrer tout le secteur offensif de Lyon.

 

 

Le club anglais de Newcastle aurait formulé une offre de plus de 25M€ pour Alexandre Lacazette, selon L’Equipe. 18es de Premier League, les Magpies cherchent à renforcer leur secteur offensif. Pour l’instant, l’Olympique Lyonnais n’a pas encore décliné l’offre mais émettrait quelques réserves à lâcher son buteur. En cas de refus, Newcastle pourrait monter son offre à 30M€.

 

Lien vers le commentaire

Le gros rire que j'ai lâché quand j'ai vu Laburne!

 

Je suis mortifié, il n'y a pas notre buveur de Vodka, notre vice prez à Monaco. Oh la la c'est quand même lui qui vend 80 millions de roros un gamin de 19 ans.

 

Ah et au fait, Makélélé devient directeur sportif de l'ASM, la classe!

Lien vers le commentaire

Ces punchlines.

 

 

Zlatan : "Quand je perds, je deviens un monstre" La star du PSG a donné un entretien exclusif à beIN Sports vendredi, avant le coup d'envoi de PSG-Bastia. Morceaux choisis.

Zlatan Ibrahimovic s'exprime peu dans les médias. Lorsqu'il le fait, il ne le fait pas à moitié. Dans un entretien exclusif accordé à beIN Sports vendredi, l'attaquant du PSG a régalé avec sa verve habituelle.

La star suédoise, qui recevait le Trophée UNFP du meilleur joueur de novembre en L1 a d'abord considéré qu'il n'avait pas besoin de ce genre de distinction parce qu'il a "déjà suffisamment confiance" en lui. Puis il a envoyé un certain nombre de messages.

Aux supporters parisiens : "A mon arrivée, j'avais dit que j'écrirai l'histoire ici. Aujourd'hui, je peux dire que je l'ai fait. Et ce n'est pas fini. Toutes les équipes dans lesquelles j'ai évolué étaient des équipes dominantes, parce que j'y jouais (sourire), mais au PSG, c'est la première fois que je joue dans une équipe qui a atteint aussi vite le plus haut niveau. Que les supporters en profitent".

A ses anciens coéquipiers : "Lors de ma première saison, certains joueurs n'étaient pas déçus après une défaite. Je ne trouvais pas ça normal. Quand je perds, je deviens un monstre".

A la Ligue 1 : "Ce qui est amusant en L1, c'est que certains pensent déjà être des joueurs complets et accomplis. Puis ils jouent contre nous et ils comprennent où ils en sont...".

A l'Europe du foot : "Je suis soulagé de pouvoir participer à l'EURO 2016. En matches de barrages, nous avons été méprisés, les gens disaient que le Danemark était plus fort que la Suède. A la fin du match, ils ont dû ravaler leurs paroles..."

Au public français : "Les Français me supportent encore plus que leur équipe nationale (sourire). A l'EURO, j'aurai deux nations derrière moi, les Français et les Suédois".

A Zinedine Zidane : "C'est dur de commencer au Real, car c'est le meilleur club du monde. Mais je le vois faire de belles choses. En tant que joueur, il avait tout : la mentalité, la qualité technique, le bon entourage. Si quelqu'un s'y connaît en football, c'est bien lui. Si on lui laisse le temps, il aura du succès".

https://fr.sports.yahoo.com/news/zlatant----quand-je-perds--je-deviens-un-monstre-192257827.html

Lien vers le commentaire

Lui même ne l'a pas selon toi donc comment pourrait-il savoir.

Chicaneur. Ce n'est pas parce que tu l'as pas que tu ne peux pas voir que quelqu'un l'a. Zidane a quasiment toujours élevé son niveau en fonction de l'enjeu. Pour Zlatan, c'est souvent l'inverse. On le vera jamais mettre une bicyclette de 40 mètres en 1/4 de finale de LdC face au Barça ou au Bayern. Et on le verra jamais en finale de LdC tout court. À moins qu'ils évitent Real, Barça et Bayern jusqu'à ce stade de la compétition.

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...