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Il y a 4 heures, Flashy a dit :

Je suis curieux de voir les réactions à cette dérive.

 

Ma réaction c'est que tout ce qui peut em***** Danielle Tartakowsky me réjouit.

 

Edit: ah, je viens de voir qu'elle a été remplacée depuis l'époque où j'étudiais là-bas. C'est pas plus mal.

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Et voila, le féminisme détruit des emplois ! :P 

 

Citation

"Les féministes nous ont fait perdre notre job" : des "grid girls" dénoncent leur mise à l'écart de la Formule 1

https://www.francetvinfo.fr/sports/automobile/f1/les-feministes-nous-ont-fait-perdre-notre-job-des-grid-girls-denoncent-leur-mise-a-l-ecart-de-la-formule-1_2592634.html

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il y a 3 minutes, Extremo a dit :

 

Rather than a specific sub-discipline of

geography, feminist geography is often considered part of a broader postmodern, critical theory approach, often drawing from the theories of Michel Foucault, Jacques Derrida, and Judith Butler among others.

 

Rien de nouveau sous le soleil.

 

On a déjà de la biologie féministe de toute façon. Ce qui manque encore à l'idéologie c'est l'Etat totalitaire qui va avec.

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3 hours ago, Hayek's plosive said:

‘Feminist Business School’ Teaches Students To Shun Profit-Seeking

 

https://pjmedia.com/trending/feminist-business-school-teaches-students-shun-profit-seeking/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

 

Wage gap is problematic but profit is bad. 

 

Fuck la logique. 

 

  Le fuck la logique est explicite dès le premier paragraphe

 

Quote

capitalism is an “economy that values masculine traits” such as “meritocracy,” “competition,” and “individualism.” The California-based site recently launched two more online courses to coach aspiring businesswomen on how to “topple the patriarchy” and promote a more “feminist economy.”

 

Bref l'approche féminine, gentille, participative, inclusive etc. de l'économie veut explicitement "topple the patriarchy" dans une lutte Nietzschéenne pour la suprématie...

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il y a 10 minutes, Mathieu_D a dit :

L'individualisme, le mérite, la compétition,  des valeurs masculines  ? 

Pour les radfems, oui. C'est dire les abîmes intellectuelles de ce mouvement. 

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il y a 14 minutes, Hayek's plosive a dit :

Bah pour moi aussi ce sont des valeurs plutôt masculines. Il est où le problème ? 

Si l'individualisme n'était que masculin, pourquoi nous demandent-elles toutes de leur montrer qu'elles sont uniques ? Si la compétition n'était que masculine, pourquoi y a-t-il des voleuses d'homme ?

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il y a 10 minutes, Largo Winch a dit :

Ça n'a pas de sens de parler de "valeurs féminines".

La citation parle de traits. Et là, ça me semble plus crédible de considérer que hommes et femmes ont des traits de caractères distinctifs.

Toutafé.

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3 hours ago, Largo Winch said:

Et là, ça me semble plus crédible de considérer que hommes et femmes ont des traits de caractères distinctifs.

C'est un coup à se faire virer de Google de dire des choses comme ça.

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Les valeurs ne sont pas sexuées ; elles peuvent en revanche être genrées. Or le genre fluctue dans le temps et l’espace. Il n’y donc pas de « valeurs féminines ».

 

Le féminisme essentialiste est la pire forme de féminisme qui soit. D’ailleurs depuis longtemps rejeté par les courants féministes majoritaires. Le problème est que l’anti-essentialisme exacerbé a engendré l’idiotie inverse, le constructivisme radical (« le sexe est une construction sociale hétéro-patriarcale », voire les thèses de Butler notamment).

  • Yea 1
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Il y a 8 heures, Mathieu_D a dit :

L'individualisme, le mérite, la compétition,  des valeurs masculines  ? 

des traits (pour parler comme Largo) sont plus ou moins présents chez les hommes et les femmes

et donc, dans l'interview de peterson, il disait en substance que si les femmes gagnent moins, c'est en partie parce que les traits qui sont efficace dans les milieux compétitifs sont plus présents chez les hommes.

 

Il y a 7 heures, Largo Winch a dit :

Ça n'a pas de sens de parler de "valeurs féminines".

La citation parle de traits. Et là, ça me semble plus crédible de considérer que hommes et femmes ont des traits de caractères distinctifs.

 

pas d'accord

certaines valeurs sont plus ou moins appréciées ou encouragées selon qu'on soit un homme ou une femme, en tout cas de manière traditionnelle. la compétition par exemple.

mais effectivement là, on parle bien des traits en eux même et pas de leur appréciation

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Dépenses publiques et délires programmatiques :

 

C'est officiel, les contribuables sont aux services des fonctionnaires et subventionnés de la culture.

 

Le Monde - Françoise Nyssen dévoile son plan en faveur de l’égalité femmes-hommes

La ministre de la culture n’exclut pas des « malus » pour les lieux labellisés qui ne respecteraient pas les objectifs chiffrés.

http://www.lemonde.fr/scenes/article/2018/02/07/francoise-nyssen-devoile-son-plan-en-faveur-de-l-egalite-femmes-hommes_5253259_1654999.html

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Citation

The Uber Pay Gap

Using data on over one million Uber drivers and millions of trips, Cody Cook, Rebecca Diamond, Jonathan Hall, John A. List, and Paul Oyer show that female Uber drivers earn 7% less than male drivers. What makes this paper new, however, is that UBER’s extensive data lets the authors understand in great detail why the pay gap exists. It’s not discrimination: [...]

The authors find that three factors explain the gap; driving speed, experience, and choices about where to drive.

 

http://marginalrevolution.com/marginalrevolution/2018/02/uber-pay-gap.html

  • Yea 1
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La construction de l'article est intéressante:



Le HCE affirme ainsi que 73% des femmes en sont victimes, sous la forme d'actes allant de la publication d'images ou de propos insultants, dénigrants ou menaçants au cyber-contrôle dans le couple, où un conjoint ou ex-conjoint se met à épier les moindres faits et gestes de sa victime. Ces violences n'épargnent aucune génération de femmes, puisqu'une fille de 12 à 15 ans sur 5 a déjà été insultée sur son apparence physique. Dans le domaine de la pédopornographie, ce sont également les petites filles qui sont les plus touchées, avec 87% des images de violence sexuelle d'enfants représentant des filles en 2014, selon le rapport.

 

«Il faut que la société prenne conscience que ces violences s'inscrivent dans un continuum avec les violences faites aux femmes, avance l'un des rapporteurs, Édouard Durand. La stratégie de l'agresseur en ligne est la même que hors ligne, son désir d'emprise identique, et le traumatisme pour les victimes aussi grave.»

 

On commence par réunir toute une série de comportements condamnables, d'intensité variable, certains étant légaux et d'autres illégaux, dans la catégorie des "violences envers les femmes". C'est déjà discutable comme procédé. Mais ensuite, on oublie l'hétérogénéité qu'on a subsumé pour dire que les "violences envers les femmes en ligne" sont causes de "traumatismes".

 

Dans la diffusion de vidéos pédoponorgraphique, le traumatisme vient du fait que ce sont des femmes qui les consomment ?

C'est un traumatisme d'être insulté sur Internet ?

Où est le traumatisme, exactement ?

 

Remarquer en outre l'homogénéisation (toutes les victimes sont traumatisées). On a une conclusion qui ne découle absolument pas des prémices, mais c'est pas grave, l'idéologie "progressiste" de la femme faible que la société (c.a.d l'Etat) doit "protéger" comblera le déficit du raisonnement...

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Il manque une donnée importante: quelle proportion de femmes parmi les harceleurs? Quand on parle de cyber-harcèlement de collégiennes, ça m'étonnerait que la meute soit exclusivement, voire majoritairement, masculine.

Dans l'article, on a une mention de ce fameux «continuum des violences faites aux femmes» qui permet à chaque petit militant de faire de l'entrisme au nom d'une grande cause. 

  • Yea 2
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Typique du féminisme comme de toute pensée bas de gamme du même acabit : oublier que ce sont généralement tes semblables qui te la mettent. 

 

Le slut shaming par exemple: comportement que j'ai observé régulièrement et quasi exclusivement de la part d'autres femmes.

 

DVIrhdIX0AcoQPv.jpg

100% vrai

  • Haha 1
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