Le fil des séries (dont beaucoup trop se bousémotivent)

[Mégille]

A oui, je suis con. Je vais me procurer le bouquin.

[Mathieu_D]

Dites, mon épouse a bien aimé Terror, Downtown Abbey et Carnival Row.

 

Qu'est-ce que je lui propose ensuite dans ce contexte ?

[Vilfredo]

il y a 24 minutes, Mathieu_D a dit :

Dites, mon épouse a bien aimé Terror, Downtown Abbey et Carnival Row.

 

Qu'est-ce que je lui propose ensuite dans ce contexte ?

The English Game perhaps?

[Vilfredo]

Fair point à propos du match BCS/BB

Citation

Jimmy is one of my favourite fictional characters just because of how raw and depressing he is. Rewatching Better Call Saul makes his eventual and inevitable downfall into Saul Goodman all the more tragic. Unlike Walt from Breaking Bad who slowly got worse and went from a timid teacher to a sociopath crime lord, Jimmy has been known his whole life as a scumbag and at the start of the show does everything to get away from being “Slippin Jimmy”. Even when he does schemes as early as the first episode it’s all in the name of getting more clients, or more publicity to become the good lawyer he wants to be to prove everyone wrong, but it’s never that easy and he slowly can’t justify himself anymore and fully embraces the “winner takes all” Saul mentality. Basically, Sauls potential to be good is crushed while Walts potential to be evil is opened. Imo it’s much more engaging and relatable seeing someone struggle so much between their good and bad sides and people’s impressions of them which makes Better Call Saul the better show for me.

https://www.personality-database.com/profile/676/jimmy-mcgill-saul-goodman-breaking-bad-mbti-personality-type

[Lancelot]

Ces gens mettent Mike en ISTP au lieu d'ISTJ, ils ne savent pas de quoi ils parlent.

Blague à part les enjeux des deux personnages sont très différents. Saul se bat pour construire une vie selon ses propres termes, sans être sous le contrôle de quelqu'un. La vie de Walt est derrière lui et il se bat pour laisser une trace (via sa famille et/puis via sa légende). On ne peut pas comprendre Walt si on regarde juste un gars qui pète un câble sans se souvenir qu'il s'agit des derniers efforts d'un condamné à mort.

[Brock]

j'adore l'evolution recente de Dr Who, devenu une grosse femme black qui vit des scenarios sjw. 100% des series tv sont devenues du vomi absolu, et Netflix est un torrent de merde feministe.Je l'ai essaye un moment chez mon pere...les selections cinema sont decevantes ( le videoclub a cote de chez moi a enormement  plus de choix) et la propagande marxiste est omnipresente.

[Loi]

Le truc cool avec Netflix c'est le petit bouton pour accélérer de 10 secondes en 10 secondes, pas une seule série où je ne l'utilise pas.

 

Et puis y a pas mal d’ancienne série aussi dispo, parfois ça fait le taf.

[Lancelot]

La chute de Dr Who a l'air assez épique oui. Pour le coup je n'ai jamais accroché donc ça m'en touche une sans faire bouger l'autre mais il faudra que j'en discute pour troller avec mes amis fans normies, voir s'ils se sentent obligés de faire semblant que c'est super.

[Lugaxker]

Il y a 13 heures, Brock a dit :

j'adore l'evolution recente de Dr Who, devenu une grosse femme black qui vit des scenarios sjw

De mieux en mieux  

 

 

Le pire ce serait que cette doctoresse who soit une incarnation de Doctor Who antérieure à William Hartnell (le premier docteur), ce qui achèverait définivement le personnage et donc la série.

[Brock]

ben c'est pas ca qu'ils ont fait ? ils ont carrement dit que c'etait le Dr original il me semble...

mort de rire

mais bon concretement il y a tres peu de licenses qui ont resiste au sjwisme.

[Lugaxker]

Il y a 4 heures, Brock a dit :

ben c'est pas ca qu'ils ont fait ? ils ont carrement dit que c'etait le Dr original il me semble...

Je sais pas si c'est confirmé, je ne suis plus cette série depuis quelques années pour le coup. Mais il semblerait que ce soit le cas oui... 

[Brock]

En meme temps c'est inhabituel, parce qu'a l'ouverture de ce thread, je criticais plutot la propension massive des series bousesques a remplacer les accessoires, le decor, les personnages, les costumes et l'action par des dialogues a base de "We need to talk"

Maintenant ca va bien plus loin, on assiste a la propagandisation de toutes les formes de media qui peuvent se le permettre :  la BBC avec l'argent public,  les jeux videos avec leurs surplus ( chez les gros editeurs, la propagandisation sjw dispose d'un vrai budget a cote de couts classiques comme le nettoyage des toilettes ), les  comics avec l'argent de Disney ( et ceux qui n'ont pas compris que c'etait un cout et vont morfler, comme DC ), et of course les series tele comme Netflix le montre magnifiquement, parce qu'ils n'en sont pas encore arrives au point ou ca va leur couter de l'audience.

[poincaré]

Je recommande fortement la série Freud sur Netflix. Une révolution psychanalytique mêlée à des querelles de pouvoir dans l'empire austro-hongrois et des rivalités professionnelles à connotation antisémite. Bien joué, bien filmé, les acteurs sont beaux. Surtout la fille dans le rôle principal. Un délice. 9/10

 

//analyse cinématographique de poincaré

[Bézoukhov]

Il y a 8 heures, Lugaxker a dit :

De mieux en mieux  

 

Attendez, c'était pas une blague le black doctor femme ?

il y a une heure, poincaré a dit :

Surtout la fille dans le rôle principal.

 

Ce qui est souvent l'intérêt principal de tous les films qui ne sont pas LOTR ou SW.

[Lugaxker]

Il y a 9 heures, Bézoukhov a dit :

Attendez, c'était pas une blague le black doctor femme ?

Non. Gorafisation du réel. Bientôt un transexuel prendra le rôle parce que ça reste bien trop cisnormé. Ensuite un chien extraterrestre, parce que tous les animaux ne sont pas représentés à leur juste valeur ce qui révèle un antispécisme latent qu'il faut corriger absolument. Et puis pourquoi pas ? On pourrait le renommer Doctor Woof ;) 

[Rincevent]

il y a 27 minutes, Lugaxker a dit :

Non. Gorafisation du réel. Bientôt un transexuel prendra le rôle parce que ça reste bien trop cisnormé. Ensuite un chien extraterrestre, parce que tous les animaux ne sont pas représentés à leur juste valeur ce qui révèle un antispécisme latent qu'il faut corriger absolument. Et puis pourquoi pas ? On pourrait le renommer Doctor Woof

Pourquoi un chien, espèce de suprématiste mammiférien ? Une truite serait plus inclusive, quoique c'est encore un peu vertébrocentriste. Non, prenons plutôt une limace ou un autre animal dans le genre dégueu-visqueux, histoire de questionner notre rapport à l'élégance ; après tout, cet animal n'est pas si laid, il produit sa beauté selon sa propre définition. 

 

... Ah, on me dit que même ça, ce serait participer à l'invisibilisation des végétaux (true story). Bon, une rafflesia fera l'affaire.

[Lugaxker]

il y a 21 minutes, Rincevent a dit :

suprématiste mammiférien [...] vertébrocentriste

   

[Byredo]

Le 12/04/2020 à 23:43, Lancelot a dit :

Saul se bat pour construire une vie selon ses propres termes, sans être sous le contrôle de quelqu'un.

En un sens Walt aussi : il a passé sa vie à respecter scrupuleusement les règles (imposées par la société, sa hiérarchie, sa femme, etc) puis reçoit un violent wake-up call à 50 ans qui le pousse à s'extirper de cette cage bien confortable certes, mais d'une fadeur insoutenable. Heisenberg symbolise son libre-arbitre en quelque sorte, la part de lui-même qui refuse de capituler.

L'idée de legacy est secondaire par rapport au fait que pour la première fois de sa vie il s'éclate comme un gosse à faire ce qui le passionne, tout en se sentant utile et respecté.

[Byredo]

Le 12/04/2020 à 22:04, Vilfredo Pareto a dit :

Fair point à propos du match BCS/BB

Jimmy is one of my favourite fictional characters just because of how raw and depressing he is. Rewatching Better Call Saul makes his eventual and inevitable downfall into Saul Goodman all the more tragic. Unlike Walt from Breaking Bad who slowly got worse and went from a timid teacher to a sociopath crime lord, Jimmy has been known his whole life as a scumbag and at the start of the show does everything to get away from being “Slippin Jimmy”. Even when he does schemes as early as the first episode it’s all in the name of getting more clients, or more publicity to become the good lawyer he wants to be to prove everyone wrong, but it’s never that easy and he slowly can’t justify himself anymore and fully embraces the “winner takes all” Saul mentality. Basically, Sauls potential to be good is crushed while Walts potential to be evil is opened. Imo it’s much more engaging and relatable seeing someone struggle so much between their good and bad sides and people’s impressions of them which makes Better Call Saul the better show for me.

 

Non. Saul anéantit son sens moral tout seul comme un grand, tandis que chez Walt c'est le cancer qui libère le sociopathe en sommeil. 

 

Le plus frappant dans ce commentaire c'est qu'il balaie d'un revers de main l'elephant in the room : à savoir l'inadéquation totale entre les objectifs de long-terme de Jimmy (redorer son blason et gagner sa vie de manière décente) et sa méthodologie de court-terme (petites escroqueries à tire-larigot). La pièce qui coince dans sa vie, ce ne sont pas les circonstances extérieures mais bel et bien son degré d'intégrité proche de zéro. Du coup 9 fois sur 10 il se retrouve dans la mouise... et qu'est ce qu'il fait pour en sortir ? Une nouvelle connerie. 

 

Alors oui ok il essuie pas mal d'échecs et croise quelques ordures au cours de son parcours, mais c'est facile de rester dans le droit chemin lorsque tout se passe comme on le voudrait. Les décisions que l'on prend face à l'adversité ou lorsque personne ne regarde, c'est ça qui définit notre véritable nature. 

 

Jimmy est très habile lorsqu'il s'agit d'endosser le rôle de sempiternelle victime, même nous (spectateurs) tombons dans le panneau. Il est un peu pathétique, très attachant, rigolo... du coup on a tendance à minimiser la noirceur de ses actes, ou à lui trouver des excuses a posteriori. Comme on le ferait avec un enfant.

[Prouic]

haha mais c'est mardi et je bosse pas \o/

Edit: haha cette intro

[Lancelot]

4 hours ago, Byredo said:

 

Calm down there, Chuck

[Solomos]

4 hours ago, Byredo said:

 

Non. Saul anéantit son sens moral tout seul comme un grand, tandis que chez Walt c'est le cancer qui libère le sociopathe en sommeil. 

 

Le plus frappant dans ce commentaire c'est qu'il balaie d'un revers de main l'elephant in the room : à savoir l'inadéquation totale entre les objectifs de long-terme de Jimmy (redorer son blason et gagner sa vie de manière décente) et sa méthodologie de court-terme (petites escroqueries à tire-larigot). La pièce qui coince dans sa vie, ce ne sont pas les circonstances extérieures mais bel et bien son degré d'intégrité proche de zéro. Du coup 9 fois sur 10 il se retrouve dans la mouise... et qu'est ce qu'il fait pour en sortir ? Une nouvelle connerie. 

 

Alors oui ok il essuie pas mal d'échecs et croise quelques ordures au cours de son parcours, mais c'est facile de rester dans le droit chemin lorsque tout se passe comme on le voudrait. Les décisions que l'on prend face à l'adversité ou lorsque personne ne regarde, c'est ça qui définit notre véritable nature. 

 

Jimmy est très habile lorsqu'il s'agit d'endosser le rôle de sempiternelle victime, même nous (spectateurs) tombons dans le panneau. Il est un peu pathétique, très attachant, rigolo... du coup on a tendance à minimiser la noirceur de ses actes, ou à lui trouver des excuses a posteriori. Comme on le ferait avec un enfant.

 

 

Spoiler

C'est globalement vrai, mais il y a quand même plus d'ambiguïté morale chez Jimmy. Walter est juste un gros enfoiré (avec juste un petit sursaut de loyauté  envers Jessie)

Jimmy est instable, tenté par la facilité de l'escroquerie et l'adrénaline.

Mais il gagne sa vie assez honnêtement, jusq'au moment où il tombe dans un piège tendu par Chuck en voulant aider Kim.

Il purge sa suspension et quand il revient, la commission qui doit le ré-admettre le juge "non-sincère" alors que précisément il est naturel en ne parlant pas de son frère.

Il est vrai qu'il ne fait pas suffisamment d'efforts, mais il est vrai aussi qu'il n'est pas aidé par la corporation d'avocat, particulièrement pas par son frère.

 

Jimmy n'est pas plus moralement mauvais que n'importe quel quidam. Il a juste une forme de talent qu'il ne parvient pas à exprimer dans un cadre légal et acceptable socialement. Il préfère passer du coté douteux de la loi, que de se laisser domestiquer.

Walter est un mec qui a été domestiqué, mais quand sa cage se brise on voit qu'il n'a pas de limites, à part la famille ( dont Hank ): Il laisse Jane mourir, empoisonne Brock, fait tuer Gale, tue Mike pour rien, et même Gus est tué sans vraiment l'avoir mérité.

 

 

[Vilfredo]

Il y a 7 heures, Byredo a dit :

La pièce qui coince dans sa vie, ce ne sont pas les circonstances extérieures

C’est vrai mais par contraste l’affaire de Walt marche relativement bien (comment il réussit à planquer des masses de cash, à ne pas se faire piquer malgré Jesse, malgré Badger + son coup de bol incroyable avec Tuco, rémission du cancer, ce qui arrive à Jane etc).

 

sinon c’est vrai aussi que Saul se met dans la mouise tout seul et que Walt il y a le cancer comme facteur déclencheur mais ça ne change pas grand chose au fait que Walt s’enfonce aussi seul en enfer (par orgueil en partie cf. cette séquence géniale où il bourre la gueule de Jr juste pour niquer l’ambiance et faire chier Hank (incroyable à quel point je me mets à  apprécier Hank au revisionnage))
 

Il y a 8 heures, Byredo a dit :

lorsque personne ne regarde, c'est ça qui définit notre véritable nature. 

c’est la leçon de BB en effet

[Byredo]

Je pense qu'aucun des deux n'a vraiment un mauvais fond à l'origine, mais plutôt qu'ils ont accumulé les mauvais choix et - une chose en entraînant une autre - ont irrémédiablement basculé dans le camp des 'méchants'. La différence se situe surtout au niveau de la fréquence chez l'un, vs. la gravité des faits chez l'autre.

 

Chez Jimmy, les actes 'néfastes' paraissent anodins mais sont très fréquents et s'étalent sur une longue période (ça remonte même à l'enfance il me semble). Face à un choix qui se résume à A ou B il succombe quasi systématiquement à la tentation, s'embarque sur une pente glissante, puis s'étonne de se retrouver dans de beaux draps ou de ne pas être perçu comme fiable (notamment par les parangons de vertu que sont son frère et le cercle d'avocats). Certes le monde n'est pas tendre avec lui et certaines choses sont injustes, mais il s'est savonné la planche lui-même au fil du temps.

 

Chez Walt, les faits sont plus rares mais d'une extrême gravité. C'est un bon père de famille qui a toujours tenu à renvoyer une image de dignité aux yeux du monde. En gardant pour lui toute émotion négative (le doute, l'humiliation, la peur, la déprime) et en agissant avec droiture en toutes circonstances (quand bien même ça ne le menait nulle part, voire l'enfonçait davantage). Soudain, arrivé à la fin de sa triste existence, quelque chose de profondément obscur jaillit en lui, et il commence à tuer des gens sans le moindre scrupule.

 

Pour ma part j'ai beaucoup plus d'estime pour Walt parce que, aussi détestable qu'il soit devenu à la fin, il a toujours fait preuve d'autodiscipline face à ses démons en refusant le choix de la facilité. Mais disons que j'ai davantage de tendresse et de sympathie pour Jimmy, parce qu'il a clairement de l'empathie et que sa capacité de nuisance est moindre.

[Bisounours]

Du coup, j'ai repris Better call Saul que j'avais abandonné pour des raisons obscures. Peut-être trop proche de Breaking Bad ce qui a parasité mon appréciation.

C'est chouette, j'ai un max de saisons devant moi. J'étais un peu sur la paille en ce moment côté séries, ça tombe bien.

[Byredo]

Il y a 3 heures, Lancelot a dit :

Calm down there, Chuck

 

 

Alors figure-toi que j'ai eu une epiphany similaire avec Skyler la seconde fois...

Hé. Mais en fait. C'est WALT le vrai connard de l'histoire !  

Bam, dans la tronche. J'ai eu mal.

Mon petit coeur de glace doit se ramollir... je ne vois que ça.

[Bisounours]

C'est rigolo comme c'est le salaud criminel qui génère de l'empathie, juste parce que son cancer et sa fin de vie proche l'incitent à faire des saloperies pour assurer l'avenir de sa famille  (quoique je pense plutôt que c'est un prétexte de libération de ses mauvais instincts). Alors que sa femme est typiquement l'image de la mère de famille responsable et normale, qui finit par se laisser entrainer vaguement par la folie de son mari. Jusqu'à un certain point, il me semble.

Magie du scénario et de la mise en scène. Et des acteurs.

[RaHaN]

il y a 6 minutes, Bisounours a dit :

l'image de la mère de famille responsable et normale

Aux dernières nouvelles, l'histrionisme est toujours un trouble.

[Bisounours]

Ah je me souviens pas d'une nana genre hystérique. Ceci étant, à côté des tendances de son époux...

[Lancelot]

En ce qui concerne Walt, je ne crois pas du tout que c'est un sociopathe ou un monstre qui n'attendait qu'un prétexte pour s'exprimer. Pour comprendre le personnage il faut vraiment remonter à l'histoire de Gray Matter.

Spoiler

On a un scientifique avec une carrière brillante qui laisse tout tomber pour s'enfuir avec une serveuse et fonder une famille :

• D'une part cette famille devient la chose la plus importante dans sa vie, c'est sa motivation initiale et ça explique beaucoup de sa relation avec Skyler.
• D'autre part il se retrouve sous-employé dans des jobs médiocres, c'est une énorme source de frustration qui le poussera à continuer sa nouvelle vocation dans laquelle il se découvre trop talentueux pour son propre bien.
• Enfin les relations avec Gray Matter durant la série illustrent que quand Walt décide quelque-chose, c'est pour de bon. Souvenez vous de la première fois qu'il prend la décision de tuer un ennemi avec Krazy-8, ça ne lui vient pas naturellement du tout. Et la première fois qu'il décide de s'en prendre à un innocent avec Gale, c'était aussi une question de vie ou de mort. Mais une fois le cap franchi, pas de retour en arrière. C'est comme ça qu'il sombre par paliers.

D'ailleurs souvenez-vous que même à la toute fin c'est encore la déclaration de PR de Gray Matter qui le pousse à revenir à l'action.