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Messages recommandés

J'ai achevé la biographie de Descartes par Hildesheimer : bof, ainsi que Pour deux sous de vertus de Montheillet (très bon). Là je suis dans Hourra Zara de Raspail (what else). 

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Dune plus on avance moins c'est bien. L'empereur dieu c'est pas un mauvais endroit pour s'arrêter (quoique je l'aurais fait avant).

Toujours dans ma série "fin du monde dans l'optimisme" je lis The day of the Triffids

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Dune plus on avance moins c'est bien. L'empereur dieu c'est pas un mauvais endroit pour s'arrêter (quoique je l'aurais fait avant).

 

J'ai lu la série 3 fois, la première fois jusqu'au Messie (je devais avoir 10-11 ans, je ne comprenais plus rien à ce qui se passait), la 2e jusqu'à L'Empereur-Dieu et la dernière fois jusqu'au premier bouquin du fils.

 

Je les tenterais bien en anglais aussi, même si ça risque de ne pas aider.

 

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Dune plus on avance moins c'est bien. L'empereur dieu c'est pas un mauvais endroit pour s'arrêter (quoique je l'aurais fait avant).

C'était censé être la fin de l'aventure selon Herbert. Ce n'est que sous la pression populaire qu'il a continué.
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J'ai lu la série 3 fois, la première fois jusqu'au Messie (je devais avoir 10-11 ans, je ne comprenais plus rien à ce qui se passait), la 2e jusqu'à L'Empereur-Dieu et la dernière fois jusqu'au premier bouquin du fils.

 

Je les tenterais bien en anglais aussi, même si ça risque de ne pas aider.

C'est la deuxième fois pour ce qui me concerne. La première fois, je m'étais arrêté au Messie : la coupure au niveau de l'ambiance et du rythme m'avait perturbé...

Mais cette fois-ci c'est la bonne, je termine tous le cycle (en anglais, je trouve ça plus motivant).

 

 

C'était censé être la fin de l'aventure selon Herbert. Ce n'est que sous la pression populaire qu'il a continué. 

 

Sûr ? J'avais entendu l'inverse. A savoir que, même après Chapterhouse, il souhaitait continuer à développer la saga.

 

Sinon, l'un de vous a lu "PiKHAL" de Shulgin ou bien Tomas de Quincey et a des retours dessus ?

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J'ai lu De l'Assassinat considéré comme un des beaux arts et Confessions d'un mangeur d'opium de Quincey. En français malheureusement, d'ailleurs il faudrait que je m'y remette en anglais). Je l'avais découvert via les Paradis artificiels de Baudelaire (qui est également bien trippant en soi).

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Lu ce truc, c'est de l'anglais assez facile, et c'est vraiment très intéressant. Principalement pour les données fournies, les analyses qui vont avec sont intelligentes mais faites un peu à la va vite et n'explorent pas toutes les interprétations possibles. Cela-dit, il fait réfléchir et a le mérite d'être absolument neutre sur le plan idéologique.

Ah, j'ai oublié de dire de quoi ça parle. En gros c'est une étude de la pornographie et de la littérature érotique en ligne ayant pour objet d'analyser respectivement le fonctionnement de la libido masculine et féminine. 

 

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Après avoir fini La connaissance inutile (Grande leçon d'honnêteté intellectuelle !), je suis en train d'attaquer un petit essai qui a l'air sympa : La Richesse des nations, d'un certain Smith.

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Je suis en train de lire Economics in One Lesson, d'Henry Hazlitt.

 

C'est fortement pompé inspiré de Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas de Bastiat, en plus étendu et plus moderne. C'est très bien, court et clair, en plus il est traduit en français. Maintenant je sais ce que je conseillerai quand on me demandera quel livre lire pour se déniaiser en économie.

 

Jusqu'à présent je conseillais Bastiat, mais je pense qu'il est plus adapté à un lectorat élitiste, les personnes moins sophistiquées vont être rebutées par le style travaillé et l'écriture XIXe. Il y avait Simonnot aussi dont je parlais, mais j'ai toujours trouvé ses raisonnements un peu flottants, pas top pour convaincre un newbie.

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Je viens de me rappeler que "Horizon vertical" (Farewell horizontal) de K.W. Jeter se passe dans un monde anarcap. L'intrigue tourne autour d'une tentative de prise de cartel par les deux principales "agences de protection" (des gangs de bikers), le protagoniste est un reporter indépendant qui se retrouve au mauvais endroit et au mauvais moment et doit survivre pour dénoncer leurs magouilles (et si possible gagner du pognon au passage). L'auteur donne exprès très peu de détails sur le fonctionnement de la société (pour ne pas avoir à se justifier, expliquer, etc.)

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Je suis dans la lecture de "L'étrangeté française", de Philippe d'Iribarne, que je me surprends à trouver intéressant (alors qu'il est sociologue, c'est-à-dire incompétent par profession). Il y a une réflexion sur les caractères nationaux (anglo-américain, français et allemand) de la liberté qui est plutôt bien vu : autant les anglos lient la liberté à la propriété et les Allemands à la participation aux décisions collectives, autant les Français lui associent la notion de noblesse et donc de statut (protégé par la loi). Cette réflexion me semble assez pertinente, et jette une lumière intéressante sur les mésententes culturelles entre les peuples. Ainsi, j'ai souvent attiré l'attention sur le livre de T. Smith intitulé "La France injuste" sur ce forum. Dans son essai, Smith soutient que la France est sans doute l'un des pays les plus inégalitaires et les plus corporatistes d'Europe. Il ajoute que c'est en France que le droit du travail, jusqu'en 45, est le plus défavorable à l'employé. Ce jugement négatif est en fait tout imprégné de culturalisme anglo et juge d'un état de fait qui n'apparaît pas aux yeux des Français comme un manque de liberté, comme la défense de leur acception particulière de la liberté. Bon, j'émets une réserve quand même : d'Iribarne est sociologue, ce qui fait qu'il a tendance à user et abuser du langage de la généralité pour désigner des pensées, des traditions et des théories qui sont loin d'être univoques. Si on peut dire en gros que les Allemands conçoivent la liberté comme participation aux choix publics, il ne faut pas oublier qu'il existe une tradition néorépublicaine forte aux USA et chez les godons. Si les Français insistent moins sur la propriété que les godons et autres carpetbaggers, il existe quand même une longue tradition libérale pas nécessairement "anglomane" ou "anglophile". Même les boches, et Dieu sait s'ils sont cons, on une tradition libérale tout à fait respectable (Humboldt, Eucken), et sont les inventeurs de l'Etat de droit (entendu par opposition à l'Etat de police of course). 

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Vous connaissez un bouquin clair sur les différentes classifications du vivant et leur façon de procéder ?

 

Comparaison_classification.png

J'ai du mal à comprendre comment le coelacanthe est plus proche de l'homme que de la truite.

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Il ne l'est pas. La ligne qui va de l'ancêtre commun coelacanthe-humain aux humains, une fois détaillée, est en réalité bieeeeen plus longue que celle qui va à l'ancêtre commun d'avec les autres poissons.

Par contre les T-rex sont plus proches des hirondelles que des stégosaures:

birds_and_dinosaurs.png

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Vous connaissez un bouquin clair sur les différentes classifications du vivant et leur façon de procéder ?

 

Comparaison_classification.png

J'ai du mal à comprendre comment le coelacanthe est plus proche de l'homme que de la truite.

 

 

http://www.podcastscience.fm/emission/2011/08/25/podcast-science-49-pierre-kerner-larbre-du-vivant-13/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=podcast-science-49-pierre-kerner-larbre-du-vivant-13

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Le fils de Todd nous a pondu un bouquin :

 

http://www.amazon.fr/Lidentit%C3%A9-%C3%A9conomique-France-Libre-%C3%A9change-protectionnisme/dp/2246711819/ref=la_B004MSOPWK_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1403831699&sr=1-1

 

 

 

L'identité économique de la France : Libre-échange et protectionnisme 1814-1851

 

La France n'aime pas le libre-échange. Pour elle, l'ouverture au commerce international est source de malaise politique. A gauche comme à droite, tous les sondages le montrent, les Français préfèrent le protectionnisme. L'identité économique de la France décrit l'émergence de cette culture protectionniste, entre la Révolution de 1789 et celle de 1848. Né au centre-droit de l'échiquier politique, le protectionnisme français séduit successivement la droite nationaliste, la gauche patriotique et les premiers mouvements socialistes. En Grande-Bretagne, libéralisme économique et libéralisme politique restent les côtés face et pile d'une même idéologie. En France, après le milieu du XIXe siècle, libéralisme économique et libéralisme politique se séparent pour souvent s'opposer. Le caractère démocratique et national des valeurs véhiculées par le discours protectionniste explique ce succès égalité entre les producteurs, solidarité face à la concurrence internationale et rejet du modèle économique "anglais", industrialiste et inégalitaire. S'appuyant sur des sources inédites - françaises, britanniques et allemandes -, L'identité économique de la France restitue l'intensité dramatique de ces débats qui ont contribué à forger le paysage idéologique français contemporain. L'histoire jette un éclairage saisissant sur la tension qui monte aujourd'hui entre la mondialisation économique et la culture démocratique française.

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J'avais vu passer la référence. Ça m'a l'air très intéressant, et je serais curieux de connaître la position du libéralisme doctrinaire (et de ses héritiers) à l'époque.

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Depuis des années je lis quotidiennement Schlock Mercenary, parce que l'auteur Howard Tayler est un peu mon idole en matière d'écriture, et surtout parce qu'il se permet d'y glisser des trucs comme:

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"Les gouvernements ont pour fonction d'institutionnaliser le comportement criminel" :D

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C'est difficile d'avoir accès à tout Lovecraft à partir de ces recueils parce qu'ils ne sont pas synchronisés entre eux. Le mieux c'est de chopper une intégrale. Celle en français en trois tomes est chère mais pour le coup il y a vraiment tout.

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Dans la famille Todd, je voudrais le grand-père, Olivier Todd... c'était encore le moins pire, ils se dégradent de générations en générations.
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Je lis La route de Los Angeles de John Fante (en français, on me l'a prêté) et je me régale. Il a réussi plusieurs fois à me faire pleurer de rire.

L'écrivain est resté longtemps méconnu mais a été remis au goût du jour par Bukowski, qui le considérait comme son maître. Ce roman, écrit en 1936, n'a été publié pour la première fois qu'en 1986 !

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