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Obama Presidency


Messages recommandés

Les avions russes étaient effectivement dépassés dans leur majorité en 41/42 (comme le I-16 : http://en.wikipedia.org/wiki/Polikarpov_I-16 ou le I-153 : http://en.wikipedia.org/wiki/Polikarpov_I-153) et les chasseurs anglais et surtout américains utilisés là-bas s'avérèrent bien meilleurs mais les soviétiques rattrapèrent leur retard par la suite et produisirent d'excellents coucous (La-5, La-7 et Yak-3 pour la chasse par exemple).

 

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Se vanter d'être des criminels (parce que il ne me semble pas qu'ils vont lancer des poursuites) c'est peut-être franc mais c'est encore plus immonde.

Ils ne s'en vantent pas, mais ça se sait, parce que des journalistes et des associations ont encore le droit d'enquêter et dénoncer. Evidemment en Russie on ne peut pas en dire autant, sauf quand un Soljenitsyne se manifeste.
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Ben ouais, donc tu ne vois pas le manque de cohérence de ta position ? Comment veux-tu balayer devant ta porte tout en aidant d'autres à continuer à torturer ?

 

On les aide ? Si un pote à moi fait une connerie je suis coupable car je lui parle ? Ta conception des choses est curieuse.

 

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U.S. threatened massive fine to force Yahoo to release data

The U.S. government threatened to fine Yahoo $250,000 a day in 2008 if it failed to comply with a broad demand to hand over user communications — a request the company believed was unconstitutional — according to court documents unsealed Thursday that illuminate how federal officials forced American tech companies to participate in the National Security Agency’s controversial PRISM program.

http://www.washingtonpost.com/business/technology/us-threatened-massive-fine-to-force-yahoo-to-release-data/2014/09/11/38a7f69e-39e8-11e4-9c9f-ebb47272e40e_story.html

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On les aide ? Si un pote à moi fait une connerie je suis coupable car je lui parle ? Ta conception des choses est curieuse.

 

 

Tu te moques de moi ? Tu as dit et répété que l'État français et l'État américain devaient se rapprocher et plus particulièrement qu'il devrait suivre le leadership américain. C'est autre chose que de discuter. Discuter c'est ce que font les Suisses.

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"Parler" dans ce sens la signifie "avoir de bonne relations avec". Sinon j’aurai utilisé ma caissière comme exemple car je lui parle aussi... Tu fais encore une foi semblant de ne rien comprendre. Et non ce n'est pas aider... Bref tu troll.

 

aider, verbe intransitif

Sens 1 Faciliter. Synonyme permettre Anglais to help

Conjugaison voir la conjugaison du verbe aider

aider, verbe transitif

Sens 1 Secourir, faciliter les actions de quelqu'un. Synonyme épauler Anglais to help

Conjugaison voir la conjugaison du verbe aider

aider : 2 définitions

En savoir plus : aider >>

Synonymes aider

aider : 23 synonymes.

Synonymes appuyer, assister, concourir, contribuer, coopérer, dépanner, encourager, épauler, faciliter, favoriser, participer, permettre, pousser, prêter, profiter, réconforter, rendre, repêcher, seconder, secourir, soulager, subventionner, venir.

On voit que tu cherches vite à dévier de l'état français, après tout lui c'est pas grave, tout les autres non plus, la torture non américaine est morale...

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Donc il faut faire partie de l'OTAN parce que c'est bien, mais les politiques de l'OTAN ne sont pas bien. D'accord.

 

 

 

Les fan de bombardement de muslim sur le forum c'est les russistes

 

Oui, le manque de cohérence n'est pas que de ton côté. 

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1.Donc il faut faire partie de l'OTAN parce que c'est bien, mais les politiques de l'OTAN ne sont pas bien. D'accord.

 

2.Oui, le manque de cohérence n'est pas que de ton côté. 

 

1.ça peut impliquer d'aller dans des opérations inutiles mais ça ne signifie pas maximiser leur nombre, bref c'est des négociations... Sinon un jour il faudra parler des opérations bien française comme le mali ou la Centrafrique... Elles sont bien celles la ? Elle servent à quoi à part monter des gens contre nous inutilement ? Le pire c'est qu'au début les maliens étaient content et hollande a réussit à être impopulaire là bas...

 

ça sert à quoi de garder des bases françaises n'importe ou ? Ou de subventionner grassement des territoires juste pour garder un bout de colonie au milieu de la mer ?

 

Pourquoi on entend pas parler de l'impérialisme français ? Tu sais ou on en est avec les séléka et les anti-balaka toi ?

 

2.C'est un manque de cohérence d'aucun coté.

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Pourquoi on entend pas parler de l'impérialisme français ?

 

Parce que c'est pas le sujet. Mais tu peux deviner mon avis sur la question. Les Américains ont d'ailleurs soutenu le Mali et la Centrafrique (et la Libye ou ils ont même mis la main à la pâte).

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Parce que c'est pas le sujet.

 

Justement c'est jamais le sujet et c'est ça mon argument, tout le monde s'en fou ou on dit vite fait qu'on est pas d'accord sur "nouvelles sans intérêts" puis on oublie... Tu dois avoir une grande confiance en l'état français...

 

Les USA n'allaient pas vexer Hollande inutilement si il voulait aller faire le con en Centrafrique, tu vois qu'on est pas soumit aux USA, nous aussi on peut faire un truc complètement débile...

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J'ai pas dit qu'on était soumis et j'ai justement bien envie que ça la reste. Et non pas qu'on aille leur manger dans la main parce que c'est les gentils Américains.

 

Les USA ont activement soutenu et le Mali et la Centrafrique. Ils n'ont pas juste "pas vexé Hollande inutilement."

 

 

 

Justement c'est jamais le sujet et c'est ça mon argument, tout le monde s'en fou

 

Je m'en fout pas. C'est l'argument que j'utilise à chaque fois pour montrer que l'État français qui assassine et torture de sang froid est toujours d'actualité et que ce n'est pas un passé révolu en 1945 (étrangement, les gens oublient tout le temps les guerres civiles/coloniales qui ont suivi et ou la République s'est encore distinguée en tuant et torturant sa propre population). Mais c'est effectivement pas le sujet ET on est déjà bien emmerdé par ses conflits sans y rajouter ceux des Américains.

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Une bonne grosse couche de réglementation plutôt que de baisser l'IS : voilà la solution d'Obama pour arrêter la fuite des grosses compagnies américaines. 

 

 

Obama has raised the inversion issue publicly, saying that inversions were wrong and unfair.

“The practice they’re engaging is the same kind of behavior that keeps middle-class and working-class families working harder and harder just to keep up,” Obama said July 24 in Los Angeles.

 

:kalachnikov:

 

http://www.bloomberg.com/news/2014-09-22/treasury-unveils-anti-inversion-rules-against-tax-deals.html

 

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La news est vieille (mai 09), mais l'histoire serait bien vraie d'apres un contact qui était plus que bien au courant sur le sujet.

 

http://www.businessinsider.com/white-house-directly-threatened-perella-weinberg-over-chrysler-2009-5

 

 

The Obama administration threatened to use the White House press corps to besmirch the reputation of one of the financial firms that holds Chrysler debt, according to a prominent New York bankruptcy lawyer.

 

En gros, le gars de Perella Weinberg a recu un coup de fil de la Maison Blanche et on lui a dit "écoute, on sait pas ce que tu as fait de mal dans ton passé, mais sois sur qu'on va le trouver".

 

 

After intense political pressure, Perella Weinberg defected from the dissenters and agreed to the administrations plans. The majority of senior creditors, including several large banks such as JP Morgan Chase, had already agreed to the plan. Some critics charge that the administration used its leverage as the provider of TARP funds to force banks to comply. Lauria's charges suggest that the administration had to get even rougher with financial firms that haven't taken bailout money.

 

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  • 2 weeks later...

Dans l'absolu je trouve que c'est un pas dans la bonne direction.

C'est une aberration assez extraordinaire que de lier l'assurance maladie à un emploi, non ? Une assurance maladie c'est un plutôt un truc personnel quand même.

Personne au monde n'avait un tel système, because c'est né à la suite des limitations de salaire (durant la guerre ?) imposées par le gouvernement.

Pour contourner la loi, les entreprises se sont mises à offrir de telles avantages à leurs employés. Ce qui a ensuite été rendu obligatoires par la loi.

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  • 3 weeks later...

Traduisez par : la droite américaine a le vent en poupe et se positionne pour un électorat libertarien-conservateur.

 

La droite américaine en panne d’idées

(...) Quelle vision de l’Amérique les républicains ont-ils proposée au cours de ces élections intermédiaires ? Quelles grandes idées défendent-ils face aux démocrates, et sous la pression des militants du Tea Party ?A ce titre, 2014 n’est pas 1994. Il y a vingt ans, un groupe d’élus républicains, en partie inspiré par le think tank conservateur The Heritage Foundation, avait conçu le manifeste « Contract with America ». Celui-ci allait leur permettre d’emporter la Chambre des représentants après quarante-deux ans de domination démocrate, et servir de cadre idéologique à une « révolution républicaine ». Huit grandes réformes étaient proposées : notamment l’obligation d’équilibre budgétaire, les réductions d’impôt pour les petites entreprises, les familles et les personnes âgées, la limitation de la durée des mandats des responsables publics, la réforme de la responsabilité civile et de l’aide sociale.

Seize ans plus tard, pendant les élections de mi-mandat de novembre 2010, le mouvement du Tea Party,quasi insurrectionnel et principalement anti-Etat, a pesé considérablement sur les orientations de campagne du « Grand Old Party » (surnom du Parti républicain). La radicalité des candidats des « tea baggers », véritable repoussoir des électeurs centristes, avait même fait ponctuellement le jeu des démocrates.

Plus de conservatisme

La campagne de 2014, en revanche, ne s’accompagne d’aucun renouveau programmatique républicain. On peut même parler d’un reflux des idées. Du point de vue de la tactique électorale, le parti a utilisé les primaires pour écarter les candidats du Tea Party dans la plupart des Etats où ils menaçaient ses caciques au Sénat, du Kentucky au Kansas en passant par le Mississippi. Le Tea Party n’a pu revendiquer qu’un succès, totalement inattendu, au cours d’une primaire : défaire le chef républicain de la Chambre des représentants, Eric Cantor – qui a depuis rejoint une banque d’investissement de Wall Street, bête noire par excellence des tea baggers.

Si cette tactique a payé, les revers du Tea Party et la baisse de son influence idéologique restent relatifs. Car cette « victoire » du courant modéré du Parti républicain s’est faite au prix d’un alignement sur ses thèses radicales, qui interdisent pratiquement tout compromis parlementaire, et annoncent un blocage accru des institutions américaines – le philosophe politique Francis Fukuyama a même parlé, dans le numéro de septembre-octobre de la revue Foreign Affairs, d’une nouvelle « vetocratie », paralysant toute solution politique. De son côté, le site d’étude des programmes politiques Crowdpac, qui propose « les meilleures données objectives sur les candidats », a récemment étudié les positions idéologiques de sortants républicains de la Chambre et celles de leurs successeurs potentiels : il dresse le constat d’un glissement vers plus de conservatisme.

La figure de Ronald Reagan et de ses deux mandats, érigés en « âge d’or » de l’Amérique

Faute d’inventivité politique, le Parti républicain a martelé pendant la campagne un discours négatif visant le président Barack Obama, son relais à la tête de la majorité démocrate sortante au Sénat, Harry Reid, et sa réforme emblématique dans le domaine de la santé. Cette dernière avait déjà constitué le principal sujet d’hostilité des candidats républicains pendant les primaires précédant la campagne, selon une étude minutieuse de la Brookings Institution, un think tank consacré à l’innovation politique.Coordonné par Elaine Kamarck et Alexander Podkul, ce travail souligne que la dénonciation de l’« Obamacare » a devancé les thèmes républicains classiques comme le poids trop élevé des impôts, la question du déficit budgétaire ou celui de l’excès de réglementation.

Une grande référence historique a été malgré tout privilégiée pour rassembler les différents courants républicains : la figure de Ronald Reagan et de ses deux mandats, érigés en « âge d’or » de l’Amérique. L’invocation de cette icône a permis de décliner les grands thèmes classiques du Grand Old Party, essentiellement centrés sur le « moins d’Etat ». Ils permettent de mobiliser à la fois les républicains « main stream », les conservateurs, le courant libertarien (des libéraux radicaux opposés à toute réglementation étatique) et les partisans du Tea Party – eux-mêmes focalisés sur un autre « âge d’or » magnifié et réinterprété, celui des Pères fondateurs.

Stratégie tactique à court terme

Ce projet républicain de gouvernement minimaliste s’accompagne de la défense d’un projet de société, dont la dernière campagne a donné un aperçu, tout comme les politiques menées ces dernières années, là où les républicains contrôlent à la fois le poste de gouverneur et le Congrès – soit 23 Etats à la veille du 4 novembre. Le programme mis en pratique renoue avec les idées de toujours des conservateurs : limitation du poids des syndicats du secteur public, des politiques de protection de l’environnement, des dispositifs d’accompagnement de l’avortement au nom « du droit à la vie », de l’immigration, hostilité enfin à toute forme de contrôle des armes. Ces limitations s’inscrivent dans le droit-fil du fameux culture war speech, « le discours sur la guerre culturelle », prononcé le 17 août 1992 par le conservateur Pat Buchanan devant la convention nationale républicaine, sorte de manifeste des valeurs traditionalistes américaines.

Si cette stratégie républicaine a payé pour la campagne des midterms, place-t-elle pour autant le camp républicain en posture favorable pour le grand rendez-vous de 2016, qui va clore le cycle des deux mandats de Barack Obama ? Rien n’est moins sûr. Car elle comporte un défaut majeur : elle calcule à court terme. Elle est tactique. Elle est oppositionnelle. Si les différends entre les courants du Parti républicain ont pu être escamotés pendant la campagne, ils demeurent très vifs. A l’intérieur du Tea Party pour commencer : « Il n’y a pas un, mais plusieurs Tea Party, avec des agendas propres, centrés sur les valeurs ou la fiscalité, qui cohabitent souvent difficilement », constate Chapman Rackaway, professeur en science politique à la State University de Fort Hays – en plein ouest conservateur du Kansas, un terreau propice à ce mouvement.

Question sensible de la réforme de l’immigration hispanique

D’autres fractures apparaissent aussi parmi les républicains, comme en témoignent les critiques émanant des ultraconservateurs contre la modération que professe Karl Rove, l’ancien conseiller de George Bush, qui défend l’alliance avec les modérés les moins marqués idéologiquement. L’étude très politique de la Brookings Institution fait encore apparaître des controverses sur la question sensible de la réforme de l’immigration hispanique, en souffrance depuis des années. Les républicains de sensibilité Tea Party se montrent en effet beaucoup plus opposés à une réforme globale de l’immigration que les républicains identifiés aux milieux d’affaires ou les libertariens : eux considèrent notamment que la régularisation de clandestins n’est pas un tabou pour des raisons économiques.

Les laboratoires politiques que sont devenus certains Etats contrôlés entièrement par les républicains montrent, par ailleurs, les limites de leur vision d’un Etat réduit à sa plus simple expression. C’est le cas du Kansas où les baisses massives d’impôts décidées par le gouverneur Sam Brownback ont placé les finances de l’Etat au bord du gouffre. « On est décidément bien loin du Parti républicain de Theodore Roosevelt et de sa vision progressiste du gouvernement », regrette Edward Flentje, ancien conseiller de gouverneurs républicains, qui enseigne aujourd’hui la science politique à Wichita, le fief de l’empire industriel de Charles et David Koch, grands bailleurs de fonds du Tea Party.

Défaite du courant isolationniste d’essence libertarienne

Pendant la campagne, les menaces que constituent le virus Ebola ou l’organisation Etat islamique ont été instrumentalisées par le camp républicain pour stigmatiser l’administration Obama, dénoncée comme velléitaire. Ces critiques ont cependant constitué autant d’hommages involontaires rendus au gouvernement – et à l’Etat. Les interventions militaires de la coalition voulue et menée par Barack Obama en Irak et en Syrie, soutenues au Congrès par la majorité des républicains, ont ainsi signifié la défaite du courant isolationniste d’essence libertarienne.

La « guerre culturelle » voulue par Pat Buchanan marque également le pas. Le mouvement en faveur de la reconnaissance du mariage homosexuel en est la traduction manifeste. En quelques semaines, à partir de la décision de la Cour suprême des Etats-Unis, le 6 octobre, de ne pas revenir sur les autorisations décidées par des cours d’appel intermédiaires, le nombre d’Etats où cette union est reconnue a nettement dépassé celui où elle ne l’est pas. Sur la question de l’avortement, la campagne des midterms a également été marquée par des conversions à plus de pragmatisme de la part de candidats républicains dans le Colorado ou l’Iowa.

Multiples chapelles

Les tiraillements entre la pureté idéologique conservatrice et les accommodements avec des transformations sociales irréversibles fragilisent les ambitions des républicains en ce qu’ils risquent de les couper d’électorats sans lesquels aucune victoire n’est possible à l’élection présidentielle : les femmes, les Latinos, alors que le vote noir ne figure pas parmi leurs objectifs depuis le succès de Barack Obama. La seule réponse politique trouvée pour l’instant par les républicains, intenable à long terme, est l’endiguement de ces corps électoraux défavorables : plusieurs Etats ont en effet adopté des procédures dissuadant le vote (suppression de la possibilité de s’inscrire le jour du vote, réduction de la période prévue pour le vote anticipé, imposition de nouveaux documents pour pouvoir voter).

Fragmenté en de multiples chapelles qui tenteront toutes de pousser le candidat le plus proche de leur centre de gravité au cours des prochaines primaires, le Grand Old Party souffre de l’absence de figures politiques capables de forger des consensus favorables au pays : autrement dit, d’une vision à long terme. Le speaker John Boehner ou le sénateur du Kentucky Mitch McConnell, s’il devient le patron du Sénat, semblent incapables de jouer un tel rôle. Plaidant sans relâche pour le moins d’Etat, le camp républicain a réussi au-delà de ses espérances pour ce qui concerne sa propre organisation. A ses dépens.

http://www.lemonde.fr/international/article/2014/10/30/la-droite-americaine-en-panne-d-idees_4515355_3210.html
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Ce mythe du grand méchant surpuissant Tea Party dans les journaux français est vraiment exaspérant.

 

Plus facile pour eux de parler de ça que des néocons qui viennent de l'extrême gauche.

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