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Plus précisément, ce qui fait fuir les investisseurs, ce n'est ni la reglementation ni la fiscalité en premier, c'est l'instabilité fiscale et reglementaire.

 

Quand la reglementation est stable, s'y conformer est un investissement, dont on peut calculer la rentabilité.

Quand la fiscalité est stable, c'est un cout prévisible, on choisis en connaissance de cause suite à un benchmark multi-parametres qui inclus la fiscalité parmi des milliers d'autres facteurs de production.

 

Par contre, quand c'est un probleme de volatilité fiscale et reglementaire, c'est le risque contre lequel il n'y a pas de couverture dont le prix soit estimable sur le marché.

 

Contre tout le reste, on peut s'assurer, contre l'état, il n'y a pas d'assurences, il est impossible de prévoir.

 

L'instabilité fiscale et réglementaire quand elle va dans le sens de plus de réglementations et d'impôts.

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  • 3 weeks later...

L'instabilité fiscale et réglementaire quand elle va dans le sens de plus de réglementations et d'impôts.

 

Du point de vue de l'économie "en général", oui, du point de vue de l'investisseur, la stabilité fiscale et réglementaire peut etre préfèrable à l'instabilité à la baisse, parce que si il souhaite investir malgré la réglementation, c'est parce que son activité est rentable en prenant en compte les obstacles.

 

Si tu fait sauter les obstacles, son rendement augmente à court terme, mais ça permet à des concurrents de venir s'installer la ou auparavent ils n'étaient pas rentables, ce qui au final va baisser le rendement de l'investisseur initial.

 

Du point de vue de celui qui achete le produit, évidemment que l'arrivée de concurrence à plus bas prix est une bonne nouvelle, du point de vue de l'investisseur initial, c'est un risque, contre lequel il faut se couvrir, donc plus l'environnement est stable, moins le risque lui coute.

 

Non, les investisseurs ne sont pas forcément libéraux, et quand ils le sont, ça n'est pas forcément plus important pour eux que leur portefeuille personnel, truc de malade :D

 

Si les patrons étaient en général pour la libéralisation de leurs activités, ça se saurait, et franchement, on ne serait pas autant dans la merde.

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  • 2 weeks later...

 

Comment percevez-vous l’arrivée le Netflix, le site américain de streaming payant  ?

F. B. – Je suis convaincue que le cinéma et l’audiovisuel français peuvent sortir grandis de la dynamisation de ce secteur encore émergent en France. Comme le disait le philosophe Alain : « Le pessimisme est d’humeur, l’optimisme de volonté. » Mais le CNC ne se laissera pas imposer un time to market par Netflix, Amazon, Google et les autres acteurs internationaux.

Quel rôle joue le CNC face à la mondialisation ? Chef d’orchestre, organisateur, régulateur ?

F. B. – Un peu tout cela. Son rôle est de créer un écosystème favorable à la diversité culturelle et à la structuration industrielle. Le moment clé que nous vivons révèle toute la pertinence de l’institution. Nous devons accompagner le changement, être un partenaire serein et volontaire. Et nous sommes nous-mêmes en mouvement, pour adapter nos dispositifs et inventer une nouvelle politique publique numérique. C’est une des forces du CNC que de poser des objectifs de création et de diversité, tout en organisant la solidarité de toute la filière. C’est essentiel pour que la création de valeur ne soit pas captée par une poignée d’opérateurs avec les effets néfastes qu’aurait cette concentration.

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/medias/interview/0203460886672-frederique-bredin-le-cnc-ne-laissera-pas-netflix-faire-sa-loi-668696.php

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La chronologie des médias est probablement l'une des pires réglementations dans le milieu cinématographique : elle n'a pour but que la protection d'un cinéma subventionné. Encore une fois, on protège le lobby du cinéma, alors que dans le même temps, ils continuent de se plaindre du téléchargement illégal. Mais on n'est pas à une contradiction près.

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Le précis des aides à la presse versées par l'Etat Français en 2013.

 

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/05/06/aides-a-la-presse-qui-touche-le-plus_4411883_4355770.html

Ce qui m'impressionnera toujours, c'est le pognon qu'arrive à avoir Télérama (et Télé 7 jours).

 

J'arrive même pas à trouver une seule justification. Sérieusement.

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Le plus choquant reste quand même l'aide apportée à ce journal immonde qu'est l'Humanité. L'aide par exemplaire est énorme sachant le prix auquel c'est commercialisé. Mais bon, quand on connait le pouvoir de nuisance de l'entourage de l'humanité...

 

L'état cherche des milliards. Ils peuvent déjà trouver 700 millions, dans ce secteur.

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et valeurs actuels non ?

Et tous en fait.

Une presse libre ne passe pas par une presse subventionnée. Cette logique implacable devrait être appliquée sur-le-champ.

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http://www.culturecommunication.gouv.fr/Actualites/Dossiers/Aides-a-la-presse-les-chiffres-2012
En 197ème place : l'Hebdo des socialistes qui reçoit tout de même 163 000 euros ! Et le Canard enchaîné en 92ème place, moi qui croyait qu'il se vantait de leur mode de financement...
Il existe un journal papier qui ne touche pas de subvention et qui marche bien ?

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Le Canard ne bénéfice que de l'aide postale qui est automatique (et c'est autant une subvention qui bénéficie à La Poste en fait) donc ils n'ont pas vraiment tort.

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  • 2 weeks later...

 

D'après l'hebdomadaire satirique, Aurélie Filippetti aurait alerté samedi les services de Matignon d'un très grave problème : sa possible montée des marches au Festival de Cannes en même temps que sa collègue du gouvernement Fleur Pellerin. La ministre de la Culture avait en effet prévu de monter les marches samedi 17 mai à l'occasion de la projection du "Saint Laurent" de Bertrand Bonello. Elle avait d'ailleurs prévu pour l'occasion de s'habiller avec un smoking signé justement Yves Saint Laurent.

"Comme le petit personnel"

Problème selon "Le Canard Enchaîné", Fleur Pellerin avait elle aussi l'intention de monter les marches ce soir-là pour le même film. La secrétaire d'Etat au Commerce extérieur était en effet à Cannes pour "promouvoir l'exportation des films français" selon "Le Canard". Et le journal satirique de raconter : "Filippetti n'a pas hésité : elle a saisi Matignon. Et la directrice de cabinet de Valls est intervenue auprès du directeur de cabinet de Fleur Pellerin. Résultat : la secrétaire d'Etat a été privée des marches et des flashs. Elle a pu assister à la projection, mais en passant par l'entrée de service. Comme le petit personnel..." conclut le journal.

http://www.ozap.com/actu/festival-de-cannes-aurelie-filippetti-ejecte-fleur-pellerin-du-tapis-rouge/453364

 

C'est vraiment pathétique

 

4461040-aurelie-filippetti-en-smoking-lo

:online2long:

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