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Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2


Mathieu_D

Messages recommandés

Après les entreprises sociales, voila venu les brocante sociales à mon unif. Il y a aucune différence avec une brocante normal, si ce n'est que c'est des étudiants.

En fait social ça veux dire en payant moins de taxes, j'avais pas remarqué. Bon, ma futur boite c'est Social Electric qui reverse 0.1% du CA a un projet humanitaire au togo, je vais voir ce que je peux grappiller.

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Nonossage requis.

 

Ah mais non. Rien de tel que lire un site comme l'Huma pour bien commencer la journée. C'est le journal des bonnes nouvelles : privatisation imminente de ceci ! arrivée de l'ultra-libéralisme là ! affaiblissement du pouvoir de l'Etat là-bas !

 

Malheureusement, c'est aussi le journal des fausses joies, parce que bien souvent ils annoncent des choses qui ne se font pas. :(

 

On compense avec le plaisir de leur siphonner de la bande passante avec AdBlock d'activé, alors qu'ils n'ont évidemment pas un sous pour leur site. :D

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"A partir du moment où l'on se donne comme objectif prioritaire un démantèlement de la zone Euro, une stratégie de large union, y compris avec des forces de droite, apparaît non seulement comme logique mais aussi nécessaire..."

 

"A terme, la question des relations avec le Front National, ou avec le parti issu de ce dernier, sera posée."

 

"Il faut cependant avoir conscience que la constitution des «Fronts de Libération Nationale*» pose de redoutables problèmes. Ils devront inclure un véritable programme de «salut public» que les gouvernements issus de ces «Fronts» auront mettre en œuvre non seulement pour démanteler l'Euro mais aussi pour organiser l'économie le «jour d'après»"

 

Jacques Sapir, révolutionnaire national-bolchévique

 

Même l'Huma en mange son chapeau

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Après les entreprises sociales, voila venu les brocante sociales à mon unif. Il y a aucune différence avec une brocante normal, si ce n'est que c'est des étudiants.

En fait social ça veux dire en payant moins de taxes, j'avais pas remarqué. Bon, ma futur boite c'est Social Electric qui reverse 0.1% du CA a un projet humanitaire au togo, je vais voir ce que je peux grappiller.

 

Oh, copain ! Je travaille chez Social Electric aussi ! 

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Jacques Sapir, révolutionnaire national-bolchévique

 

Même l'Huma en mange son chapeau

On ne peut pas lui enlever le mérite de la cohérence. C'est un peu autre chose que l' "intelligence politique" d'un Pierre Laurent qui explique que lorsque les grecs votent non à un référendum, ils expriment leur adhésion à l'UE, ou d'un Mélenchon qui fustige Tsipras de s'être allié avec les souverainistes de droite pour prendre le pouvoir.

Sapir invite en fait l'extrême-gauche à sortir de son sectarisme pour pouvoir gouverner. Vu la façon dont il se fait traîner dans la boue, pas de danger en vue, ça n'arrivera pas.

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Mais non, au contraire. C'est si tu ne connais pas tes adversaires que tu mérites un nonossage.

 

Dans cette lignée, je vous présente Pierre Sarton du Jonchay.

 

Je ne serais pas tellement surpris si un jour j'apprenais qu'en fait il s'agissait du nom d'un algorithme générant des phrases aléatoirement.

 

Extrait choisi d'un de ses derniers articles (sur une masse considérable du même accabi)

 

L’explosion de l’endettement par rapport à l’économie réelle du travail effectivement productif est mécanique dans un régime de non-politique du crédit et de la monnaie. La rentabilité du capital financier se simule facilement sans travail. Il faut et il suffit que la dette croisse plus vite que le prix du travail effectivement réalisé dans la consommation réelle. Mais pour que les gens réels ne se rendent pas compte de la sous-évaluation de leur travail dans ce qu’ils consomment, l’unification du marché financier au-dessus des États divisés et concurrents empêche la consolidation mondiale de tous les passifs financiers par les actifs réels objectifs. La banque « off shore » logée dans les paradis fiscaux sert à « inventer » des actifs dans les « prêts » que les banques comptabilisent sur le non-Droit. Contre-garanties par les États officiels pour leurs emprunts à de vrais déposants, les banques prêtent à des entités virtuelles exonérées d’obligation réelle. La banque libérale comptabilise virtuellement le capital en adossant de vrais dépôts à des dettes qui n’engagent personne en réalité.

 

Le résultat de la financiarisation libérale du capital est la multiplication des pays, des entreprises et des personnes physiques explicitement et massivement insolvables. Le krach des primes de crédit réel négatives, les « subprimes » à prix artificiellement positif, a mis à nu la fiction de la finance sans état de droit. Les personnes continuent de travailler pour consommer mais sans possibilité d’obtenir de leur travail présent et futur le prix de ce que la mécanique libérale de l’endettement leur permet de demander. Comme la liquidation des entreprises n’est pas suffisante pour recrédibiliser le solde des dettes déclarées remboursables, le système fait pression sur les sociétés politiques pour qu’elles renient leurs obligations juridiques assurantielles à l’égard des personnes économiquement faibles. Les capacités personnelles individuelles et collectives de travail n’augmentent plus ou se détruisent.

(badurl) http://www.pauljorion.com/blog/2015/09/01/inverser-par-la-socialite-politique-le-trou-noir-de-la-finance-liberale-par-pierre-sarton-du-jonchay/ (badurl)

 

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L’explosion de l’endettement par rapport à l’économie réelle du travail effectivement productif est mécanique dans un régime de non-politique du crédit et de la monnaie. La rentabilité du capital financier se simule facilement sans travail. Il faut et il suffit que la dette croisse plus vite que le prix du travail effectivement réalisé dans la consommation réelle. Mais pour que les gens réels ne se rendent pas compte de la sous-évaluation de leur travail dans ce qu’ils consomment, l’unification du marché financier au-dessus des États divisés et concurrents empêche la consolidation mondiale de tous les passifs financiers par les actifs réels objectifs. La banque « off shore » logée dans les paradis fiscaux sert à « inventer » des actifs dans les « prêts » que les banques comptabilisent sur le non-Droit. Contre-garanties par les États officiels pour leurs emprunts à de vrais déposants, les banques prêtent à des entités virtuelles exonérées d’obligation réelle. La banque libérale comptabilise virtuellement le capital en adossant de vrais dépôts à des dettes qui n’engagent personne en réalité.

Le résultat de la financiarisation libérale du capital est la multiplication des pays, des entreprises et des personnes physiques explicitement et massivement insolvables. Le krach des primes de crédit réel négatives, les « subprimes » à prix artificiellement positif, a mis à nu la fiction de la finance sans état de droit. Les personnes continuent de travailler pour consommer mais sans possibilité d’obtenir de leur travail présent et futur le prix de ce que la mécanique libérale de l’endettement leur permet de demander. Comme la liquidation des entreprises n’est pas suffisante pour recrédibiliser le solde des dettes déclarées remboursables, le système fait pression sur les sociétés politiques pour qu’elles renient leurs obligations juridiques assurantielles à l’égard des personnes économiquement faibles. Les capacités personnelles individuelles et collectives de travail n’augmentent plus ou se détruisent.

Five-Headache-Triggers-That-Cause-You-Pa

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Vu sur fb :


 

 

Vint ensuite, la sonorisation. C'est à dire l'amplification d'instruments déjà amplifiés. Concept absurde. La seule raison d'amplifier des amplis, c'est de jouer encore plus fort, pour être entendu dans des endroits trop grands pour l'amplification "naturelle" des instruments, et pas du tout conçus dans cette optique : des stades, des gymnases, des salles des fêtes… Mais dans quel but ?

Pour le pognon. Parce qu'il est plus rentable de jouer 1 fois devant 10000 personnes, que 100 fois devant 100 pelés. Et c'est moins fatigant. La sonorisation de concert, n'est que le résultat d'une recherche perpétuelle de profits, d'un productivisme typique du vingtième siècle, tellement imprégné, matraqué, par l'idéal libéral et la notion de rentabilité outrancière que personne ne remet jamais en question toutes ces choses visant à transformer en loisir de masse la moindre activité culturelle ou artistique. On ne parle pas de l'industrie du disque pour rien.

[..]

Je n'ai pas de solutions. C'est le système. C'est comme ça. Si tous les artistes ne jouaient que dans des petites salles, les spéculateurs se rueraient sur les tickets pour les revendre le triple. Encore un des sales travers du capitalisme. Nous sommes tous complices. Mais vous, qui allez dans des stades, des grandes salles ou des festivals concentrationnaires, un peu plus quand même. L'argent est le maître, et le public préfère subir la médiocrité que boycotter. Payer une fortune (voire vendre un rein ou un bras) pour assister au spectacle navrant de multi-millionnaires sautillant sur un écran placé à l'autre bout d'un stade) plutôt que de dire non. Le plus terrible reste que ce public ne réalise même pas qu'on lui vend de la merde, hors de prix qui plus est.

http://inoxydable.over-blog.com/article-la-sonorisation-de-concert-symbole-liberal-d-un-capitalisme-galopant-ou-le-grand-mensonge-musical-de-ces-60-dernieres-annees-5097423

 

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quand des cons essayent de penser ca fait toujours mal

 

Haha, allez, comme il est clair que j'ai gagné mon pari contre Tout38 et que je n'aurais jamais mes bières, je vais faire un échange de citation avec toi :D

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Haha, allez, comme il est clair que j'ai gagné mon pari contre Tout38 et que je n'aurais jamais mes bières, je vais faire un échange de citation avec toi :D

Bah si tu veux parier autre chose on peut.

 

Je parie sur Lyon devant la Gantoise après le 1er tour de la C1.

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Haha, allez, comme il est clair que j'ai gagné mon pari contre Tout38 et que je n'aurais jamais mes bières, je vais faire un échange de citation avec toi :D

 

Hepepep, l'année n'est pas encore finie :icon_non:

 

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Ah putain, j'ai du le droit à un couplet d'un des stagiaires socialistes sur Michel Combe. Il est analyse financier et il ose dire qu'il n'a rien fait alors qu'il a valorisé 16Mds une boîte autrefois en quasi-faillite.

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