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Raspail évoque un village paumé dans la forêt de Katlinka près de Smolensk. Il a recueilli le témoignange d'un ancien de la LVF

Non, Raspail n'est pas un gros droitard, à part ça. ;)

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J'en ai discuté avec un milouf récemment. Une armée est une structure de commandement qui fait que le nombre d'encadrants dépend du nombre de personnes à encadrer et le ratio bouge assez peu. En France on a l'impression que l'encadrement est devenu pléthorique car on a diminué le nombre d'unité et de personnels. De fait on a fait baisser le nombre d'encadrants. Le soucis est que l'on a de plus en plus recours à du personnel extérieur, pas forcément combattant mais tout de même. Mon interlocuteur me disais que le soucis est que ces personnes externes doivent être encadrées et que la baisse d'encadrants fait que l'armée est plutôt en sous effectif et cela avait posé de graves problèmes lors des récentes interventions en Afrique.

Dans mon bouquin c'est le nombre de généraux qui est surtout critiqué. Et les opérationnels encadrants, ça n'est pas étonnant qu'il en manque, vu que de nombreuses unités ne sortent quasiment jamais de la caserne ....

Sinon là, je suis en train de lire "le fabuleux maurice et ses rongeurs savants" de pratchet.

Et j'aime bien. En ce moment, j'ai du mal à accrocher aux épisodes standards du disque monde dont l'intrigue est trop ... hum ... "instable" à mon gout.

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Hier j'ai acheté un livre à la fnac, mais la qualité est pas géniale. Certaines pages sont imprimées plus claires que d'autres et c'est pas super agréable pour lire. C'est normal et toléré ou je peux en demander un autre ?

Tente le coup. Y'a rien à perdre à demander.
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 Je viens de lire " Pourquoi les femmes des riches sont belles ?"

 

 9782801117392.png

 

 Derrière ce titre éminemment racoleur, ce trouve un ouvrage scientifique fort intéressant tout en restant très accessible.

 

 Ne pensez pas découvrir ici des conclusions extraordinaires, les hommes sont bien attirés par les belles femmes, et les femmes attirées par le "statut social". 

 En soi, rien que tout le monde ne sait pas déjà d'instinct. 

 

 Mais là où le livre est intéressant, c'est dans les explications de ces faits et de bien d'autres de la vie de couple en général. L'attirance au final, ne constitue qu'une partie du jeu. Et au-delà même du couple, c'est la société toute entière qui est analysé dans ce livre. 

 

 On apprends des trucs comme :

 - ce sont les femmes qui ont milité pour le retour d'une voile en Iran pour se donner un avantage 

 - l'interdiction de la prostitution vient généralement des femmes car elles jugent ça comme de la concurrence déloyale

 - Les révolutions sont généralement le fait de peuples jeunes, d'ailleurs les pays violents sont généralement ce genre de pays. 

 - notre société occidentale moderne est un subtil mélange entre monogamie et polygamie, on parle de monogamie à répétition. En gros, on ne couche qu'avec une femme à la fois, mais on en enchaîne beaucoup plus au cours d'une vie - et pareil du côté des femmes bien sûr. Problème, tout ceci risque de provoquer beaucoup de violence car comme avec la polygamie, les plus "haut placés" ont le plus de fille. Ce qui crée un manque pour les autres et entraîne frustration et jalousie. Société à risque donc. 

 

 Bref tout ceux qui aiment bien ce genre de bouquin traitant de psychologique évolutionniste, de gènes, etc, etc, trouveront leur compte. Je conseille donc. 

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 Je viens de lire " Pourquoi les femmes des riches sont belles ?"

 

 9782801117392.png

 

 Derrière ce titre éminemment racoleur, ce trouve un ouvrage scientifique fort intéressant tout en restant très accessible.

 

 Ne pensez pas découvrir ici des conclusions extraordinaires, les hommes sont bien attirés par les belles femmes, et les femmes attirées par le "statut social". 

 En soi, rien que tout le monde ne sait pas déjà d'instinct. 

 

 Mais là où le livre est intéressant, c'est dans les explications de ces faits et de bien d'autres de la vie de couple en général. L'attirance au final, ne constitue qu'une partie du jeu. Et au-delà même du couple, c'est la société toute entière qui est analysé dans ce livre. 

 

 On apprends des trucs comme :

 - ce sont les femmes qui ont milité pour le retour d'une voile en Iran pour se donner un avantage 

 - l'interdiction de la prostitution vient généralement des femmes car elles jugent ça comme de la concurrence déloyale

 - Les révolutions sont généralement le fait de peuples jeunes, d'ailleurs les pays violents sont généralement ce genre de pays. 

 - notre société occidentale moderne est un subtil mélange entre monogamie et polygamie, on parle de monogamie à répétition. En gros, on ne couche qu'avec une femme à la fois, mais on en enchaîne beaucoup plus au cours d'une vie - et pareil du côté des femmes bien sûr. Problème, tout ceci risque de provoquer beaucoup de violence car comme avec la polygamie, les plus "haut placés" ont le plus de fille. Ce qui crée un manque pour les autres et entraîne frustration et jalousie. Société à risque donc. 

 

 Bref tout ceux qui aiment bien ce genre de bouquin traitant de psychologique évolutionniste, de gènes, etc, etc, trouveront leur compte. Je conseille donc. 

 

Le titre me fait penser à ce joyeux passage de "Voyage au bout de la nuit" de L.-F. Céline :

 

« Les riches n’ont pas besoin de tuer eux-mêmes pour bouffer. Ils les font travailler les gens comme ils disent. Ils ne font pas le mal eux-mêmes, les riches. Ils payent. On fait tout pour leur plaire et tout le monde est bien content. Pendant que leurs femmes sont belles, celles des pauvres sont vaines. C’est un résultat qui vient des siècles, toilettes mises à part. Belles mignonnes, bien nourries, bien lavées. Depuis qu’elle dure la vie n’est arrivée qu’à ça. Quant au reste, on a beau se donner du mal, on glisse, on dérape, on retombe dans l’alcool qui conserve les vivants et les morts, on n’arrive à rien. C’est bien prouvé. Et depuis tant de siècles qu’on peut regarder nos animaux naître, peiner et crever devant nous sans qu’il leur soit arrivé à eux non plus jamais rien d’extraordinaire que de reprendre sans cesse la même insipide faillite où tant d’autres animaux l’avaient laissée. Nous aurions pourtant dû comprendre ce qui se passait. Des vagues incessantes d’êtres inutiles viennent du fond des âges mourir tout le temps devant nous, et cependant on reste là, à espérer des choses... Même pas bon à penser la mort qu’on est. Les femmes des riches biens nourris, bien menties, bien reposées elles, deviennent jolies. Ça c’est vrai. Après tout ça suffit peut-être. On ne sait pas. Ça serait au moins une raison pour exister »

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Le titre me fait penser à ce joyeux passage de "Voyage au bout de la nuit" de L.-F. Céline :

 

"Les femmes des riches biens nourris, bien menties, bien reposées elles, deviennent jolies. Ça c’est vrai. Après tout ça suffit peut-être. On ne sait pas. Ça serait au moins une raison pour exister »

 

 Phrase qui sert d'épilogue au livre ;)

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Ce qui nous fait remonter d'un siècle en arrière ce coup ci. 

Cette diatribe sur les riches me parait parfaitement anachronique, si le bouquin est dans le même ton, ça promet.

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ce joyeux passage de "Voyage au bout de la nuit"

 

J'aime bien ce passage. Enfin, indirectement.

 

Au fond de moi, parmis d'autre, il y a un personnage qui aurait envie de dire ce genre de trucs et de dégeuler de mépris sur le monde en permanence. Mais paradoxalement, le fait de lire cette expression, claire et brutale, loin de conforter ce personnage, ça l'éloigne, lui donne l'aspect d'un étranger de passage.

 

Pour le dire autrement c'est comme si, au lieu de foncer à tatons dans un piège, celui-ci était soudain révélé en entier, donnant la possibilité de l'éviter.

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...

 

- monter mon cabinet d'ici quelques années ;

- comprendre mes (éventuels) futurs clients entrepreneurs, leurs galères concrètes & les divers aspects de leur activité (donc ne pas me limiter au juridique pur).

....

 

Je sais que ce n'est pas ta question, mais à mon avis, si tu veux monter un cabinet d'avocat dans un domaine particulier, il faut rencontrer deux types de personnes, des avocats qui ont montés un cabinet pour savoir comment on fait concrètement, et de l'autre, tes futurs clients, pour savoir quels sont leurs emmerdements.

Les bouquins c'est bien, mais c'est long et faut faire le tri des infos utiles, une rencontre avec la bonne personne, et ton projet peut avancer deux fois plus vite.

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...

 

Pour le dire autrement c'est comme si, au lieu de foncer à tatons dans un piège, celui-ci était soudain révélé en entier, donnant la possibilité de l'éviter.

 

Ne serait ce pas là la fonction cathartique de la littérature ?

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Ne serait ce pas là la fonction cathartique de la littérature ?

 

Houlà. Ne compte pas sur moi pour donner une quelconque fonction précise à la littérature en général. A chacun son regard (mouvant) sur les oeuvres, selon leurs particularités.

 

Et puis, à vrai dire, "cathartique" ça fait parti de ces grands mots dont je comprends vaguement le sens, mais qui me laissent un sentiment de malaise, de flou "négatif", tels que je préfère ne pas m'y confronter.

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Je viens de terminer ces deux ouvrages:

 
Islam et Christianisme, comprendre les différences de fond J'ai beaucoup aimé. Le propos de l'auteur est d'exposé les différences fondamentales entre Islam et Christianisme afin de permettre de lever les ambiguïtés dû à la confusion faite sur les sujets abordés. Il s'agit d'un spécialiste du dialogue interreligieux et il a remarqué que le dialogue ne sert souvent à rien car l'on évite les sujets qui fâches et que l'on préfère resté dans ambiguïté des termes et concepts abordés. Pour l'auteur, si l'on veut un vrai dialogue il faut être clair sur ce qui nous sépare pour que l'on puisse se comprendre et se respecter. Bref j'ai beaucoup appris dans ce livre sur l'Islam et le dialogue interreligieux.

 

Le défi migratoire : L'Europe ébranlée    J'ai appris l'existence de ce livre sur Contrepoints https://www.contrepoints.org/2016/01/12/235193-le-defi-migratoire  Très intéressant et lucide sur les problèmes posés par la vague migratoire migratoire. Je rejoins l'auteur sur ses solutions. Je recommande.

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Sauriez-vous si il existe une version ebook de la révolte des masses (epub ou tout truc acceptable par le Kobo) ? J'ai bien trouvé la version pdf mais c'est souvent un peu lourdingue sur les liseuses et j'ai pour l'instant la flemme de passer chez mon revendeur de vieux livres pour farfouiller dans ses réserves.

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Ce qui nous fait remonter d'un siècle en arrière ce coup ci. 

Cette diatribe sur les riches me parait parfaitement anachronique, si le bouquin est dans le même ton, ça promet.

oui et non

 

Voyage au bout de la nuit c'est l'histoire d'un paumé cynique et lache qui se confronte au monde. Il dit du mal d'absolument tout le monde sans exception, et ça concerne aussi bien les oppresseurs que les oppressés. C'est assez spécial on va pas se mentir, mais c'est pas au régal des vermines non plus.

 

Je suis en gros à la moitié là, pour l'instant y'a un seul personnage dont il dit du bien, c'est Alcide.

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Voyage au bout de la nuit

 

Je suis en gros à la moitié là, pour l'instant y'a un seul personnage dont il dit du bien, c'est Alcide.

Moui, je l'ai lu il y a quelque temps, c'est correct jusqu'au deuxième tiers, mais à la fin j'ai fait une overdose. C'est vraiment trop sombre, sans la moindre lueur d'espoir. Le cynisme je peux supporter, mais je ne suis pas fan du style (que certains portent aux nues).

Et ce n'est pas une lecture marquante, en tout cas mon souvenir du texte s'effrite vite et je n'ai pas ressenti ou appris grand-chose en le lisant.

Sinon:

Je viens de finir The Political Thought of William of Ockham, d'Arthur Stephen McGrade. Je suis assez déçu. Un paquet d'auteurs (Alain Laurent, De Benoist, Michel Villey, etc), présentent Ockham comme un grand précurseur du libéralisme, un penseur "révolutionnaire" qui a ébranlé les fondements de l'ordre féodal chrétien... Alors que ce qu'en dit McGrade est tout à fait modéré (il suit en cela Étienne Gilson). La modernité d'Ockham est toute relative, il n'est ni démocrate, ni individualiste, ni contractualiste. McGrade montre aussi que le nominalisme métaphysique d'Ockham ne sous-tend pas ses conceptions politiques (anti-papistes), comme on le dit souvent.

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Moui, je l'ai lu il y a quelque temps, c'est correct jusqu'au deuxième tiers, mais à la fin j'ai fait une overdose. C'est vraiment trop sombre, sans la moindre lueur d'espoir. Le cynisme je peux supporter, mais je ne suis pas fan du style (que certains portent aux nues).

je trouve pas que c'est sans lueur d'espoir, c'est juste que c'est terriblement pessimiste. Maintenant, ça l'empêche aps de dire ce qui est beau ou bien dans l'existence, la preuve avec Alcide ou avec les femmes.

Lui même se rend compte qu'il est souvent plus humain que ce qu'il voudrait, par exemple comme lorsqu'il s'occupe du petit bébert.

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apparemment, l'info se suffit à elle même

soit ph11 ne lit jamais, et c'est donc un évènement qu'il ait finit un roman

soit ph11 est une référence littéraire, et le fait qu'il mentionne un roman est aussi un évènement

 

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