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Au passage, j'aime bien le premier commentaire sur l'article du Figaro, caricatural au possible de ce que l'on attend d'un lecteur du Figaro...

 

C'est typiquement le genre de truc auquel il fait s'attendre avec une médecine socialisée. Une fois que certains passent l'étape "tout est gratuit", ils comprennent qu'ils vont payer pour les dérives réelles ou supposées de leurs voisins. Et le puritanisme médical s'ensuit.

 

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Pas demain la veille, la légalisation. Dans ma petite ville, un article de S.O sur une saisie hallucinante de drogues à la suite d'une descente dans le lycée avec chiens renifleurs et flicaille : 140 jeunes marqués par les chiens, 6 avec une boulette de shit ou de la beuh et deux mineurs en gav pour une quantité jamais vue puisque destinée à la revente aux copains... donc un trafic international

Pathétique

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 Intéressant, surtout quand on voit que les banques n'exceptent pas l'argent de ces magasins, le cannabis étant toujours illégal au niveau fédéral.

http://www.nytimes.com/2014/01/12/us/banks-say-no-to-marijuana-money-legal-or-not.html?_r=0

 

Au passage, j'aime bien le premier commentaire sur l'article du Figaro, caricatural au possible de ce que l'on attend d'un lecteur du Figaro...

 

 Car ce fait essentiel est passé sous silence : les consommateurs de cannabis fragilisés par leur addiction possèdent une santé plus fragile. Leur consommation de médicaments et de services médicaux font exploser les dépenses. Quant aux accidents sur les routes, ils se multiplieront pour la simple raison que cocktail cannabis alcool multiplie par 14 le risque d’accidents mortels – site de la prévention routière.

 

 

:icon_pong:  :icon_ptdr:  :icon_ptdr:

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D'expérience, les gens que j'ai connus qui ont commencé à fumer durant leur adolescence avaient plus de chance de développer du gauchisme aigu, mais surtout d'être des loques.

 

Attendez ah zut, je suis libéral je peux pas réprouver le cannabis, sinon je fais le jeu du marxisme culturel...

euh non les marxistes sont pour la légalisation, euh le jeu du fascisme culturaaaaarrrghh

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D'expérience, les gens que j'ai connus qui ont commencé à fumer durant leur adolescence avaient plus de chance de développer du gauchisme aigu, mais surtout d'être des loques.

 

Attendez ah zut, je suis libéral je peux pas réprouver le cannabis, sinon je fais le jeu du marxisme culturel...

euh non les marxistes sont pour la légalisation, euh le jeu du fascisme culturaaaaarrrghh

 

Qu'est ce que tu appelles commencer à fumer ? Quelle dose ? Combien de pétards ?

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D'expérience, les gens que j'ai connus qui ont commencé à fumer durant leur adolescence avaient plus de chance de développer du gauchisme aigu, mais surtout d'être des loques.

Mmmh je dirais plutôt le contraire

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D'expérience, les gens que j'ai connus qui ont commencé à fumer durant leur adolescence avaient plus de chance de développer du gauchisme aigu, mais surtout d'être des loques.

 

J'ai moi aussi eu quelques amis qui sont tombés dedans quand ils étaient petits (début de consommation au collège, puis plusieurs joints par jour au lycée). Je ne sais pas vers quel bord politique ils penchaient, mais la plupart étaient très attirés par les théories du complot, les Illuminatis et les "grandes sociétés corporatistes qui contrôlent le monde":

 

Je me suis toujours demandé à quoi ce genre de paranoïa était liée; conséquence de la substance elle même; "culture" des jeunes fumant du cannabis ou conclusion logique après avoir vu la diabolisation qui est faite du produit malgré tous les effets bénéfiques démontrés.

 

Je n'ai à ce jour pas encore trouvé de réponse. 

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Je penche pour la deuxième.

Quand un jeune est attiré par la consommation du cannabis, il est attiré par toute une nébuleuse qui ne se limite pas seulement au cannabis : on peut parler, peut-être, je pense, d'une certaine culture cannabis, forme de subculture très jeune.

D'ailleurs il suffit de voir le nombr de rappers, chanteurs de reggae, etc, qui s'inscrivent largement dans cette mouvance. J'ai parfois l'impression quand j'écoute des chansons de ce genre que fumer du cannabis peut presque devenir un mode de vie.

Baah, l'un des exemples les plus connus, c'est peut-être... tryo ? :lol:

 

Bon je spécule.

Mais globalement, quand on propose la légalisation du cannabis (du moins dans les milieux libertariens), on fait l'impasse sur le fait que le cannabis reste de la grosse merde.

Des études ont prouvé un impact négatif sur le QI durant l'adolescence, avec le shit c'est coupé le plus souvent avec des bidules affolants. De même, "fumer pour se détendre" c'est quand même une excuse un peu démente, bien peu de buveurs de bière ou de whiskey se "bourrent la gueule pour se détendre", et si c'est le cas c'est qu'il y a un problème... L'usage de psychotropes, globalement, m'a toujours rendu un peu perplexe. Je vois pas ce qu'il y a de cool à se défoncer la tête, à rire pour rien, etc.  :jesaispo: J'avoue que j'ai un réflexe très randien vis-à-vis de ça. J'ai du mal à être tolérant avec les drogués. Certains sont mes amis. Et certains ont payé le prix de leur consommation dans leur vie.

J'ai fréquenté durant ma vie une personne qui fumait du cannabis matin et soir, c'était pas joyeux à voir.

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Les problèmes liés au cannabis sont essentiellement liés à la coupe. Sinon c'est quand même pas bien fort. Mais dans un régime de prohibition je me demande si le consommateur n'est pas plus dedans que dans un régime libre.

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Je penche pour la deuxième.

Quand un jeune est attiré par la consommation du cannabis, il est attiré par toute une nébuleuse qui ne se limite pas seulement au cannabis : on peut parler, peut-être, je pense, d'une certaine culture cannabis, forme de subculture très jeune.

D'ailleurs il suffit de voir le nombr de rappers, chanteurs de reggae, etc, qui s'inscrivent largement dans cette mouvance. J'ai parfois l'impression quand j'écoute des chansons de ce genre que fumer du cannabis peut presque devenir un mode de vie.

Baah, l'un des exemples les plus connus, c'est peut-être... tryo ? :lol:

Bon je spécule.

Mais globalement, quand on propose la légalisation du cannabis (du moins dans les milieux libertariens), on fait l'impasse sur le fait que le cannabis reste de la grosse merde.

Des études ont prouvé un impact négatif sur le QI durant l'adolescence, avec le shit c'est coupé le plus souvent avec des bidules affolants. De même, "fumer pour se détendre" c'est quand même une excuse un peu démente, bien peu de buveurs de bière ou de whiskey se "bourrent la gueule pour se détendre", et si c'est le cas c'est qu'il y a un problème... L'usage de psychotropes, globalement, m'a toujours rendu un peu perplexe. Je vois pas ce qu'il y a de cool à se défoncer la tête, à rire pour rien, etc. :jesaispo: J'avoue que j'ai un réflexe très randien vis-à-vis de ça. J'ai du mal à être tolérant avec les drogués. Certains sont mes amis. Et certains ont payé le prix de leur consommation dans leur vie.

J'ai fréquenté durant ma vie une personne qui fumait du cannabis matin et soir, c'était pas joyeux à voir.

Tu devrais regarder Super high me.

Sinon : ce n'est pas cool de rire pour rien, c'est drôle.

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Ouais la coolitude c'est une image extérieure. La drôlerie, c'est personnel.

 

N'empêche sur le fond, je trouve ça con de se droguer mais pour moi on a le droit de le choisir ou pas, y compris suivant les périodes de la vie avec ses hauts et ses bas, ses périodes trash et ses périodes soft. Quelqu'un d'équilibré ne plonge pas dans une conso excessive ou une drogue plus dure comme un rien... Pour les autres, ça se passe avant tout avec les amis ou au psy, s'ils le souhaitent, et sûrement pas au commissariat.

 

Ajoutez à cela une touche de Darwin et l'affaire est réglée.

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J'ai parfois l'impression quand j'écoute des chansons de ce genre que fumer du cannabis peut presque devenir un mode de vie.

780186455_940284.gif

(ceci étant les plus gros consommateurs de cannabis que j'ai connu c'étaient des mecs en école d'ingé qui gagnent maintenant mieux leur vie que moi...)

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  • 4 weeks later...
  • 3 weeks later...

Ah ouais tiens moi ils ont trainé la lose, comme quoi les généralités :D

 

va a saint ouen, pres de la mairie, recherche un type seul qui a l'air de glander à un carrefour. (c'est une sentinelle)

tu t'approches, il va t'indiquer une direction. 

là tu attends et tu regardes qui vient acheter du cannabis. 

tu verras, il y a vraiment de tout qui passe. 

 

c'est un anxiolytique comme les autres drogues légales (anti dépresseurs, somniferes). toute la population française prends régulièrement des anxiolytiques. parce que ça aide à supporter une vie de merde. et la plupart des gens en ont, qu'ils soient des losers ou des winners selon les critères de réussite sociale actuels. 

 

meme l'ex president est un putain de drogué, il a les tiques caricaturaux des cocainomanes. pourtant, on peut difficilement imaginer mieux comme mec qui a réussit sa vie. bah non, il est malheureux, a besoin de coke pour se sentir bien. il a une vie de merde, pourtant il a mieux réussit que 99% des gens : il a des thunes, du pouvoir, des voyages gratuits, et toutes les meufs qu'il veut. au prix de la coke, aucun cocaïnomane ne peut avoir échouer dans sa vie (encore selon les critères argent/pouvoir/sexe). ce sont des bêtes à succès ce type de drogués.

 

le cannabis étant moins cher, et plus facile à se procurer, il y a aussi des losers, contrairement à la coke réservée aux winners. mais le mal est le même : monde de merde. rien à voir avec la réussite ou la motivation.

 

après l'abus de cannabis se revele assez violent, après une dizaine d'années, j'ai vu quelques amis avoir de sévères crises de schyzo. le cannabis est néfaste après dix ans de fumette, pas avant.  les ados qui commencent n'ont rien à craindre, c'est pas ça qui va changer leur resultat scolaire, c'est complètement neutre. En revanche ils vont manger les conséquences dans dix ou quinze ans (échéance bien trop éloignée pour leur faire peur) quand ils auront deja leur premier job. promis. et ce sera l'hopital psychatrique. quelque chose de sérieux, pas une simple attitute de démissionnaire de la vie. blamer le cannabis pour la lose sociale, c'est faux a mon avis. 

 

on prend des drogues pour soulager un mal ou par curiosité. on se drogue parce que la vie part en couille. la vie ne part pas en couilles parce qu'on se drogue. faut pas confondre les causes des conséquences. mais bien sur, se droguer, n'aide pas à améliorer sa vie, au contraire. mais c'est pas la cause primaire de la lose. au pire c'est un negative feedback loop. mais pas la cause initiale. jamais. 

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780186455_940284.gif

(ceci étant les plus gros consommateurs de cannabis que j'ai connu c'étaient des mecs en école d'ingé qui gagnent maintenant mieux leur vie que moi...)

 

:lol:

 

il n'y a pas que les inges

 

welcome-to-glendale.jpg  

 

EA-building.jpg

 

 

en fait c'est exactement comme pour tout le reste.Il y a les drogues hautement fonctionnels et les cas medicaux en detresse...

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  • 3 months later...

Pfffff, je suis allée loin pour le déterrer, celui là !

 

http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/les-consommateurs-de-cannabis-pourront-%C3%A9chapper-au-tribunal-sils-paient-une-amende/ar-AAfyr5M?li=AAaCKnE

 

 

Donc, si je comprends bien, un joint au bec, c'est ok, et par ici la monnaie, un joint et une boulette de shit dans la poche, ça se complique.... À partir de quelle taille, la boulette ?

ou comment trouver du pognon et se poser des questions débiles

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La mortalité par overdose d'opioïdes seront un thème de la campagne électorale US.

Dans de nombreux Etats (36) elle dépasse la mortalité routière.

L'aspect étonnant de cette affaire, c'est que les overdoses incluent notamment des gens accros aux antidouleurs "sur ordonnance". Mais ces mêmes gens sont régulièrement tentés d'acheter directement de l'héroïne dans la rue, ce qui reviendrait 5 fois moins cher que les pillules bien comme il faut, pour un effet essentiellement identique à celui des produits en circulation légale.

http://www.motherjones.com/print/286971

 

 

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La mortalité par overdose d'opioïdes seront un thème de la campagne électorale US.

Dans de nombreux Etats (36) elle dépasse la mortalité routière.

L'aspect étonnant de cette affaire, c'est que les overdoses incluent notamment des gens accros aux antidouleurs "sur ordonnance". Mais ces mêmes gens sont régulièrement tentés d'acheter directement de l'héroïne dans la rue, ce qui reviendrait 5 fois moins cher que les pillules bien comme il faut, pour un effet essentiellement identique à celui des produits en circulation légale.

http://www.motherjones.com/print/286971

 

Quel opiacé ? Le crack non ?

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