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Police, dérive, excès de zèle & toute-puissance étatique


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Perso rien à foutre, elle a joué, elle a perdu. Tu fais pas ça dans le contexte actuel.

 

Je m'inquiète plus de l'absence de l’État sur les rixes OL/OM ou sur les pochoirs Etoile de David dans le 14e et la réponse donnée...

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il y a 50 minutes, Rincevent a dit :

C'est toujours plus facile à dire après coup et derrière son clavier.


Ouais, c’est ca la vie professionnelle. Il faut prendre des décisions et après y a un type derrière son clavier qui juge. 

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il y a 48 minutes, PABerryer a dit :

 

Et s'il y avait eu une vrai bombe des innocents en auraient été victime.


Le pire est toujours possible. On ne demande pas à la police d’envisager le pire mais d’assesser correctement les risques. 

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il y a 36 minutes, Tramp a dit :

Ouais, c’est ca la vie professionnelle. Il faut prendre des décisions et après y a un type derrière son clavier qui juge. 

Non, dans la vie professionnelle, quand il y a un type qui juge (et quand c'est fait de manière fonctionnelle), tu le vois en vrai et il t'expose son opinion en face à face.

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Il y a 3 heures, Rincevent a dit :

Ce n'est pas ainsi que l'on gère les choses. Tu as sans doute une porte d'entrée, chez toi ; quand quelqu'un tente de l'ouvrir, le plus probable et de très loin, c'est que ce soit toi ou ta copine ; or, tu as une serrure et tu fermes probablement ta porte à clé.

 

Tu connais sans doute la formule, "Criticité = Risque x Probabilité". C'est la criticité qu'il faut évaluer, et il faut le faire vite. Ça ne donne pas le droit à la police d'abattre n'importe qui, évidemment ; mais ça ne donne pas le droit non plus d'utiliser des sophismes, même pour se rassurer.

Je pinaille mais ça ne serait pas plutôt Risque (ou criticité) = probabilité × gravité ?

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il y a 6 minutes, Ultimex a dit :

Je pinaille mais ça ne serait pas plutôt Risque (ou criticité) = probabilité × gravité ?

Merci de me rappeler les bons termes ; le vocabulaire de mes vieux cours de gestion du risque s'éloigne, mais heureusement les concepts restent. ;)

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Il y a 1 heure, Rincevent a dit :

Non, dans la vie professionnelle, quand il y a un type qui juge (et quand c'est fait de manière fonctionnelle), tu le vois en vrai et il t'expose son opinion en face à face.


Si on avait pas tout un sous forum dédiés à juger les professionnels de santé et des fils dédiés aux professionnels du climat, j’y croirais presque.

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il y a 39 minutes, Tramp a dit :

Si on avait pas tout un sous forum dédiés à juger les professionnels de santé et des fils dédiés aux professionnels du climat, j’y croirais presque.

Sans parler des professionnels de l'économie, du droit et de la politique !

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  • 2 months later...

Aujourd'hui ouverture du procès du commissaire Rabah Souchi dans l'affaire Geneviève Legay, manifestante de 73 ans gravement blessée en mars 2019 à Nice lors d'un manifestation de gilets jaunes.   Entendu ce matin sur France Infox une interview de Geneviève Legay qui s'exprime remarquablement bien (elle a été militante d'ATTAC et porte-parole).

 

Au milieu de son discours un point me frappe : la police tue entre 25 et 30 jeunes chaque année. Ce chiffre a fait l'objet d'un fact-check en 2019 par Libé avec une mise à jour en 2021.  Selon un rapport de l'IGPN En 2020, 32 décès et 78 blessés ont été enregistrés. De l'autre côté de la matraque, le nombre de policiers qui décèdent en mission est de l'ordre de 10 par an.

 

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  • 3 weeks later...

La BRAV-M.... une belle invention...

 

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« Devons-nous attendre un accident mortel pour réagir ? » Deux mois avant la mort d’un piéton en décembre dernier à Paris, une quinzaine de policiers de cette unité décriée avaient dénoncé, en vain, la dangerosité de leurs motards dans des rapports accablants. Depuis plusieurs années, les blessés s’accumulent.

la préfecture de police de Paris, l’annonce, le 12 décembre, de la mort d’un homme de 84 ans, percuté par une moto de la brigade de répression de l’action violente motorisée (BRAV-M) alors qu’il traversait un passage piéton dans le XIXe arrondissement de Paris, n’a pas surpris tout le monde. Notamment dans les rangs des compagnies d’intervention (CI), mobilisées à tour de rôle pour grimper à l’arrière des motos au sein de ces équipages décriés pour leur violence depuis leur création, en 2019, en plein mouvement des « gilets jaunes ».

Casque blanc à l’avant pour le pilote, noir à l’arrière pour son passager, vêtements sombres, motos de sport banalisées : les BRAV-M sont déployées au coup par coup pour des missions de maintien de l’ordre à Paris, et de « sécurisation » dans les quartiers réputés difficiles en banlieue.

Le 7 octobre 2023, soit un peu plus de deux mois avant la mort du piéton − qui fait l’objet d’une enquête judiciaire pour « homicide involontaire » −, une quinzaine de policiers passagers des BRAV-M avaient transmis à leur hiérarchie des rapports pointant du doigt la dangerosité et l’illégalité de la conduite de leurs collègues.

Dans ces écrits, consignés au terme d’une journée particulièrement chaotique, ils signifiaient également leur refus de continuer de monter derrière des pilotes décrits comme hors de contrôle, évoquant une accumulation d’accidents et de blessés et des alertes émises auprès de responsables de la DOPC (direction de l’ordre public et de la circulation) de la préfecture de police depuis « des mois voire des années ». Vitesse folle, prise de risques inconsidérée et injustifiée, absence de contrôle hiérarchique : le contenu de ces rapports, consultés par Mediapart, est effarant.

Ce samedi 7 octobre, des équipages de la BRAV-M, dont la devise est « Born to ride » (« Né pour rouler », en anglais), sont affectés à plusieurs missions de sécurisation un peu partout à Paris. Certaines motos sont stationnées au stade Charléty, dans le sud de la capitale, où le Paris Football Club doit affronter l’AJ Auxerre pour un match de ligue 2. D’autres patrouillent place de la Bastille ou boulevard Magenta, près de la place de la République.

En fin d’après-midi, une des unités voit un scooter brûler un feu rouge rue de Bagnolet, dans l’Est parisien. Les policiers tentent d’interpeller le conducteur, qui ne s’arrête pas. L’annonce de ce « refus d’obtempérer » circule sur les ondes et, sans attendre aucun ordre, des motards, même ceux du stade Charléty (à une dizaine de kilomètres de là), décident de se joindre à la course-poursuite.

Le scooter pris en chasse s’engage sur le périphérique saturé, puis sur l’autoroute, où il finit par chuter au niveau de Bobigny, en Seine-Saint-Denis. Pendant ce temps, les motos de la BRAV-M convergent d’un peu partout dans Paris, à très grande vitesse.

Plus de 180 kilomètres-heure

Dans leurs rapports, les policiers passagers racontent : « Les motards ont décidé de partir à très vive allure, roulant à plus de 100 km/h en ville et slalomant entre les véhicules. Ils ont continué leur progression en interfile à 145 km/h sur un périphérique saturé. C’est inadmissible. Les motards ne sont pas conscients des risques qu’ils prennent pour leur propre vie, celles de leurs passagers, et celles des citoyens. D’autant plus que le Code de la route est complètement bafoué », écrit l’un d’entre eux, qui conclut : « Devons-nous attendre qu’il y ait un accident mortel pour réagir ? »

Un autre relate que le pilote « a dépassé les 180 km/h [...] après avoir pris tous les risques possibles tout en étant conscient qu’à tout moment la moindre collision s’avérerait mortelle ». « Nous arrivons bien évidemment après l’intervention », ajoute-t-il. « Certains pilotes sont partis tellement vite qu’ils ont laissé leur passager sur place, avec le casque d’un passager encore attaché à la moto », précise encore le rapport.

L’un des policiers passagers, équipé pour les opérations de maintien de l’ordre, explique s’être senti particulièrement vulnérable alors que la moto « slalomait entre les différents véhicules à vive allure ». « Après avoir fait part à un motocycliste du danger que représente la prise au vent [d’]un bouclier à de telles vitesses, celui-ci me répondra qu’à ma place il l’aurait lâché », relate-t-il. Un des fonctionnaires explique aussi avoir perdu une grenade goupillée place de la Bastille, et que le pilote aurait refusé de s’arrêter pour qu’il la ramasse…

Plus grave encore, les policiers passagers des BRAV-M insistent sur le fait que ces comportements, à l’origine de « nombreuses blessures », ont été signalés à la hiérarchie de la DOPC à plusieurs reprises, et ce depuis des années. Sans, visiblement, que les motards aient fait l’objet d’un rappel à l’ordre.

« Il ne se passe pas une vacation sans qu’il n’y ait une chute fortuite, et malgré de nombreuses discussions, rien ne semble changer », se plaint un fonctionnaire. « Il existe depuis de longs mois voire des années des griefs par rapport à leur conduite », explique un autre, évoquant une réunion en juin 2023 provoquée par « des accidents à répétition ». « Malgré de nombreuses blessures en service ainsi que de multiples discussions, il semblerait que les problèmes de comportement persistent et que les risques encourus ne cessent d’augmenter semaine après semaine », dit un troisième.

Pourquoi ces alertes et ces rapports sont-ils restés sans suite pendant des mois ? Selon nos informations, les écrits envoyés par les policiers le 7 octobre n’ont pas été enregistrés par la hiérarchie de la DOPC dans le système de courrier de la préfecture de police, baptisé « Alice », comme le veut la procédure.

Les fonctionnaires auteurs des rapports n’ont été convoqués qu’à la mi-janvier, soit plus de trois mois après les incidents signalés, dans le cadre d’une « procédure d’enquête administrative ». Des convocations tombées, donc, quelques semaines après l’accident qui a causé la mort du piéton dans le XIXe arrondissement.

Selon les informations de Mediapart, les procès-verbaux de convocation à ces auditions sont en effet datés du mois d’octobre, mais ne comportent aucune référence « Alice », ce qui interroge sur la réalité de la temporalité de la procédure.

Le préfet de police pas informé

Un autre détail pose question : l’enquête administrative chargée de faire la lumière sur les incidents du 7 octobre a été confiée à Patrick Lunel, qui n’est autre que… le responsable des motards de la BRAV-M mise en cause par leurs collègues. Patrick Lunel est par ailleurs connu pour avoir été commandant de la CSI 93, la compagnie de sécurisation et d’intervention de la Seine-Saint-Denis, quand elle s’est retrouvée au cœur d’une retentissante série de scandales.

Une vingtaine d’enquêtes judiciaires avaient été ouvertes en 2019 et 2020 par le parquet de Bobigny pour des faits de vols, violences et faux en écriture publique. La majorité ont été classées faute de preuves, selon une source judiciaire, mais plusieurs des policiers de la CSI 93 ont été renvoyés devant la justice, et certains condamnés à de la prison ferme.

Sollicité via la préfecture de police, Patrick Lunel n’a pas répondu à nos questions.

Interrogée sur le contenu de ces rapports et l’absence de suites, la préfecture de police nous a indiqué que « les rapports des agents, transmis par mail un dimanche, ont été portés sans délai à la connaissance de l’ensemble de la chaîne hiérarchique, l’absence d’enregistrement par numéro ALICE n’ayant aucune incidence sur la remontée et la prise en compte d’information ».

« Le délai de trois mois entre le déclenchement de l’enquête administrative et les premières auditions se justifie par la nécessité d’instruire l’ensemble des rapports, les contraintes opérationnelles, et la programmation de plusieurs actes s’agissant d’une affaire dans laquelle aucun blessé n’est à déplorer et alors même que le préfet de police, dès le 11 octobre, avait reçu l’ensemble de l’encadrement de la BRAV-M pour rappeler les règles de déontologie, notamment la nécessité de circuler à allure normale hors cas d’intervention d’urgence », a-t-elle justifié.

« Le préfet de police tient à préciser que toute la lumière sera faite sur cette enquête administrative sur des faits qui se déroulaient dans le cadre initial d’un refus d’obtempérer commis par un individu finalement interpellé dans un secteur sensible de Seine-Saint-Denis où ont eu lieu de nombreuses prises à partie d’effectifs et nécessitant l’envoi de renforts dans les meilleurs délais », nous a encore précisé la préfecture.

La hiérarchie de la DOPC a-t-elle dissimulé au préfet la colère qui montait dans les rangs des BRAV-M ? « Le préfet de police a été informé des crispations liées à la vitesse (c’est à ce titre qu’il reçoit les encadrants le 11 octobre), sans être informé précisément du fait du 7 octobre », nous a-t-on répondu.

Autre interrogation : alors que les rapports du 7 octobre font état de « nombreux blessés en service », combien de policiers ont été blessés dans des accidents causés par les motards de la BRAV-M ? « À ce jour, la direction de l’ordre public et de la circulation recense contre les pilotes de la BRAV-M quatre cas de faute lourde de pilotage, avec blessé. Des enquêtes ont été ouvertes pour chacun des cas », indique la préfecture.

 

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il y a 16 minutes, Antoninov a dit :

La BRAV-M.... une belle invention...

 

 


La réalité devient tellement absurde qu’elle s’écrit toute seule.
C’est en général très mauvais signe quand aucun talent d’écriture, simplement une description journalistique factuelle et basique arrive à faire d’abord exploser de rire puis à se poser de sérieuses questions sur les réalités que recouvrent le fait de vivre en France.

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La police qui fait des rodéos urbains. Aucune surprise, ce sont exactement les mêmes profils que les racailles d’en face. 

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les interceptions de la Brav M, ca ne pourrait pas être remplacé par des drones (sans charge bien sur)?

Ca à l'air de bien marché en Ukraine.

ou au UK ou l'utilisation du tactical contact à limiter les crimes en scooter

 

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  • 2 weeks later...
Il y a 3 heures, Marlenus a dit :

Un membre du GIGN devant la justice pour la mort d'un homme en interpellation:

 

https://www.huffingtonpost.fr/france/article/un-gendarme-du-gign-juge-pour-avoir-tue-henri-lenfant-un-cambrioleur-presume-lors-d-une-intervention_230027.html

 

On verra ce que cela donnera.


Ça me semble déconnant qu'il soit condamné au vu des circonstances que l'on peut lire dans l'article.

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J'ai lu à peu près le même récit dans d'autres journaux, d'autres obédiences.

 

Franchement, cela ne me choquerais pas qu'il soit relaxé.

 

Mais si on veut comprendre pourquoi il se retrouve devant la justice:

 

On a un individu désarmé tué par un gendarme du GIGN, GIGN qui est normalement formé pour ne pas agir sous le stress.

La méthode d'intervention (entrer dans la voiture du suspect) n'est pas conventionnelle.

Tirer dans la nuque c'est tirer pour tuer, est-ce proportionnel au danger qu'il subit?

 

 

En gros répondre à cette question:

-Tuer la personne était-ce une réponse proportionné au risque qu'il encourrait?

 

 

 

 

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48 minutes ago, Marlenus said:

La méthode d'intervention (entrer dans la voiture du suspect) n'est pas conventionnelle.

 

Oui, c'est une prise de risque de sa part. Il se met dans une situation dangereuse. Ensuite, il tire parce qu'il est effectivement dans une situation dangereuse.

On pourrait lui reprocher d'avoir en partie provoqué lui-même la situation.

Mais l'alternative c'est de quoi si le conducteur ne veut pas obtempérer ? Tirer depuis l'extérieur de la voiture et tuer le gars quand même ?

 

A mon sens, entrer dans la voiture est une tentative de désarmer le suspect (càd ici de lui enlever le contrôle du véhicule).

Ici la tentative échoue et le suspect est abattu, mais je ne condamnerais pas le policier qui a tenté de débloquer la situation.

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4 minutes ago, Solomos said:

 

Oui, c'est une prise de risque de sa part. Il se met dans une situation dangereuse. Ensuite, il tire parce qu'il est effectivement dans une situation dangereuse.

On pourrait lui reprocher d'avoir en partie provoqué lui-même la situation.

Mais l'alternative c'est de quoi si le conducteur ne veut pas obtempérer ? Tirer depuis l'extérieur de la voiture et tuer le gars quand même ?

 

A mon sens, entrer dans la voiture est une tentative de désarmer le suspect (càd ici de lui enlever le contrôle du véhicule).

Ici la tentative échoue et le suspect est abattu, mais je ne condamnerais pas le policier qui a tenté de débloquer la situation.

une flashbang dans la voiture?

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Une voiture c'est une caisse en métal et verre sécurité tout autour de toi. Ergo très difficile, voir quasiment impossible de maîtriser un conducteur si on ne doit pas utiliser d'armes à feu. Et déjà même avec des armes à feu c'est pas si facile. Voir le nombre d'impact de balles qu'il y avait sur l'habitacle du camion de l'attentat de la promenade des anglais à Nice, cela ne l'avait pas arrêté tout de suite:

attentat-de-nice-comment-la-police-et-un

 

Cinquantes impacts de balle dans le camion d'après l'article.

 

Bref, si tu est en voiture et que je n'ai pas d'arme à feu, tu est basiquement dans un blindé.

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41 minutes ago, Alchimi said:

Une voiture c'est une caisse en métal et verre sécurité tout autour de toi. Ergo très difficile, voir quasiment impossible de maîtriser un conducteur si on ne doit pas utiliser d'armes à feu. Et déjà même avec des armes à feu c'est pas si facile. Voir le nombre d'impact de balles qu'il y avait sur l'habitacle du camion de l'attentat de la promenade des anglais à Nice, cela ne l'avait pas arrêté tout de suite:

attentat-de-nice-comment-la-police-et-un

 

Cinquantes impacts de balle dans le camion d'après l'article.

 

Bref, si tu est en voiture et que je n'ai pas d'arme à feu, tu est basiquement dans un blindé.

Il était dans la voiture.

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il y a 13 minutes, Marlenus a dit :

Il était dans la voiture.

Oui mais c'est bien ce que je dis, neutraliser de l'extérieur un conducteur sans force létale c'est extrêmement compliqué a priori, et même à l'intérieur de véhicule ça reste difficile et dangereux.

Sans être expert, je dirais que c'était pas la configuration idéale pour appréhender quelqu'un sans risques majeurs. (Après je connais pas les détails de la situation, peut-être qu'ils n'ont pas eu le choix, je ne sais pas).

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Je note que les faits datent de 2018, donc même s'il est reconnu en état de légitime défense, le pauvre homme aura vécu 6 ans avec une épée de Damoclès au dessus de la tête, et s'il est reconnu coupable, la famille aura attendu un bon 5 ans de trop avant d'avoir justice. La lenteur de la justice est inhumaine.

  • Yea 3
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