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Police, dérive, excès de zèle & toute-puissance étatique


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Encore une fois, j'aime bien comment, sans être sûr de ce qui s'est passé, certains (qui se disent pour la liberté) accordent le bénéfice du doute aux flics et non aux civils.

Je n'accorde le bénéfice du doute à aucune des deux parties au départ.

 

Après je n'ai pas de raisons, pour le moment, de douter des enquêteurs qui enquêtent sur cette affaire. Eux, je leur accorde le bénéfice du doute.

Je ne suis pas encore dans le trip:

L'IGPN ce sont des pourris qui couvrent toutes les pourritures.

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Et si les délinquants servent de l'enculé de flic, c'est un outrage. Ca devrait se régler devant un tribunal (ce n'est presque jamais le cas, en tout cas pas suivi d'effets)

Ben non, ni enculé de flic ni bamboula ne devraient se régler au tribunal.

Les insultes se règlent entre adultes par l'indifférence et la ricanerie, entre pleureuses au tribunal.

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Je n'accorde le bénéfice du doute à aucune des deux parties au départ.

 

Après je n'ai pas de raisons, pour le moment, de douter des enquêteurs qui enquêtent sur cette affaire. Eux, je leur accorde le bénéfice du doute.

Je ne suis pas encore dans le trip:

L'IGPN ce sont des pourris qui couvrent toutes les pourritures.

 

 

Il semblerait que les types soient plutôt de bonne foi mais qu'ils subissent des pressions venant du ministère de l'Intérieur. Au final les conclusions de leurs rapports sont bien souvent éloignées de la réalité et plutôt en faveur des fautifs... 

 

Un machin en trompe l’œil en somme, pour changer... dans notre si beau pays.

 

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Pour essayer d'élargir le débat : peut-on imaginer une autre structure que l'IGPN pour juger de l'action des policiers ?*

 

Pourquoi les enquêtes sur des flics ne pourraient pas être filée aux gendarmes (et réciproquement) ou même simplement à un poste de police indépendant de celui/ceux auquel(s) appartiennent les prévenus ?

  • Yea 1
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D'après le JT de FR2 d'hier citant les policiers son pantalon serait tombé dans la confusion.

On se rapproche vraiment de la défense "j'ai glissé c'est rentré tout seul".

Il suffit d'observer des empoignades, dans une cour de récré, un stade, ou que sais-je, pour constater qu'un pantalon, de jogging, par exemple, peut tout à fait glisser. Moins facile pour un jean avec un ceinturon, certes :)

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Il suffit d'observer des empoignades, dans une cour de récré, un stade, ou que sais-je, pour constater qu'un pantalon, de jogging, par exemple, peut tout à fait glisser. Moins facile pour un jean avec un ceinturon, certes :)

 

Quand on voit le style vestimentaire de certains "jeunes", avec le jogging tellement lâche que le slip dépasse, il n'est pas difficile d'imaginer que le pantalon tombe dans un contexte d'empoignade. Ce n'est pas ça qui me surprend dans le témoignage des policiers.

  • Yea 2
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Quand on voit le style vestimentaire de certains "jeunes", avec le jogging tellement lâche que le slip dépasse, il n'est pas difficile d'imaginer que le pantalon tombe dans un contexte d'empoignade. Ce n'est pas ça qui me surprend dans le témoignage des policiers.

Oh mais ça que le pantalon puisse glisser, j'en doute pas. 

Mais le pantalon et la matraque dans le cul ça... ça fait beaucoup de glissades. On se croirait à la patinoire.

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Ben non, ni enculé de flic ni bamboula ne devraient se régler au tribunal.

Les insultes se règlent entre adultes par l'indifférence et la ricanerie, entre pleureuses au tribunal.

 

Je serais plutôt d'accord entre deux particuliers lambda mais pas quand l'un des protagonistes est un fonctionnaire dans l'exercice de sa fonction. Notamment quand la fonction en question est celle à travers laquelle s'exprime le monopole de la violence légale.

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Je serais plutôt d'accord entre deux particuliers lambda mais pas quand l'un des protagonistes est un fonctionnaire dans l'exercice de sa fonction. Notamment quand la fonction en question est celle à travers laquelle s'exprime le monopole de la violence légale.

Il y a rupture de l'égalité en droits
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Je suis cidéré par l'argument du flic "j'ai glissé chef" et encore plus par les syndicats de police que j'entend a la radio pour dire que c'est vraisemblabe.

 

Faut quand meme realiser que pour inserer sans lubrifiant un objet de la taille d'une matraque dans le cul d'un jeune en bonne santé, meme expérimenté, meme qui en aurait tres envie et serait bien detendu,  serait non seulement extrement douloureux, mais necessiterait une putain de force, meme en prenant tout son temps. 

 

Alors imaginez chez un gars qui n'en a pas envie, pendant qu'il se fait tabasser et qui a donc invevitablement les muscles hyper contractés... le mec qui a fait ca, qui plus est rapidement, l'a non seulement fait expres, mais avait l'intention de lui faire tres mal et avait pleine conscience de ce qu'il faisait. Ca ne peut etre qu'un putain de barbare , un malade mentale completement sadique.

 

Du coup je ne crois pas une seule seconde que son pantalon ait glissé tout seul dans l'agitation. 

  • Yea 3
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C'est incroyable d'oser prétendre que ça a pu être autre chose qu'un acte volontaire d'une grande violence, d'un vrai sadisme. Je serais étonné que quiconque ici puisse croire sérieusement à la thèse de l'accident malencontreux. Je comprends bien le contexte, toussa, mais le représentant de la violence légale doit vraiment être exemplaire. Et là ce n'est pas un petit dérapage dont on parle. La "solidarité" qui s'exprime chez certains policiers dans ce cas précis me semble très déplacée, et contre-productive.

  • Yea 4
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Il y a 17 heures, Tremendo a dit :
Il y a 18 heures, ZHL a dit :

Je serais plutôt d'accord entre deux particuliers lambda mais pas quand l'un des protagonistes est un fonctionnaire dans l'exercice de sa fonction. Notamment quand la fonction en question est celle à travers laquelle s'exprime le monopole de la violence légale.

Il y a rupture de l'égalité en droits

 

Bon point.

 

Mais il ne s'agirait pas d'une diminution des droits de l'individu fonctionnaire puisque ça ne serait pas forcément un problème qu'il délivre des insultes en dehors de sa fonction (raccourci, c'est un autre problème). Ici, je ne vois pas comme une atteinte à ses droits de devoir respecter dans le cadre de sa fonction les lois qu'il est supposé défendre/appliquer.

 

La mission de service public devrait conférer un devoir et une exigence extrême envers le fonctionnaire plutôt qu'une surprotection, un corporatisme zélé ou une fabrique d'impunité comme c'est le cas. Après que cette personne soit une sombre merde en dehors de ses heures de boulots, on s'en fiche.

  • Yea 1
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