Bar du football

[Nick de Cusa]

Les Allemands, peu ou mal informés sur ce qui se passait à Paris autour d'eux, ont passé toute la nuit dans le vestiaire. 

[Rincevent]

Sacrée 3ème mi-temps.

[Hayek's plosive]

Les Allemands, peu ou mal informés sur ce qui se passait à Paris autour d'eux, ont passé toute la nuit dans le vestiaire.

ton sous entendu est mal placé. Tu pourrais préciser que les français sont restés avec eux et que les allemands ont décidé de passer la nuit la bas parce que leur hôtel avait reçu des menaces d'attentat.

[Loi]

http://www.independent.co.uk/sport/football/premier-league/mathieu-flamini-arsenal-midfielder-reveals-he-is-set-to-revolutionise-20bn-energy-industry-a6735316.html

 

 

Arsenal midfielder Mathieu Flamini has revealed he is behind a trailblazing company that could revolutionise the £20billion energy industry. 

 

Flamini, 31, has been developing his company GF Biochemicals for several years and already employs around 80 people at a plant in Caserta, Italy - in total around 400 people make a living from his and partner Pasquale Granata's project.

 

[Hayek's plosive]

Même les arbitres ont un brassard noir. Le football est foutu.

[Bisounours]

Pourquoi tu dis ça ? C'est bien, je trouve, ces manifestations de sympathie et de compassion, quelquefois un peu cucul la praline, mais bon

[Cugieran]

Je suis désolé mais les anglais sont classe. Leur hommage est classe. Pas un son pendant la minute de silence et le public qui chante la marseillaise, ils sont pas non plus obligés. 

[Mathieu_D]

Oui c'était beau. Vive les anglais.

[Hayek's plosive]

Oui c'était beau. Vive les anglais.

Mathieu_D est foutu.

[Cugieran]

Quand c'est la merde, on peut compter sur leur soutien. Le reste du temps on se charrie mais voilà, c'est la classe.

[Hayek's plosive]

C'est pas non plus comme si je me tuais à vous dire que dans leur grande majorité les anglais nous adorent. On peut pas dire que ce soit réciproque en France.

[Mathieu_D]

Mathieu_D est foutu.

Faut savoir dire quand les anglais font des trucs bien.

En ce moment par exemple le monde de l'alcoolisme tient en haute estime le vin mousseux anglais, il va falloir que je teste.

[Nigel]

 A cause de la propagande anti-américaine qui veut nous faire croire que les Anglais sont le cheval de Troie de ces derniers au sein de l'Europe. Ah le Général...

 

 Alors qu'au final, tout comme les russes d'ailleurs, les américains parient plus sur l'Allemagne qu'autre chose. 

 

 

[Hayek's plosive]

vin mousseux anglais

wut??

[Mathieu_D]

Ben par exemple :

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/agroalimentaire-biens-de-consommation-luxe/20130809trib000779746/ces-anglais-qui-s-attaquent-au-champagne.html

wut??

C'est sur ma to drink list.

[Hayek's plosive]

Beh ok ya plus qu'à.

[Cugieran]

C'est pas non plus comme si je me tuais à vous dire que dans leur grande majorité les anglais nous adorent. On peut pas dire que ce soit réciproque en France.

 

Le propre de deux peuples qui s'adorent, c'est de se charrier un peu quand tout va bien et d'être ensemble quand tout va mal.

[Hayek's plosive]

Non. Juste non. Les commentaires haineux que tu peux voir dans l'immonde à propos du uk, tu les trouveras pas meme dans le daily mail quand ça parle de la france.

[Hayek's plosive]

Ça manque pas mal de précision côté français.

[Hayek's plosive]

Damn. Ce but.

[Cugieran]

 

 

Non. Juste non. Les commentaires haineux que tu peux voir dans l'immonde à propos du uk, tu les trouveras pas meme dans le daily mail quand ça parle de la france. 

 

Heureusement que l'immonde et ses commentaires ne représentent pas les gens mais bon, c'est craignos oui.

Moi j'aime bien les charrier, ils bouffent nawak et s'habillent nawak mais bon, quand ça va mal ils sont là. Ca vaut ce que ça vaut mais enfin...

Puis bon entre ça et les germains ou les helvètes (dont la droite ces temps a une fâcheuse tendance à osciller entre le "bien fait pour leur gueule, c'est le colonialisme" et le "c'est un complot des américains"), y'a clairement pas photo. 

[Tremendo]

Super sympas les anglais. Joli.

Par contre ce match est super chiant, pas deux passes de suite, des Grands Boulevards pour rien, pas de technique, des mecs qui courent à 100 à l'heure dans le vide pour rien.

[Hayek's plosive]

Grave. Joli enchaînement entre Martial et Pogba quand même.

[Nick de Cusa]

Ibra, 3 buts en barrage, après ses deux buts en barrage de CdM.

 

https://www.youtube.com/watch?v=JahZhcPuPVc

 

En jaune, il est au top dans les match décisifs. 

[Cthulhu]

En fait, le problème du PSG, c'est la couleur du maillot. Faut qu'Ibra aille jouer à Nantes.

[PJE]

D'habitude, il met les coup franc en force mais là il dépose le ballon vu que le mur est mal placé.

[Johnnieboy]

D'habitude, il met les coup franc en force mais là il dépose le ballon vu que le mur est mal placé.

Je me suis fait la même réflexion. Il gagnerait à les tirer ainsi plus souvent.

[Eorl]

Ibra c'est un peu l'Etat, faible contre les forts, fort contre les faibles.

 

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[Nick de Cusa]

Je ne sais pas s'il y a des faibles dans ce type de barrages, demande à Henry et Gallas, qui y seraient restés sans l'aide expresse de la FIFA. 

[PJE]

Je commence à être vieux. Une telle longévité à ce niveau là c'est un exploit.

 

 

Gigi Buffon a 20 ans !

C'était un Parme-Milan de Serie A, le 19 novembre 1995. Le futur meilleur portier de la planète faisait ses grands débuts chez les professionnels et annonçait déjà la couleur.

Numéro 9 sur les épaules, George Weah lance parfaitement Stefano Eranio qui déboule de son aile droite et entre dans la surface. Le contrôle est un poil trop long, Gigi Buffon l'a remarqué et plonge à ras de terre les deux poings devant. « Le match venait de débuter il y a quelques minutes. Cette première parade a donné le ton, déjà qu'on lui faisait confiance, là il n'y avait plus aucun doute sur ses qualités », se remémore Antonio Bennarivo. La légende prenait vie.

La clavicule de Bucci« J'avais eu vent d'un garçon qui jouait dans les buts et qui avait des grosses qualités, mais je ne l'avais jamais vu, car j'étais parti un an entre le Milan et la Samp. C'est en revenant que je l'ai retrouvé lors du stage estival à Folgaria. » Sandro Melli, alors attaquant et futur team manager des Gialloblu a un coup de foudre : « J'aimais bien rester avec lui malgré la différence d'âge. Il avait 17 ans et moi 26, mais j'adorais sa spontanéité et son authenticité. Il disait ce qu'il pensait, il était amusant dans sa façon de parler. Bref, une grosse personnalité. » Buffon, qui ne chausse les gants que depuis trois saisons après un changement de poste tardif, est le portier des U20 (la Primavera), mais également le 3^e de l'équipe pro. « Je l'avais vite remarqué durant les oppositions du jeudi entre les deux équipes », poursuit Bennarivo. Bref, impossible de passer à côté d'un tel talent.

Luca Bucci est le numéro un incontesté, un joueur qui est alors régulièrement convoqué en sélection par Arrigo Sacchi. « Il s'est démis la clavicule et en a pris pour plusieurs semaines. Le premier match, c'est Alessandro Nista qui est titulaire lors d'un déplacement victorieux à la Cremonese », retrace Melli. Jusque-là, la hiérarchie est respectée, sauf que Buffon met de plus en plus son staff technique en difficulté. « On recevait ensuite le Milan avec qui on partageait la tête du championnat. Nous, joueurs, on savait que le coach était indécis. Comme tous les dimanches matin, Scala passe dans les chambres de chacun d'entre nous pour les briefings perso. C'est à midi qu'on a su que Gigi serait titulaire, soit trois heures avant le coup d'envoi. » Une décision un peu dure à avaler pour le désormais ex-numéro 2 : « Mais il n'a pas fait d'histoire, au contraire, il l'a très bien conseillé. D'ailleurs, Nista a été un temps son préparateur à la Juve », précise Bennarivo.
Les burnes de GigiL'armada du Milan se présente alors au Ennio Tardini pour ce choc de haut de tableau, pas de quoi émoustiller Buffon qui fait preuve d'un sang-froid incroyable : « Il a toujours eu conscience de ses qualités, mais n'a jamais franchi la ligne jaune de la prétention. Cet équilibre, c'était déjà sa force à l'époque », analyse Melli. Affublé du numéro 12, Gigi pousse de la voix contre les briscards que sont Couto et Sensini, puis sort des parades décisives sur une tentative de Simone à bout portant et une percée de Weah : « On aurait dit un kamikaze, il se jetait sur tous les ballons, c'était l’inconscience de son inexpérience. » À la fin du match, il reçoit même les compliments d'un Seba Rossi subjugué. Et ce n'est pas fini, une semaine plus tard, le jeune imberbe remet ça contre la Juventus, puis enchaîne avec le Napoli et la Lazio derrière. « Une série de rencontres qui aurait pu cramer n'importe quel jeune, pas Gigi !, s'exclame Bennarivo, et si on n'en perd aucune (3 nuls et 1 défaite), c'est surtout grâce à lui. »

Après son intérim de deux mois, Buffon retourne sur le banc ou en Primavera, mais pas pour longtemps. « Bucci était un excellent gardien, il retrouve sa place et continue d'être titulaire le début de la saison suivante avec Ancelotti comme coach. Mais au bout d'un moment, Carlo ne pouvait plus attendre. Après huit journées, il décide de promouvoir Buffon définitivement numéro un. Le plus dur fut de communiquer ce choix à Luca. Nous, coéquipiers, on attendait tous de voir comment cela allait se passer. Et il a eu du mal à le digérer, encore aujourd'hui, il le dit : "Mais pourquoi le meilleur gardien du monde est né ici !" Ça a été un tournant de sa carrière. » Ce samedi, Gigi sera de nouveau confronté au Milan pour boucler une boucle qui l'a vu remporter 8 Scudetti (sur le terrain), une Coupe du monde, devenir le joueur le plus capé de la Nazionale et celui ayant disputé le plus de minutes avec la Juve. Ça valait le coup de sacrifier Bucci.

http://www.sofoot.com/gigi-buffon-a-20-ans-212143.html