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Café des (vrais) sports


Messages recommandés

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Paris a son logo pour les JO2014 et va pouvoir démarrer sa campagne. La concurrence est : Los Angeles, Rome et Budapest. 

Résultat en septembre 2017...

2024, je suppose.
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Sans spoil, un Super Bowl que je déconseille à tous ceux qui n'ont jamais vu de foot US. Des défenses dominantes, peu de big plays en attaque, des punts en pagaille. Von Miller est un monstre, il va palper un max pendant la free agency. Il manque des receveurs fiables à Carolina. Une mi-temps insipide, Cold Pet soporifique, des pubs fades, une présentation des anciens MVP du Super Bowl terne. Bref, le Super Bowl 50 ne restera pas dans les mémoires. 7 mois d'intersaison arghhh !

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  • 2 weeks later...

+1, mais je suis un peu inquiet, ça va être dur de perdre à mon avis.

Peut-être un espoir avec Los Angeles qui a l'air de tenir la route.

 

JO : Paris 2024 marie carte postale et banlieue

 

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La candidature parisienne aux Jeux Olympiques d’été de 2024 fait la part belle à la Ville lumière – avec ses sites emblématiques comme la Tour Eiffel ou les Champs-Elysées – et à la Seine-Saint-Denis.

 

La candidature française à l’organisation des Jeux olympiques d’été de 2024 a fait un nouveau pas en avant ce mercredi, conformément à la procédure du Comité international olympique (CIO). Paris 2024, le comité de candidature coprésidé par le champion olympique Tony Estanguet et le patron du rugby mondial Bernard Lapasset, a en effet remis au CIO la « phase 1 » de son dossier, en clair la partie relative à sa vision et à son concept des Jeux, et à leur héritage. De fait, le projet, présenté dans l’après-midi à la Philharmonie, la nouvelle grande salle parisienne consacrée à la musique, confirme les grandes lignes de l’ambition de Paris 2024.

 

Ainsi, le comité de candidature tricolore met en avant la notion de Jeux compacts sur le plan géographique avec plus de 80% des sites situés dans un rayon de 10 kilomètres autour du village olympique et paralympique, et 85 % des athlètes logés à moins de 30 minutes de leur site de compétition. Comme attendu, le projet s’articule autour d’un axe Paris–Seine-Saint-Denis avec un village à édifier à 7 kilomètres au nord de la capitale. Il s’agit là d’ailleurs de la principale des quelques réalisations induites par cette candidature française, avec le nouveau centre aquatique à construire à proximité du Stade de France, ainsi qu’une Arena II de Paris-Bercy.

Lieux emblématiques

 

Sans surprise, celle-ci fait en effet la part belle aux infrastructures existantes, qui représentent plus de 70% des équipements nécessaires. Figurent notamment sur la carte de Paris 2024 le Stade de France pour les cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux, ainsi que les épreuves d’athlétisme, l’AccorHotels Arena de Paris-Bercy (basket, judo, lutte), Roland-Garros pour le tennis, le Parc des Princes pour le football, le Stade Jean-Bouin pour le rugby à VII, l’Arena 92 de Nanterre – le futur écrin du Racing, le club de rugby – qui a vocation à accueillir les épreuves de gymnastique et d’haltérophilie.

 

Mais à ces adresses familières, Paris 2024 associe aussi des lieux emblématiques de la capitale comme la Tour Eiffel pour le départ du triathlon mais aussi de la natation en eau libre, les Champs-Elysées pour le cyclisme sur route, les Invalides pour le tir à l’arc, le Grand Palais pour l’escrime, et le taekwondo ou même le Champ de Mars pour le beach-volley.

 

On voit par là que Paris 2024 combine, avec finesse, sport et le Paris tel qu’il est perçu et/ou vécu de part le monde. Par ailleurs, son dossier confirme le recours au Vélodrome National et au Golf National de Saint-Quentin-en-Yvelines, ainsi qu’à la baie de Marseille pour la voile. S’agissant de la province, huit stades de football sont également prévus au programme. Autant d’éléments qui confortent l’idée d’une candidature reposant sur la notion du développement durable. C’est l’un des points clefs de « l’héritage » d’éventuels Jeux à Paris avec la possibilité d’une nouvelle phase d’aménagement de la Seine-Saint-Denis.

Un projet à 6,2 milliards

 

Le chiffrage du dossier de Paris 2024 sera précisé dans un second temps, à savoir avec la « phase 2 » de sa candidature, laquelle porte sur la gouvernance, les aspects juridiques, et donc le financement des sites. Le rendez-vous est déjà fixé au 7 octobre prochain.

 

A ce stade, le projet tricolore est évalué à 6,2 milliards d’euros au total, ce montant comportant deux volets : 3,2 milliards relevant du comité d’organisation et assuré par auto-financement (contribution du CIO pour 1,7 milliard, billetterie...) ; 3 milliards de financements public et privé, pour l’essentiel consacrés aux infrastructures. S’agissant du financement privé, il est envisagé sur une opération immobilière dans le cadre de la reconversion du village olympique.

 

 

http://www.lesechos.fr/industrie-services/services-conseils/021703887819-jo-paris-2024-marie-carte-postale-et-banlieue-1200974.php?jegPu22GuIbSI8PM.99

 

 

 

JO 2024 à Paris : "Les Jeux s'auto-financent, pas d'argent public"

 

Le directeur général adjoint du comité de candidature Paris 2024, Michael Aloïsio, était l'invité de LCI. Il a tenu a apporter un éclairage sur la partie dépense de l'organisation d'un tel événement.

 

 

http://lci.tf1.fr/sport/jo-2024-a-paris-les-jeux-s-auto-financent-pas-d-argent-public-8717840.html

 

 

 

 

Jeux olympiques : la maîtrise budgétaire est-elle possible ?

 

C’est parti pour dix-huit mois de campagne. Mercredi 17 février, les villes candidates pour accueillir les Jeux olympiques d’été de 2024 remettaient leur dossier technique au Comité international olympique (CIO). Après l’échec de 2012, Paris est à nouveau en lice et espère remporter la mise face à Los Angeles, Rome et Budapest. L’élection se déroulera à Lima (Pérou), le 13 septembre 2017.

 

Mais quelques voix s’élèvent déjà pour mettre en garde sur le coût – et surtout les surcoûts – que pourrait représenter l’organisation de ces jeux si Paris était choisie. Mercredi matin, sur France Info, David Belliard, conseiller du 11e arrondissement et coprésident du Groupe écologiste de Paris, a ainsi exprimé son inquiétude, soulignant notamment les dérives financières auxquelles ont dû faire face, par le passé, d’autres villes organisatrices de l’événement :

 

« Depuis trente ans, il n’y a pas eu une ville qui n’a pas dépassé les budgets annoncés. Aujourd’hui, on nous dit 6,2 milliards d’euros de budget pour l’organisation de ces Jeux olympiques. A Londres, on nous annonçait 4,8 milliards et la facture s’est finalement élevée à 11 milliards. »

 

L’élu écologiste a appelé à la mise en place d’un référendum pour les Franciliens. Pour le moment, Paris 2024 présente un budget supérieur à ses concurrentes.

 

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Des budgets constamment dépassés

 

Depuis trois décennies, les prévisions budgétaires des JO d’été et d’hiver ont effectivement toutes été dépassées. De Calgary (Canada), en 1988, à Sotchi (Russie), en 2014, le coût final a été en moyenne quatre fois plus important que la prévision affichée lors du choix de la ville candidate.

 

Les cas les plus extrêmes ont été Pékin et ses jeux d’été, en 2008, et Sotchi et ses jeux d’hiver, en 2014 : la facture finale a été près de douze fois plus lourde que prévu dans le premier cas et quatre fois plus onéreuse dans le second cas, faisant de Sotchi les olympiades les plus chères de l’histoire, avec 36 milliards d’euros.

 

Comparés aux budgets initiaux affichés depuis 1988, les 6,2 milliards d’euros de Paris 2024 se placent dans une fourchette haute. Les porteurs du projet parisien ont déjà tenté de rassurer en indiquant que le coût final ne s’envolerait pas en raison de l’existence de nombreuses infrastructures olympiques. Reste à construire un village d’accueil, un centre des médias, une piscine (1,7 milliard d’euros) et à rendre les transports franciliens accessibles aux normes pour handicapés.

 

 

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/02/17/jeux-olympiques-la-maitrise-budgetaire-est-elle-possible_4867119_4355770.html

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Sans spoil, un Super Bowl que je déconseille à tous ceux qui n'ont jamais vu de foot US. Des défenses dominantes, peu de big plays en attaque, des punts en pagaille. Von Miller est un monstre, il va palper un max pendant la free agency. Il manque des receveurs fiables à Carolina. Une mi-temps insipide, Cold Pet soporifique, des pubs fades, une présentation des anciens MVP du Super Bowl terne. Bref, le Super Bowl 50 ne restera pas dans les mémoires. 7 mois d'intersaison arghhh !

Ah ben pour une fois que je regardais du foot US...Bon, je regardais du coin de l'oeil en faisant autre chose au final. Faut que je me trouve une house party pour voir ça l'an prochain, mais je ne connais pas grand monde qui suit le foot US ici.

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Et en plus, c'est une fille. 

 

 

Combien de séances par semaine ? 

 

En général deux fois 50 minutes. Plus rarement trois fois et dans le cas de déplacements pros, 1 seul fois.

 

La semaine prochaine, je suis en Turquie et l'hôtel a une piscine mais bon, ça ne vaut pas les 50 m olympiques du bassin où je vais.

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Une star du rugby à XIII australien accusée d'actes sexuels avec un chien

 

Mitchell Pearce, le demi de mêlée de l'équipe de rugby à XIII des Sydney Roosters, a été filmé en train de simuler un acte sexuel avec le chien de son hôte, au cours d'une soirée durant laquelle il a aussi uriné un peu partout. Entre autres.

 

[...]

 

Des précédents

 

Une vidéo de la scène, prise avec un smartphone, a été diffusée ce mercredi dans l’émission A current affair sur la Nine Network. Les Roosters ont déclaré dans un communiqué que le club était au courant de l’affaire et qu’une enquête interne allait être menée. Le Guardian rappelle que ce n’est pas la première affaire à laquelle Pearce se retrouve mêlé, puisqu’il avait déjà été condamné à 20.000 dollars australiens (13.000 euros) d’amende et plusieurs matches de suspension après s’être fait virer d’une boîte de nuit à Sydney.

 

La zoophilie n’est pas une première non plus au sein de la ligue : en 2010, Joel Monaghan avait dû démissionner des Canberra Raiders après avoir reconnu avoir «joué» avec le chien d’un de ses coéquipiers. En même temps, il était difficile de nier : la photo était déjà sur Twitter.

 

 

http://www.lequipe.fr/Rugby-a-xiii/Actualites/Une-star-du-rugby-australien-accuse-d-actes-sexuels-avec-un-chien/628696

 

 

Pour Mourad Boudjellal, le rugby est un «sport de droite, voire d'extrême droite»

 

Maintenant qu’il est lancé, Mourad Boudjellal ne s’arrête plus. Mercredi, le président toulonnais passera devant la commission de discipline de la LNR pour avoir qualifié la prestation de l’arbitre de Clermont-Toulouse de «sodomie arbitrale». Dans un entretien accordé à RMC Sports, le patron du RCT en remet une couche. Pour lui, «le rugby français est à l’image de la France conservatrice et franchouillarde qu’il représente». Pour étayer sa réflexion, Boudjellal prend en exemple «les commentaires laissés sur les sites». «Je n’ai vu personne de la ligue ou de la fédé dire “Arrêtez de traiter de sale arabe le président de Toulon, les problèmes qu’on a avec lui n’ont rien à voir avec ses origines”», lâche-t-il.

 

Dans les détails, le dirigeant varois raconte qu’il se fait traiter de «vendeur de tapis, de vendeur de merguez, de brûleur de voitures». Un constat qui lui fait dire que «le rugby est un sport de droite, voire d’extrême droite par moments. (…) On a le droit de me trouver énervant, stupide, con, mais ça n’a pas de rapport avec mes origines.» Pas sûr que ces déclarations pèsent en sa faveur devant la LNR.

 

 

http://www.20minutes.fr/sport/865870-20120124-mourad-boudjellal-rugby-sport-droite-voire-extreme-droite

 

Rugby: «On pouvait se doper sans problème»

 

Les fameuses valeurs ont-elles cours dans l'Ovalie d'en bas ?

 

Aucun sport ne véhicule plus de clichés que le rugby : fraternité, solidarité, tolérance, partage, identité, égalitarisme, etc. Un magma duquel émergeraient les fameuses «valeurs», qui relèvent aujourd’hui surtout du fantasme ou de l’argument marketing. Nous avons éprouvé ces illusions à la réalité telle qu’elle se pose aux joueurs de rugby amateurs. Premier départ au ras de ce rugby d’en bas: le dopage.

 

Dix heures du matin, mi-juin, un tournoi à VII comme il en fleurit partout à cette période de l’année. Ambiance champêtre, pas de vestiaire, on se change dans l’herbe. Avant le premier match, François (1) retourne à sa voiture. Il ouvre le coffre, prend quelques dosettes. «Ce sont des boosters ça permet d’avoir des jambes de feu pendant le match.» Le produit en question, c’est du Jack 3D. Interdit depuis 2012, il se trouve facilement sur internet.

 

[...]

 

 

http://www.liberation.fr/sports/2015/09/29/rugby-on-pouvait-se-doper-sans-probleme_1393163

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